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Et si le réchauffement climatique ne se produisait pas ?


florent76
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Et si le réchauffement climatique tant décrié ne se produisait pas ?

Jennifer Sochez le 2/1/2006

"Au lendemain de la Conférence sur le climat de Montréal, c'est une question écologiquement incorrecte. Mais comment taire le témoignage qu'expose Brigitte Van Vliet-Lanoë, directrice de recherche au CNRS, dans son livre « La planète des glaces » (Vuibert) ?

Après avoir sillonné l'Islande, la Sibérie et le Canada, elle a acquis la conviction que nous ne sommes pas guettés par la canicule permanente, mais bien par le froid et la glace.

Cette pédologue a passé une partie de sa carrière à reconstituer l'histoire des sols du Grand Nord. Et ce qu'elle y voit, c'est une tendance à l'aridification, une situation presque identique à celle qui existait juste avant le dernier âge glaciaire, il y a 110 000 ans.

Pour justifier l'augmentation de température, Brigitte Van Vliet-Lanoë accuse tout d'abord le Soleil, « la principale source d'énergie de notre planète », qui rayonne davantage depuis quelques années. Elle lui attribue 60 % du réchauffement. Or notre bel astre semble vouloir se calmer, ce qui ferait craindre un nouveau petit âge glaciaire, voire une nouvelle glaciation ".

Lire la suite ici : http://www.lepoint.fr/sciences/document.html?did=171981

Up to date : suite à un échange de mel, voici ce que Brigitte Van Vliet-Lanoë nous a répondu :

"Je rentre de 2 missions en haut Arctique pour faire un bilan 1981-2005: où est le réchauffement cataclysmique annoncé?? Je termine en général mon enseignement sur ces problèmes!

Un mot: l'effet de serre en Europe est lié à 70% .... à la vapeur d'eau , le premier gaz à effet de serre ! "

Florent.

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Dans le liens http://www.lepoint.fr/sciences/document.html?did=171981 que tu nous mets il y a :

Climat

Montréal souffle le chaud et le froid

Le Point 15/12/05 - N°1735 - Page 26 - 260 mots

Cet article est payant.

Pour le consulter vous pouvez :

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N° d'abonné Mot de passe

donc pour voir la suite où faut il aller comme les autres a droite nous parle surtout "du rechauffement" ou bien "qu'il faut refroidir la Terre" ?

Si non suivant que tu dis "Pour justifier l'augmentation de température, Brigitte Van Vliet-Lanoë accuse tout d'abord le Soleil, « la principale source d'énergie de notre planète », qui rayonne davantage depuis quelques années. Elle lui attribue 60 % du réchauffement. Or notre bel astre semble vouloir se calmer, ce qui ferait craindre un nouveau petit âge glaciaire, voire une nouvelle glaciation ". ceci a certainement un lien avec le barycentre du systeme solaire comme je l'avais demontre.

Williams

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Dans le liens http://www.lepoint.fr/sciences/document.html?did=171981 que tu nous mets il y a :

Climat

Montréal souffle le chaud et le froid

Le Point 15/12/05 - N°1735 - Page 26 - 260 mots

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N° d'abonné Mot de passe

donc pour voir la suite où faut il aller comme les autres a droite nous parle surtout "du rechauffement" ou bien "qu'il faut refroidir la Terre" ?

Si non suivant que tu dis "Pour justifier l'augmentation de température, Brigitte Van Vliet-Lanoë accuse tout d'abord le Soleil, « la principale source d'énergie de notre planète », qui rayonne davantage depuis quelques années. Elle lui attribue 60 % du réchauffement. Or notre bel astre semble vouloir se calmer, ce qui ferait craindre un nouveau petit âge glaciaire, voire une nouvelle glaciation ". ceci a certainement un lien avec le barycentre du systeme solaire comme je l'avais demontre.

