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Sud et Est du bassin méditerranéen


grecale2b
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Varces-Allières-et-Risset

Le record absolu à Séville n'est "que" de 47°. Par contre également dans le Sud de l'Espagne, à Murcie record de 47,8°. C'est peut-etre le record de chaleur européen?? default_blink.png

Palmarès des Tx les plus élevées en Europe depuis le début des observations :+51°C le 30/07/1876 à Séville (Espagne)*

+50,5°C le 04/08/1881 à Los Riodades (Portugal)

+50,0°C le 04/08/1881 à Séville (Espagne)

+49,8°C le 23/07/1995 à Hinojosa del Duque (Espagne, Andalousie)

+49°C le 29/08/1885 à Palerme (Italie, Sicile)

+48,8°C le 30/08/1926 à Cazalla/Séville (Espagne)

+48,5°C le 10/08/1999 à Catenanuova (Italie, Sicile)

+48,5°C en 1903 à Messine (Italie, Sicile)

+48°C à Elefsina (ou « Éleusis », Grèce) [date inconnue]

+48°C à Tatoi (Grèce) [date inconnue]

+47,8°C le 29/07/1876 à Murcie (Espagne)

+47,3°C le 01/08/2003 à Amareleja (Portugal)

+47,0°C le 25/06/2007 à Amendola (Italie)

+47,0°C le 06/08/1946 à Séville (Espagne)

+47,0°C les 26/06/1864 et 01/08/1864 à Badajoz Institut (Espagne)

+47,0°C à Écija (Espagne) [date inconnue]

En italique : records douteux ou pour le moins sujets à caution.

* Abri type « Montsouris » jusqu’en avril 1912.

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Merci JBR, d'une manière générale on ne devrait pas prendre en compte les valeurs d'avant-guerre, il me semble.

Comme cela a été dit, les abris surchauffaient à cette époque apparemment, les 44° de Toulouse en 1923 étant remis en cause.

De la même manière, les 58° d'Al Aziziyah (Lybie) relevés en 1922 doivent être suspects.

Ton avis sur la question JBR? default_blink.png

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Posté(e)
Beauzelle (31) et Narbonne (NE de la ville 12.1km de la mer à vol d'oiseau)

J'ai bien peur que la grèce rentre dans un cercle vicieux avec la mer qui monte à plus de 30°c default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Posté(e)
Varces-Allières-et-Risset

Merci JBR, d'une manière générale on ne devrait pas prendre en compte les valeurs d'avant-guerre, il me semble.

Comme cela a été dit, les abris surchauffaient à cette époque apparemment, les 44° de Toulouse en 1923 étant remis en cause.

De la même manière, les 58° d'Al Aziziyah (Lybie) relevés en 1922 doivent être suspects.

Ton avis sur la question JBR? default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">

Le record mondial de chaleur (+57,7°C ou 135,9°F) enregistré le 13/09/1922 à Al-Aziziyah (Libye) a été souvent sujet à polémique au sein de la communauté scientifique. Certains (dont je partage les réserves) ont contesté les conditions d’observation de ce record, à savoir : le type d’abri utilisé, le fort vent de sable (sirocco) qui faisait entrer ce jour-là le sable brûlant dans l’abri météo (faussant ainsi la température), des écarts de température trop importants constatés ce jour-là avec les stations les plus proches, et la situation géographique de la station (station située seulement à 32 km au sud de Tripoli, près des côtes).On peut signaler que d’autres stations à travers le monde ont enregistré (non officiellement) des températures tout aussi élevées (et tout aussi suspectes en ce qui concerne les conditions d’observation !) : San Luis au Mexique (+57,8°C le 11/08/1933), Delta au Mexique (+60,0°C), Tindouf en Algérie (+57,2°C) ou encore Al-Amarah en Irak (+57,2°C en juillet 1989).

Par ailleurs, des hausses spectaculaires de température se sont déjà produites sur un laps de temps très court, pour atteindre des valeurs incroyables et insoupçonnées, au cours de phénomènes appelés « heat bursts » ou « heat flashes ». Ces phénomènes, qui ont été étudiés notamment par Ben Bernstein et Richard Johnson (Colorado State University) à travers les Grandes Plaines américaines, se traduisent par une hausse brutale de la température (une véritable « explosion ») sur quelques minutes seulement, à proximité immédiate d’un orage en fin de vie et généralement après le coucher du soleil. Comme on peut l’observer sur l’illustration ci-dessous, cette hausse de température est due à une puissante subsidence de l’air au cœur d’un orage dont la fin de vie est imminente (« écroulement » du cumulonimbus sur lui-même : compression de l’air => assèchement et réchauffement spectaculaires, forte divergence au sol).

