Nanuq Posté(e) 14 novembre 2017 Partager Posté(e) 14 novembre 2017 (modifié) il y a 43 minutes, sirius a dit : Oui, enfin, bon: les températures satellitaires, ce sont les températures de la basse atmopshère y compris au dessus des océans , là où les température CRU , GISS etc sont des températures de surface Bonjour Sirius, Comme le dit 13V puis Sebb: Le 10/11/2017 à 15:37, TreizeVents a dit : Sur les données de la basse troposphère (UAH), le record pour un mois d'octobre a été pulvérisé avec +0.63° en 2017. Je n'ai pas vraiment pris le temps de regarder plus en amont, mais j'ai du mal à comprendre d'où peut provenir une surchauffe aussi inédite sur les relevés satellites pourtant en pleine séquence ENSO- ? Nous sommes en ENSO- . La question est, pourquoi les modèles satellitaire sont plus chauds que les modèles de surfaces. C'est le contraire normalement. Roy Spencer fait du bon travail, je ne pense pas que cela provienne de dérive, surchauffe, problème de mesures de données satellitaire ou d'un quelconque complot! J'ai essayé de trouver une réponse en scrutant un bon nombres de données pour l'activité cyclonique (ACE) pour trouver une corrélation avec les données satellitaires passées sans succès. L'activité cyclonique ne change pas grand chose dans la basse atmosphère, elle change les SST sur une courte durée de temps. C'est la raison pour laquelle, je pense que l'AAO peut avoir un effet sur les différence entre modèles de surface et le jeux de données UAH et RSS. C'est mon avis, je suis ouvert au débat. Cordialement, Nanuq. Modifié 14 novembre 2017 par Nanuq Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 14 novembre 2017 Partager Posté(e) 14 novembre 2017 Il y a 2 heures, Nanuq a dit : Pour UAH, l'anomalie pour le pôle sud est passée de -0,76 en septembre à +1,09 en octobre pour un changement total de 1,85. Nanuq Il me semble que septembre était également un record sur la base rss. Sur la table rss, il est indiqué que les données concerne l'intervalle -70/82.5 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanuq Posté(e) 15 novembre 2017 Partager Posté(e) 15 novembre 2017 (modifié) Il y a 20 heures, sebb a dit : Il me semble que septembre était également un record sur la base rss. Sur la table rss, il est indiqué que les données concerne l'intervalle -70/82.5 Salut Sebb et merci pour ton com. C'est exact pour le graphique de Moyhu que j'ai posté. Le signal sur le graphique RSS de basse tropo est bien de -70/82.5 pour les données globales. En reprenant le signal TLT de RSS pour -60/-70 ( uniquement l' antarctique) de septembre à octobre, on passe de 0.114 à 0.671 en TLT. http://data.remss.com/msu/monthly_time_series/RSS_Monthly_MSU_AMSU_Channel_TLT_Anomalies_Land_and_Ocean_v03_3.txt Pour le graphique de Moyhu on remarque que le signal RSS , pour les mesures satellitaires globale, à commencer à augmenter en juin 2017: Les données RSS TLT (basse troposphère) de juin à octobre pour -70/-60 (rectangle rouge) . C'est un bon d'un degré, seulement sur l'Antarctique.. J'ai regardé un peu plus haut, à TMT, toujours pour RSS . Les données sont plus large -85,5 / -60 (contre -70/-60 en TLT) pour les mesure sur l'antarctique. Le bon en septembre octobre passe de 0.061 à 1.488 . C'est beaucoup plus marqué qu'en TLT. En prenant les données pour l'hémisphère Sud (-85.5/-60), on passe de -1,321 en août à + 1,488 en octobre pour l'antarctique uniquement. http://data.remss.com/msu/monthly_time_series/RSS_Monthly_MSU_AMSU_Channel_TMT_Anomalies_Land_and_Ocean_v03_3.txt Pour le signal TTT de RSS -85.5 à -60, le bon est de -0.101 en septembre à 1.590 fin octobre. Lui aussi est beaucoup plus marqué qu'en TLT. En reprenant le signal TTT depuis août 2017, toujours pour l'antarctique, on passe de -1,222 à +1,560 en octobre 2017. http://data.remss.com/msu/monthly_time_series/RSS_Monthly_MSU_AMSU_Channel_TTT_Anomalies_Land_and_Ocean_v04_0.txt