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Sommet climat Paris 2015


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Dans le domaine des nouvelles pas du tout rassurantes (Etude majeure de l'INRAE parue dans Nature le 16 Avril ) 

https://www.actu-environnement.com/ae/news/foret-inrae-rechauffement-climatique-adaptation-35351.php4

 

A la lumière de cette découverte, les chercheurs proposent un modèle pour prédire l'effet du changement climatique sur la vulnérabilité des forêts. Contrairement aux modèles existants, il intègre la perte d'eau au niveau de la cuticule des feuilles des arbres, un paramètre non négligeable qui accroit la mortalité prédite, en particulier en période de canicule. « Les prédictions de ce modèle confirment une situation alarmante : si les arbres de nos forêts sont adaptés pour résister aux sécheresses qu'ils subissent depuis des millénaires, ils ne sont pas armés pour survivre à un changement climatique majeur », s'inquiètent les scientifiques. Trois scénarios sont alors envisageables pour les arbres de nos forêts. "

[...]

« Bien que les forêts montrent des capacités naturelles d'adaptation, elles restent donc très limitées. On peut craindre un impact massif du changement climatique sur la stabilité et la productivité des forêts, ce qui réduirait d'autant plus leur rôle majeur dans le stockage du CO2 », conclut l'Inrae.

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Je ne sais pas si les propositions énoncées sont réalistes et correspondent à la réalité, mais j'ai trouvé le genre visuel particulièrement intéressant :         C'est d

Je viens de lire que la centrale de Gardanne (propriété d'Uniper et ex E.ON*) est en vente par l'intermédiaire de la banque Rothschild, centrale dont la tranche V doit être fermée en 2022. *E.ON

Ça se fissure déjà de partout dans le monde, que ce soit au niveau du climat, économique, social, démographique, de l'environnement, alimentaire,religieux  et politique; donc  que le plan B (encore fû

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Gambais (78) - Altitude : 100 m et Guyancourt (78) pour le travail
Il y a 4 heures, Martini a dit :

Est ce que cette stabilité des prix à la pompe ne viendrait pas du fait que l'on en consomme peu? Les prix évoluent lorsque la cuve est de nouveau remplie mais en ce moment les remplissages sont très espacés. 1.16 le gazoil et 1.18 le 95E10 ici. C'est 0.02€ de moins qu'il y a trois semaines lorsque je suis rentré.

Cela joue effectivement, mais sur une période aussi longue, on devrait tout de même voir la baisse s'amorcer, le gazoil la semaine dernière était encore à 1,3 € chez moi (et pas chez une station chère habituellement), à 1,16€, cela me paraît plus correct.

Si l'on compare le prix actuel avec celui de fin 2015, on voit que pour le moment on est au-dessus à la pompe de 0,2 € pour un prix du baril encore plus bas, ce qui se traduit sur un plein d'une berline par le fait que l'on paye 14€ de plus qu'à l'époque, tout ceci ne serait pas dérangeant si les salaires avaient évolué de la même manière ...

 

carburants.thumb.PNG.e11bae1033f47bbe5df64ecc91b5308d.PNG

 

 

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Laussonne 43150 (930m)
Il y a 23 heures, Ralala78 a dit :

 

Prix du Brent: Moi, je regarde celui-ci en général, je suppose que c'est à partir de ce dernier que découle le prix à la pompe après traitement et taxes

oui le cours du Brent est bien plus représentatif des échanges mondiaux sur la durée, le WTI a lui le cours purement théorique d'un produit spécifiquement financier, le contrat futur du WTI du mois de mai arrive à échéance aujourd'hui et ceux qui s'étaient placés pour un achat avant cette date se sont rendus compte que leur proposition d'achat était intenable….

"La valeur du baril de pétrole coté à New York WTI pour livraison en mai a chuté lundi en dessous de zéro à la fin d’une séance infernale, les investisseurs cherchant désespérément à se débarrasser de certains barils dans un marché saturé. Un phénomène qui est venu se combiner avec la chute brutale de la demande à cause de la paralysie économique provoquée par la pandémie. C’est "sans précédent" et "complètement irréel", remarque Louise Dickson, spécialiste du marché pétrolier.

Le contrat de WTI pour livraison en mai expirant mardi à la clôture, ceux qui en détiennent doivent en effet trouver au plus vite des acheteurs physiques. Mais comme les stocks ont déjà énormément gonflé aux Etats-Unis ces dernières semaines, ils ont été contraints non seulement de brader leurs prix pour les convaincre de se saisir de leurs barils, mais de les rémunérer pour le faire. "Et ils ont payé cher" "

EDIT

Aujourd'hui WTI et Brent font un pas l'un vers l'autre: Brent - 23.35% à 19.6$ et WTI +313% à 15$ 

Il y a 23 heures, Bruno 49 a dit :

Celui là est hélas le bon mais il ne baisse plus tellement sur les dernières semaines, ça ne changera pas trop le prix à la pompe il faudrait aussi que le dollar dégringole. 

