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Le gulf stream ralenti


BIBICHE76
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Certains réchauffés de la planète sont dans l'erreur en affirmant avec une certitude déroutante que nous allons avoir moins froid et de plus en plus chaud.

Faut pas s'arréter que sur le réchauffement de l'atmosphère, il faut aussi voir les interractions oçéans climat.

La météorologie c'est une science pleine d'interraction, il faut savoir étudier celà et faire la part des choses en ce qui concerne les réchauffés de la planète qui nous dise toujours le même discours depuis des décénies, comme si c'était inévitable et notre destin lol....

Pour moi on est encore dans l'erreur comme d'habitude et quand il fera -20°C les gens vont rigoler ceux qui avaient prédit un réchauffement climatique sans précédent....

LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE, C'EST PAS AUTOMATIQUE default_tongue.png/emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

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C'est pourtant une realité à l'échelle mondial et encore plus à l'échelle de l'Hémisphère Nord !

On est à peu prêt à une augmentation globale de 0.8°C depuis 1980 sur l'Hémisphère Nord.

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Bien entendue pour le moment nous restons dans la période climatique calme (nous y sommes déjà depuis quelques milliers d'années) mais la tendance est au réchauffement.

A voir si ca sera expodentiel ou si ca montera comme actuellement ou si ca baissera ou ....

Pour le Gulf Stream si on regarde les cartes de salinité de surface on voit que l'Atlantique Nord aux endroits ou passe le Gulf Stream est plus salé qu'il y a 2 ans à la même époque, donc pour le moment de ce côté là c'est pas bien inquiétant.

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https://www.fnmoc.navy.mil/products/NCODA/U..._sstanomaly.gif

Pourquoi , les t de surface de la mer sont t'elles si froides au nord du canada?

merci

Je constate que les anomalies de température des eaux se calquent sur celles de l'air...rdv au prochain changement de circulation atmosphérique (quand le flux d'ouest balaiera l'Europe).
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A voir si ca sera expodentiel ou si ca montera comme actuellement ou si ca baissera ou ....

Pour le Gulf Stream si on regarde les cartes de salinité de surface on voit que l'Atlantique Nord aux endroits ou passe le Gulf Stream est plus salé qu'il y a 2 ans à la même époque, donc pour le moment de ce côté là c'est pas bien inquiétant.

Cela peut-il avoir une influence sur la thermohaline qui contribue à établir la variation sur le climat ou ses oscillations ?
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Pourquoi votre discours est-il donc si différent par rapport aux spécialistes qui observent un ralentissement de la DNA et du Gulf Stream??

Moi j'ai l'intime conviction que l'on fait fausse route avec cette histoire de réchauffement, mais c'est mon opinion, et les adeptes de la mode du réchauffement climatique sont nombreux, je ne peut qu'être qu'une proie façe à une jungle "tropicale"...

On entend toujours le même discours, le réchauffement... comme si c'était LA véritée absolue, universelle, comme une manière de rassurer notre égo.

J'ai vraiment beaucoup de mal à adhérer à cette idée, car vous oubliez les rétroactions naturelle et la théorie de Lovelock (Un chimiste Britanique des années 70, 80) que l'on considère farfelue... à tord...! La nature ne s'emballera jamais dans un chemin précis (réchauffement). Elle va contre carrer forcément se réchauffement, celà se fera à un niveau peut être régional ou à une échelle plus vaste dans l'hémisphère nord avec la dérive nord atlantique qui un jour s'arrêtera de baigner l'Europe dans des hivers doux.

J'ai l'impression que l'on a trouvé un argument vite fait, pour se rassurer mais vous oubliez tous autant que vous êtes, les rétroactions négatives.

Voilà comment je vois les choses:

Réchauffement = favorise l'évaporation des oçéans.

L'évaporation des oçéans = ammène du sel, des embruns, de la vapeur d'eau et du DMS (diméthylsulfate) dans l'atmosphère. Le Diméthylsulfate est considéré comme un bon noyaux pour la formation des nuages. La vapeur d'eau excendentaire contenue dans l'atmosphère, sous forme de très fines goutellettes de l'ordre du micron, se dépose sur ces noyaux de condensation que constitue le DMS. Il y'a aussi les cristaux de sel, les embruns qui constituent de bons noyaux de condensation.

Donc, il y'a forcément apparition des nuages, et ceux çi sont de plus en plus nombreux au fur et à mesure que les nuages se forment suite au réchauffement. Ces nuages diminuent l'ensoleillement, et du coup la température baisse car moins de soleil. Mais cette baisse se fera très lentement, mais il y'aura baisse quand même, c'est considéré comme une rétroaction négative quand même.

Qui dit plus de nuages, dit plus de précipitations. D'intense précipitations s'abattent alors dans les mers, les terres, les oçéans, constituant un apport d'eau douce non négligeable qui "dilluent" le sel contenu dans les mers. Suite à celà, les glaces du Groenland en fondant se transforme en eau douce, rejoint les rivières puis se jètent dans les oçéans (Cf cycle de l'eau) qui constitue encore un autre apport d'eau douce en plus des pluies. Tout ceci à terme pourrait faire arrêter le Gulf stream et la DNA qui longe les côtes européennes et qui nous apportait des hivers plus doux en Europe de l'ouest. Il y'aura donc à mon gout un refroidissement en Amérique du nord, en Europe alors que dans d'autres régions il continuera à faire chaud, il y'aura toujours cet équilibre du chaud froid, qui est toujours à l'origine du mouvement des masses d'air. Quand il fera de plus en plus chaud à un endroit, il fera de plus en plus froid à un autre endroit. Je ne pense pas à une homogéinisation de la masse d'air. On trouvera toujours des différentes masses d'air (air chaud et air froid). La nature cherche toujours l'équilibre, l'équilibre, c'est la clé pour comprendre comment se comporte notre climat, et dans un sens, c'est plus logique que des théories qui font fumer le cerveau. Parfois, les mathématiques, les sciences, ne résolvent pas totalement des problèmes liés à la nature. C'est en étant trop intelligent que l'on ne voit plus après l'essentiel, qui est finalement fort simple à comprendre et qui est un processus tout à fait naturel.