Williams

L'article est payant malheureusement... Quelqu'un aura peut-être ce numéro du Point sur Infoclimat...Sinon, effectivement et probablement en lien avec les données barycentrique du système solaire, l'activité de celui-ci devrait diminuer dans les prochaines années... Par de là, on va vite savoir ce qu'il reste du réchauffement climatique...

Florent.

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Bon, je refuse de céder à la provocation. Et je ne m'énerve pas.

Je peux envoyer à ceux qui le désirent (si ils me fournissent leur adresse postale évidement, par MP), le CR du colloque du CSM "Changement climatique, le probable, le possible et l'improbable". evidement, c'est pas du Marcel...

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Bon, je refuse de céder à la provocation. Et je ne m'énerve pas.

Je peux envoyer à ceux qui le désirent (si ils me fournissent leur adresse postale évidement, par MP), le CR du colloque du CSM "Changement climatique, le probable, le possible et l'improbable". evidement, c'est pas du Marcel...

Heu....pourquoi dire que le réchauffement climatique n'est peut-être pas réel serait de la provocation ?? default_sleeping.gifNe serait ce plutôt pas du débat ?? je ne prends pas position sur le fond mais sur la forme... default_clover.gif
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Tentons une réponse posée pour ne pas casser net ce sujet polémique...

Je crois qu'on ne peut pas remettre en question le réchauffement climatique, car il est déjà observé. Après on peut toujours discuter sur les causes et l'évolution.

Il est quand même très probable que l'augmentation des GES dans l'atmosphère soit un resposable, sinon le principal, mais le rôle du Soleil n'est pas à oublier.

je crois aussi que la vapeur d'eau est le principal GES, mais le cycle de l'eau n'a rien à voir avec le cycle du carbone.

Pour l'évolution, il n'y a aucune certitude actuellement, que des probabilités. Ce n'est pas une raison pour choisir la solution qui nous arrange comme le gouvernement américain. Le principe de précaution aurait tendance au contraire à choisir la solution qui nous pose problème. Personne n'a affirmé que dans 50 ans les canicules auront effectivement pris le pas sur le climat tempéré. Dans le même sens, on ne peut affirmer que la glaciation prendra le pas sur le réchauffement actuel.

Il ne faut pas donc prendre cette conviction comme l'argument pour dire que le réchauffement climatique c'est du pipeau, ce que certains seraient évidemment tentés. Je ne suis pas expert en la matière, mais si ces théories sont fondées, il peut être intéressant de les discuter, objectivement.

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Bon, je refuse de céder à la provocation. Et je ne m'énerve pas.

Je peux envoyer à ceux qui le désirent (si ils me fournissent leur adresse postale évidement, par MP), le CR du colloque du CSM "Changement climatique, le probable, le possible et l'improbable". evidement, c'est pas du Marcel...

Ta réaction est intéressante Marco ! Ce n'est en tout cas nullement de la provocation. La pensée unique n'est pas démocratique et n'a jamais fait avancé la science : toutes les idées doivent s'exprimer. Je publie autant les bons articles éclairant les hypothèses du réchauffement par les gaz à effet de serre, que par d'autres hypothèses du moment qu'il s'agit d'une réflexion menée scientifiquement.Il me semble que nous avons ici affaire à une scientifique du CNRS (on ne peut pas l'accuser de travailler pour un lobby) et qui en plus est travaille directement sur le terrain en Arctique et y a voué sa vie, ce qui remarquable et n'est pas le cas de tous : son avis peut-être plus qu'instructif, non ?

Florent.

