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paradoxes climatologiques


lozere
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Messages recommandés

Quelques petits paradoxes… ou les pièges de la relativité temporelle en climato :

1) les jours trompeurs :

- en 2003, on observe de manière durable (quelques heures) de la neige sur le Piton des Neiges à la Réunion. C’est la première fois de l’histoire de cette belle île. Et pourtant, d’après MF, 2003 est l’année la plus chaude de l’histoire pour la Réunion ;

- le 5 juin 1976, la station d’Avord bat son record de froid pour un mois de juin à 1,6°C, juste avant une canicule historique. Idem pour Romorantin, où il gèle : -0,8°C.

- et le 1er août 1976, en pleine période de canicule, la station du Touquet bat son record de froid pour un mois d’août avec 3,9°C

2) les saisons trompeuses :

- en pleine décennie très chaude, le Mont Aigoual (1560m) bat son record d’enneigement durant l’hiver 1994-1995… Comme quoi, les moyennes montagnes peuvent parfois tirer leur épingle du jeu même en plein « réchauffement climatique ».

- à en croire E. Leroy-Ladurie, notre été historique 2003 n’a pas grand-chose à envier à certains étés caniculaires (1420 ou 1540 par exemple)… en plein Petit Age Glaciaire

3) les décennies qui interrogent :

- la station de Châteauroux offre des relevés depuis 1893. L’effet de serre urbain y est très atténué. La décennie la plus froide est 1962-1971, en pleine explosion industrielle mondiale de GES !

- toujours d'après E. Leroy-Ladurie, la période 1500-1560 est particulièrement chaude, riche en canicules dignes de 2003 et hivers très doux. On est pourtant en plein PAG...

Bref, tout ça pour dire ce qui semble évident, mais que l'on oublie facilement: en climatologie, l'anecdotique ne doit pas servir à illustrer et encore moins prouver des tendances qui ne peuvent se détecter qu'à l'échelle de plusieurs décennies.

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Posté(e)
Saint Leu La Foret (95), altitude 70 mètre.

Sans compter la chute de neige a Winipeg de mercredi dernier.

C'est dommage que les releves de Chateauroux ne commence

qu'en 1893, car les decennies les plus froide sont anterieurs par

exemple :1871-80 1881-90

philippe

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"en 2003, on observe de manière durable (quelques heures) de la neige sur le Piton des Neiges à la Réunion. C’est la première fois de l’histoire de cette belle île"

il me semble qu'il a déjà neigé sur les hauteurs de la Réunion, non ?

Rendez-vous compte que le 8 août 2003, il faisait près de 40°C en France contre -7°C en Afrique du sud...

"en pleine décennie très chaude, le Mont Aigoual (1560m) bat son record d’enneigement durant l’hiver 1994-1995"

non il s'agit de l'hiver 1995-1996, avec 10 à 11 mètres de neige cumulée, si mes souvenirs sont bons.

"en climatologie, l'anecdotique ne doit pas servir à illustrer et encore moins prouver des tendances qui ne peuvent se détecter qu'à l'échelle de plusieurs décennies"

oui mais il y a répétition de certains événements qui confirment une tendance. Ainsi, de nombreux flux de sud depuis 1988 en France sont à l'origine de nombreuses vagues de douceur (ou chaleur), de tempetes extremes, de pluies + fortes dans le sud-est.

Les habitants du sud-est vous diront que ce ne sont pas des événements anecdotiques : cf les crues du Rhône depuis 10 ans...

De même il y avait bien des vagues de froid à répétition entre 1953 et 1972 en France. (d'où le minimum thermique des moyennes d'ailleurs, le déficit mensuel d'un mois froid d'hiver pesant + lourd que celui d'un mois d'été...)

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"il me semble qu'il a déjà neigé sur les hauteurs de la Réunion, non ?"

Oui, mais c'est la première fois qu'on l'observait si bas et en une telle quantité. On pouvait l'admirer pour la première fois depuis les villes du littoral. Cf les photos sur http://www.delajartre.com/neige2003.html

"non il s'agit de l'hiver 1995-1996, avec 10 à 11 mètres de neige cumulée, si mes souvenirs sont bons." Oui, autant pour moi, c'était bien l'hiver 1995-1996.

Pour le reste, je suis presque d'accord avec vous. Mon but était d'isoler l'anecdote du phénomène climatologique. Mais la répétition de phénomènes anecdotiques peut bien sûr illustrer ou confirmer un phénomène climatologique mais il ne faut pas leur en faire dire plus qu'ils ne peuvent.

Les articles de presse des 60's s'inquiétaient d'un refroidissement du climat à la suite d'années froides (d'hivers froids surtout, comme vous le faites justement remarquer): et pourtant, la tendance séculaire en France est indéniablement au réchauffement, même léger depuis le milieu du 19ème.