Les 2 chercheurs ont expliqué ce phénomène dans la revue Monthly Weather Review (février 1994) :

« The heat burst, near the remnants of a thunderstorm cluster, is a downburst of air from the thunderstorm displacing a shallow pool of cool air hugging the ground. The phenomenon is akin to what would happen if one blew strongly down onto a shallow puddle of water; the puff from your lungs temporarily clears water from a spot on the surface. »

burst2.jpg

Quelques « heat bursts » remarquables, bien documentés et vérifiés :

- à Cherokee (États-Unis, Oklahoma), la température a atteint 136°F (+57,8°C) le 11/07/1909 à 3h du matin ;

- à Gage (États-Unis, Oklahoma) le 07/07/1993, la température est passée de 85°F (+29,4°C) à 102°F (+38,9°C) entre 21h54 et minuit ;

- à Ninnekah (États-Unis, Oklahoma) dans la nuit du 21 au 22/05/1996, la température est passée de 80°F (+26,7°C) à 105°F (+40,6°C) entre 23h et 3h ;

- la température est passée de 70°F (+21,1°C) à 140°F (+60°C) le 15/06/1960 (juste après minuit) sur les rives NW du Lac Whitney, au NW de Waco (États-Unis, Texas), où les plantations de coton ont été littéralement carbonisées ;

- Gretna (Canada, Manitoba) a enregistré 2 « heat bursts » dans la nuit du 20 au 21/07/1960 : la température est passée de 80°F (+26,7°C) à 96°F (+35,6°C) en 15 minutes entre 0h25 et 0h40, puis est redescendue avant de s’élever une seconde fois à 97°F (+36,1°C) pendant 15 minutes entre 2h00 et 2h15 ;

- à Pierre (États-Unis, Dakota du Sud) le 20/06/1989, la température est passée de 85°F (+29,4°C) à 104°F (+40°C) entre 1h et 3h du matin ;

- à Great Falls (États-Unis, Montana) le 09/09/1994, la température est passée de 67°F (+19,4°C) à 93°F (+33,9°C) en 15 minutes (entre 5h02 et 5h17), puis est redescendue brutalement à 68°F (+20°C) à 5h40 ;

- autre événement (dont je ne connais pas la date exacte) : à Kimberley (Afrique du Sud), la température est passée brutalement de 67°F (+19,4°C) à 110°F (+43,3°C) en 5 minutes (entre 21h00 et 21h05) lors du passage d’une ligne de grain : on suppose que la température est montée encore plus haut car le temps de réponse du thermomètre utilisé n’était pas assez rapide.

D’autres « heat bursts » exceptionnels : informations non vérifiées et relatées par la presse :

+86,7°C (188°F) en juin 1967 à Abadan (Iran) : les rapports de presse de l’époque ont signalé que des dizaines de personnes sont décédées et que l’asphalte des routes s’est littéralement liquéfié ;

+70°C (158°F) le 06/07/1949 près de Lisbonne (Portugal), la température étant passée de +37,8°C (100°F) à +70°C (158°F) en 2 minutes ;

+66,7°C (152°F) le 10/07/1977 à Antalya (Turquie).

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Posté(e)
Puteaux (92), 75 m / Saint-Mandé (94), 51 m / Etoile sur Rhône (26), 175 m

Le record mondial de chaleur (+57,7°C ou 135,9°F) enregistré le 13/09/1922 à Al-Aziziyah (Libye) a été souvent sujet à polémique au sein de la communauté scientifique. Certains (dont je partage les réserves) ont contesté les conditions d’observation de ce record, à savoir : le type d’abri utilisé, le fort vent de sable (sirocco) qui faisait entrer ce jour-là le sable brûlant dans l’abri météo (faussant ainsi la température), des écarts de température trop importants constatés ce jour-là avec les stations les plus proches, et la situation géographique de la station (station située seulement à 32 km au sud de Tripoli, près des côtes).

On peut signaler que d’autres stations à travers le monde ont enregistré (non officiellement) des températures tout aussi élevées (et tout aussi suspectes en ce qui concerne les conditions d’observation !) : San Luis au Mexique (+57,8°C le 11/08/1933), Delta au Mexique (+60,0°C), Tindouf en Algérie (+57,2°C) ou encore Al-Amarah en Irak (+57,2°C en juillet 1989).