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Enjeu de l’étude du pergélisol et prospective

L’étude du pergélisol est un enjeu international, en raison de la surface affectée par ce phénomène dans l’hémisphère nord en Amérique et surtout en Sibérie, mais également dans les zones de montagne tempérées : environ 25 millions de km2, soit de l’ordre de 25% des terres émergées rien que pour cet hémisphère ! C’est une zone très sensible en cas de réchauffement climatique en raison non seulement des quantités de glace stockées dans le sous-sol, mais également celles de méthane sous forme d’hydrates gazeux ou celles de tourbes susceptibles d’être biodégradées en cas de disparition du pergélisol. C’est également une zone clef d’un point de vue biodiversité en raison de la préservation de souches anciennes de bactéries dans le pergélisol tertiaire de Sibérie. Un réchauffement climatique libérerait une surface agricole non-négligeable pour l’humanité, mais modifierait également de manière considérable l’hydrologie de l’hémisphère nord. Ceci dit, le pergélisol est un “ dur à cuire ” et le réchauffement actuel sensible surtout en milieu hypercontinental ne l’affecte que superficiellement ; au contraire, il s’épaissit dans le secteur péri-atlantique Nord, comme le montre la croissance des coins de glace, ce qui est bien reflété par la modélisation climatique présentée par H. Le Treut. Par contre, à l’inverse, en Yakoutie, l’essentiel de la fonte du pergélisol est d’origine anthropique régionale et est lié au défrichement forestier : Les Yakoutes, embourbés par cette dégradation importante du pergélisol, alias le thermokarst, rêvent d’un nouveau Petit Age Glaciaire…

Une coordination des recherches est assurée par l’Association Internationale du Pergélisol (IPA) (www.soton.ac.uk/ipa) avec un certain nombre de programmes à visée climatique tels que ITEX, CALM, PACE et surtout le Global Geocryological Database (nsidc@kryos.colorado.edu). Des cartes de la répartition actuelle du pergélisol et des cryosols peuvent être obtenues à l’US Geological Survey ( ftp://ftp.ngdc.noaa.gov/Snow_Ice/permafrost/IPA_map/ ).

En France, ces études ont été supportées en partie par les financements de GDR dans le cadre du CNRS, de l’INSU-CNRS et de l'IFRTP.

Source : http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosclim/rec...pergelisol.html

Florent.

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Posté(e)
Remiremont - Porte des Hautes Vosges (400 m)

Quand on pense que le président Russe, V. Poutine envisage de développer la céréaliculture en Sibérie default_ohmy.png/emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> !

Ah la belle affaire! default_sick.gif

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Bonsoir à tou(te)s,

Encore une fois, il faut repéter que le réchauffement climatique n'est pas une hypothèse, c'est une CERTITUDE qui repose sur des MESURES. Celles et ceux qui nient le réchauffement doivent pouvoir expliquer pourquoi et en quoi les mesures sont FAUSSES! On ne peut pas sortir de là. A ce propos, à ce que je sais, l'effet urbain (ex. : comparaison des températures mesurées dans le petit village de campagne qu'était Toronto au XIXè siècle, et actuellement) est pris en compte et corrigé.

Maintenant, le fait que le réchauffement soit dû à l'augmentation des GES est fort probable, mais c'est vrai qu'intrinsèquement ce n'est pas certain à 100% (disons seulement à 98-99%).

Est- ce que le réchauffement va se poursuivre? Là aussi on ne peut avoir strictement de certitudes absolues, mais on a quand même des arguments importants dans le sens que vous devinez!

Je ne sais pas trop ce que recouvre le propos de Brigitte, mais je suis un peu étonné quand même (je me demande s'il n'y a pas de l'extrapolation - simplification journalistique, souvent le pire ennemi des scientifiques). En tous cas je suis très curieux de remonter à la source.

Ce qui ne veut évidemment pas dire que le réchauffement est uniforme et linéaire, dans l'espace comme dans le temps.

Kriss 45

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Je ne sais pas trop ce que recouvre le propos de Brigitte

tu la connais personnellement?

Mais pour une chercheuse du CNRS qui étudie les sols arctiques, si j'ai bien compris, elle sait, la dame en question, que le Soleil est responsable de 60% du réchauffement constaté, ce qui n'est pas constaté par les mesures de rayonnement solaire et les estimations des différents forçages.

