Invité Posté(e) 2 septembre 2016 Partager Posté(e) 2 septembre 2016 (modifié) Rien de bien sensationnel mais l'anomalie d'août 2016, au 30, s'élève à 0.61°C selon NCEP par rapport à la moyenne 1981-2010. C'est bien entendu un record pour un mois d'août puisque le précédent record était pour août 2015 avec 0.48°C (soit 0.13°C en plus). A noter que si l'Arctique s'est quelque peu calmé avec 1.1°C (tout étant relatif), l'Antarctique a surchauffé avec 3.6°C. On se rappellera que les anomalies de surface ci dessus sont le résultat de modélisations et pas de mesures directes. EDIT: anomalie définitive à 0.60°C Modifié 3 septembre 2016 par meteor ajout Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TreizeVents Posté(e) 6 septembre 2016 Dax (40) Partager Posté(e) 6 septembre 2016 Pour le signalement, la valeur de la basse troposphère par UAHv6 est sortie à +0.44°. Au delà de cette simple valeur mensuelle, la moyenne des 12 derniers mois s'élève donc à +0.496°, nouveau record absolu sur un an battant l'ancienne valeur de 1998 et qui était de +0.483°. Ce que je trouve surtout intéressant (et inquiétant) de constater, c'est qu'en cette fin d'été / début d'automne, on recommence à voir les anomalies chaudes monter en puissance sur l'hémisphère nord. Les anomalies sont souvent moins prononcées dans le grand nord en période estivale qu'en période hivernale, avec une variabilité naturelle bien moindre, et des records de chaleur qui sont également moins prononcés (cf discussion et chiffres déjà avancés ici et sur le topic de suivi de l'Arctique). Pour mémoire, extrait du message que j'avais posté le 22 juin dans ce fil : Citation La question qui peut donc se poser, c'est : est-ce que la baisse relative la haut ces derniers mois découle de l'amorce d'un véritable refroidissement, où c'est seulement piloté par un effet saisonnier, un peu comme une baisse du plafond des possibles ? Oui, certes, en brut de brut on peut se dire ça baisse et c'est tout ce qui compte. Pas entièrement faux. Mais si cela baisse uniquement par effet de lissage saisonnier, le corollaire c'est que rien ne nous dit que cela ne repartira pas dès que cet effet saisonnier s'estompera à l'automne, peut importe ce que fera ou non la Niña. Il se trouve que depuis plusieurs jours, les sorties de GFS/GEFS appréhendent une hausse sensible des anomalies surtout dans la moitié nord de notre hémisphère, avec des valeurs modélisées remontant à des niveaux que nous n'avions plus vu depuis le printemps dernier. Vous pouvez jeter un coup d’œil simple par exemple sur le site du climate reanalyzer : après les sages valeurs de cet été (type le +1,1° de moyenne sur le mois d'août) les anomalies prévues en Arctique repartent à la hausse avec des valeurs déjà de l'ordre de +1,8°/+2,0° actuellement et atteignant durablement les +2,2/+2,5° d'ici quelques jours. Au niveau global, sans El Niño pour forcer les régions tropicales, les valeurs de l'automne / hiver / printemps dernier ne devraient heureusement pas être inquiétées. Mais je ne serais pas surpris de voir surgir dans les prochaines semaines ou mois des pics d'anomalies chaudes extrêmement intenses dans l'hémisphère nord et surtout en Arctique. 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 6 septembre 2016 Partager Posté(e) 6 septembre 2016 (modifié) A noter qu'un anticyclone indéboulonnable semble s'être installé en concenrnant une belle partie de l'Arctique et de la Sibérie: Et la moyenne de 40PE semble déjà robuste pour considérer que la situation puisse perdurer, gros blocage, car pour sortir une telle anomalie à partir d'autant de PE, c'est probablement le signe d'une situation déjà bien cerner pour une échéance à 180h Modifié 6 septembre 2016 par sebb Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
CP3 Posté(e) 6 septembre 2016 Vaucluse Partager Posté(e) 6 septembre 2016 Ce qui compte , in fine , pour tenter d' évaluer les anomalies de quantité de chaleur contenus dans l' atmosphère ,ce sont les valeurs d' anomalies de chaleur totale ( Chaleur sensible + Chaleur latente ) contenus .Or les seules valeurs indiqués par un thermomêtre ,ne sont pas suffisantes pour etre representative de la chaleur total , car ces dernières n' indiquent rien au sujet de la chaleur latente . En effet , une anomalie de + 1°c sous les tropiques contient ,par exemple , bcp plus de chaleur latente ( et donc de chaleur totale ) qu' une anomalie de + 1°c aux pôles et en hivers . En TPE ( Chaleur latente + Chaleur sensible ) + 1°c à 25 °c à 70 % d' HR , c' est par exemple autant que + 3 °c à - 25°c . Du coup , lorsque quand dans certains cas, ce sont les anomalies de températures polaires qui tirent fortement vers le haut l' anomalie de température global ,un décalage peut apparaitre entre la representativité de cette anomalie de température ( qui est donc alors une anomalie de température sensible ) , et la véritable quantité d' enrgie thermique contenus dans l' atmosphère . Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