Moi ce qui m'inquiète avec le prix négatif, c'est que ça ressemble un peu trop à un tsunami; d'abord la mer se retire anormalement loin; ensuite...

je suis bien d'accord Bruno, même si le short squeeze d'hier subit par quelques investisseurs imprudents est inédit et incongru ça ne sent pas bon du tout et je ne vois pas les prix remonter en flèche et durablement.

Les contrats sur les mois à venir se situent certes pour l'instant autour de 20/25$ voire 30$ mais qu'en sera t-il à l'approche des échéances ?

Hier soir Trump a dit qu'il va ajouter et payer en urgence 75 millions de barils de plus dans les réserves stratégiques des US et se dit prêt à ouvrir à des tiers (moyennant rémunération) une autorisation pour des stockages supplémentaires; on comprend donc sa hâte de voir l'économie américaine redémarrer, les américains ont déjà payé cher leur indépendance vis à vis du pétrole conventionnel et tout bien pesé avec ces dernières annonces de Trump  je ne les vois pas du coup lâcher si facilement les compagnies exploitant les pétrole/gaz de schistes , ça va leur coûter cher, très cher encore;  mais j'ai l'impression que leur souhait d'indépendance énergétique va prendre le pas sur tout autre considération économique.

Mais surtout si Donald rempile, à terme  ça va mettre un sacré coup aux énergies renouvelables que sont solaire, éolienne ou biocarburant.

 

Egalement de l'avis de l'avis de @bernardt60 concernant l'après Covid.

Le monde d'après sera différent car des relocalisations sont d'ores et déjà devenues vitales et indispensables et les habitudes prisent par les confinés risquent de perdurer: on ne fera plus les courses 2/3 fois la semaine, les achats locaux vont se multiplier, les vacances aux quatre coins du globe seront remises en question, le télétravail restera une option prioritaire que saisiront nombre de salariés, la découverte de  modes de déplacement  respectant distanciation et économie d'énergie va s'imposer pour certains…..

Bref, on est loin d'être sortis de cette m...e et les bonnes habitudes prises pendant ce long temps de confinement, j'ose l'espérer, non seulement survivront mais se développeront 

Modifié par bill07
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Beauvoir (Manche/Mt st Michel
Il y a 3 heures, bill07 a dit :

Egalement de l'avis de l'avis de @bernardt60 concernant l'après Covid.

Le monde d'après sera différent car des relocalisations sont d'ores et déjà devenues vitales et indispensables et les habitudes prisent par les confinés risquent de perdurer: on ne fera plus les courses 2/3 fois la semaine, les achats locaux vont se multiplier, les vacances aux quatre coins du globe seront remises en question, le télétravail restera une option prioritaire que saisiront nombre de salariés, la découverte de  modes de déplacement  respectant distanciation et économie d'énergie va s'imposer pour certains…..

Bref, on est loin d'être sortis de cette m...e et les bonnes habitudes prisent pendant ce long temps de confinement, j'ose l'espérer, non seulement survivront mais se développeront 

J'ai un gros doute quand même, historiquement on a toujours vu le contraire, une orgie de récupération. 

Et puis (dialogue issu du monde.fr entre Nadil Wakim, journaliste spécialiste d'énergie, et un lecteur) :

Bonjour ! Je ne comprend pas pourquoi Bruno Le Maire a dit que la chute du pétrole constituait un risque pour la transition énergétique ? C'est plutôt le contraire non ? Ou y a t'il une logique qui m'échappe ?

-Menfin
Bonjour Menfin, un prix bas, c'est le risque que le pétrole reste beaucoup plus compétitif que les autres énergies, notamment celles qui n'émettent pas de CO2. Avec un pétrole peu cher, pourquoi financier le développement des véhicules électriques, par exemple ? Surtout que les Etats risquent de ressortir très affaiblis des semaines de confinement et pourraient être tentés de miser sur une relance dite "grise" qui s'appuie sur la relance de secteurs très émetteurs en CO2, comme l'automobile ou le secteur aérien. 
 
pétrole bas : politique énergétique laxiste, pétrole revenant rapidement haut : signe qu'on a relancé à fond. Quand j'évoque un tsunami, je pense surtout à ça, on perd sur les deux tableaux consécutivement prix bas, puis prix hauts consécutifs à une relance traditionnelle favorisée par les prix bas. 
Et puis il va falloir ramasser des impôts avec les ravins budgétaires en cours de creusement ;or si on veut récupérer la TIPP, développer un maximum la relance de la consommation d'hydrocarbures est tout bénéfice, même si pour la dépendance du pays au pétrole, c'est à bien courte vue.
 
