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La foudre en Antarctique


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Bonjour à tous. J'aimerais savoir pourquoi la foudre est si rare en Antarctique. Est-ce dû simplement au froid ou pas du tout ? C'est bizarre quand même, il y a 100 éclairs par seconde qui se forment un peu partout sur le globe (en majorité près de l'équateur) mais presque (ou peut-être aucun ?) ne se forme sur l'Antarctique...

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Tourrette-Levens (06) 420m

tout simplement par-ce que la T° descend parfois sous -80° et que la T° juste en dessous de la traupopose est vers -50/ -60° alors l'air est toujours plus froid au sol ce qui empêche la formation de toute autre nuage que les tartines de stratus et les precipitations associées la neige faible.... (pas de cb = pas d'eclair = rien sur les detecteurs default_w00t.gif )

a savoir-> il neige autant en antarctique que a marseille default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">default_flowers.gif

voila tout default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Posté(e)
Tourrette-Levens (06) 420m

Ca veut dire qu'à n'importe quels endroits où la température au sol est plus froide que la température juste sous la traupopose il ne peut pas avoir d'orage ???

juste sous la traupopose ou plus generalement quand il y a une inversion (regarde le mois de decembre 2006 default_w00t.gif pas un cumulus sous les inversions )

il peut y avoir des cas ou l'air est tellemnt instable sous l'inversion que celui ci la "perce" c'est le forçage d'inversion default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

bref il faut de gros contrastres thermiques pour former des cb dans le bon sens bien sur c'est a dire 15° au sol et -40° en dessous de la tropopose l'ascendance peut alors se faire

en cas d'inversion 10° au sol a 20° 1000m plus haut et après sa recommence a se refroidire il y a subsidence l'air froid est plaqué au sol ou y descend il n'y a pas de mouvement convectifs default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Il y a aussi une autre raison : la libération de chaleur latente.

En regardant un emagramme, on voit bien quelle allure prend la courbe pseudoadiabatique saturée issue de particules au sol de températures de plus en plus froides.

Plus la température de ladite particule est froide, plus la courbe pseudoadiabatique saturée tend à ressembler à une courbe adiabatique sèche.

Au contraire, plus elle est chaude, plus elle penche vers la droite pour ensuite s'incliner vers la gauche et se stabiliser en haute altitude.

Tout ceci est du au dégagement de chaleur provoquée par la condensation d'une partie de la vapeur d'eau, au fur et à mesure que la particule se détend.

Si une particule est saturée tout en étant chaude, elle contient énormément de vapeur d'eau. Au fur et à mesure qu'elle monte, elle se refroidit et ne peut plus contenir autant de vapeur d'eau. L'excédent est rejeté en permanence au fur et à mesure, sous forme de microgoutelettes d'eau, ce qui est à l'origine de la formation et du développement des nuages convectifs. La vapeur d'eau n'est pas condensée d'un coup, mais petit à petit, au fur et à mesure que la particule grimpe, et cette quantité d'eau condensée est directement liée à la quantité de vapeur d'eau actuelle. En clair, dès le début du processus de condensation, la quantité de vapeur d'eau condensée faiblit au fur et à mesure que la particule grimpe, vu qu'au fur et à mesure, elle contient de moins en moins de vapeur d'eau. La quantité de vapeur d'eau condensée dépend donc de la quantité de départ : plus la particule saturée est chaude, plus elle en contient. Ce changement d'état de l'eau s'accompagne d'une libération de chaleur qui est d'autant plus forte qu'il y a de la vapeur d'eau condensée. C'est cette raison qui fait que les courbes pseudoadiabatiques saturées penchent vers la droite pour les fortes températures, et penchent du côté gauche (presque comme les courbes adiabatiques sèches) pour les faibles températures : pour une particule donnée, la quantité d'energie est très forte au début du processus de condensation, et faiblit au fur et à mesure qu'elle prend de l'altitude.

Or, l'energie rejeté par la condensation est le moteur d'un nuage convectif. Dès que le processus de condensation est lancé, la parcelle voit sa température être de plus en plus supérieure à celle de l'environnement. Comme sa température est supérieure à l'environnement, la particule est instable et continue donc son ascension sans avoir besoin d'une poussée extérieure (dans ce cas, elle a dépassé le niveau de convection libre), jusqu'à ce qu'elle devienne égale à la température de l'environnement, ce qui est caractérisé par le sommet du nuage convectif. Dans la pratique, cela se produit d'autant plus haut que les mouvements ascendants sont forts (Le sommet pénétrant d'un Cb peut être situé à quelques centaines de mètres du niveau d'équilibre thermique si les mouvements verticaux sont très forts).