De même, la hausse des précipitations dans le sud-est pourrait parfaitement s'intégrer dans une phase séculaire de moindre précipitation dans ces régions...

En fait, j'ai trop souvent l'impression que l'on prend des faits marquants et souvent émouvants (impact humain des crues à répétition ou de la sécheresse) pour des illustrations de phénomènes qui en climatologie doivent s'étudier sur un laps de temps beaucoup, beaucoup plus long! De plus, il faut toujours isoler la conséquence humaine d'un phénomène (crue catastrophique) de son origine météo: ainsi, en matière de crue, l'urbanisation et l'aménagement du territoire jouent un rôle presqu'aussi important que les précipitations elles-mêmes.

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  • 9 years later...

Je rajoute qu'en 2003, qui était l'année la plus chaude en France avant qu'il y ait 2011, on a enregistré la seule Tx de -5°C à Montsouris du siècle et la seule gelée en Octobre également.

Avant l'exceptionnel Octobre 2001, on a eu un Septembre ultra frais.

Avant l'année 2011, on a eu Décembre 2010.

Pendant que la France était frappée par la canicule, le 21 Juillet 1983 -89,2°C à Vostok record mondial relevé.

Les trois derniers jours d'Août 2003 ont été assez frais à Paris (Tx autour de 20°C, Tn descendant à 11°C environ le 31).

Pendant que Paris avait une Txx d'à peine plus de 26°C en Août 2006, à Nice la Txx était d'environ 38°C le 1er (Record absolu) alors que d'habitude c'est plutôt l'inverse.

Mi Septembre 1986, alors qu'un après midi on dépasse à peine les 10°C à Paris, il fait chaud dans le sud.

Le 6 Juin 1998, il fait 34,8°C à Rome, 33°C à Colmar contre même pas 25°C à Majorque.

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Posté(e)
La Tronche (260 m)

Quelques petits paradoxes ou les pièges de la relativité temporelle en climato :

1) les jours trompeurs :

- en 2003, on observe de manière durable (quelques heures) de la neige sur le Piton des Neiges à la Réunion. Cest la première fois de lhistoire de cette belle île. Et pourtant, daprès MF, 2003 est lannée la plus chaude de lhistoire pour la Réunion ;

- le 5 juin 1976, la station dAvord bat son record de froid pour un mois de juin à 1,6°C, juste avant une canicule historique. Idem pour Romorantin, où il gèle : -0,8°C.

- et le 1er août 1976, en pleine période de canicule, la station du Touquet bat son record de froid pour un mois daoût avec 3,9°C

2) les saisons trompeuses :

- en pleine décennie très chaude, le Mont Aigoual (1560m) bat son record denneigement durant lhiver 1994-1995 Comme quoi, les moyennes montagnes peuvent parfois tirer leur épingle du jeu même en plein « réchauffement climatique ».

- à en croire E. Leroy-Ladurie, notre été historique 2003 na pas grand-chose à envier à certains étés caniculaires (1420 ou 1540 par exemple) en plein Petit Age Glaciaire

3) les décennies qui interrogent :

- la station de Châteauroux offre des relevés depuis 1893. Leffet de serre urbain y est très atténué. La décennie la plus froide est 1962-1971, en pleine explosion industrielle mondiale de GES !

- toujours d'après E. Leroy-Ladurie, la période 1500-1560 est particulièrement chaude, riche en canicules dignes de 2003 et hivers très doux. On est pourtant en plein PAG...

Bref, tout ça pour dire ce qui semble évident, mais que l'on oublie facilement: en climatologie, l'anecdotique ne doit pas servir à illustrer et encore moins prouver des tendances qui ne peuvent se détecter qu'à l'échelle de plusieurs décennies.

Merci pour les anecdotes ...

Une petite précision: entre 1420 et 1560, je ne suis pas sur que ce soit le PAG (Petit Age Glaciaire), je l'aurais situé plus tard, entre 1650 et 1800 environ.

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Juillet 1757 (24,6°C) est selon la NOAA le deuxième mois le plus chaud à Paris derrière 2006 (24,8°C) mais devant 2003 (24,4°C) et les Tn ont monté jusqu'à 25°C soit à nouveau presque comme en Août 2003 qui a donc une Tm plus basse.

En Décembre 1675, il n'a pas gelé à Paris.

En Janvier 1708, 2,5°C de Tnn.

Et en Septembbre 1680, Tm de près de 21°C, Tnx de 21,9°C et Tnm de 19,9°C en premier décade explosant 2005.

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Tout ces anecdotes, ces records, ces évènements majeurs pour dire que le climat change constamment, et que des étés caniculaire, des hivers glacials, des tempêtes, il y en a eu bien avant notre époque actuelle et notre "réchauffement climatique", et même pendant des périodes de petit âge glaciaire comme les canicules. Heureusement que l'on a quelques relevés très anciens qui le montrent !!

