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Changement climatique en France


mickael23

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Posté(e)
Matagami (région Nord du Québec)

Bonjour à tous.

 

Pensez-vous que les extrêmes climatiques ( excés de pluviométrie de mars à Juin) , sécheresse accablante en Juillet, août et qui perdure à l'heure actuelle , possède un lien avec un éventuel changement climatique? 

 

N'observe -t-on pas un début d'évolution climatique , une remontée du Climat "méditerranéen" vers le Nord?, un changement dans la répartition des pluies ? ou encore une récurrence de certaines situations atmosphériques (placement répétée et décalage vers le nord de l'anticyclone ibérique)?

 

Faites part de vos impressions ou de vos analyses sur ce sujet très complexe et qui retient mon attention dans le sens ou il s'agit peut etre d'un simple "accident climatique"  très temporaire, issu de la variabilité naturelle de notre climat?

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L'un des paradoxes du réchauffement, c'est que les français ont toujours eu une vision tronquée des normales saisonnières estivales qu'ils imaginent beaucoup plus élevées qu'elles ne le sont malgré la

Bonjour à tou(te)s,   Toujours sur l'évolution climatique en métropole depuis les années 70, 4 mois particuliers pour illustrer cette évolution saison par saison : janvier, avril, juillet et

Enorme, je ne sais pas. Apocalyptique, je ne sais pas non plus.    Je sais juste qu'entre ça : (quaternaire, ère glaciaire)   Et ça : (Anthropocene, maintenant)

Images postées

Par contre, ce sujet existe déjà, on s'en approche sérieusement: 

A échelle française, ce qui interpelle c'est d'avoir à la fois le printemps le plus humide suivi des 2 mois les plus secs depuis 60 ans.

 

Il reste très compliqué d'établir un lien direct entre le RC et ces 2 séquences météo. On est encore beaucoup dans le ressenti, la sensation que, mais peu dans le quantitatif.

 

Le fait est qu'on a eu un El niño particulièrement vigoureux. Par conséquent, l'atmosphère s'est retrouvée avec beaucoup plus d'eau à éponger, en parallèle la hausse du thermomètre est favorable à celle du z500.

En parallèle toujours, on ne peut s'empêcher de penser que le pôle fait moins bien sont boulot qu'avant sans en être certain, on a cette sensation que la météo fonctionne par récurrence de plus en plus longue.

 

Mais objectivement, l'approche scientifique s'en tient surtout à mesurer l'évolution par occurrence pour établir un lien entre la météo et le RC.

 

D'ailleurs on compare souvent l'anomalie de T°C à la moyenne tout type de flux confondu, mais si on compare une anomalie issue d'un flux en référence à la moyenne de toutes les séquences de ce flux, c'est moins spectaculaire.

 

C'est à dire qu'on peut imaginer avoir une année avec une anomalie négative, mais étant dominée par des flux de nord, elle peut être en réalité en très forte anomalie positive si on ne se compare qu'au flux de nord composant de toutes les autres années.

 

Je pense que c'est un point important, car si on se tape admettons une décennie dominée par les flux S et SO, suivi de 20 ans dominés par des flux NO à N, on pourrait maladroitement conclure que la France ne se réchauffe plus.

 

C'est comme dire à échelle globale que le RC ralenti ou accélère en fonction des cycles océanique et de de la variation de l'énergie absorbée qui en découle. C'est de l'interprétation très, trop relative à mon avis.

 

 

Modifié par sebb
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Oui, enfin, bon, c'est vrai si et seulement si la récurrence des flux  ne change pas . Ton exemple est peut être un peu gros.

Modifié par sirius
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Moi j'ai un exemple concret de ce changement climatique et je ne suis pas le seul à l'exprimer dans mon entourage professionnel. Tout gamin avec mon père, on rangeait et on lavait la tondeuse fin septembre. Maintenant depuis de très nombreuses années, je la range et la nettoie pratiquement mi novembre et c'est pas juste une année. On a gagné 1 mois.

