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Tendance automne 2015


Wilfried63
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Posté(e)
Illkirch-Graffenstaden (143 m) et Entzheim (149 m)

Oui mais il y a plus de phénomènes extrêmes maintenant. Les années sèches sont beaucoup plus rapprochées par exemple.

Sauf pour les VDF en effet.

Enfin bref, je suis d'accord avec TreizeVents en tout cas.

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euh çà veut dire quoi que nous serions dans un climat plus perturbé qu'avant?

tu parles de la France?

si oui sur quels paramètres climatiques de bases-tu pour l'affirmer?

ou alors tu veux dire que le climat est plus variable?

bref, pour moi, c'est pas clair.

et je ne dis pas çà pour polémiquer ni ronchonner bien sûr, c'est pour voir si par hasard il y aurait des éléments corroborant des observations très peu quantifiées que j'ai faites à ce sujet.

Je dis cela de manière globale, pas seulement pour la France seule même s'il est évident qu'elle est aussi concernée.

Si tu veux des paramètres climatiques simples pour t'en assurer, il suffit des fois de regarder les indices climatiques généraux qui depuis quelques années atteignent des valeurs plus que remarquables, pour ne pas dire parfois inédites.

Si on regarde simplement les données hivernales et estivales de la NAO, depuis le début du siècle dernier, on constate qu'on a battu (données depuis 1900) le record de la plus basse valeur hivernale en 2010, qu'on a battu le record de la plus basse valeur estivale en 2012, et qu'on a battu le record de la plus haute valeur hivernale en 2015 Pas mal comme moisson d'extrêmes en cinq ans...

Pour l'AO, outre la valeur surréaliste de Influence of Arctic sea ice on European summer precipitation

Ici, on apprend que la fréquence et la durée des épisodes de blocages extrêmes sur le Groenland ont atteint des valeurs inédites ces dernières années :

Atmospheric blocking commonly occurs over the high latitudes of the Northern Hemisphere, resulting from the development of persistent areas of high pressure that lead to warmer-than-average surface temperatures west of the high centre. While the variability and trends in anticyclonic circulation patterns (including blocking) over Greenland have been previously documented, an analysis of the most extreme blocking events within the observational record is lacking. In this study, a historical climatology of extreme Greenland blocking episodes (GBEs) from 1958 to 2013 is examined within the context of anomalous anticyclonic circulation patterns over the North Atlantic region during recent years. Based on a combination of the ERA-40 (1958–1978) and ERA-Interim (1979–2013) reanalysis data sets, the Greenland Blocking Index (GBI) is used to quantify 500 hPa geopotential height anomalies for the identification of extreme GBEs. The annual rate of extreme blocking days has doubled since 1958, reaching an average of approximately 20 days per year by 2013. The frequency and, to some extent, duration of extreme GBEs were unprecedentedly high from 2007 to 2013 compared to the 56-year period of record, with a majority of the increase occurring during the spring (MAM) and summer (JJA).
Linking interannual variability in extreme Greenland blocking episodes to the recent increase in summer melting across the Greenland ice sheet etc. Il n'est pas étonnant, c'est même normal, de battre de temps en temps des records. Il existe tant d'indices, de données différentes, de points de mesures, de manières de mesurer, qu'il y a toujours quelque part des records battus. Mais cela n'empêche pas non plus de constater que ces dernières années, le nombre de phénomènes extrêmes différents et généralisés a atteint des seuils qui sont clairement sortis de ce que le hasard peut expliquer.
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Merci 13 vents, tu as le courage de faire vivre le topic des tendances qui n'est pas est mince affaire. Je n'ai qu'une petite culture météo par rapport à toi ou à bien d'autres mais les explications sont claires et au moins tu oses lancer le débat.

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A ce sujet ,ne pas oublier les conclusions de l' ancien directeur du Giss au sujet de la question de l' evolution de la frequence des evenements climatiques et météorologiques extremes .

https://www.washingtonpost.com/opinions/climate-change-is-here--and-worse-than-we-thought/2012/08/03/6ae604c2-dd90-11e1-8e43-4a3c4375504a_story.html ( Article daté du 4 Aout 2012 )

Version française ( issus du blog Les crises.fr )

Lorsque j’ai témoigné au Sénat pendant l’été chaud de 1988, j’ai prévenu du type de futur qu’apporterait le changement climatique pour nous et pour notre planète. J’ai dépeint une image sinistre des conséquences d’une augmentation continue des températures, poussée par l’usage des combustibles fossiles par l’homme.