Bref, lorsque peu de condensation se produit (pour revenir à notre cas initial de troposphère froide), il y a peu d'energie liberée lors de ce changement de phase de l'eau. S'il y a peu d'energie, les mouvements internes seront d'autant plus faibles et il sera très difficile au nuage de créer des charges éléctriques.

De plus, dans ces pays froids, la faiblesse du rapport de mélange doit sérieusement amplifier cette difficulté de provoquer des charges éléctriques. Comme il y a beaucoup moins de particules d'eau, les charges sont beaucoup moins nombreuses et probablement pas suffisante pour déclencher l'éclair.

Donc, en principe, les orages peuvent se former n'importe où, sauf rares exceptions. Mais dans ces régions glacées, cela sera infiniment plus compliqué pour générer des orages.

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Bonjour à tous. J'aimerais savoir pourquoi la foudre est si rare en Antarctique. Est-ce dû simplement au froid ou pas du tout ? C'est bizarre quand même, il y a 100 éclairs par seconde qui se forment un peu partout sur le globe (en majorité près de l'équateur) mais presque (ou peut-être aucun ?) ne se forme sur l'Antarctique...

Peut-être qu'il y a moins de points de mesure, et que les impacts sont moins bien comptabilisés? malgré un nombre équivalent
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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Non car c'est un fait que l'antarctique possède moins de phénomene éléctrique et cela a été prouvé par satellite il me semble. Ce n'est pas une question de point de mesure ou de densité d'observateur, car il n'y a pas que l'antarctique d'inhabité sur le globe.

Mais moins ne veut pas dire aucun.

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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Non pas avec du boltek. default_sorcerer.gif Mais avec la détection des flashs lumineux. Les satellites géostationnaires comme par exemple Goes ou Meteosat y arrivent très bien. Certes moins précis, mais pour faire une moyenne sur ce type de question, bien suffisant.

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Posté(e)
Tourrette-Levens (06) 420m

je vais m'acheter un spot de du genre celui de la tour Eiffel et je le fait clignoter quand il y a des nuages je vais battre le record de foudroiement detecté par flash lumineux depuis les sattelites default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Non pas avec du boltek. default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Mais avec la détection des flashs lumineux. Les satellites géostationnaires comme par exemple Goes ou Meteosat y arrivent très bien. Certes moins précis, mais pour faire une moyenne sur ce type de question, bien suffisant.

e savais qu’il y avait de la détection d’impacte de foudre par satellite, mais je ne savais que les sat météo classique le faisait. Et sur les images HR (comme celles de Dundee), on voit quelques chose de particulier Damien, ou il faut des outils de traitement particulier ?Sinon, à propos d’orage et de satellite, un labo de MF propose du suivi automatique de cible convectives, j’ai découvert ça y’a quelques jours. Je n’ai jamais vu ce que ça donnait en cas concret, mais je donne le lien :

http://www.meteo.fr/special/PI/OPIC_MF/France/index.htm#

Page mère :

http://www.meteorologie.eu.org/RDT/

C’est bizarre d’ailleurs puisque tous les autres liens vers les photos sont protégés sauf celui-là …

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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Il existe des cartes mondiales montrant les résultats de ces études et où on voit bien que les pôles ont un déficit. Faudrait que je les retrouve.

Pour Dundee et la méthodologie j'en sais rien...

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Je connais un autre site qui propose ce suivi orageux, mais j'ai de gros doutes sur les autorisations default_flowers.gif Donc on va profiter de ton lien qui est plus officiel puisque rattaché au site de Météo-France, et si jamais ça disparaît on se rabattera vers le plus officieux... default_flowers.gif

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e savais qu’il y avait de la détection d’impacte de foudre par satellite, mais je ne savais que les sat météo classique le faisait. Et sur les images HR (comme celles de Dundee), on voit quelques chose de particulier Damien, ou il faut des outils de traitement particulier ?

A mon avis, il ne connait pas la réponse là non plus. Apparament, il croit que les sat géostationaires embarquent un bon vieux Canon pour faire leurs tofs.Bidon.

