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Le phytoplancton souffre du réchauffement climatique


david3
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Messages recommandés

Epoustoufflant ! Partout où ça chauffe, la productivité décroit, et partout où ça se refroidit, la productivité augmente. Et on s'attend à un réchauffement global encore plus important dans les années à venir...

Reprends ton souffle. Surtout qu'avec tes animations, cela donne le tournis. C'est pour l'effet hypnose que tu les as choisies default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

Donc tu confirmes et de manière "époustouflante", la baisse de productivité est liée au réchauffement ? De l'eau je suppose ? J'avais cru comprendre que c'était plus compliqué que cela. Et tu parles de quelles zones ? Quand cela chauffe en haute latitude, cela décroît pareillement qu'en moyenne ou basse latitudes par exemple ?

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c'est amusant

un joli joujou

pas grand chose

Tu dois bien être le seul à trouver cette situation amusante. La Terre, un joujou ?
cela frise l'escroquerie

Cela frise la diffamation
obscures revues

Science, Nature, une étude de la NASA.
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NB - La circulation de Walker s'est ralentie de 3,5 % entre 1861 et 2000.

Ouf l'hypnose a cessé son effet.

3,5 % ? Vecchi, Soden et al sont sûr de leur chiffre, certes obtenu avec un modèle de "dernière génération" ? Cela doit être assez intéressant le contrôle de la simulation à partir des données 1860-1950. Quand on voit le degré d'adéquation des modèles et des réanalyses sur la période récente et sur des paramètres précis de circulation, je confesse un doute hyperbolique sur 140 années de reconstruction de la cellule de Walker avec une variation de cet ordre de grandeur.

Mais bon, je pense que c'est une stratégie rhétorique pour rappeler qu'il y a toujours pire que neuf années de chlorophylle (enfin... de spectres lumineux) vue par satellite default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

PS : vas y David, remets 10 schémas pour noyer le plancton et gagner une page default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Donc tu confirmes et de manière "époustouflante", la baisse de productivité est liée au réchauffement ?

Non, je ne "confirme" rien, pas plus que tu n'infirmes : chacun sa place.J'observe par contre une forte corrélation entre ton agressivité et l'augmentation des preuves des conséquences du réchauffement anthropique.

Gene Carl Feldman (océanographe, NASA's Goddard Space Flight Center ) :

The evidence is pretty clear that the Earth’s climate is changing dramatically, and in this NASA research we see a specific consequence of that change

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Climat. Une équipe américaine pointe les effets d'une hausse des températures sur le plancton, premier élément de la chaîne alimentaire.

En se réchauffant, l'océan deviendrait moins nourrissant

http://www.liberation.fr/actualite/sciences/221935.FR.php

Réchauffé, l'océan sera-t-il aussi productif qu'aujourd'hui ? A cette question inquiétante ­ la mer nourrit en effet des centaines de millions d'hommes (1) ­, une équipe d'océanographes américains apporte un nouvel élément de réponse négatif. Publiée hier dans la revue Nature, l'étude de Michael Behrenfeld (de l'Université d'Oregon) et ses collègues s'appuie sur l'observation satellitaire de la couleur des océans, témoin de l'intensité de la vie planctonique. Conclusion : dès que la température de surface des océans tropicaux et de moyenne latitude s'élève, le phytoplancton ­ formé de minuscules algues et premier élément de la chaîne alimentaire océanique ­ décroît.

«Upwelling». Les océanographes ont utilisé l'énorme flux de données du satellite SeaWiFS de la Nasa qui enregistre en continu la couleur des océans depuis 1997. Une technique qui permet de remonter à la biomasse totale du phytoplancton et à la production chlorophyllienne. Cette dernière est d'abord déterminée par la lumière et la disponibilité des éléments nutritifs (azote, phosphate, fer) apportés par la proximité des terres ou des courants remontant du fond de l'océan (upwelling). L'évolution comparée des températures de surface et de la biomasse permise par SeaWiFS montre sans ambiguïté la relation entre les deux. Alors que les premières années d'observation (1997-1998) sont marquées par une vigoureuse Niña ­ vents et courants poussant l'eau de surface du Pacifique tropical vers l'Indonésie, ce qui accentue l' upwelling près des côtes andines ­, SeaWiFS observe une production de plancton supérieure à la moyenne. Puis, lorsque les conditions s'inversent, avec une couche de surface plus chaude et moins d' upwelling, la production diminue. Sur cette base, les océanographes craignent que les océans tropicaux et tempérés d'une Terre réchauffée, où la circulation profonde sera ralentie par une couche de surface plus chaude, soient moins productifs. Seuls les océans arctique et antarctique pourraient, à l'inverse, l'être davantage car la réduction du brassage des eaux aurait là un effet positif en concentrant plancton et sels nutritifs dans la zone éclairée.