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Et je compte avec Florent 76 faire une plus longue série quotidienne à Paris.

Des anecdotes j'en ai plein, 17,9°C le 15 Janvier 1696 avec une Tn de -2,5°C!

Le 9 Juillet 1874 (Alors qu'il a fait -0,1°C le 7 Mai au matin) on relève 38,4°C pour la Sainte Amandine!

26,5°C le 18 Avril 1709 (3 Mois après la deuxième décade de Janvier avec -16°C de minimale moyenne) et au total 4 jours de chaleur après un des plus grands hivers du PAG.

Mai 1684 3,6°C d'excédent, 13,9°C de Tnm, 22,8°C de Txm et 18,4°C de Tm mensuelle soit plus qu'en 2008 et 2011. Une seule Tn de 9,5°C sinon toutes à au moins 10°C.

11 Mars 1687: 23,7°C à Paris.

29,6°C le 28 Avril 1840 et 29,2°C le 29 Avril 1841. Et j'en passe, regardez sur mon site dans les données de Paris très anciennes que j'ai retapées, vous trouverez des valeurs incroyables pour le PAG.

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Le petit âge glacière est de : 1303 à 1860 mais il y a l'hyper petit âge glacière de : 1560 à 1600 .La pire famine à lieu en 1693/94 = 1300000 morts

1709 fut un véritable cataclysme où les chênes se fendirent par le froid , 2/3 des vignes gelées .

Cette année là il y eu l'éruption du : Vésuve , Santorin , Fujiyama , Piton de la fournaise ....

il y eu des périodes chaudes : 1500 à 1560 et 1720 à 1739 .

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Oui bien sûr, je parlais des paradoxes.

Autre exemple, en plein réchauffement climatique, l'hiver 1946/1947 est un des plus froids (Environ -13°C à Paris à un moment en Décembre et -12°C en Janvier et un Février très déficitaire) alors que dès Mars il fait 31°C à Pau (Le 17) et ensuite on a l'été le plus chaud du 20ème siècle avec 40,4°C à Paris le 28 Juillet.

A Deols, 1893 était l'année la plus chaude ex aequo avec 2003 et 1994 avant que 2011 fasse du ménage. Et ce malgré un Janvier 1893 glacial avec des nuits sous les -20°C. Ensuite, Châteauroux a enchaîné Février doux, Mars très doux, Avril monstrueux (24°C environ de moyenne des Tx), Mai un peu moins monstrueux, Juin, Juillet pas mal et Août à nouveau proche de 2003 en Txm, puis encore à l'automne.

Octobre 1921 a été incroyablement chaud (Txm de 30°C et quelques en première décade à Bordeaux et de 26°C environ à Paris), mais déjà fin Octobre un petit coup de fraîcheur annonce la suite, après un redoux début Novembre, ensuite le froid devient mordant et on tombe sous les -10°C mi Novembre à Bordeaux (Remarque ça a été le cas à Mont de Marsan le 17/11/2007) et -8,9°C à Paris avec une Tx à peine supérieure à -5°C. Ce Novembre est le plus froid du siècle.

En plein hiver le plus doux en Janvier 2007, on tombe à environ -15°C à Clermont Ferrand et -10°C (En début de nuit ou fin de soirée) à Caen en fin de mois et fin Décembre 2006 on enregistre une maximale de l'ordre de -2°C un jour à Bordeaux.

Fin Juillet 1976, on enregistre des maximums très bas le 22: http://meteo-climat-bzh.dyndns.org/tempsjour-22-7-1976.php (13°C à Phalsbourg et à Loxeville, 13,4°C à Nancy, 14,2°C à Metz et 11°C à Mouthe).

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De maximale ça reste très frais en été vu que c'est plus de 10°C en dessous des normes tout de même, à Mouthe il a déjà fait -4°C en Juillet et Août et à Chamonix -2°C environ, au Puy il a gelé le 30/8/1986 avec -0,8°C mais ce sont des minimales.

En Juillet à moins de 500m, la Tx la plus basse est 10,9°C à Belfort le 18/7/1966 et en Août 11°C à Rostrenen le 31 Août 1956 il me semble.

Mais le 2 Septembre 1965, que 9,1°C de Tx à Saint Girons. Et 9,8°C à Langres de Tx le 29/6/1981.

Sinon le 6 Avril 1911, 1°C de Tx à Paris, été caniculaire, 6 Avril 2011 24,6°C de Tx et Juillet pourri (Août normal et Juin chaud avec deux coups de chaud aux extrémités).