Pour contrer ce courant, on peut rappeler que le renouvelable pour être produit nécessite aussi des dépenses lourdes en pétrole et que c'est le moment d'en profiter pour rentabiliser l'investissement sur le renouvelable. Mais cela supposerait des prix du pétrole bas sur des années, et ça c'est peu vraisemblable. 
 
 

 

Modifié par Bruno 49
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Laussonne 43150 (930m)
il y a une heure, Bruno 49 a dit :

 

pétrole bas : politique énergétique laxiste, pétrole revenant rapidement haut : signe qu'on a relancé à fond. Quand j'évoque un tsunami, je pense surtout à ça, on perd sur les deux tableaux consécutivement prix bas, puis prix hauts consécutifs à une relance traditionnelle favorisée par les prix bas. 

 

ok merci pour la mise au point, j'avais mal interprété l'image du tsunami.

EDIT

Concernant le rebond "orgiaque"  j'ai également de gros doutes….

Modifié par bill07
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il y a une heure, Bruno 49 a dit :

J'ai un gros doute quand même, historiquement on a toujours vu le contraire, une orgie de récupération. 

Et puis (dialogue issu du monde.fr entre Nadil Wakim, journaliste spécialiste d'énergie, et un lecteur) :

Bonjour ! Je ne comprend pas pourquoi Bruno Le Maire a dit que la chute du pétrole constituait un risque pour la transition énergétique ? C'est plutôt le contraire non ? Ou y a t'il une logique qui m'échappe ?

-Menfin
Bonjour Menfin, un prix bas, c'est le risque que le pétrole reste beaucoup plus compétitif que les autres énergies, notamment celles qui n'émettent pas de CO2. Avec un pétrole peu cher, pourquoi financier le développement des véhicules électriques, par exemple ? Surtout que les Etats risquent de ressortir très affaiblis des semaines de confinement et pourraient être tentés de miser sur une relance dite "grise" qui s'appuie sur la relance de secteurs très émetteurs en CO2, comme l'automobile ou le secteur aérien. 
 
pétrole bas : politique énergétique laxiste, pétrole revenant rapidement haut : signe qu'on a relancé à fond. Quand j'évoque un tsunami, je pense surtout à ça, on perd sur les deux tableaux consécutivement prix bas, puis prix hauts consécutifs à une relance traditionnelle favorisée par les prix bas. 
Et puis il va falloir ramasser des impôts avec les ravins budgétaires en cours de creusement ;or si on veut récupérer la TIPP, développer un maximum la relance de la consommation d'hydrocarbures est tout bénéfice, même si pour la dépendance du pays au pétrole, c'est à bien courte vue.
 
Pour contrer ce courant, on peut rappeler que le renouvelable pour être produit nécessite aussi des dépenses lourdes en pétrole et que c'est le moment d'en profiter pour rentabiliser l'investissement sur le renouvelable. Mais cela supposerait des prix du pétrole bas sur des années, et ça c'est peu vraisemblable. 
 
 

 

 

L'orgie de récupération j'ai quand même du mal à l'entrevoir avec la crise actuelle, j'extrais juste ce paragraphe du lien ci-dessous :

 

"La spécificité de cette crise est qu’elle n’est pas la résultante d’un déséquilibre économique ou financier. Si elle paralyse l’activité productive, le choc qui en résulte pour les entreprises va obligatoirement se répercuter sur la demande. L’activité partielle et la montée du chômage jointes à un confinement durable dégradent la consommation. L’incertitude dans laquelle les ménages évoluent du fait de l’épidémie va aussi les amener à adopter des comportements plus prudents, et donc à épargner davantage encore."

 

Et aussi celui-ci :

 

"La crise que nous traversons doit donc être l’occasion de remettre à plat nos habitudes, et plus particulièrement celles de « se nourrir, se déplacer, se loger, travailler, produire, consommer » et à adopter une action respectueuse d’un équilibre entre le climat et l’économie."

