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état des banquises en août


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Messages recommandés

ci-dessous les graphes d'évolution des banquises pour l'HN et l'HS

Pour l'HN, on pourra constater à la fois la baisse importante par rapport à 2004 et surtout la confirmation de la tendance à la baisse au fil des années.

Ainsi qu'un nouveau triste record de surface basse de la banquise.

Pour l'HS on pourra constater la très légère augmentation de la surface de banquise.

Le bilan des deux étant complètement négatif = -0.66% par an.

Ce qui n'est pas une bonne nouvelle pour l'albédo terrestre qui va encore diminuer un peu.

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Ces chiffres sont étonnants, étant donné que sur cryosphère on est encore assez loin du recod de l'été 99 ou la banquise était passée sous les 5 Millions de km2.

D'après le graph ci dessous, on est un peu près au meme niveau que les mauvaises années 2002, 1995,1990,1991, mais on n'atteindra probablement pas les valeurs de 1999, ou peut etre meme 1998,1993 étant donné que la banquise est en cours de stabilisation et que la surface ne devrait plus baisser à partir de maintenant.

current.area.jpg

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Ce méfier des notions d' "extent" et d' "area" c'est pas la même chose.

De plus, généralement, le minimum n'est pas atteint en août mais en septembre.

La différence moyenne entre septembre et août est de 10% en moins pour septembre.

Il vaut donc mieux attendre septembre pour connaître le minimum réel.

NB les chiffres viennent de la NOAA/NSIDC

voir ci-dessous différence entre les moyennes août et septembre

on voit bien que la moyenne 1979-2000 est de 7.7 millions de km2 en août et 7.0 millions de km2 en septembre, soit 10% de moins pour septembre.

Lorsqu'on regarde le graphique "cryosphere" on voit bien que les chiffres sont plus faibles, de l'ordre de 6 millions de km2.

Il est donc important comme toujours de bien définir de quoi on parle.

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Effectivement un article interessant, même si l'information avait déjà été donnée. La vitesse avec laquelle ces glaciers groenlandais délivrent leurs icebergs (stable pendant des années et en forte accélération depuis l'an passé), si cela est vérifié, pourrait constituer un indice de plus en faveur de ma thèse du franchissement du 2nd seuil climatique en 2005.
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  • 3 weeks later...

Meme sur Mars la "banquise" fond!  default_mellow.png

dossier ici : http://www.futura-sciences.com/news-planet...ensait_7179.php

Le soleil nous cacherait t'il des choses...........  default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">

Il est tout à fait normal que la banquise se sublime sur Mars.Les saisons existent en effet sur cette planète de façon bp plus prononcée que sur Terre.

Ceci est du à l'excentricité très importante de l'orbite martienne ainsi qu'à l'obliquité.

Les calottes martiennes, constituées de CO2 solide, à relativement faible chaleur de sublimation (par rapport à l'eau) subissent de plein fouet les variations saisonnières.

Voir ci-dessous les variations de la calotte nord:

mars_cap.jpg

alors avant de parler de "soleil qui nous cache des choses" il faudrait savoir si les variations constatées font partie des variations saisonnières ou si elles ont été remarquées au même moment de l'année martienne.

J'ajoute d'ailleurs que ces sublimations et désublimations successives ne sont pas sans effet sur le sol martien qui travaille sans cesse.

Il est donc tout à fait normal, à mon sens, que la planète vive géologiquement parlant : glissements de terrains, érosion,...

Ceci combiné avec l'action des vents , en bref, toute une météo passionnante à découvrir certainement.

Et puis il n'est pas exclu que les changements d'activité solaire à court ou à long terme aient, bien entendu, une influene sur cette planète, très réactive, car possédant peu d'inertie thermique, au Soleil.

Mais c'est bien d'en parler.

Cela fait partie du climat après tout et cela nous change un peu du climat délétère qui règne en certains endroits.

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Posté(e)
Merry la vallée 280m d'alt.