Carapace. «C'est la première tentative de prédiction de l'évolution de la production primaire de l'océan dans un climat plus chaud», précise Paul Tréguer (océanographe à l'Université de Brest dans le Finistère). Cependant, à son avis, elle ne suffit pas pour répondre la question initiale. Il va falloir affiner l'analyse, en cherchant à mesurer et à anticiper les réactions des différentes espèces de plancton (coccolithophoridés, diatomées, cyanobactéries) pour dépasser l'approche globale des océanographes américains. Une différenciation nécessaire puisque, souligne Tréguer, «la diminution du pH de l'eau en raison d'un océan plus riche en CO2 pourrait perturber la croissance du phytoplancton à carapace calcaire (coccolithophoridés)».

Sels nutritifs. Quant à la possible réaction positive dans l'océan austral, elle pourrait receler une mauvaise nouvelle : «Actuellement, cet océan exporte vers les tropiques de grandes quantités de sels nutritifs non utilisés, qui contribuent notamment aux importantes pêcheries au large du Pérou, de la Namibie et jusqu'à la Mauritanie, fondées sur des upwellings. Si cet apport est plus pauvre en sels nutritifs, ceci ne sera pas sans conséquence sur la productivité biologique de ces zones

Si l'incertitude reste grande sur les conséquences du changement climatique dans les océans, ce nouvel élément souligne l'importance des risques encourus par la chaîne alimentaire... et donc par les hommes qui dépendent de l'exploitation des ressources vivantes.

(1) Lire Libération du 11 novembre.

Le journaliste de Libération limite son exposé à 1997-1998 alors que l'étude porte sur toute la decennie et que d'autres processus physiques que l'upwelling sont en jeu (mixed-layer dynamics etc.).

Global warming will stifle [étouffer] oceans: scientists

http://today.reuters.co.uk/news/articlenew...-CLIMATE-DC.XML

Revue de presse Google :

http://news.google.fr/news?hl=en&ned=u...;ncl=1111776596

Emiliania_huxleyi_3.jpg

Les Coccolithophoridés sont des algues unicellulaires. Chaque cellule vivante (coccosphère) est entourée d’un test de forme sphérique (5 à 35 µm de diamètre environ) constitué d'un assemblage de plaquettes calcaires (et - ou aragonitiques) appelées " coccolithes ".

http://www.mnhn.fr/mnhn/geo/Collection_Mar...coccolithes.htm

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J'observe par contre une forte corrélation entre ton agressivité et l'augmentation des preuves des conséquences du réchauffement anthropique.

Non, tu as bon sur une des séries de la corrélation, pas l'autre default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

Des "preuves" comme cela, j'en redemande au contraire dans chaque numéro de Nature. Tu auras peut-être remarqué que la défense de cette étude déterminante, en dehors de ta vigueur à souligner les malheurs de notre pauvre monde, n'attire que d'assez molles réactions. Je te conseille de relire la discussion sans préjugé, tu verras sans doute pourquoi.

Tu peux aussi faire une recherche Google Scholar "temperature+phytoplankton" et "CO2+phytoplankton", faire une petite synthèse des études peer-reviewed que tu vas trouver. Tu comprendras aussi pourquoi il faut mettre en contexte les nouvelles mesures satellitaires assez incertaines sur cette "chose" assez complexe que l'on appelle le vivant.

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Je crois qu'il faut replacer dans son contexte la diminution de croissance du phytoplancton, poncif ékulé(1) des réchauffagistes.

En effet :

1) observer une corrélation entre la température de l'océan et la croissance du phytoplancton ne signifie pas nécessairement relation de cause à effet. De plus, il faut regarder les ordres de grandeur des températures, et voir si les corrélations de variations constatées sont bien reproduites en laboratoire. J'en doute un peu.

2) En admettant une relation de cause à effet, moi, je serais le plancton, j'irai me développer dans les régions où je trouve la température idéale (il y a un grand choix de position entre l'équateur et les pôles...)

3) En réalité, ce fameux phytoplancton est une cible favorite des réchauffagistes, car cet animal a 2 défauts constatés :

I) il croît d'autant mieux que le taux de CO2 est plus élevé

II) default_cool.png il produit indirectement du sulfate de diméthyle (DMS) sous la forme d'aérosols sulfatés qui ont un effet refroidissant bien connu.

Il importe donc de "tuer" cet empêcheur de réchauffer en rond par les GES.