Mais j’ai une confession à vous livrer : j’étais trop optimiste.

Mes projections sur l’augmentation des températures mondiales se sont avérées justes. Mais j’ai échoué à étudier en détail la rapidité avec laquelle cette augmentation moyenne pousserait à une augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes.

Dans une nouvelle analyse des dernières six décennies des températures mondiales, qui sera publiée lundi prochain, mes collègues et moi-même révélons une augmentation stupéfiante de la fréquence des étés extrêmement chauds, avec des ramifications troublantes pour non seulement notre futur mais également notre présent.

Il ne s’agit pas d’un modèle climatique ou d’une prédiction, mais des observations réelles des phénomènes météorologiques et des températures qui ont eu lieu. Notre analyse montre qu’il n’est plus suffisant de dire que le réchauffement climatique augmentera la probabilité des événements météorologiques extrêmes et de répéter la mise en garde qu’aucun événement météorologique ne peut être directement lié au changement climatique. Au contraire, notre analyse montre que, pour la chaleur extrême du passé récent, il n’y a quasiment pas d’autre explication que le changement climatique.

La fatale canicule européenne de 2003, la brûlante canicule russe de 2010 et les sècheresses catastrophiques au Texas et en Oklahoma de l’année dernière peuvent toutes êtres attribuées au changement climatique. Et une fois que les données seront recueillies dans quelques semaines, il est probable que la même chose sera vraie pour l’été extrêmement chaud dont souffrent actuellement les Etats-Unis.

Ces événements météorologiques ne sont pas simplement un exemple de ce que le changement climatique pourrait apporter. Ils sont provoqués par le changement climatique. La probabilité que la variabilité naturelle ait provoqué ces événements extrêmes est minuscule, extrêmement faible. Parier sur cette probabilité serait comme démissionner de son boulot et jouer au loto chaque matin pour payer ses factures.

Il y a vingt-quatre ans, j’ai inventé le concept de « dés climatiques » pour aider à distinguer entre la tendance à long-terme du changement climatique et la variabilité naturelle de la météo au fil des jours. Certains étés sont chauds, certain frais. Certains hivers brutaux, d’autres doux. C’est la variabilité naturelle.

Mais avec le réchauffement climatique, la variabilité naturelle est elle aussi altérée. Dans un climat normal sans le réchauffement mondial, deux côtes du dé représentent du temps plus frais que la normale, deux côtes seraient du temps normal, et deux côtés serait du temps plus chaud que la normale. En lançant les dés à répétition, ou saison après saison, on obtient une variation équitable de la météo au cours du temps.

Mais piper les dés avec un réchauffement climatique change les probabilités. On se retrouve qu’avec un côté plus frais que la normale, on côté moyen, et quatre côté plus chauds que la normale. Même avec le changement climatique, on observera de temps en temps des étés plus frais que la normale ou un hiver typiquement froid. Mais ne vous laissez pas tromper.

Notre étude approuvée par comité de lecture [peer-reviewed], publiée par l’Académie nationale des sciences, montre clairement que si la température mondiale moyenne a augmenté progressivement à cause du réchauffement climatique (jusqu’à 1,5 degrés au cours du siècle passé), les extrêmes sont en fait en train de devenir beaucoup plus fréquents et plus intenses dans le monde entier.

Lorsqu’on a représenté les changements de températures du monde avec une fonction gaussienne, nous avons observé que les extrêmes anormalement frais et, plus encore, les extrêmes anormalement chauds, sont en train d’être modifiés en devenant plus fréquents et plus sévères.

Le changement est tellement dramatique qu’un côté du dé doit maintenant représenter le « climat extrême » pour représenter la plus grande fréquence des événements météorologiques extrêmement chauds.

De tels événements étaient extrêmement rares. Des températures extrêmement chaudes recouvraient à peu près 0,1 % à 0,2 % du globe sur la période initiale de notre étude, de 1951 à 1980. Lors des dernières trois décennies, alors que les températures moyennes ont lentement augmenté, les extrêmes sont montées en flèche et maintenant recouvrent à peu près 10 % du globe.