Par ailleurs, des hausses spectaculaires de température se sont déjà produites sur un laps de temps très court, pour atteindre des valeurs incroyables et insoupçonnées, au cours de phénomènes appelés « heat bursts » ou « heat flashes ». Ces phénomènes, qui ont été étudiés notamment par Ben Bernstein et Richard Johnson (Colorado State University) à travers les Grandes Plaines américaines, se traduisent par une hausse brutale de la température (une véritable « explosion ») sur quelques minutes seulement, à proximité immédiate d’un orage en fin de vie et généralement après le coucher du soleil. Comme on peut l’observer sur l’illustration ci-dessous, cette hausse de température est due à une puissante subsidence de l’air au cœur d’un orage dont la fin de vie est imminente (« écroulement » du cumulonimbus sur lui-même : compression de l’air => assèchement et réchauffement spectaculaires, forte divergence au sol).

Les 2 chercheurs ont expliqué ce phénomène dans la revue Monthly Weather Review (février 1994) :

« The heat burst, near the remnants of a thunderstorm cluster, is a downburst of air from the thunderstorm displacing a shallow pool of cool air hugging the ground. The phenomenon is akin to what would happen if one blew strongly down onto a shallow puddle of water; the puff from your lungs temporarily clears water from a spot on the surface. »

burst2.jpg

Quelques « heat bursts » remarquables, bien documentés et vérifiés :

- à Cherokee (États-Unis, Oklahoma), la température a atteint 136°F (+57,8°C) le 11/07/1909 à 3h du matin ;

- à Gage (États-Unis, Oklahoma) le 07/07/1993, la température est passée de 85°F (+29,4°C) à 102°F (+38,9°C) entre 21h54 et minuit ;

- à Ninnekah (États-Unis, Oklahoma) dans la nuit du 21 au 22/05/1996, la température est passée de 80°F (+26,7°C) à 105°F (+40,6°C) entre 23h et 3h ;

- la température est passée de 70°F (+21,1°C) à 140°F (+60°C) le 15/06/1960 (juste après minuit) sur les rives NW du Lac Whitney, au NW de Waco (États-Unis, Texas), où les plantations de coton ont été littéralement carbonisées ;

- Gretna (Canada, Manitoba) a enregistré 2 « heat bursts » dans la nuit du 20 au 21/07/1960 : la température est passée de 80°F (+26,7°C) à 96°F (+35,6°C) en 15 minutes entre 0h25 et 0h40, puis est redescendue avant de s’élever une seconde fois à 97°F (+36,1°C) pendant 15 minutes entre 2h00 et 2h15 ;

- à Pierre (États-Unis, Dakota du Sud) le 20/06/1989, la température est passée de 85°F (+29,4°C) à 104°F (+40°C) entre 1h et 3h du matin ;

- à Great Falls (États-Unis, Montana) le 09/09/1994, la température est passée de 67°F (+19,4°C) à 93°F (+33,9°C) en 15 minutes (entre 5h02 et 5h17), puis est redescendue brutalement à 68°F (+20°C) à 5h40 ;

- autre événement (dont je ne connais pas la date exacte) : à Kimberley (Afrique du Sud), la température est passée brutalement de 67°F (+19,4°C) à 110°F (+43,3°C) en 5 minutes (entre 21h00 et 21h05) lors du passage d’une ligne de grain : on suppose que la température est montée encore plus haut car le temps de réponse du thermomètre utilisé n’était pas assez rapide.

D’autres infos surprenantes, non vérifiées et relatées par la presse :

+86,7°C (188°F) en juin 1967 à Abadan (Iran) : les rapports de presse de l’époque ont signalé que des dizaines de personnes sont décédées et que l’asphalte des routes s’est littéralement liquéfié ;

+70°C (158°F) le 06/07/1949 près de Lisbonne (Portugal), la température étant passée de +37,8°C (100°F) à +70°C (158°F) en 2 minutes ;

+66,7°C (152°F) le 10/07/1977 à Antalya (Turquie).