 

https://www.forbes.fr/business/sortie-de-crise-6-propositions-pour-un-plan-de-relance-reussi/

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L'onde de choc d'hier soir se propage tel un tsunami..comme évoqué par @Bruno 49.. j'ai le sentiment d'être ce touriste sur une plage de Phuket à observer un spectacle inédit...honnêtement, je n'ai pas les connaissances et les compétences d'un économiste mais en discutant autour de moi ,.. personne n'a fait d'économies, on a fait des courses comme d'hab, achat de croquettes comme d'hab, des plants pour le potager comme prévu.. bref...on fait tourner la boutique...et justement le demi-plein économisé est passé dans des achats alimentaires plus qualitatifs (bio et local =+cher)

Cette crise du pétrole se double de tension géopolitique évidente et d'opportunités pour les blocs de s'affronter ...

" Pas besoin de faire référence à l'aberration historique d'un prix de vente négatif sur un contrat précis pour voir que l'ampleur de la baisse trahit un véritable chaos sur le marché pétrolier. Face à une baisse inédite de la demande et alors que l'offre reste largement surabondante, les raffineries, réservoirs, oléoducs et autres tankers débordent.

Dans ce contexte, l'Arabie Saoudite et les pays membres de l'Opep envisagent de réduire leur production avec effet immédiat, sans attendre le 1er mai comme le prévoyait l'accord historique signé la semaine dernière donc. "Nous ne pouvons pas ne rien faire face à ce bain de sang" a ainsi déclaré un officiel saoudien au Wall Street Journal. Dans le même temps, Donald Trump a annoncé, via Twitter, sa volonté de soutenir massivement le secteur du schiste durement touchés par les prix bas en mettant des fonds à leur disposition. "Je ne suis pas sûr que les Russes, les Saoudiens et l’OPEP, qui ont accepté de faire l’effort de réduire leur production pour rééquilibrer le marché apprécient beaucoup..." prévient Benjamin Louvet, gérant matières premières chez Ofi Asset Management" 

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Beauvoir (Manche/Mt st Michel
Des nouvelles du front parisien dans le confinement de la pollution :
Article de Joël Cossardeaux, dans les Échos
Publié le 21 avr. 2020 à 18h31

Les bienfaits collatéraux du confinement , liés à la qualité de l'air, se confirment. Les rejets de dioxyde d'azote dans l'agglomération parisienne ont diminué depuis un mois, dans une fourchette comprise entre 20 à 25 % selon les semaines, selon un nouveau bulletin publié ce mardi par Airparif, l'organisme surveillant le niveau de pollution de la capitale. La baisse de ces gaz, principalement émis par les transports, atteint même 50 % le long des axes de circulation. Au bord de certaines grandes voies routières, les niveaux observés atteignent parfois ceux observés habituellement dans les parcs !

Cette fourchette encourageante est toutefois un peu moins large que celle (-30 % à -75 %) observée sur la même période par le réseau Atmo France dans les autres villes de l'Hexagone. Elle s'accompagne d'une diminution de 30 % des émissions de CO2, principale substance génératrice des gaz à effet de serre qui réchauffent l'atmosphère.

Tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes si la pollution due aux particules - les PM10 et les PM2,5 dans le jargon des experts - connaissait une baisse de même intensité. Tel n'est pas le cas. En ce qui concerne ces polluants, aux origines multiples et pas seulement locales, « l'impact du confinement est resté moins visible » […] avec des niveaux toujours soutenus certains jours », indique Airparif. Un dépassement du seuil d'information aux particules a même été constaté le 28 mars dernier.

Cette contre-performance tient à l'importance des concentrations de particules dite secondaires. Il s'agit de toutes celles qui se forment à partir des oxydes d'azote provenant du chauffage et de l'ammoniac relâché par l'agriculture. Les substances issues de ce cocktail circulent sur de très longues distances et sont en grande partie responsables de l'alerte du 28 mars dans laquelle les particules primaires, celles dues au trafic routier, n'ont que très peu joué (6 %). Aux particules inorganiques rejetées par l'agriculture et auxquelles 32 % des émissions de PM10 et PM2,5 sont imputables, est venue s'ajouter la douceur printanière du jour qui a amplifié ce processus chimique. La fraîcheur des températures la nuit, qui a entraîné un recours accru du chauffage, notamment au bois, l'a accéléré.

 

Meteor nous avait mis ici en garde contre le chauffage au bois, ça semble se confirmer...

 

Modifié par Bruno 49
syntaxe, et merci à bill07!
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Laussonne 43150 (930m)

@Bruno 49  ceci va dans le sens de tes propos

:o

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/insolite/la-réouverture-dun-mcdonalds-en-plein-confinement-provoque-un-immense-embouteillage/ar-BB131im6?ocid=spartanntp

EDIT

concernant ton message précédent le chauffage en bois, le en était-il ironiquement volontaire ?

