geoengineering

[Invité]

Paru dans le New York Times un article assez intéressant concernant la science des modifications volontaires du climat.

Ce n'est pas la première fois que j'écris à ce sujet mais ce qui est nouveau c'est que des chimistes de l'atmosphère confirmés comme Paul J. Crutzen, prix Nobel de son état, commencent à proposer des solutions telles l'injection de sulfates dans la stratosphère.

Bien que présentant des inconvénients et ne passionnant guère les gouvernants, cela reste une voie à explorer très sérieusement.

voir également cet article de Realclimate à ce sujet.

[holon]

Bien que totalement opposé à cette option, je pense que nous devrions l'intégrer à certains modèles pour voir combien de répit cette solution nous donnerait en cas de réchauffement catastrophique avéré. La connaissance de la valeur du forçage des sulfates n'étant, bien entendu, pas suffisante pour envisager cette option en dernière extrémité.

[Invité]

Bien que totalement opposé à cette option, je pense que nous devrions l'intégrer à certains modèles pour voir combien de répit cette solution nous donnerait en cas de réchauffement catastrophique avéré. La connaissance de la valeur du forçage des sulfates n'étant, bien entendu, pas suffisante pour envisager cette option en dernière extrémité.

Oui il faudrait attendre la sortie, pour le grand public, de l'étude de Crutzen.(en principe en août)

Afin de savoir s'il a pété les plombs, a voulu se faire de la pub (bien qu'il soit déjà Nobel), ou s'il apporte des choses enfin plus quantifiées concernant ce qui reste du domaine du rêve ou du cauchemar, c'est selon.

Il ne faudrait pas non plus que certains s'en servent pour ne rien faire concernant les GES.

C'est le risque.

Concernant le répit, il dépendra des possibilités techniques et du coût, car il semble, d'après ce que dit RC, que les sulfates, même stratosphériques, n'aient pas une durée de vie bien supérieure à 2 ans.

Ce n'est donc pas très enthousiasmant.

[anecdote]

Paru dans le New York Times un article assez intéressant concernant la science des modifications volontaires du climat.

Ce n'est pas la première fois que j'écris à ce sujet mais ce qui est nouveau c'est que des chimistes de l'atmosphère confirmés comme Paul J. Crutzen, prix Nobel de son état, commencent à proposer des solutions telles l'injection de sulfates dans la stratosphère.

Bien que présentant des inconvénients et ne passionnant guère les gouvernants, cela reste une voie à explorer très sérieusement.

voir également cet article de Realclimate à ce sujet.

Alors ça y est, on va jouer aux apprentis-sorciers ?Ce qu'il faudrait surtout à ces scientifiques, c'est de l'humilité.