stratocu34 Posté(e) 18 avril 2009 Partager Posté(e) 18 avril 2009 AmourDaria évoque le bonheur qu'il peut y avoir à respirer le parfum des lilas et des glycines, au printemps, alors que les températures deviennent plus douces (et qu'une certaine humidité pre ou post orageuse favorise le phénomène- çà c'est moi qui l'ajoute- mais elle aurait pu le dire, j'en suis sûr!) J'ajoute donc que le rapport des conditions atmosphériques aux végétaux ne semble intéresser nos contemporains qu'en matière de... dégâts. Hier avec la tempête sur la forêt landaise, aujourd'hui avec la grêle sur le bourgeonnement de la vigne et les cerises. Cette année en Languedoc, les prunus avaient 15 jours de retard, le muguet pareil. Mais sans généraliser, selon les secteurs et les espèces de 8 à 15 jours de retard . Je m'en vais donc -illico- jouir du parfum des derniers narcisses, admirer ces tulipes qui se ferment par les nuits claires et donc fraiches et qui restent en fleurs plus longtemps (tout se tient!) et -non pas paître -mais me repaître de la contemplation de l'herbe qui pousse, pousse (jusqu'où ira-t-elle?) et des feuilles qui se déploient, trop rapidement à mon goût. L'amour des mouvements,états, humeurs de l'atmosphère, c'est peut-être aussi çà, non? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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