Modifié par bill07
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Beauvoir (Manche/Mt st Michel
il y a 18 minutes, bill07 a dit :

@Bruno 49  ceci va dans le sens de tes propos

:o

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/insolite/la-réouverture-dun-mcdonalds-en-plein-confinement-provoque-un-immense-embouteillage/ar-BB131im6?ocid=spartanntp

EDIT

concernant ton message précédent le chauffage en bois, le en était-il ironiquement volontaire ?

J'allais poster sur l'addiction aux drive, merci! l'orgie commence vite...et non, c'est très flatteur merci, mais le chauffage en bois c'est une énormité pas moyen d'y justifier un second degré après coup ; ,deux mois sans cours et me voilà en route vers l'illettrisme. Vite, un Burger!

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Je dois être d'une autre planète moi pour ne pas comprendre comment on est capable de faire 3 heures de queue pour se bouffer un burger! :ph34r:

 

 

 

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Je replace ce lien que je pense être toujours pérenne.

http://labs.itk.fr/2020/03/29/pic-de-pollution-en-plein-confinement-le-28-mars-a-paris-lagriculture-doit-elle-etre-pointee-du-doigt/

On ne va pas se priver de l’excellence de l'analyse d’un admin IC sur un sujet plus complexe qu’il n’y parait ! ;)

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L'Isle d'Abeau (38) - 255 m // Lyon 6

Pour imager ce qui dit Bernard sur les lobbies qui tentent de profiter de la crise :

 

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/environnement/le-plastique-triste-gagnant-de-la-crise-sanitaire/ar-BB135Vjw

 

(Je voulais mettre le lien original directement mais il est réservé aux abonnés... une logique m'échappe o.O)

 

EuPC (le lobby des transformateurs européens de plastique) [...] souhaite «attirer l’attention sur les bénéfices des produits en plastique, en particulier ceux à usage unique durant ces temps difficiles», et demande de «reporter d’au moins un an la mise en œuvre au niveau national de la directive SUP [sur les plastiques à usage unique, ndlr] et de lever toutes les interdictions sur certains objets en plastique à usage unique» ...

 

Ce sujet du plastique est également  en lien avec ce qui a été dit plus haut sur la baisse du pétrole, et pose question de la pollution, quant on voit le volume supplémentaire produit, et le fait qu'il n'y a aucun recyclage possible de ces millions de masques et de gants jetables :/

Modifié par Mica
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Beauvoir (Manche/Mt st Michel

Dans le "Live" du Monde.fr : les risques de bouchons de déconfinement...

Transdev – filiale de la Caisse des dépôts qui exploite de nombreux réseaux de transport urbain en France, parmi lesquels des réseaux de bus en Île-de-France – propose entre 30 et 50 % de son offre habituelle, pour une fréquentation de moins de 10 %. "Mais, avec la reprise, on va se retrouver demain avec probablement un trafic (en ce qui concerne la fréquentation) de l'ordre de 40 %, on va monter notre offre entre 50 et 70 %, (…), mais on ne va pas pouvoir respecter partout la distance minimale de un mètre", décrit Thierry Mallet. Seule solution, selon lui :
 

"Il est indispensable que tout le monde puisse porter des masques, pour pouvoir être plus proches (…). On va avoir besoin de millions de masques."


Pour M. Mallet, si les transports publics ne convainquent pas leurs usagers de leur capacité à assurer leur sécurité sanitaire, "on risque demain un retour massif vers la voiture" dans des espaces urbains connaissant déjà une pollution de l'air endémique.

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L'article du Monde est réservé aux abonnés, mais je le signale quand même, Edouard Bard, climatologue qui donne des cours en accès libre au Collège de France, auxquels j'ai pu assister  étant encore jeune retraité et que j'avais encore le courage de prendre les transports en commun pour y assister :

 

 

 

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Beauvoir (Manche/Mt st Michel
Il y a 14 heures, bernardt60 a dit :

L'article du Monde est réservé aux abonnés, mais je le signale quand même, Edouard Bard, climatologue qui donne des cours en accès libre au Collège de France, auxquels j'ai pu assister  étant encore jeune retraité et que j'avais encore le courage de prendre les transports en commun pour y assister :

Donc le climat se réchauffe en fait très très lentement puisque tout a commencé à cette lointaine époque, les sceptiques ont raison😇!