C’est le monde que nous avons changé, et maintenant nous devons y vivre – le monde qui a provoqué la canicule en Europe qui a tué plus de 50 000 personnes et la sècheresse de 2011 au Texas qui a provoqué plus de 5 milliards de dollars de dégâts. Nos données démontrent que de tels événements deviendront encore plus fréquents et plus sévères.

Il est encore temps d’agir et d’éviter une détérioration du climat, mais nous perdons un temps précieux. Nous pouvons résoudre le défi du changement climatique avec l’augmentation progressive d’une taxe carbone sur les entreprises de combustible fossiles, redistribuée de façon identique à 100 % aux habitants. Ceci stimulerait les innovations et créerait une solide économie d’énergie propre avec des millions de nouveaux emplois. C’est une solution simple, honnête et efficace.

Le futur, c’est maintenant. Et il fait chaud.

Source : The Washington Post

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Posté(e)
Aix-en-Provence (et fût un temps avec des relevés sur Ventabren)

Quel présomption et quel ramassi de ******* ce texte!

Le changement climatique actuel n'est pas le premier changement climatique que connaît l'humanité et il y a eu par le passé des évènements aussi extrêmes.

A l'époque romaine, la t° moyenne était de 2,3°C supérieure à l'actuel. Il y avait aussi de gros évènmnts météo.

Ceux qui me connaissent...l'Homme en a connu des changements climatiques (y'a qu'à prendre les 20 000 dernières années), des biens plus violents que ce que l'on vit actuellement, mais surtout, comment ce prétendu scientifique peut-il penser le climat comme une "chose stable"????????

Nous évoluons tous dans un monde "vivant", un environnement. Cause humaine ou non en jeu, le climat évolue en permanence. Et le pessimisme n'est pas une solution en soi.

A+!

Alex.

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Il y a changement et changement. Celui attendu est 30x plus rapide qu' une variation naturelle du climat conduisant à un pic glaciaire ou inter-glaciaire .C est principalement l intensité de cette variation qui crée le problème ,car elle risque de fortement limiter l' adaptation que ce soit de la faune , la flore ou de l' humain .

A part cela , et pour revenir au sujet, il est à espèrer qu' il n' y ait pas trop d' episodes diluviens cet auromne près du bassin méditerranéen .

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A l'époque romaine, la t° moyenne était de 2,3°C supérieure à l'actuel.

Alex.

Tu peux donner tes sources ?

Car en histoire on apprend que la civilisation occidentale a, au début de notre ère, migré du bassin méditerranéen vers l'Europe du Nord Ouest grâce à un réchauffement sensible du climat entre 500 et 1200 environ....

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Il n'est pas étonnant, c'est même normal, de battre de temps en temps des records. Il existe tant d'indices, de données différentes, de points de mesures, de manières de mesurer, qu'il y a toujours quelque part des records battus. Mais cela n'empêche pas non plus de constater que ces dernières années, le nombre de phénomènes extrêmes différents et généralisés a atteint des seuils qui sont clairement sortis de ce que le hasard peut expliquer.
ok merci tu parles des extrêmes.

mon questionnement concernait plus, en fait, le climat de tous les jours.

en cas de RC, si on prend les précipitations, par exemple, elles ne seraient pas forcément plus fréquentes (même moins pour certaines régions) mais les épisodes seraient plus intenses, plus concentrés en quelque sorte.

donc il n'est pas évident qu'en moyenne, le climat soit plus perturbé, au sens où tu l'entends.

bon, lorsque tu parlais de climat perturbé plus haut, je pensais à climat plus instable (au sens instabilité de l'atmosphère), avec d'avantage de perturbations atmosphériques au sens météo du terme.

et il me semble avoir constaté que depuis quelques années, le vent était plus fréquent, qu'il y avait de moins en moins de journées calmes.

voilà c'était plutôt dans ce sens.

depuis j'ai fait quelques recherches grâce à NCEP et il s'avère que depuis 8 ans environ, effectivement, la vitesse du vent aurait augmenté mais concernant la fréquence je n'ai pas d'infos.

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Posté(e)
Saint Valery en Caux (côte 76)

Quel présomption et quel ramassi de ******* ce texte!

Le changement climatique actuel n'est pas le premier changement climatique que connaît l'humanité et il y a eu par le passé des évènements aussi extrêmes.