LordRamstein Posté(e) 6 septembre 2016 Partager Posté(e) 6 septembre 2016 Il y a 6 heures, TreizeVents a dit : Pour le signalement, la valeur de la basse troposphère par UAHv6 est sortie à +0.44°. Au delà de cette simple valeur mensuelle, la moyenne des 12 derniers mois s'élève donc à +0.496°, nouveau record absolu sur un an battant l'ancienne valeur de 1998 et qui était de +0.483°. Ce que je trouve surtout intéressant (et inquiétant) de constater, c'est qu'en cette fin d'été / début d'automne, on recommence à voir les anomalies chaudes monter en puissance sur l'hémisphère nord. Les anomalies sont souvent moins prononcées dans le grand nord en période estivale qu'en période hivernale, avec une variabilité naturelle bien moindre, et des records de chaleur qui sont également moins prononcés (cf discussion et chiffres déjà avancés ici et sur le topic de suivi de l'Arctique). Pour mémoire, extrait du message que j'avais posté le 22 juin dans ce fil : Il se trouve que depuis plusieurs jours, les sorties de GFS/GEFS appréhendent une hausse sensible des anomalies surtout dans la moitié nord de notre hémisphère, avec des valeurs modélisées remontant à des niveaux que nous n'avions plus vu depuis le printemps dernier. Vous pouvez jeter un coup d’œil simple par exemple sur le site du climate reanalyzer : après les sages valeurs de cet été (type le +1,1° de moyenne sur le mois d'août) les anomalies prévues en Arctique repartent à la hausse avec des valeurs déjà de l'ordre de +1,8°/+2,0° actuellement et atteignant durablement les +2,2/+2,5° d'ici quelques jours. Au niveau global, sans El Niño pour forcer les régions tropicales, les valeurs de l'automne / hiver / printemps dernier ne devraient heureusement pas être inquiétées. Mais je ne serais pas surpris de voir surgir dans les prochaines semaines ou mois des pics d'anomalies chaudes extrêmement intenses dans l'hémisphère nord et surtout en Arctique. Je me pose deux questions. Qu'est ce qui provoque ses anomalies chaudes et pourquoi dans l'HN (principalement en Arctique) ? C'est à la fois intrigant et effrayant... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
CP3 Posté(e) 10 septembre 2016 Vaucluse Partager Posté(e) 10 septembre 2016 Nouvelle poussée chaude , à l' echelle globale , sur les 10 premiers jours de Septembre , l' éventuel décrochage suite à la Nina ,notamment , ne semble pas amorcer . A voir que les anomalies de SST semblent encore également à un haut niveau , ce qui ne présage donc pas specialement d' une baisse des T °c à 2m dans les prochaines semaines . Du coup sept 2016 pourrait etre à nouveau un mois record , contrairement à Sept 98 , où le decrochage s' était amorcé . En faisant l' hypothese que la moyenne des anomalies des 4 derniers mois de cette année soit équivalente aux 4 derniers mois passés , l' anomalie de la Nasa -Giss pour cette année devrait se situer autours des +0.96 °c au dessus de la moyenne des années 1950 à 1980 , soit environ +0.10 °c de plus que le record de l' année dernière . Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
th38 Posté(e) 10 septembre 2016 Partager Posté(e) 10 septembre 2016 (modifié) Le 10/09/2016 à 21:40, CP3 a dit : Nouvelle poussée chaude , à l' echelle globale , sur les 10 premiers jours de Septembre , l' éventuel décrochage suite à la Nina ,notamment , ne semble pas amorcer . A voir que les anomalies de SST semblent encore également à un haut niveau , ce qui ne présage donc pas specialement d' une baisse des T °c à 2m dans les prochaines semaines . Du coup sept 2016 pourrait etre à nouveau un mois record , contrairement à Sept 98 , où le decrochage s' était amorcé . En faisant l' hypothese que la moyenne des anomalies des 4 derniers mois de cette année soit équivalente aux 4 derniers mois passés , l' anomalie de la Nasa -Giss pour cette année devrait se situer autours des +0.96 °c au dessus de la moyenne des années 1950 à 1980 , soit environ +0.10 °c de plus que le record de l' année dernière . Oui, comme expliqué déjà par d'autres, la fin du El Nino n'amène pas une retombée de la fièvre. Il y a de la chaleur à revendre qui est rendue 2015 était une année record ; il n'aura pas tenu longtemps car il est quasi impossible maintenant que 2016 ne soit pas sur la plus haute marche du podium. Il est loin le hiatus... Modifié 28 septembre 2016 par th38 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sirius Posté(e) 10 septembre 2016 Haut Doubs Auteur Partager Posté(e) 10 septembre 2016 Bah non, il commence en 2017, non? 5 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