(C'est comme l'amour : "les réchauffagistes ont des raisons que la raison ne connait pas".

Ou encore : "qui veut tuer son plancton l'accuse de dépérir par chauffage"...)

(1) Je met "ékulé" car ce default_mad.gifdefault_devil.gifdefault_w00t.gifdefault_devil.gifdefault_devil.gif de correcteur automatique pressent une grossièreté...

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Je n'ai pas besoin de tes conseils personnalisés : donne ton avis sur les conséquences actuelles et à venir du réchauffement, c'est suffisant.

Proverbe chinois : Les bons conseils pénétrent jusqu'au coeur du sage ; il ne font que traverser l'oreille des sots.
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Pause dans la discussion :

La FAO dans Le changement climatique et l'avenir des pêcheries régionales

ne montre pas ces signes d'affollement.

La baisse annoncée de production de phytoplancton dans la dépêche de Canoë est de 0,04 % !

Quelle précision !

Il faudra un papier plus que détaillé pour étayer cela.

L'article de Libération est plus clair que la dépêche reprise par Canoë.

Tout part d'observations régionales de la Niña : quand elle s'arrête, la production de phytoplancton diminue. C'est bien connu des pêcheurs.

En déduire que :

«Sur cette base, les océanographes craignent que les océans tropicaux et tempérés d'une Terre réchauffée, où la circulation profonde sera ralentie par une couche de surface plus chaude, soient moins productifs.»

serait appliquer les caractéristiques d'un régime transitoire à un régime permanent.

Bref, heureusement qu'il y a le "craignent" sinon les physiciens peuvent se rhabiller.

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1 charles nous dit que la mesure est bonne à 33% et qu'on ne peut donc pas déterminer un signal d'évolution. Il oublie de dire que la précision concernne une mesure individuelle et qu'il est , là, question de milliers de mesures. Son argument n'est pas très pertinent et puisqu'il est de formation biologique, je suppose qu'on doit bien pouvoir trouver des équivalents en bilogie d'un paramètre déterminé à 30% près mais dont on détermine une sensibilité de qq % à la température par exemple .

Outre ce qui a été dit plus haut, je reviens rapidement sur ta suggestion de comparaison d'un champ à l'autre. Parce que tu as raison, c'est sans doute assez éclairant pour nos lecteurs qui ne suivent ni la biologie ni la climatologie en détail, mais voient passer les communiqués du labo où le journaliste de connivence a juste changé deux virgules.

Pour moi, voilà ce que la chlorophyllie satellitaire donnerait en biologie

Communiqué

"Une nouvelle étude d'imagerie cérébrale révèle que la boulimie est inscrite au coeur même de notre cerveau. Une avancée majeure pour comprendre et guérir ce terrible mal frappant 1% de la population"

Analyse de l'étude

Imagerie cérébrale = PET scan. Bof, la TEP a une résolution spatiale très grossière.

Zone activée dans le cerveau = Bof, on voit sur les scan un différentiel d'activation selon certaines aires, mais pas clairement quantifié.

Nombre de sujets : 12. Bof, c'est encore coûteux l'imagerie, mais avec 12 sujets on ne fait pas grand chose.

Durée de l'étude : un mois (test, retest). Bof, le cerveau cela peut bouger, pour différentes raisons, surtout sur une pathologie multifactorielle au long cours comme la boulimie.

Conclusion et correction du communiqué

On a une étude préliminaire indiquant une éventuelle zone d'intérêt dans le cerveau des patients boulimiques. On va d'abord vérifier sa pertinence par d'autres techniques d'imagerie sur un plus grand nombre de patients. Si l'on a vérifié la corrélation, on va creuser pour comprendre la place de cet indice dans l'étiologie de la pathologie. En tout état de cause, on n'a pas compris grand chose ni encore moins guéri ce mal qui n'est d'ailleurs pas si terrible.

Tu as à peu près dans ce cas imaginaire (mais ô combien réaliste) tous les équivalents de l'étude dont on parle : une technique grossière, une variation pas claire, un échantillonage limité et/ou court, un phénomène complexe, aucune analyse détaillée des chaînes de causalité.

Comme il m'arrive de rédiger des communiqués pour des camarades biologistes, crois-moi que je mesure assez le chemin de la coupe aux lèvres et de l'étude au média default_mad.gif

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Proverbe chinois : Les bons conseils pénétrent jusqu'au coeur du sage ; il ne font que traverser l'oreille des sots.

Conseil d'un chasseur : pour chasser le lapin, mettez-vous derrière un arbre et imitez le cri de la carotte !Pierre Doris

moi, je serais le plancton, j'irai me développer (...)