A l'époque romaine, la t° moyenne était de 2,3°C supérieure à l'actuel. Il y avait aussi de gros évènmnts météo.

Ceux qui me connaissent...l'Homme en a connu des changements climatiques (y'a qu'à prendre les 20 000 dernières années), des biens plus violents que ce que l'on vit actuellement, mais surtout, comment ce prétendu scientifique peut-il penser le climat comme une "chose stable"????????

Nous évoluons tous dans un monde "vivant", un environnement. Cause humaine ou non en jeu, le climat évolue en permanence. Et le pessimisme n'est pas une solution en soi.

A+!

Alex.

Manque de politesse, manque de prise de recul sur un discours, j'en passe... Manque de beaucoup de chose mais surtout de respect à quelqu'un qui sort des faits avérés contre toi qui sort un argument (je sais pas réellement s'il est bon) sur 20000 ans.

Désolé même si tu as raison et que CP3 à tord, je suis convaincu par CP3 et non par toi.

Oui nous évoluons dans un monde vivant, mais pas au même rythme pour certain... Désolé message un peu agressif, mais pas plus que le tien qui sème les troubles fêtes dans un débat qui était enrichissant (même si pas forcément au bon endroit).

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Manque de politesse, manque de prise de recul sur un discours, j'en passe... Manque de beaucoup de chose mais surtout de respect à quelqu'un qui sort des faits avérés contre toi qui sort un argument (je sais pas réellement s'il est bon) sur 20000 ans.

Désolé même si tu as raison et que CP3 à tord, je suis convaincu par CP3 et non par toi.

Oui nous évoluons dans un monde vivant, mais pas au même rythme pour certain... Désolé message un peu agressif, mais pas plus que le tien qui sème les troubles fêtes dans un débat qui était enrichissant (même si pas forcément au bon endroit).

Oué ... on est plus ou moins d'accord avec une personne, même si les arguments sont pas super, parce qu'on se rapproche du même point de vue. Normal. Pour ma part, CP3 ou Alex, aucun des 2 pourraient me convaincre avec les 2 mini paragraphes. Dommage que ce topic par en live. Mais en tout cas, 13V, belle analyse, et j'attends de voir comment va se passer notre automne donc.

J'ai une question : Par rapport à tes graphiques où on voit l'indice ao, le positif, signifie qu'il y a plus de chance et le négatif, moins de chance que ça se produise, c'est bien ça ?

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Manque de politesse, manque de prise de recul sur un discours, j'en passe... Manque de beaucoup de chose mais surtout de respect à quelqu'un qui sort des faits avérés contre toi qui sort un argument (je sais pas réellement s'il est bon) sur 20000 ans.

Désolé même si tu as raison et que CP3 à tord, je suis convaincu par CP3 et non par toi.

Oui nous évoluons dans un monde vivant, mais pas au même rythme pour certain... Désolé message un peu agressif, mais pas plus que le tien qui sème les troubles fêtes dans un débat qui était enrichissant (même si pas forcément au bon endroit).

oui, mais à la décharge d'Alex, il était tard quand il a écrit son message sorcerer.gif
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Et pourtant, on pourrait titiller les prévisions hivernales, le mois de novembre peut parfois être soumis aux premières sensations hivernales.wink.png

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Posté(e)
Remiremont - Porte des Hautes Vosges (400 m)

Et pourtant, on pourrait titiller les prévisions hivernales, le mois de novembre peut parfois être soumis aux premières sensations hivernales.wink.png

J-19 ! sorcerer.gif

Mes prévisions pour l'automne à venir sont simples :

Ce sera la saison des récoltes, et des vendanges, alors que la chaleur se fera progressivement moins pesante tandis que les premiers frimas se feront sentir à la fin de la période.

Les sous bois se couvriront de champignons cependant que les feuillages commenceront à se colorer, et à l'issue de la saison l'ensemble des arbres à feuilles caduques devraient se retrouver dépouillés de leurs attraits.