 

Plus sérieusement, je donne une partie de l'article qui me semble la plus pertinente :

"La pandémie de Covid-19 n’est sans doute pas d’origine climatique, même si nous n’avons pas encore de certitude sur les éventuels changements environnementaux qui auraient pu rapprocher les populations des animaux hôtes (chauve-souris et pangolin) de l’homme. Néanmoins, l’épidémie en cours donne à réfléchir aux climatologues, car elle préfigure en accéléré la propagation du réchauffement mondial prévu pour les prochaines décennies. La crise provoquée par le coronavirus constitue en quelque sorte une répétition générale, un crash test, pour les sociétés humaines.

Bien évidemment, la vague climatique s’inscrit dans une durée plus longue que celle du Covid-19, mais on constate les mêmes réactions individuelles et collectives face au risque et à l’adversité, avec des réflexes d’incrédulité, de sidération ou de panique. Au début des crises, certains émettent des doutes sur l’importance du problème en remettant en question la parole des experts scientifiques sur des sujets hautement complexes. Les tâtonnements et joutes scientifiques ajoutent à la confusion dans l’esprit des populations et des décideurs, et alimentent de leurs débordements la blogosphère et les réseaux sociaux.

Pour les deux types de crises, on assiste aussi à une remise en question des prévisions fondées sur des modèles mathématiques qui sont pourtant le meilleur moyen pour se projeter quantitativement dans le futur. Les plus extrêmes profitent de l’occasion pour propager des thèses complotistes à la recherche de boucs émissaires.

Au-delà de ces caricatures, les crises épidémiques et climatiques montrent des similitudes bien réelles et malheureuses pour les populations humaines. La crise sanitaire que nous traversons aura un impact plus fort sur les plus pauvres à l’échelle internationale, ainsi qu’au sein de la population d’un même pays. Même si la propagation en Afrique est en retard par rapport à celle des autres continents, on voit déjà s’esquisser un drame humain pour des populations qui n’ont pas les moyens de se protéger et de se soigner. Certains s’inquiètent de la persistance du virus dans certaines régions, constituant des réservoirs permanents prêts à alimenter de nouvelles poussées épidémiques.

Un impact maximal sur les populations pauvres s’observe aussi pour le changement climatique. L’évolution récente des précipitations est beaucoup plus contrastée à l’échelle régionale que celle des températures, et les modèles climatiques prévoient un creusement des contrastes régionaux de précipitations. Le réchauffement et la baisse de la ressource en eau (incluant l’eau « virtuelle » liée aux importations de nourriture) auront un effet catastrophique sur les nations les plus déshéritées, souvent tributaires d’une agriculture précaire pour nourrir des populations sensibles à toute perturbation supplémentaire, comme les épidémies.

La crise relative au Covid-19 et le changement climatique démontrent clairement l’amplification des impacts régionaux par les déplacements humains et la mondialisation des échanges. Une double illustration est même fournie par les liens entre le climat et les épidémies du passé. Par exemple, des recherches récentes montrent que la contamination par la peste est modulée par le climat en Asie centrale, qui affecte les populations de grandes gerbilles et de puces, vecteurs de la bactérie Yersinia pestis. Une grande épidémie, arrivée d’Inde au milieu du VIe siècle, se propagea à tout l’Empire romain, en raison de l’intensité de ses échanges commerciaux. Cette peste dite « de Justinien », du nom de l’empereur de l’époque, sera suivie d’une quinzaine d’autres résurgences de la maladie, jusqu’au VIIIe siècle."

 

Sur ce dernier point (mondialisation pernicieuse), que l'article développe à partir d'autres exemples historiquement fondés, j'émets une réserve : la mondialisation commerciale facilite les pandémies pas de doute là dessus, mais elle facilite aussi la coopération , que l'auteur réclame à raison sans voir que c'est par le commerce que commence le plus souvent une coopération humaine plus lourde, comme celle des scientifiques. Même si la Chine ne sous a pas tout dit, on eût aimé que les savants asiatiques, qui en savaient sans doute un peu plus sur la peste que les Romains ou les villes médiévales d'Occident, nous mettent au parfum, mais nos relations étaient insuffisantes et non excessives. Je ne sais pas jusqu'à quel point il est possible de désolidariser la recherche du profit par le grand commerce et les coopérations scientifiques qui finissent par suivre, même incomplètement.

 

Or il y a un double risque dans la dénonciation de la mondialisation commerciale  

-le premier est de voir des partis autarciques proposant comme solution sanitaire le bouclage pur et simple avec les étrangers, et là, il n'y aurait plus de coopération du tout. 

-Dans les époques sans grand empire, il faut dire que la sécurité des populations est bien pire, parce que les grandes pandémies disparaissent, mais au profit de l'insécurité tout court, avec guerilla/banditisme/ famines, couple qui laisse de simples mauvaises fièvres devenir aussi fatales sur un micro territoire qu'un virus sur un grand (les fameux cavaliers de l'apocalypse) ; Il faudrait éviter aussi, à l'extrême gauche cette fois, un "relocalisme", dont Yves Cochet dans sa maison autonome me semble non pas le chantre (il admet être défaitiste), mais un précurseur. 