Elle devrait donner ses sources ou ses moyens d'évaluation, à supposer qu'elle en ait bien sûr.

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Son bouquin et l'article du point en cliquant sur le 3 ème trombone :

http://www.vuibert.com/livre1851.html

Merci beaucoup Christian !Je rappelle que le propos ici n'est aucunement de nier le réchauffement qui est un fait avéré ces dernières années. Ce qui le croient se trompent de débat. Le propos est de se demander si il s'agit d'un réchauffement durable ou d'une simple tendance à plus ou moins court terme impulsée plus par le soleil que par les hommes. Le GIEC comme vous pouvez le lire, n'est bien entendu pas d'accord étant donné que leur hypothèse de base est que les taux de CO2 et de divers GES font toute la différence...

Voici l'article en question :

Montréal souffle le chaud et le froid

Et si le réchauffement climatique tant décrié ne se produisait pas ? Au lendemain de la Conférence sur le climat de Montréal, c’est une question écologiquement incorrecte. Mais comment taire le témoignage qu’expose Brigitte Van Vliet-Lanoë, directrice de recherche au CNRS, dans son livre La planète des glaces (Vuibert) ? Après avoir silloné l’Islande, la Sibérie et le Canada, elle a acquis la conviction que nous ne sommes pas guettés par la canicule permanente, mais bien par le froid et la glace.

Cette pédologue a passé une partie de sa carrière à reconstituer l’histoire des sols du Grand Nord. Et ce qu’elle y voit, c’est une tendance à l’aridification, une situation presque identique à celle qui existait juste avant le dernier âge glaciaire, il y a 110 000 ans.

Pour justifier l’augmentation de température, Brigitte Van Vliet-Lanoë accuse tout d’abord le Soleil, « la principale source d’énergie de notre planète », qui rayonne davantage depuis quelques années. Elle lui attribue 60 % du réchauffement. Or notre bel astre semble vouloir se calmer, ce qui ferait craindre un nouveau petit âge glaciaire, voire une nouvelle glaciation.

Inutile de dire que ce scénario héétique est repoussé par le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). « La situation est bien différente de celle des précédentes périodes interglaciaires, prévient Pascale Braconnot, de l’Institut Pierre-Simon-Laplace. Par exemple, la teneur atmosphérique en gaz carbonique est largement supérieure. Donc, on ne peut pas affirmer que le climat tendra à nouveau vers un régime glaciaire ».

Froid ou chaud, la Terre est, de toute façon, condamnée au pire !

Frédéric Tourneur, Le Point, 15 décembre 2005

Florent.

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Je suis un très fort partisan sur le fait que le réchauffement global va et est en train de provoquer un refroidissement pour une multitude de raisons. Ces multides de raisons ne peuvent être expliquées en un seul post, c'est pourquoi, j'en ai créé tout un site.

Voici un nouvel élément qui va dans ce sens :

http://laterredufutur.com/html/modules.php...article&sid=221

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Pour justifier l’augmentation de température, Brigitte Van Vliet-Lanoë accuse tout d’abord le Soleil, « la principale source d’énergie de notre planète », qui rayonne davantage depuis quelques années. Elle lui attribue 60 % du réchauffement. Or notre bel astre semble vouloir se calmer, ce qui ferait craindre un nouveau petit âge glaciaire, voire une nouvelle glaciation.

C'est bien cette affirmation qui pose problème.

L'activité solaire a bien augmenté ces dernières décennies mais l'ordre de grandeur de son influence tel qu'affirmé par BVVL sur le réchauffement n'est absolument pas le même que celui admis par la majorité de la communauté scientifique internationale qui parle plutôt d'une fourchette de 10 à 20% .

Donc je le répète, qu'est-ce qui autorise BVVL à balancer ces 60%?

Un nouveau PAG serait évidemment possible si nous étions à des teneurs en GES identiques à celles de l'ère pré-industrielle et s'il était prévu une baisse de longue durée de l'activité solaire.