Ce que je remarque c'est qu'en prenant un signal plus haut et un peu plus large pour RSS (-85,5/-60 contre -60/-70), les anomalies chaudes sur l'Antarctique semblent plus prononcées que sur le reste du globe. Pour le signal UAH en TLT, il est prit de -90 à -0 ce qui explique, selon moi la différence entre les données RSS et UAH pour la TLT. Les données UAH sont plus parlantes parce qu'elles sont plus détaillées. Les données pour le continent Antarctique sans les océans depuis juin 2017. C'est la valeur la plus élevées de toutes les meures satellitaire. https://www.nsstc.uah.edu/data/msu/v6.0/tlt/uahncdc_lt_6.0.txt Pour le signal TMT de UAH, il s'arrête en août et c'est l'ancienne version 5.6. J'ai prit les références de septembre et d'octobre puis de juin à octobre pour les deux modèles (RSS et UAH). Ils se sont éloignés des mesures terrestre depuis juillet 2017 environ. J'ai essayé de comprendre pourquoi il y avait un tel écart entre les données terrestres et satellitaire. La seule explication que j'ai put trouver est celle des anomalies chaudes en Antarctique. Les données terrestre (GHCN) sont trop lissées par manque de stations. C'est la différences, selon moi, entre les modèles sur le très court terme. Toutes les données sont disponible gratuitement sur le site de Moyhu: https://moyhu.blogspot.ch/p/latest-ice-and-temperature-data.html Nanuq Modifié 15 novembre 2017 par Nanuq Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 15 novembre 2017 Partager Posté(e) 15 novembre 2017 (modifié) Pour les passionnés et amateurs de dynamique atmosphérique : http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/2017GL075483/full Cet article synthétise et résume la variabilité atmosphérique sur des échelles de temps allant de quelques secondes à des décennies grâce à un inventaire phénoménologique. Nous nous concentrons principalement sur la variabilité non-forcée dans la troposphère, la stratosphère et la mésosphère. En plus des modes de variabilité purement atmosphériques, notre étude comprend également des modes couplés, dans lesquels l'atmosphère interagit avec les autres composantes du système terrestre, telles que l'océan, l'hydrosphère et la cryosphère. Les sujets abordés comprennent : la turbulence sur des échelles de temps des secondes à la minute, les ondes de gravité sur des échelles de temps de quelques heures, les systèmes météorologiques associés aux échelles de temps de plusieurs jours, les blocage atmosphérique sur des échelles de temps de l'ordre de la semaine, l'oscillation de Madden-Julian aux échelles de temps mensuelles, la QBO et l'ENSO aux échelles de temps annuelles et la NAO, l'AO, l'AAO, la PDO et l'AMO sur des échelles de temps allant jusqu'à plusieurs décennies. Ce document sert d'introduction à une édition spéciale de Geophysical Research Letters sur la variabilité atmosphérique. Modifié 15 novembre 2017 par Higurashi Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 17 novembre 2017 Partager Posté(e) 17 novembre 2017 Octobre 2017 en seconde position des mois d'octobre les plus chauds chez le GISS (quasi ex-æquo avec 2016). 1- oct 2015 : +1,08 °C, 2- oct 2017 : +0,90 °C, 3- oct 2016 : +0,89 °C (anomalies par rapport à 51/80). https://twitter.com/EKMeteo/status/931333456184868864 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