Le principe de la prise de vue est celui de la giration et du balayage, un peu comme la télé :

Les satellites Météosat sont en rotation sur eux même ce qui les stabilise naturellement. A chaque tour l'instrument balaye ainsi la Terre d'ouest en est, en se décalant du nord au sud d'un tour à l'autre. Il faut 15 minutes au satellite MSG pour couvrir le globe, contre 30 pour ses prédécesseurs.

peut-on lire sur le site du CNES.Chaque point de la terre n'est donc lu qu'une fois tous les 1/4 d'heure. Même si un impacte de foudre était, par une coïncidence énorme, capté au moment du passage du rayon (imaginaire), la probabilité pour que ça se reproduise est trop faible pour réellement exister.

De plus , ce qui se passe sous le sommet des nuages dont les plus haut voisinent les 10 km, alors que le cliché est pris de 36000 km default_flowers.gif ; c'est pas trop visible.

Quand à la puissance du rayonnement pour qu'il soit visible à cette distance....

Quand aux défilants, quelle est leur durée de survol d'un cunimb? Je ne sais pas si à 800km les perturbations électriques peuvent être triées de façon à localiser les impacts. (voir les Bolteks à 800km)

Le réseau Météorage a une maille inférieure à 200km...

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default_flowers.gif

A mon avis, il ne connait pas la réponse là non plus. Apparament, il croit que les sat géostationaires embarquent un bon vieux Canon pour faire leurs tofs.

Bidon.

Et pourtant... il juge bien vite le vieux gombervaux... METEOSAT, GOES servent aussi à la détection de la foudre, c'est même le meilleur moyen de détection d'après la NASA (mais enfin ils sont peut être con à la NASA...). Evidemment les données ne sont pas en continu comme tu le dis mais c'est moyen comme un autre. C'est biensur un appareil annexe qui s'occupe de la détection.

Comme tu dis christophe étonnant la non protection du lien mais bon on va pas s'en plaindre ;-)

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Et pourtant... il juge bien vite le vieux gombervaux... METEOSAT, GOES servent aussi à la détection de la foudre, c'est même le meilleur moyen de détection d'après la NASA (mais enfin ils sont peut être con à la NASA...). Evidemment les données ne sont pas en continu comme tu le dis mais c'est moyen comme un autre. C'est biensur un appareil annexe qui s'occupe de la détection.

Comme tu dis christophe étonnant la non protection du lien mais bon on va pas s'en plaindre ;-)

Ok, si t'es sûr que la CIA a mis une Bolteck 36000km dans le MSG...
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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Je veux bien croire que l'étude soit incomplete et d'une résolution-précision très faible via satellite, mais pour faire une simple étude statistique d'observation moyenne des impacts orageux sur la surface de la terre, il est inutile d'avoir une résolution parfaite Gombervaux. On ne cherche pas à localiser précisément l'impact orageux, on cherche simplement à déterminer la récurence du phénomene par région. D'ailleurs, les américains sont allé encore plus loin.

Tu peux donc critiquer les résultats, mais pas le fait que cela ai été réellement étudié et essayé. Je ne suis pas un menteur ou alors j'ai mal lut (je veux bien croire que mon anglais ne soit pas parfait).

Ex :

Le GLM est un instrument du satellite GOES

The Geostationary Lightning Mapper (GLM) will observe the Earth in geosynchronous orbit and detect lightning over the full-disk. This includes cloud-to-cloud as well as cloud-to-ground lightning. At least 70% of events as short as one millisecond are to be detected with less than 5% false alarms. Because of clouds, satellites see lightning diffused over wide areas. For this reason, the required horizontal resolution is only 10 km. Lightning sensors have flown in low-Earth (LEO) orbit but not yet in geosynchronous orbit. Continuous GLM observation will allow the use of lightning to predict convective storms, including tornados. The GLM will probably be similar to earlier LEO instruments which used the 0.7774 micron oxygen emission associated with lightning. Those instruments used refractive optics, interference filters, silicon CCDs and real-time event detection electronics.

Un lien expliquant le VHF pour la détection des éclairs et la traque des orages depuis l'orbite géostationnaire :

http://ams.confex.com/ams/pdfpapers/87219.pdf

Un lien expliquant le LMP ou Lightening Mapper Sensor

http://www.nwas.org/committees/rs/NWA_GOES...ning_mapper.htm

The LMS observations of total lightning from GOES would provide a continuous “snapshot” of a storm's convective vigor, growth, and decay not possible with existing satellite imagers, weather radars, or cloud-to-ground lightning networks. The ground-based National Lightning Detection Network can only observe cloud-to-ground (CG) lightning over the Continental United States, southern Canada, and adjacent coastal waters. The highly sensitive Charge Coupled Device detector array on the LMS will also allow discrimination of lightning from bright background surfaces such as sunlit clouds during the daytime, resulting in a 24-hour-a-day detection capability.