Concernant l'activité solaire, rien n'est démontré pour le futur immédiat.

Concernant les teneurs en GES, par contre, les démonstrations ne manquent pas.

Il en est de même pour l'influence comparée de la vapeur d'eau et des GES.

Enfin, on peut toujours inventer n'importe quoi, mais ce n'est certainement pas cette façon de faire qui peut faire avancer la Science.

Et je remarque au passage que BVVL partage tous les arguments classiques et non démontrés des négateurs du réchauffement.

Cela ne me rassure pas sur ses compétences et sur le CNRS.

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Je suis un très fort partisan sur le fait que le réchauffement global va et est en train de provoquer un refroidissement pour une multitude de raisons. Ces multides de raisons ne peuvent être expliquées en un seul post, c'est pourquoi, j'en ai créé tout un site.

Voici un nouvel élément qui va dans ce sens :

http://laterredufutur.com/html/modules.php...article&sid=221

Merci beaucoup pour cette contribution Sphinxfred... Très instructif. J'ai signalé d'ailleurs cette anomalie de température stratosphérique au dessus de l'Europe avec perte d'ozone.Lire : /index.php?s=&showtopic=12960&view=findpost&p=203458'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&s...ndpost&p=203458

Petit extrait de l'explication présentée sur ton site :

"La température de -86,8° C relevée dans la stratosphère au dessus des pays apporte la preuve que le jet polaire est très bas sur l'Europe. Les températures relevées aux sommets des ouragans Katrina et Rita apportaient les mêmes résultats. Nous avons ici une stratosphère anormalement froide. Serait ce le signe d'un futur changement climatique ? Des températures très froides dans la stratopshère font descendre le jet polaire vers le sud apportant son lot d'air très froid du nord. Ainsi il est normal de constater en plein hiver des températures négatives records.

Arrivée par l'Europe de l'Est (masse d'air polaire originaire de Sibérie) : la masse d'air garde son caractère d'origine car elle se déplace sur une surface froide et sèche. Cette masse d'air polaire continentale envahie alors l'Europe de l'Ouest et est à l'origine de vagues de froid intenses.

Déplacement de l'air polaire : Le temps associé est généralement clair et sec, avec occasionnellement des stratus ou stratocumulus dus à l'humidification des basses couches au dessus de la Baltique ou de la mer du Nord.

C'est dans le vortex polaire que l'ozone tend à disparaitre : ICI

Ce même vortex polaire qui connait des températures de -80° C dans la stratosphère et -35° au sol dans l'arctique. Le Vortex polaire actuel semble vraiment très bas quand on prend connaissance de ces informations.

Le phénomène du vortex polaire est expliqué ICI "

Pour lire tout l'article :

http://laterredufutur.com/html/modules.php...article&sid=221

Florent.

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En fait, dans aucune des pièces proposées par le lien ci dessus, ne figure le moindre commencement de début de démonstration... Une fois de plus, il s'agit de vendre un bouquin qui doit avoir du mal à trouver son public (et qui d'après "la Météorologie" ne parle pas de ça!)

En tout cas, de ce qui est affiché, on reconnait les vieilles thèses d'Haroun Tazief par exemple, plutot géologue lui aussi.

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Posté(e)
34230 Paulhan - Centre Hérault

Je suis convaincu que l'effet du Soleil est trés mal évalué, dans ces 10 à 20% que je porterais plutot à 30% en flux radiatif direct sur les 100 dernières années on ne considère justement que ce flux radiatif IR.

Or il y a d'autres paramètres, le plus connu est le taux d'UV qui lui descend bien plus bas en periode de basse activité que celui des IR, si les IR ne varient que de 0,1 à 0,2% par contre les UV eux varient de 7 à 8% dans un cycle de 11 ans classique, or les UV echauffent l'ozone stratospherique, une baisse du taux d'UV amene un refroidissement stratopsherique d'ou plus de gradient thermique d'altitude et plus de precipitations (car plus de condensation et donc moins de vapeur d'eau residuelle puisque condensée en nuages qui augmentent l'albedo, dans ce cas elle n'est plus un GES mais un anti GES sous cette forme) et notamment plus de cyclones aux basses latitudes, le NHC a ainsi expliqué les cyclones Vince Delta, Epsilon qui se sont formés sur des eaux à 23° bien en dessous des 26° requis habituellement.