Merci JBR pour ces chiffres TRES impressionnants ! Ce 86,7°C en Iran surtout default_huh.pngdefault_clover.gif ! C'est pas possible , c'est comme si on était dans un four toute la journée default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Merci JBR pour ces chiffres TRES impressionnants ! Ce 86,7°C en Iran surtout default_huh.pngdefault_clover.gif ! C'est pas possible , c'est comme si on était dans un four toute la journée default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">

ça doit être une température mesurée au ras du sol
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Posté(e)
Varces-Allières-et-Risset

Tx (>=+42°C) en Grèce le 27/06/2007 :

+44,0°C à Nea Filadelfia (Attique)

+44,0°C à Volos Aghialos (Thessalie)

??? à Elefsina (Attique)

+43,8°C à Lamia (Grèce-Centrale)

+43,4°C à Athènes-Spata Aéroport (Attique)

+43,2°C à Tatoi (Attique)

+43,0°C à Ierapetra (Crète)

+43,0°C à Tympaki (Crète)

+42,6°C à Larissa Aéroport (Thessalie)

+42,6°C à Skyros (Grèce-Centrale)

+42,4°C à Tanagra (Grèce-Centrale)

+42,4°C à Mytilini Aéroport (Nord de l’Égée)

À noter également :

Tn de +36,0°C le 27/06 à Kythira (Péloponnèse) / Tx de +38,6°C.

Tn de +33,4°C le 27/06 à Milos (Sud de l’Égée) / Tx de +40,0°C.

Tn de +31,0°C le 27/06 à Pireus (Attique) / Tx de +39,6°C.

Tn de +30,0°C le 27/06 à Skyros (Grèce-Centrale).

Tn de +30,0°C le 27/06 à Ierapetra (Crète).

Tn de +30,0°C le 27/06 à Sitia (Crète).

(source : Hellenic National Meteorological Service - HNMS)

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Tx (>=+42°C) en Grèce le 27/06/2007 :

+44,0°C à Nea Filadelfia (Attique)

+44,0°C à Volos Aghialos (Thessalie)

??? à Elefsina (Attique)

+43,8°C à Lamia (Grèce-Centrale)

+43,4°C à Athènes-Spata Aéroport (Attique)

+43,2°C à Tatoi (Attique)

+43,0°C à Ierapetra (Crète)

+43,0°C à Tympaki (Crète)

+42,6°C à Larissa Aéroport (Thessalie)

+42,6°C à Skyros (Grèce-Centrale)

+42,4°C à Tanagra (Grèce-Centrale)

+42,4°C à Mytilini Aéroport (Nord de l’Égée)

À noter également :

Tn de +36,0°C le 27/06 à Kythira (Péloponnèse) / Tx de +38,6°C.

Tn de +33,4°C le 27/06 à Milos (Sud de l’Égée) / Tx de +40,0°C.

Tn de +31,0°C le 27/06 à Pireus (Attique) / Tx de +39,6°C.

Tn de +30,0°C le 27/06 à Skyros (Grèce-Centrale).

Tn de +30,0°C le 27/06 à Ierapetra (Crète).

Tn de +30,0°C le 27/06 à Sitia (Crète) / Tx de +25,2°C.

(source : Hellenic National Meteorological Service - HNMS)

Merci pour les données JBR !
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Par ailleurs, des hausses spectaculaires de température se sont déjà produites sur un laps de temps très court, pour atteindre des valeurs incroyables et insoupçonnées, au cours de phénomènes appelés « heat bursts » ou « heat flashes ». Ces phénomènes, qui ont été étudiés notamment par Ben Bernstein et Richard Johnson (Colorado State University) à travers les Grandes Plaines américaines, se traduisent par une hausse brutale de la température (une véritable « explosion ») sur quelques minutes seulement, à proximité immédiate d’un orage en fin de vie et généralement après le coucher du soleil. Comme on peut l’observer sur l’illustration ci-dessous, cette hausse de température est due à une puissante subsidence de l’air au cœur d’un orage dont la fin de vie est imminente (« écroulement » du cumulonimbus sur lui-même : compression de l’air => assèchement et réchauffement spectaculaires, forte divergence au sol).