Et ce ne sont que quelques petits exemples. J'ai pas cherché partout. Il existe sans doute encore beaucoup de références sur tout ça...
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Lol damien personne ne pense que t'es un menteur, simplement à ces âges avancés de la vie alzheimer et les symptômes associés font des ravages...

D'un satellite il y a plusieurs moyen de détecter les éclairs, tout d'abord le plus simple est de le faire sur un champ optique. Le principe est de détecter le flash lumineux, le télescope enregistre simplement les signaux lumineux qui sont ensuite transformé en signal électrique par des cellules spécifiques (CCD).

Forcemment de jour on peut être embêté mais pas de soucis la technologie fait des miracles, il existe des filtres sélectifs particuliers pour pas que les flashs soient noyés dans la lumière du jour. Le tout est que l'on ait un rapport signal/bruit qui soit très nettement augmenté.

L'un des premiers systèmes de détection était OTD fut embarqué sur le sat microlab-1, expérience lancée par la NASA, il y a plus récemment le LMS (lightning mapper sensor) embarqué sur un GOES en 2003 qui permet actuellement le suivi sur les States.

Le mode optique n'est biensur pas le seul moyen, il y a aussi la détection des signaux VHF, ou bien encore l'interférométrie dont le CNES se sert actuellement pour le projet ORAGES... d'ailleurs sur Metop-A a embarqué aussi il me semble un de ces appareils @ vérifier...

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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Le GOES-8 qui comprend le VHF par exemple a été lancé en 1998.

Le GOES-R qui comprendra le GLM sera lancé certes en 2012.

Je crois que le LMP (à vérifier) est en service depuis 2001.

Et il doit certeinement y avoir eut bien d'autres détecteurs dans le passé ou encore en service. J'ai bien sûr pas tout référencé, tellement il y a de liens américains parlant de tout ça.

J'ai lut que Météosat faisait la même chose. Mais beaucoup moins de références sur le net. Secret défense ?

PS : Merci js13120 au passage

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D'abord Al machin, il a lu ça dans la texte de Damien :

Lightning sensors have flown in low-Earth (LEO) orbit but not yet in geosynchronous orbit.

ce qui contredit l'article wiki cité par Damien en dédut de discussion et qui prétend des systèmes embarqués sur les géosatationnaires et autres défilants.(les LEO sont les vols stratosphériques U2 et sont loin d'atteindre les 800km d'altitude))
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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

D'abord Al machin, il a lu ça dans la texte de Damien :

ce qui contredit l'article wiki cité par Damien en dédut de discussion et qui prétend des systèmes embarqués sur les géosatationnaires et autres défilants.

(les LEO sont les vols stratosphériques U2 et sont loin d'atteindre les 800km d'altitude))

J'abandonne. Je te comprend pas du tout Gombervaux. "Wiki", "lien cités" "al machin" "LEO" "qui prétend" default_laugh.png Si quelqu'un veut m'expliquer ce qu'il veut dire...

En tout cas, je sais (et j'affirme) que des cartes avec les résultats existent, comme je disais au début. Maintenant pour les retrouver, dans toute la faune du net. C'était y'a quelques années que j'avais vu ça...

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En tout cas, je sais (et j'affirme) que des cartes avec les résultats existent, comme je disais au début. Maintenant pour les retrouver, dans toute la faune du net. C'était y'a quelques années que j'avais vu ça...

Bien sûr peut être même avant 1998. default_laugh.pngDonc j'en reviens à ma première proposition:

Si ces cartes montrent un déficit, et en particulier sur une zone non fréquentée, c'est peut-être qu'il y manque des points de mesure (réguliers)!

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Bien sûr peut être même avant 1998. default_laugh.png

Donc j'en reviens à ma première proposition:

Si ces cartes montrent un déficit, et en particulier sur une zone non fréquentée, c'est peut-être qu'il y manque des points de mesure (réguliers)!

lightningmap_large.gif

http://science.nasa.gov/newhome/headlines/...ix/feb22_23.gif

Images via OTD et LIS

Et il y en a beaucoup beaucoup d'autres, puisqu'il s'agissait d'une vaste campagne d'observation... d'ailleurs j'ajouterais qu'il n'y a rien d'étonnant à ce phénomène, la stabilité statique est bien trop importante en BC près des pôles et c'est d'ailleurs la raison pour laquelle avec le paramètre de coriolis il y a autant tourbillon potentiel élevé en BC dans ces zones polaires.

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