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Infos. sur étanchéité ISS Davis VP2


bianconero
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SEREMANGE ERZANGE FR 57

bonsoir la Communauté,

un petit conseil... je ne sais pas si la question a déjà été discutée ...

je suis à la recherche d' un petit "conseil brico" pour renforcer l'étancheité (si possible) du couvercle de l'iss ??

j'avais pensé à mettre (éventuellement) une fine couche de graisse de silicone sur toute la longueur des joints du couvercle afin de le maintenir élastique ...

alors pour ne pas faire de bêtises, vos précieux conseils bienvenus MERCI

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Bonsoir

franchement je n'en vois pas la nécessité car jamais d humidité a l intérieur pour moi. Depuis 2005 aucune trace d oxydation. De plus si tu isoles trop et qu'il y ait quant même un peu d'humidité elle ne pourra pas s'évaporer et ça sera pire que mieux. Avis d ancien électricien!

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Gif sur Yvette (plateau, alt. 163 m). NO Essonne. 30 Km SO de Paris.

Je ne connais pas spécialement le boîtier dont tu parles.

Si c’est pour rendre plus étanche seulement un couvercle, tu peux effectivement graisser légèrement le joint.

Mais si c’est pour rendre plus étanche le boîtier complet, j’approuve la réponse de BMGB 59-62.

Explications ci-dessous :

L’humidité n’est pas un gros problème, le plus grave c’est la condensation ; c’est elle qui favorise l’oxydation (des contacts, des soudures et des circuits imprimés notamment).

Pour s’en protéger il y a deux solutions :

1- faire un boîtier parfaitement étanche, le remplir en surpression (environ 200 mb, pour ne pas être en dépression quand la température baisse) avec de l’azote sec et refaire un balayage et un gonflage tous les deux mois.

C’est ce qui est fait dans l’industrie pour les cas ou on ne tolère aucune condensation.

C’est bien sûr très contraignant et sûrement pas à la portée du grand public ni même d’un amateur.

2- faire une bonne protection à la pluie, au ruissellement et aux éclaboussures avec un boîtier relativement étanche mais laisser au moins une ouverture sous le dessous pour favoriser l’aération.

On favorisera ainsi l’équilibre thermique entre l’air ambiant et l’intérieur, donc on évitera la condensation.

Il vaut mieux prendre le risque de laisser entrer un air saturé (les jours de brouillard), mais avec une aération qui chassera l’humidité intérieur dès que celle de l’air extérieur aura baissé.

C’est ce qui est fait en général (y compris dans l’industrie) en faisant volontairement un boîtier non parfaitement étanche.

Si l’on observe quand même de la condensation, il vaut bien mieux percer un petit trou sous le dessous (attention aux insectes ; prévoir filtre, etc.) que de chercher à améliorer l’étanchéité.

La pire des solution est un simple boîtier trop étanche.

En effet, on aura forcément emprisonné de l’humidité qui va condenser quand la température va descendre.

Même si l’on prend soin de balayer à l’air sec avant la fermeture (1), lorsque la température va descendre, le boîtier va aspirer (2) l’air extérieur (par contraction) et donc se remplir d’humidité qui risque de condenser.

Un bel exemple de tout ceci est le sachet plastique :

J’ai assisté dans l’industrie à l’époque où on stockait la visserie dans des sachet plastique (même ouverts !), elle rouillait assez rapidement (pourtant en inox !)

Le jour ou l’on a remplacé les sachets plastique par des sachets papier le problème a été résolu.

Même problème avec l’utilisation abusive des sac plastique.

(1) on parle ici d’air sec en absolu.

Si vous « sécher » l’air en le chauffant, c’est l’humidité relative qui baisse ; l’humidité absolue reste identique et quand la température va revenir à son point de départ l’humidité sera la même (et condensera à température plus basse).

C’est pour cela qu’il est plus simple de mettre de l’azote (vendu en bouteille).

(2) un boîtier relativement étanche en surpression ne l’est en général plus en dépression.

Il se comporte alors comme une valve : tout peux rentrer mais rien ne sort !

  • Merci 1
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Gif sur Yvette (plateau, alt. 163 m). NO Essonne. 30 Km SO de Paris.

Et pourquoi pas mettre un petit sachet de gel de silice pour absorber l'humidité?

Dans les deux cas que j’ai cités (1 et 2), ça ne peut pas faire de mal, mais ça ne change rien aux explications, c’est à dire que les précautions à prendre restent les mêmes.

Bon à savoir :

L’absorption de l’humidité par le gel de silice n’est réversible que sous forte chaleur.

Autrement dit :

- couleur bleu : il absorbe progressivement l’humidité et devient rose.

- lorsqu’il est rose il faut le régénérer par passage au four (il redevient bleu)

Placé dans un boîtier moyennement étanche (cas N°2) il ne fonctionnera qu’une fois.

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SEREMANGE ERZANGE FR 57

re_merci les z'amis pour vos commentaires ...

alors affirmatif : je voulais bien parlé de toute la longueur de l'O-ring du couvercle !

140122113353748719.png

sinon OK pas de doute : vue la construction ISS, et s'il n'a été endommagé, dirons-nous "impossible" humidité mais jadis ça m'est arrivé de constater goutte d'eau sur les connecteurs !

bonne soluce les mini sachets de gel de silice ... dc pas de risque pour les composants electroniques ?? CDT

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