 

Il va donc falloir trouver un moyen de réduire drastiquement la dimension prédatrice du commerce mondial, sans pour autant le défaire purement et simplement. Sachant d'ailleurs que l'Europe n'a pas de sources d'énergie telles sur son sol qu'elle puisse cesser purement et simplement ses achats dans ce domaine (pétrole, gaz, uranium, métaux rares pour solaire et éolien);

 

Modifié par Bruno 49
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Beauvoir (Manche/Mt st Michel
Il y a 1 heure, bernardt60 a dit :

 

Bravo à France Info pour le script de l'entretien, c'est bien plus rapide à lire qu'une vidéo. Jancovici gagnerait à faire de même plus souvent (même si l'orateur vaut le détour).

 

Je retiens deux point, un optimiste, un pessimiste :

-le couple Masson-Delmotte agit au concret (ainsi les vélos électriques systématiques, 30 minutes sur 12 kms), ceci pour casser l'image des "ils parlent nos savants, ils ne font rien".

-sur les jeunes

"Je mets l'accent sur les jeunes générations d'aujourd'hui pour la raison suivante. Il est montré clairement que, dans cette crise sanitaire, les plus jeunes sont touchés de manière, en moyenne, moins violente. Ils peuvent être propagateurs de virus quasiment sans symptômes et nous leur demandons aujourd'hui des efforts disproportionnés. Nous avons la quasi-totalité de la jeunesse mondiale qui ne va plus en classe. Les universités sont fermées, même en Chine, elles continuent à être fermées.

Cette jeunesse-là, il faut lui permettre de se projeter dans la suite. Il faut donner des conditions qui lui permettent d'accéder à l'emploi avec le moins possible de précarité – elle y est déjà très confrontée. Pour moi, ce qui est essentiel, c'est d'avoir cette solidarité entre générations. Aujourd'hui, nous nous distancions socialement, nous nous confinons pour préserver les plus fragiles, les anciens et les soignants, ce qui est essentiel. Mais par la suite, je pense qu'il y a un effort qui doit être attendu de tous pour agir autrement de sorte à réduire la pression sur les écosystèmes, la biodiversité, lui permettre de récupérer et réduire les émissions de gaz à effet de serre pour que l'évolution du climat ne s'accélère pas pour les jeunes générations d'aujourd'hui. Il faut leur permettre de disposer d'une bonne santé planétaire, condition nécessaire pour avoir une santé humaine correcte. "

Je suis d'accord sur l'enjeu, mais justement : les jeunes voient que nous avons menacé à fond leur insertion sociale pour sauver essentiellement nos vieux. C'est l'honneur de notre civilisation moderne (on ne faisait pas ça en 1957 ni avant), mais pas si nous avons plus de morts indirects dus aux dégâts du confinement. Le risque dans quelques mois, c'est d'avoir une jeunesse aigrie, disant de nous 1°) avec les "fossiles" vous nous laissez un monde pourri, 2°) avec le virus, vous avez sacrifié notre avenir à votre survie.

Cette aigreur risque de détruire plus que de construire, elle peut nourrir un fatalisme et/ou une guerre de génération euthanasique. 

Nous aurions beaucoup plus de mal à revenir au monde d'avant si nos enfants avaient été les principales cibles du virus, ce que par ailleurs nul ne peut vouloir! Comment éviter la barbarie des vieux arrêtant le monde pour survivre, et celle des jeunes liquidant les vieux pour s'en sortir? VMD a le mérite de voir l'enjeu, mais comment concrétiser?

Modifié par Bruno 49
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Il y a 2 heures, Bruno 49 a dit :

 

Bravo à France Info pour le script de l'entretien, c'est bien plus rapide à lire qu'une vidéo. Jancovici gagnerait à faire de même plus souvent (même si l'orateur vaut le détour).

 

Je retiens deux point, un optimiste, un pessimiste :

-le couple Masson-Delmotte agit au concret (ainsi les vélos électriques systématiques, 30 minutes sur 12 kms), ceci pour casser l'image des "ils parlent nos savants, ils ne font rien".

-sur les jeunes

"Je mets l'accent sur les jeunes générations d'aujourd'hui pour la raison suivante. Il est montré clairement que, dans cette crise sanitaire, les plus jeunes sont touchés de manière, en moyenne, moins violente. Ils peuvent être propagateurs de virus quasiment sans symptômes et nous leur demandons aujourd'hui des efforts disproportionnés. Nous avons la quasi-totalité de la jeunesse mondiale qui ne va plus en classe. Les universités sont fermées, même en Chine, elles continuent à être fermées.