La içi, je ne vous apprend rien du tout, c'est loin d'être une révélation, et encore moins, je ne me considère pas du tout comme un visionnaire du climat, c'est la logique même, un enfant de 5 ans le comprendrais ce que je viens de dire...

Reste à savoir quand ce réchauffement climatique va durer. Quel sera le point de non retour de la DNA et du Gulf stream, ou va t'il se produire, et quand???

On peut trés vite passer d'une décénie très chaude, à une décénie totalement différente dans l'effet inverse (froide), c'est déjà arrivé dans le passé, les fluctuations du climat sont loin d'être lente et régulière. D'ailleur, pour affirmer sans vergogne que l'on se dirige vers un réchauffement durable, sans avoir assez de recul sur le climat (car ne nous voilons pas la façe, on a pas assez de recul) permettez moi de vous dire que c'est fort! Allez tout dessuite déposer un brevet dans la communauté scientifique, et travailler au CNRS en tant qu'ingénieur.

Sempiternel débat encore une fois, qui va trouver encore des opposant par rapport à mon exposé... default_flowers.gifdefault_w00t.gif

C'est à la mode désormais à notre époque de contredire ce que pensent les gens.

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Je suis du même avis que toi Atmosphère, et si je reprend ta phrase :

Réchauffement = favorise l'évaporation des oçéans

On appelle ça tout simplement l'effet parasol :

http://laterredufutur.com/html/modules.php...article&sid=238

Dans le même temps, cet effet parasol est mal connu donc mal médiatisé, donc peu discuté ! Et pourtant, il existe bien. Et si l'on suit la logique de l'augmentation du CO2 au cours des derniers 650000 ans, à chaque augmentation très significative du PPM (CO2), une chute de ce PPM est observé :

http://laterredufutur.com/spaw/images/Atmo...iers_cycles.gif

Qu'est ce qui fait chuter ce taux ? L'océan ! C'est le seul puit de carbone suffisant puissant pour agir de la sorte.

Voici pour les sceptiques, un rapport de l'OTAN sur le refroidissement qui pourrait venir :

http://natopa.ibicenter.net/default.asp?CA...D=0&PAR=0&LNG=1

J'en ai fait un extrait ici :

http://laterredufutur.com/html/modules.php...article&sid=178

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Atmosphére, libre à toi de contester le réchauffement. Chacun à son opinion là-dessus. Cet aspect de variabilité, qu’elle soit naturelle ou forcée, est important. Tu considères que la Terre tend toujours à rester à l’équilibre malgré des oscillations plus ou moins importantes. Reste à savoir où se situ cet équilibre. Cependant, dans ton exposé, il y a quelques points que j’aimerai relever pour montrer que tout n’est pas forcément aussi simple.

La formation des nuages dans l’atmosphère suite au réchauffement a selon toi tendance à faire diminuer l’ensoleillement, donc la température. Mais cela ne peut que ralentir le réchauffement car sinon, on a à nouveau, selon ton principe, moins de nuage donc plus de réchauffement. En aucun cas l’apport des nuages ne permettra de faire baisser la température sur long terme. D’ailleurs le rôle global des nuages est très mal connu (c’est un des points les plus flous des simulations) et la présence des nuages élevés à plutôt un rôle positif (dans le sens de favoriser le réchauffement) en renforçant encore plus l’effet de serre.

La quantité d’eau total reste la même : le sel ne peut être dilué. Et ce d’autant plus que si l’air est plus humide, cela part du fait qu’il y a moins d’eau dans l’océan. Mais si on réfléchie un peu aux quantité ce n’est infiniment pas comparable : l’océan est un réservoir quasi-infini à ce niveau. Par contre, ce qui est vrai, c’est que l’eau douce reste en surface par ce que plus légère. L’apport par la fonte du pôle nord est sûrement bien plus important que l’augmentation des précipitations. En parlant de la fonte de l’arctique tu oublies peut-être de signaler la rétroaction positive liée à l’albédo.

L’influence du gulf-stream est plus limitée pour l’Amérique du nord qui est plutôt concerné par le courant froid du Labrador. Seul le sud est concerné. D’ailleurs le flux d’ouest général (qui a un sens climatologiquement parlant) tend à limiter l’influence des courants sur les façades est des continents. Pour le sud des USA, la situation est plus complexe avec une influence tropicale marquée.

Il faut résonner en terme d’énergie : si on capte plus d’énergie par effet de serre, nécessairement la température doit augmenter, à moins que des rétroactions et d’autres perturbations, très puissantes, permettent de renvoyer de l’énergie dans l’espace. Mais pour l’instant c’est pas prouvé, loin s’en faut. Quand à l’aspect de la distribution spatiale, si on change quelques chose qu’est-ce qui nous dit qu’il n’y aura pas de réactions en chaînes avec d’autres changements, ce qui semble d’ailleurs être montré. Prenons un exemple. Un cours d’eau déborde : il subit une perturbation. A l’issu de ce débordement, il est tout à fait possible qu’il suive un nouveau cours.