L'article ne parle pas de la variation saisionniere de mars mais annuelle! En plus ca concerne le pole sud de mars default_ohmy.png/emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20">

D'ailleur c'est etrange mars aurait connu les mêmes variations climatiques que la terre...... Dernière glaciation de mars il a y environs 11 000 ans. default_ohmy.png/emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20">

Evolution de la "banquise" martienne

2eme article

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Ok c'est plus clair il s'agit bien d'une variation interannuelle.

A part le flux solaire qui augmente je ne vois pas trop ce qui peut provoquer celà.

D'ailleurs il est assez bien connu maintenant que l'activité solaire a augmenté depuis quelques siècles maintenant.

En 200 ans le forçage solaire a augmenté d'environ 0.5W/m2 sur Terre soit 0.14% environ du flux total.

Sur Mars c'est sans doute la même variation en %.

La température de Mars doit donc augmenter légèrement ce qui fait se sublimer la (les?) calotte(s) jusqu'à ce qu'on atteigne un nouvel équilibre T,P.

Bon ceci dit c'est peut-être une toute autre explication.

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Un point de non retour aurait été atteint concernant la fonte de la banquise arctique.

Il s'agit en outre d'une rétroaction positive très importante, car la fonte réduit considérablement l'effet d'albédo, ce qui accélère encore le processus de réchauffement.

Voici un article intéressant paru dans Science Editor :

**By Steve Connor, Science Editor

Published: 16 September 2005

A record loss of sea ice in the Arctic this summer has convinced scientists that the northern hemisphere may have crossed a critical threshold beyond which the climate may never recover. Scientists fear that the Arctic has now entered an irreversible phase of warming which will accelerate the loss of the polar sea ice that has helped to keep the climate stable for thousands of years.

They believe global warming is melting Arctic ice so rapidly that the region is beginning to absorb more heat from the sun, causing the ice to melt still further and so reinforcing a vicious cycle of melting and heating.

The greatest fear is that the Arctic has reached a "tipping point" beyond which nothing can reverse the continual loss of sea ice and with it the massive land glaciers of Greenland, which will raise sea levels dramatically.

Satellites monitoring the Arctic have found that the extent of the sea ice this August has reached its lowest monthly point on record, dipping an unprecedented 18.2 per cent below the long-term average.

Experts believe that such a loss of Arctic sea ice in summer has not occurred in hundreds and possibly thousands of years. It is the fourth year in a row that the sea ice in August has fallen below the monthly downward trend - a clear sign that melting has accelerated.

Scientists are now preparing to report a record loss of Arctic sea ice for September, when the surface area covered by the ice traditionally reaches its minimum extent at the end of the summer melting period.

Sea ice naturally melts in summer and reforms in winter but for the first time on record this annual rebound did not occur last winter when the ice of the Arctic failed to recover significantly.

Arctic specialists at the US National Snow and Ice Data Centre at Colorado University, who have documented the gradual loss of polar sea ice since 1978, believe that a more dramatic melt began about four years ago.

In September 2002 the sea ice coverage of the Arctic reached its lowest level in recorded history. Such lows have normally been followed the next year by a rebound to more normal levels, but this did not occur in the summers of either 2003 or 2004. This summer has been even worse. The surface area covered by sea ice was at a record monthly minimum for each of the summer months - June, July and now August.

Scientists analysing the latest satellite data for September - the traditional minimum extent for each summer - are preparing to announce a significant shift in the stability of the Arctic sea ice, the northern hemisphere's major "heat sink" that moderates climatic extremes.

"The changes we've seen in the Arctic over the past few decades are nothing short of remarkable," said Mark Serreze, one of the scientists at the Snow and Ice Data Centre who monitor Arctic sea ice.

Scientists at the data centre are bracing themselves for the 2005 annual minimum, which is expected to be reached in mid-September, when another record loss is forecast. A major announcement is scheduled for 20 September. "It looks like we're going to exceed it or be real close one way or the other. It is probably going to be at least as comparable to September 2002," Dr Serreze said.

"This will be four Septembers in a row that we've seen a downward trend. The feeling is we are reaching a tipping point or threshold beyond which sea ice will not recover."