Les 2 chercheurs ont expliqué ce phénomène dans la revue Monthly Weather Review (février 1994) :

« The heat burst, near the remnants of a thunderstorm cluster, is a downburst of air from the thunderstorm displacing a shallow pool of cool air hugging the ground. The phenomenon is akin to what would happen if one blew strongly down onto a shallow puddle of water; the puff from your lungs temporarily clears water from a spot on the surface. »

Merci JBR pour ces explications sur un phénomène que je ne connaissait pas du tout, pensant que l'air descendant d'un Cb ne pouvait entraîner qu'un refroidissement, en tout cas il ne sembla pas avoir été observé en France...
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Puteaux (92), 75 m / Saint-Mandé (94), 51 m / Etoile sur Rhône (26), 175 m

Tx (>=+42°C) en Grèce le 27/06/2007 :

+44,0°C à Nea Filadelfia (Attique)

+44,0°C à Volos Aghialos (Thessalie)

??? à Elefsina (Attique)

+43,8°C à Lamia (Grèce-Centrale)

+43,4°C à Athènes-Spata Aéroport (Attique)

+43,2°C à Tatoi (Attique)

+43,0°C à Ierapetra (Crète)

+43,0°C à Tympaki (Crète)

+42,6°C à Larissa Aéroport (Thessalie)

+42,6°C à Skyros (Grèce-Centrale)

+42,4°C à Tanagra (Grèce-Centrale)

+42,4°C à Mytilini Aéroport (Nord de l’Égée)

À noter également :

Tn de +36,0°C le 27/06 à Kythira (Péloponnèse) / Tx de +38,6°C.

Tn de +33,4°C le 27/06 à Milos (Sud de l’Égée) / Tx de +40,0°C.

Tn de +31,0°C le 27/06 à Pireus (Attique) / Tx de +39,6°C.

Tn de +30,0°C le 27/06 à Skyros (Grèce-Centrale).

Tn de +30,0°C le 27/06 à Ierapetra (Crète).

Tn de +30,0°C le 27/06 à Sitia (Crète) / Tx de +25,2°C.

(source : Hellenic National Meteorological Service - HNMS)

Là , je ne saisis pas trop default_sorcerer.gif ...
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Puteaux (92), 75 m / Saint-Mandé (94), 51 m / Etoile sur Rhône (26), 175 m

ça doit être une température mesurée au ras du sol

Oui peut-être , j'y avais pas pensé ! N'empêche il doit plus rester grand chose de tes chaussures avec une telle température default_laugh.pngdefault_sorcerer.gif
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Posté(e)
Varces-Allières-et-Risset

Là , je ne saisis pas trop default_blink.png ...

Désolé pour l'erreur (due à un "copier-coller" mal contrôlé default_wacko.png ).
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D'après la presse Egyptienne, Le Caire connait depuis 10 jours des températures souvent au-dessus de 6° des températures moyenne pour un mois de juin, elles frôlent les 40°-41° et la situation ne va pas s'améliorer de si tôt..

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Le record mondial de chaleur (+57,7°C ou 135,9°F) enregistré le 13/09/1922 à Al-Aziziyah (Libye) a été souvent sujet à polémique au sein de la communauté scientifique. Certains (dont je partage les réserves) ont contesté les conditions d’observation de ce record, à savoir : le type d’abri utilisé, le fort vent de sable (sirocco) qui faisait entrer ce jour-là le sable brûlant dans l’abri météo (faussant ainsi la température), des écarts de température trop importants constatés ce jour-là avec les stations les plus proches, et la situation géographique de la station (station située seulement à 32 km au sud de Tripoli, près des côtes).

On peut signaler que d’autres stations à travers le monde ont enregistré (non officiellement) des températures tout aussi élevées (et tout aussi suspectes en ce qui concerne les conditions d’observation !) : San Luis au Mexique (+57,8°C le 11/08/1933), Delta au Mexique (+60,0°C), Tindouf en Algérie (+57,2°C) ou encore Al-Amarah en Irak (+57,2°C en juillet 1989).

Merci pour ces précisions, on ne sait pas vraiment où se situe le record de chaleur absolu dans le monde alors?Pour les phénomènes de heat bursts, je ne connaissais pas non plus.

Impressionnant... default_crying.gif

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Merci JBR pour ces explications sur un phénomène que je ne connaissait pas du tout, pensant que l'air descendant d'un Cb ne pouvait entraîner qu'un refroidissement, en tout cas il ne sembla pas avoir été observé en France...

salut

oui données intéressantes mais tout de même ...pourquoi l'avoir observé au portugal ou en iran et pas en france ?...y a t il une explication ?

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Posté(e)
Beauzelle (31) et Narbonne (NE de la ville 12.1km de la mer à vol d'oiseau)

70°c à lisbonnes j'ai du mal a y croire default_blink.png

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