alex027 Posté(e) 30 août 2006 Partager Posté(e) 30 août 2006 Croyez vous, pour ce qui ont vu le film LE JOUR D'APRES ,que ce qui se passe pourrait arriver un jour ?si oui pourquoi si non pourquoi? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Damien49 Posté(e) 30 août 2006 La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire) Partager Posté(e) 30 août 2006 /index.php?showtopic=3730&hl=d%27apr%E8s'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?show...l=d'apr%E8s Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
XAV74 Posté(e) 31 août 2006 Partager Posté(e) 31 août 2006 C'est quoi le lendemain du jour d'aprés ???? Le surlendemain /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 31 août 2006 Partager Posté(e) 31 août 2006 Le jour d'Après porte sa tare fondamentale dans son titre lui-même. En effet la rapidité du phénomène de refroidissement tel qu'il est décrit dans ce film demanderait, pour se produire, une quantité de frigories impossible à trouver en un temps aussi court. Ces frigories (au moins pour partie) sont disponibles sur l'Antarctique et au Groenland mais elles n'ont aucune raison de se diffuser aussi rapidement dans les plus basses latitudes. Il en est de même des frigories disponibles dans la haute troposphère qui, même si on imaginait un mécanisme les faisant se mélanger aux couches atmosphériques plus basses (vortex) n'en seraient pas capables pour autant de faire baisser la température dans des proportions telles que les hommes gèlent en quelques secondes. Pas mal de frigories sont disponibles au fond des océans, mais un arrêt de la THC conduirait plutôt à les laisser là. Si on veut être indulgent vis à vis de ce film (ou livre) on pourrait y trouver une illustration hyper-exagérée des changements climatiques abrupts du passé. Encore que ces derniers se sont produits dans des phases de déglaciation. On pourrait également y trouver une illustration encore plus exagérée d'un effet innatendu du réchauffement climatique conduisant à un arrêt du GS (pour faire simple) et donc à un refroidissement du climat hivernal de l'Europe du Nord et scandinave. Mais on ne fait pas de bonnes recettes commerciales en étant rigoureux sur le plan scientifique, en général. Ceci dit le film apporte quelques rares infos sur le travail des climatologues de terrain (et de bureau). On voit en particulier certaines relations avec les hommes politiques (sceptiques) , le travail, ingrat, de collecte de données sur la banquise (ou inlandsis), ... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean-Séb Posté(e) 1 septembre 2006 Partager Posté(e) 1 septembre 2006 Bonjour, Le film "le jour d'après" n'a d'ailleurs pas grand chose à voir avec le livre. Le film n'a clairement aucun intérêt : il est même totalement contre productif car, par sa grossièreté scientifique, il contribue à ne pas faire prendre conscience des problèmes très graves du changement climatique, en en faisant une super fiction, et donc un "thème fiction". Par contre, le livre, qui comporte des raccourcis, a un intérêt : il tente de se poser la question de phénomènes violents dans l'histoire du monde et de l'humanité, à travers les énigmes posées par des découvertes géologiques, archéologiques, paléontologiques curieuses. Cela ne veut pas dire que le GS ait causé tout cela, bien entendu (attention aux raccourcis). La leçon que j'en tire est que l'évolution climatique de la planète, causée ou pas par l'homme, peut être ponctuellement violente. Elle l'a été et elle le sera. L'histoire de la terre -et de l'avenir de l'humanité- n'est pas celle d'un long fleuve tranquille... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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