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Et que dire de 2003 sur Clermont, qui cumule l'été caniculaire, avec l'aout exceptionnel, détenteur du record de mois le plus chaud jamais observé depuis le début des mesures, le Juin encore plus exceptionnel qu'aout en relatif, avec un excédent pharamineux de env 7° sur la normale...

... Le tout après la gelée tardive la plus forte jamais enregistrée, autour de -7°C début Avril, 2003, année sans fruits, valeur record là aussi.

Que de paradoxes*

* En fait pas tant que ça, 2003 fut une année de flux méridiens, ceux qui donnent les canicules mais aussi les coups de froid

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Comme 2010 où il y a eu d'énormes contrastes:

Janvier, première quinzaine froide et une deuxième quinzaine variable mais où on a échappé à une accentuation du froid. Déficit 2°C environ.

Février, début plutôt doux mais vdf en seconde décade, mais grande douceur en fin de mois avec 25°C la nuit du 27 au 28 (Xynthia) à Oloron et 27,6°C à Solenzara le 28 record de Corse mensuel faisant que le déficit est très léger. A Paris, le déficit à 10 jours de la fin était encore de l'ordre de 4°C.

Mars, début froid au milieu encore 4°C de déficit totalement compensé et premier excédent à Paris de pas grand chose façon Mars 2005 en moins extrême.

Avril: douceur de plus en plus forte en avançant dans le mois, 2°C d'excédent, journées estivales à la fin avec des fortes chaleurs les 28 et 29, Tn record aux Moutiers le 29.

Mai: la température chute dès le passage en Mai, le 3 il fait 9°C l'après midi à Paris, le lendemain à 14h pluie et neige mêlées à Tarbes par 1°C, températures négatives à basse altitude neige dans l'après midi alors que 5/6 jours avant il faisait plus de 30°C dans ces endroits parfois. Ensuite, nouveau coup de frais le 11 et le 15 -3,6°C (Ou 7 ou 5) à Guiscriff. Puis une semaine après, fortes chaleurs records de chaleur en Bretagne dans le Morbihan localement. On était encore à 4°C de déficit quasiment au milieu du mois et on l'a quasiment comblé idem en Février.

Juin: début chaud, un 20 Juin frais isolé puis début d'une grosse vague de chaleur en fin de mois, 2°C d'excédent.

Juillet: début quasi caniculaire, 35,2°C le 2 à Paris et une Tn de 23°C plus tard (Vous vous souvenez de la chaleur quand l'Espagne a gagné la CdM de foot), puis deuxième quinzaine plus normale mais excédent de 3°C.

Août: dans les normes, coup de chaud en fin de mois surtout dans le SO.

Septembre: dans les normes, avec un coup de fraîcheur en fin de mois.

Octobre: début chaud, estival, puis progressivement arrivée du froid avec une fin plus douce, encore dans les normes.

Novembre: début exceptionnellement doux pour les Tn (15,5°C à Paris le 4 ou 15,4°C record mensuel) puis en milieu de mois et paf dernière décade glaciale conclue par un -3,7°C à Montsouris (Tx de 0,1°C) et -15,4°C à Orléans. Dans les normes.

Décembre: froid modéré du début à la fin, 3°C de déficit voire un peu plus à Paris, léger redoux relatif vers le 12 et le 29 (11,8°C chez moi) mais surtout plein de jours de neige, de refonte, de reneige, impressionnant. L'antithèse de Juillet en quelque sorte.

Voilà 2010 pas mal.

Ou en Octobre 2009, Tn > 20°C deux fois à Toulouse en début de mois des fortes chaleurs énormes (Plus de 33°C à Saint Girons) avant des fortes gelées en milieu de mois jusqu'au SO et un été indien surtout à l'ouest en fin de mois (26°C à Bouin le 29).

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  • 3 weeks later...

Voici des relevés en Juin 1944:

http://meteo-climat-bzh.dyndns.org/relevmois-1-6-1944.php

http://meteo-climat-bzh.dyndns.org/relevmois-19-6-1944.php

http://meteo-climat-bzh.dyndns.org/relevmois-238-6-1944.php#

http://meteo-climat-bzh.dyndns.org/relevmois-239-6-1944.php

http://meteo-climat-bzh.dyndns.org/relevmois-364-6-1944.php

On remarque un pic de chaleur/douceur le 4 avec jusqu'à 27,9°C à Paris notamment.

Alors pourquoi avoir retardé le débarquement au 6, journée la plus pourrie plus que 17,2°C à Paris, 16,1°C à Oxford et 12,6°C à Vlissingen de Tx.

En tout cas, ce 6 Juin 1944 fut bien frais.

Et dire qu'il faisait 34,2°C à Caceres et 36,1°C à Badajoz.

http://meteo-climat-bzh.dyndns.org/tempsjour-6-6-1944.php

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