Derrière une carotte ? default_mad.gif
il produit indirectement du sulfate de diméthyle (DMS) sous la forme d'aérosols sulfatés qui ont un effet refroidissant bien connu.

Donc, en suivant ta logique : réchauffement...> moins de plancton...> moins de DMS...> rétroaction-positive (= encore plus de réchauffement)
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II) default_mad.gif il produit indirectement du sulfate de diméthyle (DMS) sous la forme d'aérosols sulfatés qui ont un effet refroidissant bien connu.

Le DMS, mais c'est quoi cela ? Les aérosols, quel rapport ? Ah, le truc dont on parle un peu dans l'avant dernier Science, en montrant d'ailleurs que le DMS n'est pas le seul facteur en jeu dans les aérosols d'origine biologique et que les variations impliquées sont équivalentes à l'effet indirect des aérosols anthropiques en zone polluée.

Ben oui mais il n'y a pas de communiqué, ce n'est donc pas pertinent. C'est encore le enième "détail sceptique" qui ne représente rien, peut-être 0,5% des variations attendues. C'est vrai que 100 fois 0,5%, cela fait 50%. Mais c'est quand même du détail, rien à voir avec la solidité de notre magnifique modèle montrant l'importance centrale des GES, et la montrant d'autant mieux que pas mal de facteurs très incertains comme ce genre de détail ont été éliminés pour ne pas compliquer les calculs...

Science 1 December 2006:

Vol. 314. no. 5804, pp. 1419 - 1423

DOI: 10.1126/science.1131779

Phytoplankton and Cloudiness in the Southern Ocean

Nicholas Meskhidze1*{dagger} and Athanasios Nenes1,2

The effect of ocean biological productivity on marine clouds is explored over a large phytoplankton bloom in the Southern Ocean with the use of remotely sensed data. Cloud droplet number concentration over the bloom was twice what it was away from the bloom, and cloud effective radius was reduced by 30%. The resulting change in the short-wave radiative flux at the top of the atmosphere was –15 watts per square meter, comparable to the aerosol indirect effect over highly polluted regions. This observed impact of phytoplankton on clouds is attributed to changes in the size distribution and chemical composition of cloud condensation nuclei. We propose that secondary organic aerosol, formed from the oxidation of phytoplankton-produced isoprene, can affect chemical composition of marine cloud condensation nuclei and influence cloud droplet number. Model simulations support this hypothesis, indicating that 100% of the observed changes in cloud properties can be attributed to the isoprene secondary organic aerosol.

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Merci Charles d'insister sur ce point (tu as raison, ce n'est pas un détail) :

réchauffement...> moins de phytoplancton...> moins de DMS...> rétroaction-positive (= encore plus de réchauffement)

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Merci Charles d'insister sur ce point (tu as raison, ce n'est pas un détail) :

réchauffement...> moins de phytoplancton...> moins de DMS...> rétroaction-positive (= encore plus de réchauffement)

Je t'en prie.

Il faut être plus fidèle que cela aux articles que tu cites. Le premier terme de ton raisonnement est déjà bien trop simplifié, rappelle-toi que c'est la raison pour laquelle l'amicale de la chlorophylle 66% ne donne pas une vulgaire corrélation SST / NPP.

Cela donne plutôt :

réchauffement...> ?

pression... > ?

flux... > ?

nébulosité... > ?

upwelling / thermocline... > ?

couche limite mélangée... > ?

THC... > ?

poussières/aérosols... > ?

cycle solaire... > ?

...

(jusqu'au barycentre si besoin)

Et bien sûr, je te laisse le soin d'ajouter les paramètres biologiques pertinents pour un modèle biosphère océanique, paramètres qui sont sans doute à peu près aussi nombreux. Après, on commencera ensemble à faire tourner ce beau modèle. J'ai quelques craintes sur un crash dès 2013 pour les simulations, mais on demandera des barrettes mémoire à un mécène. Tiens, le CEA default_dry.png

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Et bien sûr, je te laisse le soin d'ajouter les paramètres biologiques pertinents pour un modèle biosphère océanique

Des scientifiques compétents (qui travaillent en équipe et qui ont du bon matériel) le font déjà.

Chacun son niveau Charles default_blink.png

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A noter le projet européen (ESA) GlobalColour :

http://www.globcolour.info/

Sur le même thème de l'analyse des SST et de la chlo.

On remarquera que la base SeaWiFS dont les résultats préliminaires font tant de bruit ne sera qu'une des quatre bases de données pour obtenir les résultats.

On espère donc que cela sera un peu plus précis.

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