J’aimerai simplement ajouter quelques mots sur la logique. Malheureusement, la logique et notre vision extérieure est imparfaite. Par contre la logique et la vision physique se veut d’avantage universelle, même si elle paraît bien plus complexe. La « vision d’enfant » nous paraît rassurante mais elle est réductrice et nous cache des réalités physiques qu’il fat trouver. C’est le rôle des chercheurs. Effectivement, cela peut paraître frustrant, mais au même titre qu’être sportif, être scientifique ne s’improvise pas. Pour t’en convaincre, sur un plan plus météo, tu t’intéresses de prés à la dynamique (je t’en félicite), je (et tu) sais que c’est pas facile, pourtant maintenant, tu comprends mieux comment les discours simplificateurs peuvent être insuffisants voire erronés. Un seul mot pour espérer comprendre les tenants et aboutissant de ce qui nous intéresse : la PERCEVERRANCE. Et ça je sais que tu l’as … default_blink.pngdefault_mad.gif

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J'ai vraiment beaucoup de mal à adhérer à cette idée, car vous oubliez les rétroactions naturelle et la théorie de Lovelock (Un chimiste Britanique des années 70, 80) que l'on considère farfelue... à tord...! La nature ne s'emballera jamais dans un chemin précis (réchauffement). Elle va contre carrer forcément se réchauffement, celà se fera à un niveau peut être régional ou à une échelle plus vaste dans l'hémisphère nord avec la dérive nord atlantique qui un jour s'arrêtera de baigner l'Europe dans des hivers doux.

Salut,

Déjà là je ne peux être d'accord par rapport à la reconstitution climatique qui a été effectué sur les 600 derniers MA.

http://www.astrosurf.com/macombes/fig13-4me.JPG (température moyenne Terrestre)

Depuis 400 000 ans

http://fig-st-die.education.fr/fiches/buys...ues/2nd2i16.gif

Comme tu peux le voir, la température de la terre a atteind des sommets par moment mais aussi des creux, c'est un phénomène cyclique.

Donc : Oui la Terre peut aller et a été dans des excès que se soit de fâçon négative ou positive.

Il y a les variations périodiques de type orbital (l'obite de la terre varie de 22° à 24.5° sur un cycle de 41 000ans d'après Milankovtich, cela modifie l'exposition au rayonnement solaire).

Maintenant ce qui est interessant c'est les changements brutaux du climat, on distingue plusieurs catégories :

- La collision avec un météore assez gros pour obscurcir le ciel pendant des années, cela crée un effet quasi immédiat en bloquant les IR et donc la chaleur.

- Le volcanisme explosif qui a le même effet mais a plus petite échelle de force

- El Nino ou la Nina qui modifie le climat annuel sur une bonne partie du monde, un climat qui oscille donc de manière interannuel.

- Le changement dans la circulation thermohaline (nous allons parler du Dryas par rapport à la période actuelle ci-dessous)

Le Dryas s'est produit dans le passage entre la période glaciaire qui avait durer d'après les études 100 000 ans et la période actuelle (inter-glaciaire, l'holocène).

Regardons tout d'abord les dernières périodes glaciaires grâce à ce graphique :

http://www.ncdc.noaa.gov/paleo/abrupt/images/figure5.gif

On voit que les périodes glaciaires se terminent très rapidement, la NOAA donne quelques hypothèses sur cette évolution rapide :

- Augmentation de l'albedo Terrestre par la fonte de la glace, particulièrement sur les océans

- Destockage massif du méthane pris au piège dans les sols gelés (ce dont parle Alain dans l'évolution futur du climat Terrestre)

Maintenant parlons un peu plus du Dryas.

Le Dryas est l'exemple de changement brusque du climat le mieu étudié, alors qu'il y a 14 500ans les températures de la Terre augmentaient énormement, les températures de l'hémisphère Nord ont diminué très rapidement pour retrouver un niveau proche de la période glaciaire.

L'explication qui a été trouvé pour expliquer ce phénomène est une variation dans la circulation thermohaline.

La circulation thermohaline est une circulation globale de l'océan conduite par les différences de densité de l'eau de mer entre les régions, ces différences sont commandées par la salinité et la température.

othc.jpg

Dans l'Atlantique Nord, cette circulation transporte l'eau chaude et salée des Tropiques vers de plus hautes latitudes, l'eau au contact de la masse d'air par conduction donne une partie de son énergie à la masse d'air et donc se refroidit (l'eau), un fois plus froide et plus salé elle est plus dense et coule donc vers le fond en prenant une direction Sud avec une vitesse est de 0.1m/s.

A cette époque, on nous sortions d'une ère glaciaire, les glaciers continentaux fondaient rapidement et déversaient donc des quantités énormes d'eau douce dans l'Atlantique Nord, ces eaux douces ont réduit la salinité des eaux de surface et causé un ralentissement de la formation d'eau profonde, au même moment, l'afflux de chaude vers le Nord se ralentissait également.

Les températures de l'Atlantique Nord se sont donc refroidit, donc moins de calories disponibles pour réchauffer la masse d'air et donc des températures plus froides autour de l'Atlantique Nord.

Mais alors ? ou toutes ces eaux chaudes ont été ?

L'équilibre devant être respecté, toutes ces calories ont dûe être détruites, le moyen qui me vient à l'esprit est bien entendue la cyclogénèse.

On peut donc imaginer qu'a cette époque des cyclones très puissants (inimaginable je dirais même) se sont développés grâçe à cette accumulation d'eau chaude et une zone barocline sans doute très resseré entre air très froid sur l'Atlantique Nord et air très chaud sur le Golfe du Mexique.

Maintenant, la question de ce topic est : Est ce que cela peut se reproduire ?

Il faut connaître plusieurs données .

Tout d'abord le nombre de kilomètre cube pouvant se déversé dans l'Atlantique Nord dans les 10 ou 20 prochaines années et comparée ce chiffre au nombre de kilomètres cubes disponibles à l'époque du Dryas et comparé le temps de fonte.

Je pense, sans trop m'avancé qu'a notre époque on a sans doute juste 1/50ème des réserves d'eau douce continental pouvant se libèrer dans l'océan par rapport à l'avant Dryas.