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Il y a 7 heures, mickael23 a dit :

Bonjour à tous.

 

Pensez-vous que les extrêmes climatiques ( excés de pluviométrie de mars à Juin) , sécheresse accablante en Juillet, août et qui perdure à l'heure actuelle , possède un lien avec un éventuel changement climatique? 

 

N'observe -t-on pas un début d'évolution climatique , une remontée du Climat "méditerranéen" vers le Nord?, un changement dans la répartition des pluies ? ou encore une récurrence de certaines situations atmosphériques (placement répétée et décalage vers le nord de l'anticyclone ibérique)?

 

Faites part de vos impressions ou de vos analyses sur ce sujet très complexe et qui retient mon attention dans le sens ou il s'agit peut etre d'un simple "accident climatique"  très temporaire, issu de la variabilité naturelle de notre climat?

Ce que je constate, c'est que le moindre flux de sud en été depuis 5-10 ans, c'est la canicule directe tellement les réserves chaude sur le Maghreb/ péninsule ibérique sont importantes. Au contraire, en hiver on peut se payer des flux de nord/voir de nord est et pas grand chose arrive (-8 à -10 degrés à 850 hpa au maximum) car les réserves froides sont très souvent absentes surtout de notre coté (Russie, Scandinavie...).

Bref des conditions synoptiques très particulières pour avoir vraiment froid. Pas grand chose pour avoir très chaud.

Modifié par Virgile
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Posté(e)
Var est , 10 kms de la mer

je rejoins Virgile quant au décalage dans le temps de l'arrivée du froid, l'été se prolonge dans l'automne et l'automne dans l'hiver, j'habite dans le var et cela fait belle lurette qu'il n 'y a plus de gelées en octobre novembre comme on en connaissait il y a une vingtaine d'années, sans compter les moustiques même en hiver.

d'autre part ce qui se passe en Espagne au niveau températures et surtout HR me semble encore plus évident d'un changement, je l'ai déjà dit sur le forum dédié,  la quasi totalité du pays est restée entre 10 et 20% d'humidité relative pendant plusieurs jours

Modifié par bernard183
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Il y a 3 heures, sirius a dit :

Oui, enfin, bon, c'est vrai si et seulement si la récurrence des flux  ne change pas . Ton exemple est peut être un peu gros.

Pour sûr que mon exemple est fictif, mais je pense qu'on peut calculer une anomalie qui tienne compte du % de chaque flux de l'année, confrontée à la T°C moyenne de chaque flux  et fonction de l'avancée de l'année. Je ne sais pas si cela a déjà été calculé ou discuté.

 

Mais ça pose une problématique d'ailleurs, connait on la norme pour chaque flux à chaque moment de l'année? 

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il y a 43 minutes, Virgile a dit :

Moi j'ai un exemple concret de ce changement climatique et je ne suis pas le seul à l'exprimer dans mon entourage professionnel. Tout gamin avec mon père, on rangeait et on lavait la tondeuse fin septembre. Maintenant depuis de très nombreuses années, je la range et la nettoie pratiquement mi novembre et c'est pas juste une année. On a gagné 1 mois.

En effet c'est une impression qui doit être assez généralisée, mais pour faire le lien avec le RC, il faut quand même résoudre le problème sur l'évolution de la fréquence des flux. On sait par exemple que l'AMO augmente ou diminue les précipitations en fonction de son signe. Enfin l'AMO n'est qu'un indice, mais disons que lorsque des mécanismes permettent à l'AMO d'être dans un signe, il était corrélé une évolution dans les précipitations.

 

Ne pas glisser dans le climato scepticisme, mais juste essayer d'objectiver nos constats.

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il y a 3 minutes, sebb a dit :

Pour sûr que mon exemple est fictif, mais je pense qu'on peut calculer une anomalie qui tienne compte du % de chaque flux de l'année, confrontée à la T°C moyenne de chaque flux  et fonction de l'avancée de l'année. Je ne sais pas si cela a déjà été calculé ou discuté.