Bref, l'automne, on sait que ça commence toujours un peu comme la fin d'un Eté, et que ça se termine par les premiers frimas hivernaux. Au mieux, entre les deux, on peut connaitre un épisode tempétueux, ou des passages fortement pluvieux... tongue_smilie.gif

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Posté(e)
Bust, Alsace Bossue dpt 67 (alt 310m)

Mes prévisions pour l'automne à venir rejoignent à 200% celles de Lolox, il y a de fortes probabilités pour qu'il se déroule de la sorte...tongue_smilie.gif

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Posté(e)
Saint Valery en Caux (côte 76)

En effet, pas vu de force 9-10 depuis un bout sur les côtes de la manche. un truc qui arrivait bien une fois par an en automne si c'était pas 2-3!

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J-19 ! sorcerer.gif

Mes prévisions pour l'automne à venir sont simples :

Ce sera la saison des récoltes, et des vendanges, alors que la chaleur se fera progressivement moins pesante tandis que les premiers frimas se feront sentir à la fin de la période.

Les sous bois se couvriront de champignons cependant que les feuillages commenceront à se colorer, et à l'issue de la saison l'ensemble des arbres à feuilles caduques devraient se retrouver dépouillés de leurs attraits.

Bref, l'automne, on sait que ça commence toujours un peu comme la fin d'un Eté, et que ça se termine par les premiers frimas hivernaux. Au mieux, entre les deux, on peut connaitre un épisode tempétueux, ou des passages fortement pluvieux... tongue_smilie.gif

Certain éléments que tu dis commencent déjà quand on voit que les champignons sortent déjà, les feuilles commencent jaunir et à tomber pour certain arbres voir les pommes... Suite à un printemps et été chaud et ou sec certaines choses sont en avances.

Williams

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J'ai lu plus haut, en page précédente que l'automne est souvent doux sur l'ouest européen lors d'épisodes El Nino intenses.

Or, 1998 fut médiocre et particulièrement frais surtout en seconde partie de novembre : une vraie vague de froid sans dégel était survenue sur le nord-est de la France avec des records de températures basses.

1998 fut aussi l'année du phénomène El Nino le plus intense observé et l'été fut plus chaud que la moyenne sur la France.

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Posté(e)
Diemeringen 67 (237m)

Or, 1998 fut médiocre et particulièrement frais surtout en seconde partie de novembre : une vraie vague de froid sans dégel était survenue sur le nord-est de la France avec des records de températures basses.

Je confirme. C'est même le seul cas dont je me souvienne. J'étais enseignant à Vittel (88) et l'ouest vosgien avait bien morflé.
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Posté(e)
FIRMI ( aveyron)-320m

J-19 ! sorcerer.gif

Mes prévisions pour l'automne à venir sont simples :

Ce sera la saison des récoltes, et des vendanges, alors que la chaleur se fera progressivement moins pesante tandis que les premiers frimas se feront sentir à la fin de la période.

Les sous bois se couvriront de champignons cependant que les feuillages commenceront à se colorer, et à l'issue de la saison l'ensemble des arbres à feuilles caduques devraient se retrouver dépouillés de leurs attraits.

Bref, l'automne, on sait que ça commence toujours un peu comme la fin d'un Eté, et que ça se termine par les premiers frimas hivernaux. Au mieux, entre les deux, on peut connaitre un épisode tempétueux, ou des passages fortement pluvieux... tongue_smilie.gif

thumbup.gif c'est aussi simple que ça laugh.png
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J'ai lu plus haut, en page précédente que l'automne est souvent doux sur l'ouest européen lors d'épisodes El Nino intenses.

Or, 1998 fut médiocre et particulièrement frais surtout en seconde partie de novembre : une vraie vague de froid sans dégel était survenue sur le nord-est de la France avec des records de températures basses.

1998 fut aussi l'année du phénomène El Nino le plus intense observé et l'été fut plus chaud que la moyenne sur la France.

Les épisodes Niño (et Niña) culminent toujours en automne / hiver et régressent ensuite au printemps suivant.

Quand on parle de l'épisode de 1998, en fait on parle d'un épisode qui a démarré à l'été 1997 et s'est achevé à la fin du printemps 1998.

Le "vrai" automne Niño de cet épisode, c'est donc celui de 1997 et non pas celui de 1998. A l'automne 1998, on avait d'ailleurs basculé en épisode Niña (anomalies de surface en zone 3.4 inférieures à -0,5°), sachant justement que les automnes Niña se caractérisent par un risque accru de périodes hivernales précoces en fin d'automne.

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