MidiPy Posté(e) 17 novembre 2017 Lavaur (81) Partager Posté(e) 17 novembre 2017 Il y a 5 heures, Higurashi a dit : Octobre 2017 en seconde position des mois d'octobre les plus chauds chez le GISS (quasi ex-æquo avec 2016). 1- oct 2015 : +1,08 °C, 2- oct 2017 : +0,90 °C, 3- oct 2016 : +0,89 °C (anomalies par rapport à 51/80). https://twitter.com/EKMeteo/status/931333456184868864 Question certainement toute bête : Pourquoi ont-ils choisi la période 51/80 comme référence et pas 81/2010 ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 17 novembre 2017 Partager Posté(e) 17 novembre 2017 (modifié) il y a 47 minutes, MidiPyrGeo a dit : Question certainement toute bête : Pourquoi ont-ils choisi la période 51/80 comme référence et pas 81/2010 ? La réponse est donnée sur le site du GISS, donc je la retranscris ici. Q. Pourquoi le GISS utilise la période de référence 51/80 ? R. L'objectif principal des analyses du GISS concerne les changements de température à long terme, sur plusieurs décennies à plusieurs siècles et une période de référence fixe rend les anomalies cohérentes au fil du temps. Cependant, les organismes qui sont plus axés sur les conditions météorologiques travaillent sur des périodes de plusieurs jours, semaines ou au plus, quelques années. Dans cette situation, il est logique de déplacer occasionnellement la période de référence, c'est-à-dire de choisir une nouvelle "norme" de sorte qu'environ la moitié des données d'intérêt est supérieure à la normale et l'autre inférieure. Précision également : sur le site on peut la modifier pour calculer les anomalies par rapport à n'importe quelle période. Et, bien évidemment, le choix de la période de référence ne modifie pas le classement. Modifié 17 novembre 2017 par Higurashi 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elurra Posté(e) 17 novembre 2017 Fontaines 89 Partager Posté(e) 17 novembre 2017 En tous cas la rėfèrence 51/80 ouvre les yeux sur les dégâts du rca...le bleu est voie d'extinction sur cette période d'avant l'emballement 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 17 novembre 2017 Partager Posté(e) 17 novembre 2017 A la mi-novembre l'anomalie globale, selon NCEP (81-10), est de 0.49°C, en baisse donc par rapport à octobre. Pour l'anecdote, l'hémisphère sud était en négatif (Oh, très légèrement) le 15 de ce mois, c'est pas souvent! Sans les pôles, l'anomalie est de 0.32°C. Les tropiques sont quant à eux à 0.12°C seulement. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 17 novembre 2017 Partager Posté(e) 17 novembre 2017 Clairement, ce n'est pas extraordinaire, mais suffisant pour montrer que la machine climatique n'est pas hors de contrôle et réagit encore à une niña. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
serge26 Posté(e) 18 novembre 2017 Pierrelatte (confluent 26/07/30/84) - et Saint Palais sur mer (17) occasionnellement Partager Posté(e) 18 novembre 2017 Oui, enfin, çà c'est à confirmer les prochains mois Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 18 novembre 2017 Partager Posté(e) 18 novembre 2017 Pour la NOAA, octobre 2017, avec 0.73°C d'anomalie (/1901-2000), arrive en 4ème position derrière 2015 (1.0°C), 2014 (0.79°C), 2016 (0.74°C). Côté terres, avec 0.99°C, il est en 11ème position, côté SST avec 0.63°C il arrive en 4ème position. Tout cela, comme on l'a déjà dit avec NCEP et GISS, reste bien chaud tout de même... A noter que, si on en croît GFS, ça risque de remonter en 2ème moitié de novembre. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
CP3 Posté(e) 18 novembre 2017 Vaucluse Partager Posté(e) 18 novembre 2017 A signaler ou à rappeler que la Noaa qui a pourtant autorité pour analyser les anomalies de température global , ne prend en pas compte dans ces données les régions polaires .D' où forcément ,la plupart du temps,un biais vers le bas , surtout si cet organisme affirme communiquer la moyenne des anomalies de la température globale ( c' est à dire sur l' integrité du globe ) . Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 18 novembre 2017 Partager Posté(e) 18 novembre 2017 (modifié) Il y a 1 heure, CP3 a dit : A signaler ou à rappeler que la Noaa qui a pourtant autorité pour analyser les anomalies de température global , ne prend en pas compte dans ces données les régions polaires .D' où forcément ,la plupart du temps,un biais vers le bas , surtout si cet organisme affirme communiquer la moyenne des anomalies de la température globale ( c' est à dire sur l' integrité du globe ) . La NOAA, comme Hadley, ne prennent en compte que les mesures. NASA-GISS fait des extrapolations très importantes pour couvrir la presque totalité du globe. En utilisant un rayon d'extrapolation de 1200km, GISS obtient pour ce mois d'octobre, 0.90°C. En utilisant, comme les autres, un rayon de 250km, GISS obtient 0.80°C. La température globale de GISS est donc une température, pour partie, fortement extrapolée. Je ne suis pas sûr qu'elle soit beaucoup plus juste que les autres. Quand on regarde ce que devient l'Antarctique dans l'extrapolation de la NASA, cad que quelques stations feraient qu'une très grosse partie de l'Antarctique passe en rouge foncé et qu'avec le même principe l'Arctique passe en rouge, il y a de quoi, au moins, se poser quelques questions. J'ajoute que si on adoptait ce principe NASA, 113 mesures sur Terre seraient suffisantes pour donner la température globale. Par exemple une seule station pourrait donner la température de l'ensemble France, Espagne Italie, y compris les SST. Pourquoi pas, mais c'est imprécis. Modifié 18 novembre 2017 par meteor Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 18 novembre 2017 Brest Partager Posté(e) 18 novembre 2017 Roy Spencer fait du bon travail, je ne pense pas que cela provienne de dérive, surchauffe, problème de mesures de données satellitaire ou d'un quelconque complot! Demandez à Mr Spencer : 1) les barres d'incertitude, montrant la précision réelle de l'algorithme. 2) les rapports quotidiens sur la disponibilité des mesures satellite. Avec un produit satellite, il n'est pas rare que le produit continue à fonctionner même avec des données insuffisantes en entrée. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 18 novembre 2017 Brest Partager Posté(e) 18 novembre 2017 (modifié) Citation A noter que, si on en croît GFS, ça risque de remonter en 2ème moitié de novembre. GFS est un modèle à température de la mer et banquise bloquées depuis l'instant zéro. D'où viendrait l'oscillation de température globale dans GFS ? Uniquement la neige et les nuages, non ? Modifié 18 novembre 2017 par Cotissois 31 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 18 novembre 2017 Partager Posté(e) 18 novembre 2017 il y a 8 minutes, meteor a dit : Je ne suis pas sûr qu'elle soit beaucoup plus juste que les autres. Il me semble qu'il y'a quand même une évaluation de l'apport de cette extrapolation sur leur site ou au travers d'autres documents dans la littérature. Elle donnerait de meilleurs résultats (une valeur ajoutée) que de ne rien faire et laisser des trous. Les anomalies ont une certaine corrélation spatiale qu'on peut exploiter. On a également les réanalyses qui conduisent en général à un assez bon accord avec les anomalies du GISS. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 18 novembre 2017 Partager Posté(e) 18 novembre 2017 (modifié) il y a 33 minutes, Higurashi a dit : Il me semble qu'il y'a quand même une évaluation de l'apport de cette extrapolation sur leur site ou au travers d'autres documents dans la littérature. Elle donnerait de meilleurs résultats (une valeur ajoutée) que de ne rien faire et laisser des trous. Les anomalies ont une certaine corrélation spatiale qu'on peut exploiter. On a également les réanalyses qui conduisent en général à un assez bon accord avec les anomalies du GISS. J'aimerais une évaluation par un tiers de leur méthode car il est à peu près sûr, qu'ils sont en accord avec eux-mêmes. D'un autre côté, on peut se demander pourquoi les autres ne font pas la même chose, depuis le temps. Une explication? Modifié 18 novembre 2017 par meteor Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 18 novembre 2017 Partager Posté(e) 18 novembre 2017 (modifié) Cowtan and Way, pour septembre 2017, trouvaient une anomalie globale de 0.13°C