 

Je l'ai déjà fait sur l'hiver, quelques exemples :

 

Beauvais.png

 

Orléans.png

 

Nancy.png

 

 

Cela montre l'évolution en période hivernale (DJF) de la température moyenne en fonction du flux et l'évolution du nombre de jours par type de flux entre la période 1951-1980 et la période 1981-2010. Il n'y a pas trop de surprise à se rendre compte que les flux d'ouest ont été bien plus nombreux sur la période 1981-2010 (poids de la décennie 1990 et des séquences zonales interminables), mais on relève aussi qu'il fait globalement plus doux à flux identique. Par exemple à Nancy, le nombre de jours avec flux d'est ou de nord-est est resté presque stable (baisse non significative), mais avec ce type de flux la Tm moyenne était de -2,0° sur la période 1951-1980, pour seulement -1,3° sur la période 1981-2010. Le nombre de jours avec flux d'ouest a par contre augmenté (d'environ 28 à 33% des jours), avec en plus un radoucissement qui a fait passer les jours avec ce flux de +4,5° sur la période 1951-1980 à +5,2° sur la période 1981-2010.

 

Ce type d'exercice est beaucoup plus compliqué en été (périodes où les flux sont très faibles et souvent mal définis), et quasiment impossibles aux saisons intermédiaires (à moins de raisonner au minimum par quinzaine pour lisser les effets de la pente, mais auquel cas même 60 ans de données cela devient trop court pour tirer des tendances significatives).

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Invité Sky Blue
Il y a 2 heures, Virgile a dit :

Ce que je constate, c'est que le moindre flux de sud en été depuis 5-10 ans, c'est la canicule directe tellement les réserves chaude sur le Maghreb/ péninsule ibérique sont importantes. Au contraire, en hiver on peut se payer des flux de nord/voir de nord est et pas grand chose arrive (-8 à -10 degrés à 850 hpa au maximum) car les réserves froides sont très souvent absentes surtout de notre coté (Russie, Scandinavie...).

Bref des conditions synoptiques très particulières pour avoir vraiment froid. Pas grand chose pour avoir très chaud.

C'est un peu ca effectivement, pour l'hiver notre congélateur arctique étant défaillant cela ne doit pas arranger les choses.

Et pour l'été les flux méridiens n'ont pas de mal à nous advecter l'air Ibérique ou Africain du Nord. 

En conclusion, c'est plus facile d'avoir du vrai chaud que du vrai froid.

Reste la question du pourquoi du comment et ou va t'on arrêter le curseur vers le chaud.?

Modifié par Sky Blue
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Mis a part les records d'intensités pluvieuses et la situation du pays méditerranéen, je crois qu'on ne peut pas attribuer (encore) de changement significatif sur le régime des pluies/sécheresses. Ce qui est normal pour une ville donnée, c'est d'avoir un score mensuel de pluie à côté de la normale.

Pour la température, je n'insisterai pas...

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Il y a 2 heures, bernard183 a dit :

je rejoins Virgile quant au décalage dans le temps de l'arrivée du froid, l'été se prolonge dans l'automne et l'automne dans l'hiver, j'habite dans le var et cela fait belle lurette qu'il n 'y a plus de gelées en octobre novembre comme on en connaissait il y a une vingtaine d'années, sans compter les moustiques même en hiver.

d'autre part ce qui se passe en Espagne au niveau températures et surtout HR me semble encore plus évident d'un changement, je l'ai déjà dit sur le forum dédié,  la quasi totalité du pays est restée entre 10 et 20% d'humidité relative pendant plusieurs jours

Le décalage, c'est aussi au printemps.

Mon grand oncle maraîcher à partir de 1925 notait les évênements climatiques importants pour lui. En pleine compagne où je suis d'ailleurs aujourd'hui.

Il n'y a donc rien d'exhaustif dans ce cahier, des choses pas toujours exploitables, mais il notait les gelées de mai.