The extent of the sea ice in September is the most valuable indicator of its health. This year's record melt means that more of the long-term ice formed over many winters - so called multi-year ice - has disappeared than at any time in recorded history.

Sea ice floats on the surface of the Arctic Ocean and its neighbouring seas and normally covers an area of some 7 million square kilometres (2.4 million square miles) during September - about the size of Australia. However, in September 2002, this dwindled to about 2 million square miles - 16 per cent below average.

Sea ice data for August closely mirrors that for September and last month's record low - 18.2 per cent below the monthly average - strongly suggests that this September will see the smallest coverage of Arctic sea ice ever recorded.

As more and more sea ice is lost during the summer, greater expanses of open ocean are exposed to the sun which increases the rate at which heat is absorbed in the Arctic region, Dr Serreze said.

Sea ice reflects up to 80 per cent of sunlight hitting it but this "albedo effect" is mostly lost when the sea is uncovered. "We've exposed all this dark ocean to the sun's heat so that the overall heat content increases," he explained.

Current computer models suggest that the Arctic will be entirely ice-free during summer by the year 2070 but some scientists now believe that even this dire prediction may be over-optimistic, said Professor Peter Wadhams, an Arctic ice specialist at Cambridge University.

"When the ice becomes so thin it breaks up mechanically rather than thermodynamically. So these predictions may well be on the over-optimistic side," he said.

As the sea ice melts, and more of the sun's energy is absorbed by the exposed ocean, a positive feedback is created leading to the loss of yet more ice, Professor Wadhams said.

"If anything we may be underestimating the dangers. The computer models may not take into account collaborative positive feedback," he said.

Sea ice keeps a cap on frigid water, keeping it cold and protecting it from heating up. Losing the sea ice of the Arctic is likely to have major repercussions for the climate, he said. "There could be dramatic changes to the climate of the northern region due to the creation of a vast expanse of open water where there was once effectively land," Professor Wadhams said. "You're essentially changing land into ocean and the creation of a huge area of open ocean where there was once land will have a very big impact on other climate parameters," he said.

désolé c'est en Anglais, j'ai eu la flemme de le traduire, mais je pense que tout le monde comprend, non? default_rolleyes.gif
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Un point de non retour aurait été atteint concernant la fonte de la banquise arctique.

Il s'agit en outre d'une rétroaction positive très importante, car la fonte réduit considérablement l'effet d'albédo, ce qui accélère encore le processus de réchauffement.

Voici un article intéressant paru dans Science Editor

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Terrible !Steve Connor est, à ma connaissance, le premier scientifique à admettre que le climat vient de franchir un seuil cette année. C'est exactement l'analyse que je défends (dans deux publications successives) depuis plus d'un an, donc avant tout le monde.

J'ai alors véritablement été le seul scientifique (même si je n'étais pas climatologue au sens strict à l'origine mais statisticien et économiste environementaliste) à prévoir très précisement le franchissement probable de ce seuil au cours de l'été 2005.

J'espére que mon analyse - totalement confirmée maintenant en ce qui concerne sa première phase - sera dorénavant prise en compte par les climatologues "officiels", y compris ceux du GIEC.

Sinon, le temps risque bien de nous être compté...

La seconde prévision que je fais à partir de mon analyse est la tendance à une accélération du réchauffement et de ses conséquences au cours des prochaines années. Il faudra en particulier surveiller l'évolutionde la banquise et des toundras, ainsi que l'augmentation probable de la concentration du méthane dans l'atmosphère.

Vers 2010-2015, certaines des conséquences du réchauffement deviendront irréversibles (3ème seuil climatique) et l'on ne pourra plus espérer que limiter les dégats si des mesures drastiques n'ont pas été prises très vite à partir de maintenant.

Le détail et la suite sont développés dans "Terre, fin de partie?" dont la seconde édition (mise à jour et imprimée) vient de sortir chez Eons (lien ci-dessous).