LordRamstein Posté(e) 11 septembre 2016 Partager Posté(e) 11 septembre 2016 (modifié) A effacer Modifié 12 septembre 2016 par LordRamstein Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 11 septembre 2016 Brest Partager Posté(e) 11 septembre 2016 (modifié) ... Modifié 11 septembre 2016 par Cotissois 31 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 12 septembre 2016 Partager Posté(e) 12 septembre 2016 (modifié) Encore un mois record, ici sur le GISS pour août 2016 : Modifié 12 septembre 2016 par Higurashi 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 12 septembre 2016 Brest Partager Posté(e) 12 septembre 2016 2016 est probablement un pic chaud sur une tendance croissante, ce qui crée un record très net. On ne peut pas appeler cela une surprise, mais au lieu de consacrer bien trop de temps et d'énergie sur un pseudo hiatus, on aurait sans doute pu bien mieux utiliser ces 10 dernières années dans un contexte où on n'est pas du tout en avance sur le double objectif : mitigation+adaptation. Il faudra prendre un gros remontant et une bonne respiration avant de télécharger la courbe de 2016 quand elle sortira début 2017. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
CP3 Posté(e) 12 septembre 2016 Vaucluse Partager Posté(e) 12 septembre 2016 Impressionant ce nouveau record ! Surtout que , pour ce premier tiers de mois de septembre , les ano ne semblent pas trop diminuer . Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 12 septembre 2016 Partager Posté(e) 12 septembre 2016 (modifié) Avec l'ENSO tel qu'il est "programmé" (moyenne des modèles) çà ne peut pas descendre très vite cette anomalie globale. D'après mes simulations "maison" voici comment devrait évoluer l'anomalie en 2016: août : 0.67+-0.20°C (on est à 0.60°C) septembre: 0.66+-0.20°C octobre: 0.64+-0.20°C novembre:0.63+-0.20°C décembre: 0.61+-0.20°C j'ai considéré une incertitude de 1.5 fois l'écart-type. Cela ferait une anomalie annuelle de 0.70+-0.15°C, un record évidemment, mais qui peut encore en douter. NB: anomalies par rapport à 1981-2010 Modifié 12 septembre 2016 par meteor Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 20 septembre 2016 Partager Posté(e) 20 septembre 2016 Anomalies notables à l'échelle mondiale pour ce mois d'août 2016 : @NOAA Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
CP3 Posté(e) 21 septembre 2016 Vaucluse Partager Posté(e) 21 septembre 2016 Le 12/09/2016 à 22:26, meteor a dit : Avec l'ENSO tel qu'il est "programmé" (moyenne des modèles) çà ne peut pas descendre très vite cette anomalie globale. D'après mes simulations "maison" voici comment devrait évoluer l'anomalie en 2016: août : 0.67+-0.20°C (on est à 0.60°C) septembre: 0.66+-0.20°C octobre: 0.64+-0.20°C novembre:0.63+-0.20°C décembre: 0.61+-0.20°C j'ai considéré une incertitude de 1.5 fois l'écart-type. Cela ferait une anomalie annuelle de 0.70+-0.15°C, un record évidemment, mais qui peut encore en douter. NB: anomalies par rapport à 1981-2010 La chaleur issus de la puissante phase d' enso positif du début de cette année ne se serait elle pas dissipée ? En tous cas,à 3 mois de la fin de l' année, les anomalies de SST semblent avoir amorcé une légère hausse ces dernières semaines , et les anomalies de T°c à 2m ne semblent tjrs pas diminuer . Si cela continue l' anomalies global de T°c pour 2016 ,pourrait etre presque irréaliste . Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 21 septembre 2016 Partager Posté(e) 21 septembre 2016 http://variable-variability.blogspot.fr/2016/09/global-warming.html 7 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 23 septembre 2016 Partager Posté(e) 23 septembre 2016 Etude intéressante sur la dynamique et l'évolution attendue du storm-track en climat plus chaud : http://www.nature.com/ngeo/journal/v9/n9/abs/ngeo2783.html L'étude, après avoir résumé la dynamique du courant perturbé des moyennes latitudes, met en évidence la difficulté de la question. Le changement de trajectoire des dépressions à nos latitudes est dépendant de plusieurs facteurs qui ont tendance à s'opposer entre eux (et variant suivant la saison). Un défi de la prévision climatique sera donc de quantifier