Entre 25 et 69 (45 ans) il en a noté 8. Rien ne dit qu'il les a toutes notées.

Sur les 30 dernières années (depuis 87) la gelée la plus tardive ici a été relevée un 23 avril....

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il y a 12 minutes, Cotissois 31 a dit :

Mis a part les records d'intensités pluvieuses et la situation du pays méditerranéen, je crois qu'on ne peut pas attribuer (encore) de changement significatif sur le régime des pluies/sécheresses. Ce qui est normal pour une ville donnée, c'est d'avoir un score mensuel de pluie à côté de la normale.

Pour la température, je n'insisterai pas...

Hummm ici en moyenne vallée du Rhöne (mi chemin Lyon-Valence), la sècheresse d'été semble s'intensifier...

Ici ce sont mes relevés perso depuis fin1970.

ici.doc

Modifié par th38
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Il y a 15 heures, mickael23 a dit :

Bonjour à tous.

 

Pensez-vous que les extrêmes climatiques ( excés de pluviométrie de mars à Juin) , sécheresse accablante en Juillet, août et qui perdure à l'heure actuelle , possède un lien avec un éventuel changement climatique? 

 

N'observe -t-on pas un début d'évolution climatique , une remontée du Climat "méditerranéen" vers le Nord?, un changement dans la répartition des pluies ? ou encore une récurrence de certaines situations atmosphériques (placement répétée et décalage vers le nord de l'anticyclone ibérique)?

 

Faites part de vos impressions ou de vos analyses sur ce sujet très complexe et qui retient mon attention dans le sens ou il s'agit peut etre d'un simple "accident climatique"  très temporaire, issu de la variabilité naturelle de notre climat?

 

L' épisode d' anomalies thermique que nous connaissons actuellement depuis une dizaine de jours , notamment près de la méditérranée est totalement exceptionelle voir probablement sans précédent . Jusqu' alors nous étions exposé à une répétition de phénomènes extremes mais qui avait souvent un précédent , désormais nous pourrions commencer à etre exposer à des phénomènes extremes ( niveau température ,au moins ) qui ont de moins en moins de précédents connus .

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Bonjour,

 

TreizeVents, ton étude est très intéressante, tu as utilisé le flux de basse couche (vent 10m) pour déterminer le flux directeur ? Il serait sans doute très intéressant d'établir une étude semblable mais avec les reanalyses pour étudier le flux d'altitude (Z500), nous pourrions ainsi avoir réellement une idée de l'évolution des centres d'actions.

 

Bonne journée

 

 

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Exact, ce travail intéressant mettait en avant un biais chaud (RC) plus marqué pour les flux froids. Donc suivant ton constat, et pour revenir à l'idée de départ, et en restant dans la caricature si une année était composée de 80% de flux de Nord, l'anomalie relative serait très négative, alors que d'un point de vue absolue elle serait davantage positive qu'une année avec 80% de flux de SSO.

 

A Snowman43, je me souviens que Meteo60 avait posté une recherche sur le sujet, avec l'évolution du flux à 500 hpa pour Paris, voir le graphique sur le lien suivant:

http://www.meteo60.fr/dossiers/EtudeFlux/page6.htm

 

Ca ne va pas aussi loin que ce que TreizeVents a posté par contre.

" On remarque que depuis 1988 environ la variabilité des flux a diminué, la courbe moyenne sur 182 jours est plus constante. La différence est assez nette avec les 3 premières décennies. "

 

Incapable de juger leur conclusion, puisqu'il m'est assez compliqué de voir une évolution nette. Et puis je ne sais pas si les relevés (ballons sondes) sont considérés comme aussi fiables sur les relevés anciens.