Donc sans doute, bien moins de 'chance' de voir un arrêt ou une perturbation de la circulation thermohaline par rapport à l'avant Dryas.

C'est une partie de la recherche a développer, mais il ne faut pas attendre un "possible" changement de ce type comme un messie et penser aussi à ce qu'endurerait les populations des pays restant dans le "chaud".

Car encore une fois, nous raisonons en européens égoïstes ayant un climat sans gros aléas, alors si pour une fois, les populations du sud pourraient être épargnées en cas de changement de ce type, ca serait bien.

Bonne journée default_blink.png

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Invité Guest

Bonjour à tous, voici un bilan:

95325main_v39n2-mccartneyt.jpeg Et voici un rapport qui pourrait être nouveau et pourtant il date de 2004. Ici la Nasa fait un constat avec un rapport sur le Gulf Stream et la Dérive Nord Atlantique.

Ainsi la Nasa dresse un bilan et se projette sur les impacts climatiques de l'Atlantique Nord. Un refroidissement doit être attendu à grande échelle quand les eaux de l'océan atlantique nord se réchauffent, l'attraction du courant doit se ralentir. Actuellement l'océan n'a jamais été aussi chaud. Dans le même temps, la salinité de l'océan atlantique nord ne joue pas le seul attracteur des courants atlantiques...

Le système de la circulation de l'Océan Atlantique Nord s'est affaibli considérablement vers la fin des années 90, comparées aux années 70 et aux années 80, selon une étude de la NASA.

Sirpa Hakkinen, auteur et chercheur au centre de vol spatial de Goddard de la NASA, Greenbelt, Md. et le co-auteur Peter Rhines, un océanographe à l'université de Washington, Seattle, croient que le ralentissement de ce courant océanique est une indication de changements dramatiques du climat du nord de l'Océan Atlantique. Les résultats de l'étude, dans un modèle du système qui déplace les eaux dans le sens contraire des aiguilles d'une montre d'Irlande à Labrador ont été édités sur Internet par la revue Science sur les sites Web de Science :

http://www.sciencexpress.org ou http://www.aaas.org

Le courant, connu comme le gyre subpolaire est constitué du Gulf Stream et de son extension nord-ouest, du courant de Norvège, du courant de Groenland, du courant d'Irminger et du courant du Labrador. Il s'est affaibli dans le passé en liaison avec certaines phases d'un système à grande échelle d'une pression atmosphérique connu sous l'Oscillation Nord Atlantique (NAO). Mais la NAO a commuté des phases par deux fois dans les années 90, alors que le gyre subpolaire a continué à s'affaiblir. Si la tendance fait partie d'un cycle normal ou du résultat d'autres facteurs liés au réchauffement global sont inconnus.

« C'est un signal d'une grande variabilité du climat dans les latitudes élevées, » Hakkinen dit. « Si cette tendance continue, elle pourrait indiquer une réorganisation du système du climat océanique, peut-être avec des changements du système entier du climat, mais avec nous, vous avez besoin de cinq à 10 années avant de dire qu'une chose pareille puisse se produire.» Rhines dit, « La zone sous-polaire de la Terre est un lieu primordial pour étudier le climat. Elle est comme une grande station centrale, avec autant de masses principales d'eau océanique qui traversent l'Arctique aux latitudes plus chaudes. Elles sont modifiées dans ce bassin arctique. Les modèles informatiques ont montré que le ralentissement et l'accélération du gyre sous-polaire peuvent influencer le système entier de la circulation d'océanique. »

Les données satellites permettent d'observer le gyre dans tout l'Atlantique nord. Les mesures profondes dans l'océan, à l'aide de bouées, de bateaux et du nouveau « robot » autonome Seagliders, sont importantes pour valider et compléter les données satellites. les données satellites de taille de Mer-surface sont parvenues par Geosat de la NASA de Seasat (juillet, août 1978), de la marine américaine (1985 1988), et du satellite européen 1/2 de la télédétection de l'Agence européenne de l'espace et de TOPEX de la NASA/Poseidon (1992 à aujourd'hui).

Hakkinen et Rhines pouvaient mettre en référence les premières données aux données de TOPEX/Poseidon, et traduisent les données satellites de la surface de la mer aux vitesses du gyre sous-polaire. Le gyre sous-polaire peut prendre 20 ans pour accomplir son itinéraire. L'eau chaude circulevers le nord à l'aide du Gulf Stream, après l'Irlande, avant qu'elle tourne proche de l'ouest de l'Islande et au bout du Groenland.

Le courant perd de la chaleur vers l'atmosphère pendant qu'il se déplace vers le nord. Les vents d'ouest absorbent cette chaleur perdue, créant un chauffage pour apporter des hivers européens plus doux. Après des hivers glacials en mer de Labrador, l'eau dans le courant devient froide, salée et dense, ainsi elle plonge sous la surface, et vire lentement vers le sud de nouveau vers l'équateur. Le cycle est sensible aux chemins de tempêtes hivernales et l'eau douce de la fonte glaciaire et des précipitations, qui éprouvent un grand changement.

Tandis que les études précédentes proposainent que les vents résultant de la NAO influençaient les courants du gyre sous-polaires, cette étude a démontré que les échanges thermiques de l'océan à l'atmosphère peuvent jouer un plus grand rôle dans l'affaiblissement du courant. Les données de taille en utilisant de Topex/Poseidon mer-surface, les chercheurs ont impliqué l'eau de mer du Labrador dans le noyau du gyre réchauffé pendant les années 90. Quand cela se réchauffe, cela réduit le contraste avec les eaux des latitudes méridionales plus chaudes, qui fait partie de la force d'entraînement pour la circulation océanique.

La relation NASA-CNES (agence française de l'espace) du satellite d'océanographie de Topex/Poseidon fournit des données de haute précision sur la taille de surface de l'océan mondial, une mesure principale de la circulation océanique et le stockage de la chaleur dans l'océan.