inférieure à celle de NASA-GISS. Depuis le début 2016 ils sont cependant très proches 0.53°C de moyenne pour NASA et 0.52°C pour C&W. Modifié 18 novembre 2017 par meteor Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 18 novembre 2017 Partager Posté(e) 18 novembre 2017 Le Berkeley Earth utilise aussi une méthode pour combler le manque de données. La vraie question, à mon sens en tout cas, c'est de savoir si les groupes qui pratiquent ces techniques donnent de meilleures estimations que ceux qui ne font rien. Le document de Cowtan&Way apporte d'ailleurs des éléments de réponses pertinents là-dessus. http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/qj.2297/full 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 18 novembre 2017 Partager Posté(e) 18 novembre 2017 il y a 35 minutes, Higurashi a dit : Le Berkeley Earth utilise aussi une méthode pour combler le manque de données. La vraie question, à mon sens en tout cas, c'est de savoir si les groupes qui pratiquent ces techniques donnent de meilleures estimations que ceux qui ne font rien. Le document de Cowtan&Way apporte d'ailleurs des éléments de réponses pertinents là-dessus. http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/qj.2297/full Oui et eux-mêmes écrivent: " The Arctic is likewise the primary source of uncertainty in this work. Further work is needed to address the differing behaviour of the land and ocean domains. The need for a continuous climatology for cells that transform from ice to open ocean presents a significant impediment; however, it may be possible to place bounds on results by assuming constant high and low ice coverage. The Antarctic is the only region in which the kriging and hybrid temperature estimates are noticeably different. Further investigation into the origins of the difference is required. " Il reste donc des incertitudes non négligeables pour les régions polaires. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 18 novembre 2017 Partager Posté(e) 18 novembre 2017 En tous cas, voilà une carte des anomalies qu'on aimerait bien rencontrer plus souvent: L'anomalie globale serait de 0.13°C et l'HS serait à -0.10°C! S'il n'y avait pas l'Arctique (1.68°C) on serait à 0.06°C d'anomalie. Bon, que les amateurs d'emballement se rassurent, çà va pas durer! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 18 novembre 2017 Partager Posté(e) 18 novembre 2017 il y a 13 minutes, meteor a dit : Il reste donc des incertitudes non négligeables pour les régions polaires. Ah ben ça de toute manière, je pense que ça ne surprendra personne. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 18 novembre 2017 Partager Posté(e) 18 novembre 2017 il y a 52 minutes, Higurashi a dit : Ah ben ça de toute manière, je pense que ça ne surprendra personne. Ah ben alors, si çà ne surprendra personne, pourquoi donc prétendre que ce sont les régions polaires qui font la différence? Bon ceci dit, je crois bien que les régions polaires, surtout l'Arctique, font une partie de la différence. Il y a quand même certaines mesures satellitaires qui vont dans ce sens, même si leur précision dans ces régions est encore plus faible qu'ailleurs (voir les réticences de RSS à ce sujet) Quant à la quantification, c'est incertain, donc je ferme le ban, pour ma part. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 18 novembre 2017 Brest Partager Posté(e) 18 novembre 2017 (modifié) Il y a 1 heure, meteor a dit : Il reste donc des incertitudes non négligeables pour les régions polaires. Cela se voit très bien sur les barres d'incertitudes, lesquelles illustrent entre autres la capacité à mesurer une température réellement globale à la double décimale. Mais pour trouver les barres d'incertitude.... Modifié 18 novembre 2017 par Cotissois 31 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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