 

Modifié par sebb
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  • 2 weeks later...
Le mercredi 7 septembre 2016 à 18:56, Virgile a dit :

Moi j'ai un exemple concret de ce changement climatique et je ne suis pas le seul à l'exprimer dans mon entourage professionnel. Tout gamin avec mon père, on rangeait et on lavait la tondeuse fin septembre. Maintenant depuis de très nombreuses années, je la range et la nettoie pratiquement mi novembre et c'est pas juste une année. On a gagné 1 mois.

 

Pour rester dans des exemples concrets, si vous avez à votre disposition un guide de jardinage  des années 30 (pourtant de "belles" années) ce qui est mon cas, la lecture des conseils au fil des saisons laisse rêveur... 

Beaucoup de plantes vivaces, en premier lieu ligneuses, peuvent vivre plus de 10 ans et sont beaucoup plus sensible aux variations climatiques qu'à la météo, dans la mesure où elles sont dans leur zone de rusticité.

Bon ceci dit je n'invente rien : ça n'est qu'une simple illustration de l'approche que Le Roy-Ladurie a popularisé depuis des dizaines d'années, notamment avec les vendanges.

 

Zonal 45

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Les modèles du CMIP5 sont disponibles sur cet appli flash.

http://regclim.coas.oregonstate.edu/visualization/gccv/cmip5-global-climate-change-viewer/index.html

Il y a notamment les prévisions pour le climat 2025-2049, mois par mois.

De façon intéressante, on voit les modèles impliqués dans chaque scénario. En France mais aussi pour tous les pays du monde.

Même si certains modèles sont probablement douteux, on note que dès 2025 (et donc probablement avant), l'Atlantique nord pose grosse question.

Modifié par Cotissois 31
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Posté(e)
Marcheprime, entre Bordeaux et le bassin d'Arcachon

Sympa ce lien! Oui rien qu'en prenant la moyenne des modèles sur une année, avec par ex. un RCP 6.0, l'atlantique nord reste plus frais (température de l'air j'imagine) et cela s'accentue au fil des années. A voir ce que ça peut donner sur le positionnement des centres d'action.

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On peut aussi noter à ce sujet que les modèles ont tendance à produire une circulation océanique nord-atlantique trop stable. On ne devrait pas manquer de lecture et de surprises les prochaines années puisque c'est un sujet de recherche très actif (voir les résultats de RAPID qui ont déjà pas mal surpris : http://www.rapid.ac.uk/background.php). 

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  • 4 weeks later...
Posté(e)
Pierrelatte (confluent 26/07/30/84) - et Saint Palais sur mer (17) occasionnellement
Il y a 8 heures, du 25 a dit :

Je ne savais pas où mettre cette article… si y a un endroit plus adapté?

 

Je suis un peu sceptique après ces années d'êtreme anomalie chaude. Qu'en pensez vous?

http://www.lameteo.org/index.php/news/2822

 

Euhhhhh............ comment dire.........:ph34r::ph34r:

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Il y a 9 heures, du 25 a dit :

Je ne savais pas où mettre cette article… si y a un endroit plus adapté?

 

Je suis un peu sceptique après ces années d'êtreme anomalie chaude. Qu'en pensez vous?

http://www.lameteo.org/index.php/news/2822

 

Résumé assez moyen de la part de Decker qui tente de ménager la chèvre et le choux^^ Le léger pic sur le GIEC confirme une approche assez sceptique qui ne tombe pas dans le déni total. Sur le fond, rien de neuf, on a le droit, à l'activité solaire faiblissante, on comprend le changement de signe de l'AMO, l'argument le plus approximatif étant la re-glaciation du sud du Groenland entre 45 et 80. (parler global avec une illustration locale)

 

Par contre on sent qu'il n'a pas la notion de ce que représente l'énergie que l'océan à déjà absorbé, ni celle des forçages GES, peu palpable ça incite a augmenter celle des variateurs naturels. 

Modifié par sebb
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La figure du bas de l'article me surprend beaucoup. Il n'aurait pas comparé le moyenne mensuelle à la moyenne des moyennes annuelles  par hasard?

Ca y ressemble beaucoup en tout cas.

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