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Lien (hypothétique) entre RC et insolation


Dionysos
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Grenoble (limite Eybens)

Bonjour,

 

Nous sommes plusieurs à avoir remarqué une augmentation de l'insolation dans de nombreuses stations françaises au cours des 30 dernières années, et encore plus au cours des 20 dernières années.

Les météorologues disent qu'ils n'a pas été établi de preuve d'un quelconque lien entre RC et augmentation de l'insolation.

 

Toutefois, j'ai voulu en avoir le cœur net j'ai analysé les données de plusieurs stations , par exemple celle de Saint-Geoirs.

La normale 1991-2020 y sera sensiblement  supérieure (quelque soit l'insolation de 2020) à la normale 1981-2010

Et c'est encore plus sensible si on prend 2000-2020...

Dans le détail, on voit qu'une part importante de ce gain se fait sur le 2ème semestre de l'année et en particulier l'automne

Cette saison est connue pour être la saison la plus propice aux phénomènes de basse couche (brumes, brouillards et autres nuages bas)

Ceci m'amène à envisager quel pourrait être le lien entre RC et insolation

Se pourrait-il que le RC induisant des températures en moyenne plus élevées, ait un impact sur la fréquence et la résistance des phénomènes de basse couche automnaux, ce qui, mécaniquement , entraînerait une hausse de l'insolation ? (puisque ces phénomènes se produisent généralement lors de l'établissement de conditions anticycloniques)

 

De fait, ayant près de 50 ans et ayant toujours habité la même région, je vois, par rapport à mon enfance , que les journées de grisailles tenaces voire persistantes sont bien plus rares et également plus tardives. Elles ne produisent plus guère avant la fin novembre, voire le mois de décembre (peut-être justement parce que le RC fait que la baisse des températures en automne est plus tardive).

Or une journée de grisailles tenaces ou persistantes en décembre fait perdre moins d'ensoleillement potentiel qu'en octobre, puisque les jours sont plus courts...

 

Qu'en pensez-vous ?

Merci

 

Modifié par Dionysos
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  • 2 weeks later...
Posté(e)
Décines (69), Aeroport St Exupery (69)

Je n'ai pas vraiment déjà réfléchi sur le sujet ni même comparé les stats d'insolation actuelles aux anciennes normes, cependant voici ce qui me vient à l'esprit:

- l’instrumentation a été changée et seules les données à compter de 1991 sont prise en compte dans les normales de MF. La normale 1981-2010 est en fait la normale 1991-2010.

- étant de la région Rhône Alpe j'ai moi aussi constaté empiriquement un forte diminution des jours de brouillard, surtout en automne. Evidemment cela favorise la hausse de l'insolation en cette saison.

- en quoi pourrait-on imputer cela au RC, par quel mécanisme ?

 

Il semblerais que le RC décale la position moyenne de la zone barocline vers le nord, ce qui en France équivaut à se retrouver plus souvent sous des hautes pression aux racines subtropicales: basiquement cela veut dire plus d’ensoleillement durant la saison de soleil haut, et plus de conditions propices à la grisaille de basse couche (brouillards / status) en saison de soleil bas (automne, hiver).

Donc le RC pourrait expliquer de façon directe une hausse de l'insolation au printemps et en été mais seulement pour cette moitié de l'année. Pour l'autre les brouillards devraient être plus présents, or cela semble être plutôt le contraire. Est ce du au encore RC avec une interaction plus subtile, où y-a-t-il autre chose ?

Je pense que la baisse de la pollution aux particules (charbon par exemple) peut expliquer la baisse des brouillard: il faut des noyaux de condensation pour la formation de grisaille, or l'amélioration constante de la qualité de l'air dans nos région depuis les année 1970-80 peut expliquer à elle seule la formation plus rare des brouillards. D'ailleurs les régions du monde actuellement les plus touchées par le brouillard sont les plus polluées: Plaines du nord de l'Inde, plaines Chinoises. 