Multiplication des cyclones = transformation partielle d'energie thermique en energie mecanique par les vents generés dans le phenomène convectif.

Ensuite le rechauffement en basses couches par les GES provoque aussi un refroidissement stratopherique par - de flux rayonné, cela evidemment n'est pas imputable au Soleil mais contribue aussi à aller dans l'autre sens.

On peut ajouter aussi que l'augmentation de ce gradient d'altitude a certainement aussi une influence sur la puissance du vortex polaire d'hiver.

Si on s'en tient à ces seuls paramètres je suis convaincu qu'on est trés au dessus des 10 à 20% dont tu parles.

Ensuite il y a sans doute aussi des paramètres autres qui ne sont pas connus, directs ou indirects liés à l'activité solaire qui participent à augmenter son action dans un sens ou dans l'autre.

Je ne vais pas emettre 36 hypohèses à ce sujet, tant que rien n'est demontré mais les deux parametres que j'ai ajoutés au simple flux IR venant du soleil modifient deja considerablement la donne.

C'est sans doute la conclusion à laquelle est arrivée la scientifique du CNRS en question.

Pour ce qui est des lobbyes pollueurs cela me fait assez sourire, ils auraient des ressources ad vitam eternam on pourrait s'inquieter masi on sait trés bien que deja la penurie est là tant en petrole qu'en gaz (la preuve la Russie peine à fournir à elle même et à ses clients or c'est elle qui a les plus grandes reserves), pour le petrole c'est encore plus critique en realité.

Donc qu'ils le veuillent ou non ils seront obligés de reduire car il n'y aura plus assez de ressources par rapport à leurs objectifs, seul problème la recession economique va s'ensuivre mais etait il raisonnable d'avoir une croissance economique exponentielle sur une Terre aux ressources limitée et inextensible? même le fameux "developpement durable" est une hérésie au regard de ces ressources, il y aura fatalement une recession durable avant d'arriver à un equilibre.

Croire le contraire est se bercer d'illusion comme des autruches.

Et tant mieux si on n'a pas reussi à faire de notre planète un enfer invivable, car c'est bien là que nous conduirait cette fameuse croissance economique et même ce "developpement durable".

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Je rappelle que le propos ici n'est aucunement de nier le réchauffement qui est un fait avéré ces dernières années. Ce qui le croient se trompent de débat. Le propos est de se demander si il s'agit d'un réchauffement durable ou d'une simple tendance à plus ou moins court terme impulsée plus par le soleil que par les hommes. Le GIEC comme vous pouvez le lire, n'est bien entendu pas d'accord étant donné que leur hypothèse de base est que le taux de CO2 fait toute la différence...

Du très grand n'importe quoi comme d'habitude.

Renseignes-toi un peu avant de balancer de telles énormités.

L'hypothèse de base du GIEC n'est pas que le CO2 fait tout.

J'ai déjà maintes fois montré ici les reconstructions des différents forçages effectuées et les mesures et calculs prouvent que le forçage solaire est bien inférieur au cours de ces dernières décennies au forçage des GES.

Alors les mesures et les calculs sont peut-être complètement faux mais il faut arrêter de dire des sottises sur de prétendues hypothèses de base du GIEC.

Ce débat n'est de plus pas nouveau mais plutôt éc*lé sur ce forum.

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Pour ce qui est des lobbyes pollueurs cela me fait assez sourire, ils auraient des ressources ad vitam eternam on pourrait s'inquieter masi on sait trés bien que deja la penurie est là tant en petrole qu'en gaz (la preuve la Russie peine à fournir à elle même et à ses clients or c'est elle qui a les plus grandes reserves), pour le petrole c'est encore plus critique en realité.