L'entreprise de science de la terre de la NASA est consacrée à la Terre en tant que système intégré et de l'application des Sciences du système de la Terre pour l'amélioration des prévisions climatiques, du temps et des risques normaux en utilisant la position avantageuse unique de l'espace. La NASA, l'administration océanique et atmosphérique nationale, et le National Science Foundation qui expérimentent de grands changements.

http://laterredufutur.com/html/modules.php...article&sid=324

voilà et c'est le rapport de la nasa.

dsl pour les mots de ce matin.

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Posté(e)
Méjantel-Barjac - 820m - Lozère

Hello

Une fois encore je vais me repéter ...

Aussi bien la thermocline que la thermoaline dependent du taux de salinité présent dans les zones nécessaires à la plongée des eaux, entrainant la DNA et le tapis roulant, etc...

Lors du Dryas, si l'on considere les données que l'on "connait", les océans etaient 120 mètres plus bas que de nos jours, le grand lac canadien renfermait pratiquement à lui seul une reserve d'eau douce ( donc non salée ... ) suffisante pour modifier la circulation océanique nord atlantique.

J'aimerais simplement connaitre le taux de salinité à l'epoque, avant et après le deversement du "lac canadien" dans l'AN, j'aimerais aussi connaitre la différence de ce taux entre cette époque, et la notre ... et si vous voyez ou je veux en venir ...

j'aimerais donc savoir si le taux de salinité de nos jours n'est pas plus sensible qu'à l'époque aux variations d'apports d'eau douce ( en surface entre-autres ).

Bien sur, ce n'est pas le lac canadien qui a pu faire remonter le niveau des océans de 120 mètres, mais l'apport d'eau douce a surement et même très probablement modifié les données de taux de salinité ...

Finalement, il n'est peut être pas nécessaire à notre époque d'avoir un immense deversement d'eau douce dans l'AN pour que la DNA, ou en exces, le GS, se trouve affectés.

Beaucoup de "choses" reposent sur le taux de salinité, notamment les puits de plongée, donc, je préfere rester plus réserver quand à l'idée d'un apport considérable d'eau douce.

En esperant cette fois que quelqu'un me repondra, bonne journée à tous et toutes.

BaSHaR

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Ps:Certains sur ce forum devrait arrêter de dire que des mensonges comme le gulf stream se sent pas mal la je suis mdr ou il n'y a rien d'anormale là je suis carrément plier en deux.

Si sur celà ils disent autres mensonges je ne posterait plus jamais sur ce forum car a dire que des mensonges et surtout qu'ils n'ont pas de preuves sur leus yeux.

Je vous dit bonne journée et surtout arrêter de dire des mensonges car vous aller le payez très cher.

mais bon comme dirait certain chacun son opinion mais il y a des limites quand même.

Voilà la phrase de conclusion de Hakkinen et Rhines (2004) :

"Because we lack SSH data before 1978, we cannot determine whether the 1990s slowing gyre is a part of a decadal cycle or the beginning of a longer term trend. Because Labrador Sea processes are intimately linked to the meridional overturning circulation, involving both intermediate-depth and deep waters, these observations of rapid climatic changes over one decade may merit some concern for the future state of the MOC. Continuation of the altimeter missions will allow us to follow the evolution of this subpolar signal and its influence on the North Atlantic. Field observations of the subsurface oceanic circulation, hydrography, and ice cover (28) will be of great importance in establishing the origin of these climate shifts."

En clair, le phénomène observé relève soit de variations décennales, soit du commencement d''une tendance à long terme. De nouvelles mesures seront nécessaires pour trancher. Il se passe certainement des choses dans la circulation du gyre subpolaire ; mais il serait bon de respecter la réserve des chercheurs eux-mêmes et d'éviter de tirer des conclusions qu'eux-mêmes repoussent faute de profondeur suffisante dans l'analyse du phénomène concerné.

(Pour ma part, je ne décrète pas arbitrairement de "limites" aux opinions des gens qui ne pensent pas comme moi.)

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Je vous dit bonne journée et surtout arrêter de dire des mensonges car vous aller le payez très cher.

mais bon comme dirait certain chacun son opinion mais il y a des limites quand même.

Bonjour,

Je ne vois pas les "mensonges" qui sont dit sur ce sujet, nous discutons en argumentant en tant qu'adulte "civilisé" et la haine ou la rancoeur n'a pas à venir ici !

Donc le "payez très cher" est vraiment, mais alors vraiment très limite ! C'est un crime d'être en dehors de certains avis ?

A ce que je sache en plus, on y peut rien à ce que le GS s'arrête (dans le cas possible où il s'arrête), c'est pas comme d'autres conséquences sur la biodiversité, les déchets etc...

mais bon comme dirait certain chacun son opinion mais il y a des limites quand même.

Oui, fais aussi attention à ne pas dépasser les bornes des limites (comme dirait Maurice).

Donc une seule phrase pour résumer tout ca, si tu veux qu'on respecte tes opinions, respecte aussi celles des autres.

La haine et la rancoeur est à banir de ce lieu de discussion, il y a en déjà assez comme ca dans la société.

Bonne journée default_w00t.gif

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Hello

Une fois encore je vais me repéter ...

Aussi bien la thermocline que la thermoaline dependent du taux de salinité présent dans les zones nécessaires à la plongée des eaux, entrainant la DNA et le tapis roulant, etc...

Lors du Dryas, si l'on considere les données que l'on "connait", les océans etaient 120 mètres plus bas que de nos jours, le grand lac canadien renfermait pratiquement à lui seul une reserve d'eau douce ( donc non salée ... ) suffisante pour modifier la circulation océanique nord atlantique.