Qu'on ne se méprenne cependant pas. Ce n'est en aucune manière une opération mercantile (Je ne récupérerai probablement jamais les frais que j'ai engagés pour mener mes recherches), mais un instrument pour développer et faire connaître mon analyse de l'évolution climatique, en vue de faire prendre conscience de la gravité réelle du risque aux scientifiques et aux décideurs. Il en va peut-être en effet de notre avenir et de celui de nos enfants...

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Et encore un article de la BBC aujourd'hui sur la fonte accélérée de la banquise.

La superficie de la glace est actuellement 20% inférieure à la moyenne constatée sur 1978-2000. Le dégel de la banquise se fait au rythme de 8% par décennie, et à ce rythme là, il n'y aura plus du tout de banquise l'été vers 2060.

Et encore, la fonte devrait encore s'accélérer dans les années qui viennent.

Voici cet article très intéressant:

http://news.bbc.co.uk/1/hi/sci/tech/4290340.stm

Un extrait parlant de ce point de non-retour avec la perte d'albédo:

"What we're seeing is a process in which we start to lose ice cover during the summer," he said, "so areas which formerly had ice are now open water, which is dark.

"These dark areas absorb a lot of the Sun's energy, much more than the ice; and what happens then is that the oceans start to warm up, and it becomes very difficult for ice to form during the following autumn and winter.

"It looks like this is exactly what we're seeing - a positive feedback effect, a 'tipping-point'."

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Entre le gel du permafrost qui risque de libérer pas mal de méthane, les forets qui devrait être maintenant contributeus nets de C02, l'effet d'albedo diminuant extrèmement rapidement en Arctique, la machine a été mise en route pour de bon, et cela nous promet des horizons très chauds!

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Entre le gel du permafrost qui risque de libérer pas mal de méthane, les forets qui devrait être maintenant contributeus nets de C02, l'effet d'albedo diminuant extrèmement rapidement en Arctique, la machine a été mise en route pour de bon, et cela nous promet des horizons très chauds!

Là par contre je suis moins d'accord.Le dégel du permafrost reste un processus très lent, soumis aux lois thermiques de la conduction en milieu gelé.

Il faut savoir que ce permafrost est très épais, plusieurs centaines de m, et on estime à plusieurs siècles la durée de son dégel complet.

Il y a très peu de risques de voir la teneur en CH4 monter de façon significative.

Concernant la banquise je voudrais bien connaître la démonstration mathématique conduisant à dire qu'on a atteint un point de non-retour.

Qu'est-ce que cela veut dire non-retour?

Qu'est-ce qui va empêcher l'eau de mer de regeler à partir de fin septembre?

L'albédo?

Non puisqu'on va entrer dans la nuit polaire et n'oublions pas que l'effet radiatif du soleil est de toute façon assez faible dans ces régions.

Ce que je crois par contre c'est que la banquise va continuer à décroître mais de façon progressive en suivant une courbe qu'il devrait être assez facile de calculer.

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D'accord pour l'hiver Meteor, par contre l'été, il n'y aura plus de glaces, et l'océan arctique pourrait alors mieux se réchauffer qu'actuellement, et les rayons du soleil pénétreront directement les eaux... Donc au début de l'hiver arctique, la température de l'océan arctique sera beaucoup plus chaude qu'actuellement, donc la glace aura du mal à reprendre aussi facilement, et ce de plus en plus.

Concernant le permafrost, je vais me renseigner un peu plus, mais beaucoup de scientifiques en parlent de ce risque, même si j'avoue ne pas trop m'être penché là-dessus. Je vais encore étudier la question, cependant j'avais entendu ce problème notamment au Quebec, ou la zone de permafrost permanent avait tendance à remonter plus au nord au fur et à mesure.

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oui mais si tu calcules la puissance thermique que représente en plus sur la Terre la réduction de moitié de la banquise, globalement sur l'année, en prenant un rayonnement solaire incident moyen, tu t'apercevras que ce n'est pas la catastrophe au niveau global (pas au niveau local bien sûr)

Concernant le permafrost je te trouverai des liens.

Mais saches que c'est un milieu assez peu conducteur de la chaleur.