Il s'agit également d'une idée reçu, qui n'est pas validée par ce qu'on sait: les ressources en combustibles fossiles, au delà du pétrole, sont encore très loin de s'épuiser, et nous garantissent la possibilité de continuer à emettre du CO2 ou ses équivalents de manière largement suffisante pour réaliser les projections du GIEC.

je ne comprends pas comment on peut arriver à croire que des scientifiques de haut niveau comme ceux réunis dans le GIEC, qui ne sont pas que des climatologues, mais aussi des économistes, des démographes, etc etc, à croire donc que ces scientifiques feraient des erreurs aussi grossières dans leurs calculs de scénario.

C'est vraiment "la vérité est ailleurs".

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Du très grand n'importe quoi comme d'habitude.

Renseignes-toi un peu avant de balancer de telles énormités.

L'hypothèse de base du GIEC n'est pas que le CO2 fait tout.

J'ai déjà maintes fois montré ici les reconstructions des différents forçages effectuées et les mesures et calculs prouvent que le forçage solaire est bien inférieur au cours de ces dernières décennies au forçage des GES.

Alors les mesures et les calculs sont peut-être complètement faux mais il faut arrêter de dire des sottises sur de prétendues hypothèses de base du GIEC.

Ce débat n'est de plus pas nouveau mais plutôt éc*lé sur ce forum.

Où est l'énormité ?? L'hypothèse de base est bien que le CO2 et l'ensemble des autres GES produits par l'homme font 80% du réchauffement climatique (tu pourras nous donner le chiffre exact). Rappelons que pendant longtemps, c'est bien le CO2 seul qui était taxé de principal GES, avant que l'on ne se rende compte que le Méthane notamment et d'autres composés avaient également un impact important. Pour le reste, tu le dis toi même, les autres forçages, dont celui occasionné par le soleil ont été évalués comme étant bien inférieurs...Florent.
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Il n'y a pas d'hypothèses là dedans: il y a des démonstrations, et c'est très différent: les modèles de climat montrent que les variations de la constante solaire ne peuvent à elles seules expliquer les évolutions du climat passé, et que si dans les modèles, on ajoute les émissions de GES constatées, les simulations de l'évolution de la température globale collent à la mesure: il n'y a aucune hypothèse là dedans.

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34230 Paulhan - Centre Hérault

Il n'y a pas d'hypothèses là dedans: il y a des démonstrations, et c'est très différent: les modèles de climat montrent que les variations de la constante solaire ne peuvent à elles seules expliquer les évolutions du climat passé, et que si dans les modèles, on ajoute les émissions de GES constatées, les simulations de l'évolution de la température globale collent à la mesure: il n'y a aucune hypothèse là dedans.

Tu n'es pas sans ignorer qu'un rechauffement par l'activité solaire rechauffe les océans et libère du CO2 dissous et que ce facteur est un catalyseur et a accentué par le passé les phases de rechauffement, ce qui est different c'est qu'on en rajoute en plus de celui qui est libéré par le rechauffement.

Par ailleurs je te signale que l'activité solaire n'a jamais ete aussi elevée entre 1980 et 2000 que dans tout le millénaire auparavant, cela ne peut pas ne pas avoir de conséquences, que l'augmentation des GES simultanement brouille le signal et empêche toute mesure là dessus est aussi un fait qui doit être pris en compte.

Autrement dit il reste pas mal d'incertitudes et plus que tu ne le penses, quant aux ressources fossiles je ne suis pas d'accord avec toi, certaines sont inexploitables ou economiquement non rentables, si tu ecoutes les economistes de la Terre Plate qui voient une croissance infinie ou les industriels tu es sur qu'ils vont te chanter un autre refrain.