précisément le poids respectif des différents processus pour mieux cerner le changement attendu. Les résultats actuels avancés par l'étude pour le secteur nord-atlantique se résument à : During winter ,over the Atlantic basin, the most robust changes are over western Europe, where storm track activity is projected to increase, accompanied by a stationary high pressure response over the Mediterranean and a considerable reduction in Mediterranean storm track activity. Pendant l'hiver, sur le bassin de l'Atlantique, les changements les plus robustes se situe au niveau de l'Europe occidentale, où l'activité dépressionnaire devrait augmenter, accompagnée d'une anomalie anticyclonique sur le bassin Méditerranéen associée à une réduction considérable de l'activité dépressionnaire en méditerranée. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
crazyfroggy Posté(e) 27 septembre 2016 Partager Posté(e) 27 septembre 2016 Le 10/9/2016 à 21:53, th38 a dit : 2015 était une année record ; il n'aura pas tenu longtemps car il est quasi impossible maintenant que 2006 ne soit pas sur la plus haute marche du podium. Il est loin le hiatus... C'est vrai que c'est loin, et je ne me remémore plus les détails. Tu peux rappeler quel phénomène était à l’œuvre, pour l'expliquer ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
CP3 Posté(e) 28 septembre 2016 Vaucluse Partager Posté(e) 28 septembre 2016 Le phénomène marquant voir presque subjuguant , ce n' est pas tant ce Nino désormais terminé , mais cette hausse surprise et plutôt très surprenante des ano de temperature globale depuis 3 ans . Il s' agit probablement d' un nouveau pallier , comme en 98 , avec une poussée plus forte qu' en 98 ( c' est à dire record ) . Les quelques années à venir pourraient bien le montrer . 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 29 septembre 2016 Partager Posté(e) 29 septembre 2016 2016 sera donc l'année où le taux de CO2 aura définitivement dépassé le seuil symbolique des 400 ppm : http://www.climatecentral.org/news/world-passes-400-ppm-threshold-permanently-20738 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
williams Posté(e) 29 septembre 2016 Partager Posté(e) 29 septembre 2016 Il faut voir que c'est plutôt depuis avril 2015 que le CO2 a dépassé définitivement les 400 PPM suivant ce graphique. On dirait bien qu'en 2016 le CO2 a augmenté plus rapidement que les autres années ne pensez-vous pas que cette accélération cette année est du au El Nino où plus précisément à la température élevée sur Terre ?? Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 29 septembre 2016 Partager Posté(e) 29 septembre 2016 (modifié) il y a 41 minutes, williams a dit : Il faut voir que c'est plutôt depuis avril 2015 que le CO2 a dépassé définitivement les 400 PPM suivant ce graphique. L'année 2015 avait encore titillé des valeurs sous les 400 ppm, de ce côté l'année 2016 marque vraiment le pas. Après c'est plus symbolique qu'autre chose, y'a pas de différence substantielle entre 399 et 401 de toute manière. il y a 41 minutes, williams a dit : On dirait bien qu'en 2016 le CO2 a augmenté plus rapidement que les autres années ne pensez-vous pas que cette accélération cette année est du au El Nino Il y'a un impact en effet, les événements El nino/La nina modifient un peu les échanges de CO2 avec l'atmosphère via la modification du cycle hydrologique autour des tropiques par exemple. Modifié 29 septembre 2016 par Higurashi Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 30 septembre 2016 Partager Posté(e) 30 septembre 2016 Décidément les mois se suivent et se ressemblent. Au 28 de ce mois, l'anomalie globale selon NCEP pour septembre, est de 0.67°C par rapport à 1981-2010. C'est un record évidemment. Bon la seule satisfaction, personnelle, que j'éprouve, est que c'est en phase avec ma prédiction de 0.66 + 0.20°C que je donnais quelques posts plus hauts. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 2 octobre 2016 Partager Posté(e) 2 octobre 2016 Voir cette étude sur les trends d'eau précipitable. Entre 1979 et 2014, cela me semble à première vue de faibles valeurs., ne correspondant pas aux trends de température globale de surface, un peu plus, mais pas complètement non plus, aux trends de température troposphérique satellitaire. La valeur moyenne correspond à 0.45%/décennie, alors que les valeurs signalées dans l'AR4 étaient de 1.2%/décennie (sur océans et sur une période plus courte). Voir quelques développements ici. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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