Cette jeunesse-là, il faut lui permettre de se projeter dans la suite. Il faut donner des conditions qui lui permettent d'accéder à l'emploi avec le moins possible de précarité – elle y est déjà très confrontée. Pour moi, ce qui est essentiel, c'est d'avoir cette solidarité entre générations. Aujourd'hui, nous nous distancions socialement, nous nous confinons pour préserver les plus fragiles, les anciens et les soignants, ce qui est essentiel. Mais par la suite, je pense qu'il y a un effort qui doit être attendu de tous pour agir autrement de sorte à réduire la pression sur les écosystèmes, la biodiversité, lui permettre de récupérer et réduire les émissions de gaz à effet de serre pour que l'évolution du climat ne s'accélère pas pour les jeunes générations d'aujourd'hui. Il faut leur permettre de disposer d'une bonne santé planétaire, condition nécessaire pour avoir une santé humaine correcte. "

Je suis d'accord sur l'enjeu, mais justement : les jeunes voient que nous avons menacé à fond leur insertion sociale pour sauver essentiellement nos vieux. C'est l'honneur de notre civilisation moderne (on ne faisait pas ça en 1957 ni avant), mais pas si nous avons plus de morts indirects dus aux dégâts du confinement. Le risque dans quelques mois, c'est d'avoir une jeunesse aigrie, disant de nous 1°) avec les "fossiles" vous nous laissez un monde pourri, 2°) avec le virus, vous avez sacrifié notre avenir à votre survie.

Cette aigreur risque de détruire plus que de construire, elle peut nourrir un fatalisme et/ou une guerre de génération euthanasique. 

Nous aurions beaucoup plus de mal à revenir au monde d'avant si nos enfants avaient été les principales cibles du virus, ce que par ailleurs nul ne peut vouloir! Comment éviter la barbarie des vieux arrêtant le monde pour survivre, et celle des jeunes liquidant les vieux pour s'en sortir? VMD a le mérite de voir l'enjeu, mais comment concrétiser?

 

Comme je te vois souvent comparer à la crise de 1957 où on n' a pas arrêté l'économie et qu'on s'est bien accommodé de laisser les vieux mourir contrairement à la crise actuelle ,  un détail qui me semble quand même avoir son importance c'est qu'outre l'économie qui n'était pas mondialisée, je dirais plutôt globalisée comme à l'heure actuelle , c'est la démographie bien différente !

 

Je ne vais pas aller plus loin vu qu'on est dans la partie changement climatique et en plus je ne crois pas que ce soit une bonne chose d'introduire un problème de générations ( vieux ou jeune on est tous dans le mème bateau pour ne pas dire la même galère)  dans la crise actuelle .

 

Pour l’anecdote   je retiens une phrase que j'ai entendu et qui m'a amusé, mais illustratrice de bien des paradoxes de notre époque actuelle,  lorsqu'il était encore question de déconfinement en fonction de l'âge :

"J'ai 65 ans , avant on me disait que j'étais trop jeune pour prendre ma retraite et que je devais encore bosser, maintenant on me dit que je suis trop vieux pour pouvoir sortir ! !!!"

 

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Bon, c'est un peu borderline vis à vis du sujet, mais un peu dans le prolongement des débats de ces derniers jours, une vidéo que je trouve bien faite et qui apporte une réflexion intéressante sur la séquence de prix négatifs du pétrole de la semaine dernière. De manière générale, même si cela touche davantage à l'économie générale qu'aux débats climatiques, je conseille cette chaîne pour ses nombreuses vidéos toujours très accessibles et pédagogiques.

 

 

 

 

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C'est pas mal du tout 13V. J'ai beaucoup aimé le graphique du nombre de tonne de pétrole consommé par jour en fonction du PIB. Et on voit que plus on consomme de de pétrole, plus notre PIB augmente… Va falloir trouver un autre modèle économique… Et surtout revenir à des marchés plus locaux. Le virus actuel met en avant ces choses là. A voir si les consommateurs changent leurs habitudes.

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  • 2 weeks later...

Venant d'un PDG d'un groupe qui emploie 100 mille personnes dans le monde ça a de quoi surprendre :

Coronavirus : « On est au bout d’un certain modèle » selon Emmanuel Faber, PDG de Danone

https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/coronavirus-on-est-au-bout-d-un-certain-modele-selon-emmanuel-faber-pdg-de

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