On voit d'ailleurs ce que valaient leurs previsions energetiques avant l'été dernier, les gens de l'ASPO etaient des vieux barbons depassés parait il, or il se trouve que la prevision de l'Aspo se trouve être parfaitement exacte et que le Peak Oil general est imminent ou en cours (l'Aspo parlait de 2007).

Ce qui amplifie encore les prévisions de l'Aspo c'est que l'on voit ce qui n'etait pas prévu que Gazprom a du mal à fournir à la demande or les reserves Russes sont estimées à 60 ans, les plus grandes du monde, quand les autres auront tout épuisé ils seront les derniers à en avoir, or actuellement ils ne peuvent pas fournir plus, ca en dit long sur l'offre et la demande energétique.

Quant au pétrole il flirte à nouveau avec les 70 dollars le baril et pour peu que l'Iran ferme ses robinets il va passer à 100 dollars ...

Le débat sur le nucleaire est d'ailleurs subitement relancé en Europe, surement trop tard pour eviter une grosse crise energétique, les yeux s'ouvrent mais trop tard pour avoir ecouté à la fois les lobbyes verts et les ultra libéraux et leur vision d'autruches...

Le carbone ce n'est pas terminé mais on peut dire que c'est bel et bien le débuit de la fin.

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Tu n'es pas sans ignorer qu'un rechauffement par l'activité solaire rechauffe les océans et libère du CO2 dissous et que ce facteur est un catalyseur et a accentué par le passé les phases de rechauffement, ce qui est different c'est qu'on en rajoute en plus de celui qui est libéré par le rechauffement.

Par ailleurs je te signale que l'activité solaire n'a jamais ete aussi elevée entre 1980 et 2000 que dans tout le millénaire auparavant, cela ne peut pas ne pas avoir de conséquences, que l'augmentation des GES simultanement brouille le signal et empêche toute mesure là dessus est aussi un fait qui doit être pris en compte.

Autrement dit il reste pas mal d'incertitudes et plus que tu ne le penses, quant aux ressources fossiles je ne suis pas d'accord avec toi, certaines sont inexploitables ou economiquement non rentables, si tu ecoutes les economistes de la Terre Plate qui voient une croissance infinie ou les industriels tu es sur qu'ils vont te chanter un autre refrain.

On voit d'ailleurs ce que valaient leurs previsions energetiques avant l'été dernier, les gens de l'ASPO etaient des vieux barbons depassés parait il, or il se trouve que la prevision de l'Aspo se trouve être parfaitement exacte et que le Peak Oil general est imminent ou en cours (l'Aspo parlait de 2007).

Ce qui amplifie encore les prévisions de l'Aspo c'est que l'on voit ce qui n'etait pas prévu que Gazprom a du mal à fournir à la demande or les reserves Russes sont estimées à 60 ans, les plus grandes du monde, quand les autres auront tout épuisé ils seront les derniers à en avoir, or actuellement ils ne peuvent pas fournir plus, ca en dit long sur l'offre et la demande energétique.

Quant au pétrole il flirte à nouveau avec les 70 dollars le baril et pour peu que l'Iran ferme ses robinets il va passer à 100 dollars ...

Le débat sur le nucleaire est d'ailleurs subitement relancé en Europe, surement trop tard pour eviter une grosse crise energétique, les yeux s'ouvrent mais trop tard pour avoir ecouté à la fois les lobbyes verts et les ultra libéraux et leur vision d'autruches...

Le carbone ce n'est pas terminé mais on peut dire que c'est bel et bien le débuit de la fin.

Merci Torrent...Sur le pétrole, n'hésites pas à réagir au sein de ce sujet qui est dédié au carbone et à la crise énergétique, ainsi qu'aux interactions de tout cela avec notre climat... Il y a pas mal de nouveau depuis quelques semaines...

/index.php?s=&showtopic=10370&view=findpost&p=160846'>Crise mondiale après 2015 ??, Le pétrole est LE PROBLEME

Florent.

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