J'aimerais simplement connaitre le taux de salinité à l'epoque, avant et après le deversement du "lac canadien" dans l'AN, j'aimerais aussi connaitre la différence de ce taux entre cette époque, et la notre ... et si vous voyez ou je veux en venir ...

j'aimerais donc savoir si le taux de salinité de nos jours n'est pas plus sensible qu'à l'époque aux variations d'apports d'eau douce ( en surface entre-autres ).

Bien sur, ce n'est pas le lac canadien qui a pu faire remonter le niveau des océans de 120 mètres, mais l'apport d'eau douce a surement et même très probablement modifié les données de taux de salinité ...

Finalement, il n'est peut être pas nécessaire à notre époque d'avoir un immense deversement d'eau douce dans l'AN pour que la DNA, ou en exces, le GS, se trouve affectés.

Beaucoup de "choses" reposent sur le taux de salinité, notamment les puits de plongée, donc, je préfere rester plus réserver quand à l'idée d'un apport considérable d'eau douce.

En esperant cette fois que quelqu'un me repondra, bonne journée à tous et toutes.

BaSHaR

Je ne sais pas si je serai capable d'apporter la réponse espérée, mais il me semble que le problème est aussi "clear" que celui de l'affaire du même nom. Si l'apport en eau douce était le seul indice à prendre en compte pour l'étude du gulf stream et des oscillations associées, les discussions seraient déjà closes depuis longtemps et vous seriez tous d'accord. Cela n'est pas le cas, c'est parce qu'il y a forcément des paramètres importants non encore pris en compte ou des inconnus se produisant de manière aléatoire. Mon modèle de l'année cosmique me dit que les astres pourraient bien nous aider à trouver une réponse. D'ailleurs du côté ouest de la France les observateurs astronomiques suivent depuis longtemps les recherches de Flammarion sur le sujet. Il semblerait qu'ils soient en mesure de nous donner des informations primordiales si nous prenions la peine de nous attarder à écouter leurs explications.

A courte et moyenne échéance (2050-2075) les modéles d'Alain Coustou sont certainement capables d'y voir clair mais à plus long terme Johan du 72 a peut-être raison de maintenir sa position.

Pour ce qui est des oscillations terrestres il est possible de suivre l'animation internet dont le lien a été communiqué dans le topic ouvert par Florence au sujet du niveau de la Méditerranée.

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Invité Guest

Re, je m'excuse pour ce matin j'ai été trop brutale pour certaint entre vous mais en tout cas le sujet est à suivre de près.

dsl pour ce matin default_flowers.gif

bonne journée à tous et à toute.

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En esperant cette fois que quelqu'un me repondra, bonne journée à tous et toutes.

BaSHaR

Hélas, je n'ai pas trouvé d'études paléo. en libre accès sur la salinité au cours du Holocène. Juste cet abstract un peu ancien, dont le texte intégral n'est plus accessible :

Nature 358, 485 - 488 (06 August 1992); doi:10.1038/358485a0

Changes in surface salinity of the North Atlantic Ocean during the last deglaciation

J. C. Duplessy*, L. Labeyrie*, M. Arnold*, M. Paterne*, J. Duprat† & T. C. E. van Weering‡

*Centre des Faibles Radioactivites, Laboratoire mixte CNRS-CEA, 91198 Gif sur Yvette Cedex, France

†Laboratoire de Geologic et Oceanographie, Universite de Bordeaux 1, 33405 Talence, France

‡Nederlands Instituut voor Onderzoek der Zee, Postbox 59, 1790 AB den Burg, Texel, The Netherlands

ABRUPT and short climate changes, such as the Younger Dryas, punctuated the last glacial-to-interglacial transition1−4. Broecker et al.5 proposed that these may have been caused by an interruption of thermohaline circulation as inputs of glacial meltwater freshened the surface waters of the North Atlantic. The finding6 that meltwater discharge was minimal during the Younger Dryas, however, led to the suggestion that the surface-water salinity drop might have been caused instead by changes in the freshwater budget (the difference between precipitation and evaporation), accompanied by a reduction in poleward advection of saline subtropical water. Here we use micropalaeontological and stable-isotope records from foraminifera in two cores from the North Atlantic to generate two continuous, high-resolution records of sea surface temperature and salinity changes over the past 18,000 years. Despite the injection of glacial meltwater during warm episodes, we find that sea surface salinity and temperature remain positively correlated during deglaciation. Cold, low-salinity events occurred during the early stages of deglaciation (14,500−13,000 years ago) and the Younger Dryas, but the minor injections of meltwater at high latitudes during these events are insufficient to account for the observed salinity changes. We conclude that an additional feedback from changes in the hydrological cycle and in advection was necessary to trigger changes in thermohaline circulation and thus in climate. This feedback did not act when the meltwater injection occurred at low latitude.

------------------

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On verra de toute façon, mais je rejoint absolument les propos de Johan du 72, c'est pénible de devoir systématiquement apporter des preuves contraires sur ceux que vous dîtes en nous traitant limite de Gouroux ou de je ne sais quels superlatifs péjoratifs.

INFOCLIMAT n'appartient pas que à vous, chacun est libre d'exprimer ses propres opinions on est tous égaux....

Je n'appèle pas celà une argumentation ce que vous êtes en train de faire. Prenez un livre de Français sur les techniques d'écritures, içi il s'agit uniquement d'arguments d'autorités. Dans une argumentation, il y'a un thème (ce dont on parle, le sujet), une problématique (question sous forme de problème), une thèse (l'idée de l'auteur ou l'argument), des exemples, quelques concessions (on admet une autre thèse à un auteur adversaire), une thèse opposée ou l'opposée de la thèse opposée.

Si j'étais un professeur de français, je dirais que vos arguments manquent de pertinence, car l'argumentation suit un schéma bien précis, avant de faire une argumentation, on fait un plan précis et on sélectionne des arguments et des exemples pertinents.