Et si 1 m se dégèle par an (c'est même pas sûr) on peut calculer sur une surface donnée à combien cela correspond comme "fuite" de CH4, connaissant la teneur en CH4 dans le permafrost.

Enfin n'oublions pas que ce dernier a une durée de vie de l'ordre de 12 ans et que, moyennant tout cela, on peut calculer l'augmentation de la teneur dans l'atm puis l'augmentation de temp résultante.

Tiens si j'ai le temps je tenterai un calcul de tout cela.

Attention je ne peux être suspecté d'un quelconque scepticisme concernant le RC, mais je ne crois pas que nous franchissions un seuil en ce moment.

à plus

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A propos de la banquise, il faut aussi tenir compte de deux éléments:

- D'abord, d'après une récente expédition britannique, une partie au moins d'une des branches nord du GS ne s'enfoncerait plus verticalement, mais selon une faible déclivité, finissant par se diffuser en partie sous la banquise. Une contribution encore à calculer à l'amincissement déjà très prononcé de cette dernière et au réchauffement ultérieur de la masse des eaux de l'Océan Arctique.

- Dégagées plus largement aussi bien en été qu'en automne et au printemps, les mers périphériques de l'arctique voient leurs eaux de surface se réchauffer en été bien plus que par le passé, si l'on en croit les données rapportées par une expédition anglo-canadienne (il y avait eu un post là dessus à l'époque).

On pourrait donc observer une nette accélération du recul de la banquise qui pourrait assez rapidement quasiment disparaître en été (il restera des icebergs et quelques débris de banquise plus épais que les autres dans certaines zones) beaucoup plus tôt que prévu (j'ai calculé que cette éventualité pourrait survenir aux alentours de 2017).

Si ce réchauffement atteignait 1 à 2 degrès vers 2 ou 300 m de profondeur, il commencerait à déstabiliser les gigantesques gisements de clathrates qui bordent les cotes de Sibérie et surtout de l'Alaska. Bien sûr, celà dépendra aussi de la diffusion de ce réchauffement dans la masse des gisements, mais il semblerait que ceux ci soient apparemment peu homogènes et laissent circuler l'eau dans de nombreuses fissures...

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La couche de glace au pôle nord joue le rôle d'un isolant thermique pour l'océan, le fait que la calotte glacière soit moins importante ne permet-il pas un refroidissement (relatif) plus rapide durant les équinoxes (dans l'absolu il ferait quand même moins froid)?

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Bonsoir,d'aprés ce que j'ai entendu.Le pole sud de mars est en train de se réchauffer mais que donne le pole N?

Pourquoi les mêmes choses que la terre?

Es que le pole sud de la terre fond plus rapidement que le pole N?

Un truc interresant à savoir.Comment etait situé les poles au moment des glaciations?

Car supposons: il y a 11000 ans,on à eut une glaciation sur la terre et sur mars.

Es que avant l'épisode de glaciation,il y a eut une grosse activité solaire trés intense en envoyant une forte energie magnétique faisant bouger l'axe des poles en même temps sur les 2 planetes.

Car supposons.Si les poles sud des 2 planetes fondent en meme temps,et que l'axe de la terre change legerement les poles de position.Supposons que le pole sud passe au N pour les 2 memes planetes sans obligatoirement aller jusqu'au BOUt.jusque ca change de quelques degres.Par exemple si les poles N des 2 planétes etaient le moins exposé au soleil pour la glaciation ,ca montre que le magnétisme joue un bon role d'autant que mars doit plus facilement bougé que la terre au vu de sa masse moins importante et de la force de gravité du soleil.

Es que avant chaque glaciation,il y a eut un gros coup d'activité solaire faisant basculer legerement les poles.le truc qui serait interresant,c de savoir si le pole sud de la terre,fond plus vite que le pole N ainsi que sur mars.Pour voir si ca coordonne.Si c le cas,j'emet une hypothése sur le magnétisme car pour que les changement climatiques entre la terre et mars sont pratiquement identiques malgré que mars est plus éloigné que la terre,je ne vois pas autre chose que le magnétisme qui ferait ces même changements.

Qu'es que vous en pensez?

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