Moi et Johan apportons une thèse opposée à votre argumentaire, nous attendons des arguments pertinents et des exemples pour soutenir votre thèse.

Vous manquez de pertinence...dsl de vous dire celà! La technique du Français répond à des critères bien précis et non aléatoire (Cf: cours de Français premier et second niveau CNED).

Vous avez bien appris celà à l'école non??? default_flowers.gif

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Posté(e)
Méjantel-Barjac - 820m - Lozère

Hello

Merci pour l'instant pour vos reponses, en en ésperant plus qui sait ...

For that text, let's traduct ! default_tongue.png/emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">

"

Des changements de climat BRUSQUES et courts, comme Dryas Plus jeune, ont ponctué le dernier transition14 glaciaire-à-interglaciaire. Broecker et Al-5 proposé comme lequel ceux-ci peuvent avoir été causés par une interruption de circulation thermohaline les entrées de meltwater glaciaire ont fraîchi les eaux superficielles de l'Atlantique du Nord.

Le finding6 que meltwater la décharge était minimal pendant Dryas Plus jeune, cependant, a mené à la suggestion que la baisse(goutte) de salinité superficielle-d'eau puisse avoir été causée au lieu de cela par des changements du budget d'eau douce (la différence entre la précipitation et l'évaporation), accompagnée par une réduction de vers le pôle advection de salin l'eau subtropicale.

Ici nous utilisons micropaléontologique et des rapports(records) d'isotope stable de foraminifera dans deux coeurs de l'Atlantique du Nord pour produire deux rapports(records) continus, haute résolution de température superficielle de mer et des changements de salinité pendant les 18,000 ans passés.

Malgré l'injection de meltwater glaciaire pendant des épisodes chauds, nous constatons que la salinité superficielle de mer et la température restent positivement corrélés pendant deglaciation.

Le froid, les événements de salinité basse sont arrivés pendant les premières étapes(scènes) de deglaciation (il y a 14,50013,000 ans) et Dryas Plus jeune, mais les injections mineures(secondaires) de meltwater à de hautes latitudes pendant ces événements sont insuffisantes pour représenter les changements de salinité observés.

Nous concluons que des réactions complémentaires de changements du cycle hydrological et d'advection étaient nécessaires de déclencher des changements de la circulation thermohaline et ainsi du climat. Ces réactions n'ont pas agi quand l'injection meltwater est arrivée à la latitude basse.

"

Bon ok, les traducteurs gratuits online laissent à ... esperer mieux, mais c'est déjà ça default_flowers.gif

Merci @+

BaSHaR

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Bonjour,

Je ne vois pas les "mensonges" qui sont dit sur ce sujet, nous discutons en argumentant en tant qu'adulte "civilisé" et la haine ou la rancoeur n'a pas à venir ici !

Donc le "payez très cher" est vraiment, mais alors vraiment très limite ! C'est un crime d'être en dehors de certains avis ?

A ce que je sache en plus, on y peut rien à ce que le GS s'arrête (dans le cas possible où il s'arrête), c'est pas comme d'autres conséquences sur la biodiversité, les déchets etc...

Oui, fais aussi attention à ne pas dépasser les bornes des limites (comme dirait Maurice).

Donc une seule phrase pour résumer tout ca, si tu veux qu'on respecte tes opinions, respecte aussi celles des autres.

La haine et la rancoeur est à banir de ce lieu de discussion, il y a en déjà assez comme ca dans la société.

Bonne journée default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

Je reprend le terme d'adultes "civilisé"...

Nous sommes des adultes comment selon toi??? default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Encore un argument d'autorité, qui visiblement manque beaucoup de pertinence et qui est limite lui aussi... Limite en terme de respect d'autrui je précise.

Johan est une personne intelligente, qui possède beaucoup de vocabulaires, son texte me paraît pertinent car il sélectionne de bons exemple, met en lumière les arguments et il défend bien son affaire. Texte impeccable de sa part, il amène son argumentation de façon naturelle, les mots de liaisons sont amenés de manière fluide. Par contre la fin de son texte, je suis d'accord il s'est un peu emporté, mais il faut considérer celà comme un certain "ras le bol" façe à des personnes qui apportent des idées mais sans vraiment trop argumenter ou en déviant du sujet.

Trés bonne impression donc concernant l'argumentation de Johan. Pour les autres, il faut revoir sa copie et faire si possible un plan précis pour ceux qui sont rebutés dans la technique d'argumentation. Je ne suis pas un prof de français, mais j'apprend les techniques de bases avec le CNED, et je peut vous dire que les arguments manquent de pertinence. On a l'impression d'un copié collé de textes tout fait sur des articles scientifique, mais il manque des impressions personnelles et des arguments bien portant.

ATTENTION: Les textes scientifiques ne sont pas des textes argumentatifs, mais des textes explicatifs (nuance). Dans certains texte explicatifs, il y'a des séquences textuelles (dans un texte explicatif on peut avoir une séquence narrative ou descripitive; exemple : le protocole d'une expérience, le mode de fonctionnement d'une machine...etc). Parfois il existe une séquence argumentative mais dans des articles scientifiques, c'est plutôt rare.

Cependant, on peut avoir un texte explicatif sous forme d'interview (quand un journaliste interroge un scientifique par exemple). Dans ce cas, on a soit des séquences explicatives, et même souvent, des séquences argumentatives ou l'auteur met en avant ses arguments de façon bien précises).

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Posté(e)
Saint-Astier (24)

Bonjour default_devil.gif

Dites voir si j'ai tout compris :

Bon, on est assez d'accord pour cet état de fait : l'augmentation du taux de CO2 va entraîner un renforcement de l'effet de serre. Les températures moyenne vont donc augmenter un peu partout sur la planète mais par uniformément. On est okay là? Ensuite, cette chaleur va faire que l'évaporation va être plus importante et que donc, les régions connaissant des précipitations vont en connaître de plus importantes et que d'une manière globale, la couche nuageuse va être un peu plus importante. On est toujours d'accord là?

Bon, voyons ça sur le Gulf Stream : les précipitations plus importantes devraient logiquement diminuer le taux de salinité de l'eau de surface et la rendre moins portante, le courant chaud se refroidirait. En même temps, la fonte des glaces du pôle vont elles aussi apporter leur lot d'eau douce. Si j'ai faux, dites le. Ainsi, le gulf stream se ralentirait et ne parviendrait plus aux côtes Européennes et ne les réchuafferaient plus. Donc, on aurait des hivers plus rigoureux. Exact? Alors ainsi, le gulf stream ayant ralenti, on aurait un climat équivalent à celui du Quebec (ou du Canada pour ne pas faire de discrimination default_flowers.gif ).

Ai-je faux quelque part?

Mais, je me pose une question : si le froid polaire, qui ne sera plus retenu par not'gulf stream, arrive chez nous, je me demande quelles interactions cela produirait à la rencontre d'un air chaud venu directement de l'Afrique porté par une Méditerrannée surchauffée. Cela donnerait quoi (en admettant que mon "modèle" hasardeux soir correct)?

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Bonjour default_devil.gif

Dites voir si j'ai tout compris :

Bon, on est assez d'accord pour cet état de fait : l'augmentation du taux de CO2 va entraîner un renforcement de l'effet de serre. Les températures moyenne vont donc augmenter un peu partout sur la planète mais par uniformément. On est okay là? Ensuite, cette chaleur va faire que l'évaporation va être plus importante et que donc, les régions connaissant des précipitations vont en connaître de plus importantes et que d'une manière globale, la couche nuageuse va être un peu plus importante. On est toujours d'accord là?

Bon, voyons ça sur le Gulf Stream : les précipitations plus importantes devraient logiquement diminuer le taux de salinité de l'eau de surface et la rendre moins portante, le courant chaud se refroidirait. En même temps, la fonte des glaces du pôle vont elles aussi apporter leur lot d'eau douce. Si j'ai faux, dites le. Ainsi, le gulf stream se ralentirait et ne parviendrait plus aux côtes Européennes et ne les réchuafferaient plus. Donc, on aurait des hivers plus rigoureux. Exact? Alors ainsi, le gulf stream ayant ralenti, on aurait un climat équivalent à celui du Quebec (ou du Canada pour ne pas faire de discrimination default_flowers.gif ).

Ai-je faux quelque part?

Mais, je me pose une question : si le froid polaire, qui ne sera plus retenu par not'gulf stream, arrive chez nous, je me demande quelles interactions cela produirait à la rencontre d'un air chaud venu directement de l'Afrique porté par une Méditerrannée surchauffée. Cela donnerait quoi (en admettant que mon "modèle" hasardeux soir correct)?

Question pertinente qui mérite réflexion...

Voiçi une problématique intéressante, vous voyez que vous êtez capable d'argumenter. Il suffit de ne pas faire des copiés collés d'article scientifique. Les articles justement sont là pour nous faire réfléchir et c'est à nous de poser les questions et d'argumenter sur ces questions. Les articles de scientifiques ne sont pas des vérités et encore moins des lois universelles.

Le tout est de faire fonctionner sa matière grise intelligement, en élaborant des arguments et en confrontant les arguments des uns et des autres.

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Pour tes remarques générales, je croie que c’est effectivement les grondes lignes prévues par les modèles. Pour le coup du Gulf-Stream, on est en plein dans le débat, tout est question d’influence de ces effets. A suivre les études scientifiques ultérieures. Par contre, parler d’hiver plus rigoureux me parait aller un peu vite. Moins doux me semble plus adapté.

Concernant ton allusion au Québec tu veux toi-même l’élargir au Canada. Mais tout le Canada n’a pas le même climat, loin s’en faut. Si le Gulf-Stream s’arrête, le rapprochement avec Vancouver me parait beaucoup plus approprié, ce qui n’et pas du tout les mêmes moyennes que Toronto par exemple… C’est truc qu’on a tendance à beaucoup trop oublier … Si la dominante d’ouest ne veux pas dire grand-chose d’un point de vu météo, en terme de climato, c’est tout à fait justifié.

@+ default_rolleyes.gif

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Posté(e)
Méjantel-Barjac - 820m - Lozère

Hello

Pour Fourmi103 :

Les conflits d'air froid et chaud ( pôle Vs Afrique ) avaient été présenté dans une émission sur france 2 juste avant la canicule 2003, et il en ressortait ...

Des épisodes types "cévenoles" très violents dans un bon quart sud de la France

De possibles tempêtes de neiges toujours dans le sud

Et pourquoi pas des mini-tornades ...

Pour résumer court, d'énormes conflits de masses d'air, comme chacun ici peut le prévoir, apportant un lot de précipitations particulièrement soutenue, avé des tempeteuh default_blink.png

Je ne sais si cette émission tenait de l'affabulation, car je me souviens des températures hivernales que S.follin ( si mes souvenirs sont bons ) présentait, mais du -10°C à Marseille, -6°C à Nice, et -27 à Strasbourg ( pour la saison hivernales ) ... bref, ça laisse reveur.

Si tel devait être le cas, je vais économiser pour ouvrir une station de Ski au Pic Saint Loup, et une patinoire géante au Salagou ( pour ceux qui connaissent l'Hérault default_sleeping.gif )

Quoi qu'il en soit, on a un apperçu de ce que cela pourrait donner aux USA / Canada, bien que la topographie du milieu ( continentalité Vs Mer / Océan ) ne soit pas la même chez nous.

@+ default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

BaSHaR

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