 

Donc peut-être ne faudrait-il pas déplorer la disparition de nos brouillards d’antan, ils sont en fait probablement le signe d'un air plus propre plutôt que d'un détraquement du climat. Et ce phénomène se combine probablement avec la modification de la circulation atmosphérique due au RC pour nous donner au final un climat plus ensoleillé toute l'année. J'ai mis tous cela au conditionnel car je n'ai pas conduit les études que ce sujet mériterais.

Modifié par mottoth
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Il y a 14 heures, mottoth a dit :

Je n'ai pas vraiment déjà réfléchi sur le sujet ni même comparé les stats d'insolation actuelles aux anciennes normes, cependant voici ce qui me vient à l'esprit:

- l’instrumentation a été changée et seules les données à compter de 1991 sont prise en compte dans les normales de MF. La normale 1981-2010 est en fait la normale 1991-2010.

- étant de la région Rhône Alpe j'ai moi aussi constaté empiriquement un forte diminution des jours de brouillard, surtout en automne. Evidemment cela favorise la hausse de l'insolation en cette saison.

- en quoi pourrait-on imputer cela au RC, par quel mécanisme ?

 

Il semblerais que le RC décale la position moyenne de la zone barocline vers le nord, ce qui en France équivaut à se retrouver plus souvent sous des hautes pression aux racines subtropicales: basiquement cela veut dire plus d’ensoleillement durant la saison de soleil haut, et plus de conditions propices à la grisaille de basse couche (brouillards / status) en saison de soleil bas (automne, hiver).

Donc le RC pourrait expliquer de façon directe une hausse de l'insolation au printemps et en été mais seulement pour cette moitié de l'année. Pour l'autre les brouillards devraient être plus présents, or cela semble être plutôt le contraire. Est ce du au encore RC avec une interaction plus subtile, où y-a-t-il autre chose ?

Je pense que la baisse de la pollution aux particules (charbon par exemple) peut expliquer la baisse des brouillard: il faut des noyaux de condensation pour la formation de grisaille, or l'amélioration constante de la qualité de l'air dans nos région depuis les année 1970-80 peut expliquer à elle seule la formation plus rare des brouillards. D'ailleurs les régions du monde actuellement les plus touchées par le brouillard sont les plus polluées: Plaines du nord de l'Inde, plaines Chinoises. 

 

Donc peut-être ne faudrait-il pas déplorer la disparition de nos brouillards d’antan, ils sont en fait probablement le signe d'un air plus propre plutôt que d'un détraquement du climat. Et ce phénomène se combine probablement avec la modification de la circulation atmosphérique due au RC pour nous donner au final un climat plus ensoleillé toute l'année. J'ai mis tous cela au conditionnel car je n'ai pas conduit les études que ce sujet mériterais.

 

C'est aussi l'avis de Météo Suisse.

https://www.meteosuisse.admin.ch/home/meteo/termes-meteorologiques/brouillard-stratus/Frequence-du-brouillard-et-son-evolution-ces-dernieres-annees.html

 

300km plus au nord on constate également une tendance à la baisse du nombre de jours avec brouillard.

 

Pour Nancy par exemple, 20 jours en moins entre la période 1951-1980 et 1981-2010.

image.png.62d31f74b398b12105e86d7401a03b00.png

 

Ceci dit j'ai quelques doute sur l'évolution des brouillards estivaux, c'est la période où la baisse est la plus marquée.

Dans mes statistiques j'ai pour les années 50 et 60 de nombreux mois d'été avec 5 à 10 jours de brouillards et même + (jusque 17 jours en août 1955!). Mais depuis le milieu des années 70 les mois estivaux avec plus de 5 occurrences de brouillard sont très rares et le maximum depuis 1970 est de 7 jours.

 

Ici j'ai du mal à expliquer cette baisse par la diminution des polluants (dioxyde de souffre) qui étaient surtout présent en hiver (chauffage aux charbon et fioul lourd), à mon avis il y a d'autres facteurs en jeux (urbanisation notamment et étés plus chauds).

 

Sinon pour en revenir au sujet de l’ensoleillement, les statistiques n'étant pas fiables difficile d'avoir des chiffres de tendance. MF pour Paris suggère une baisse de l'ensoleillement entre 1930 et 2002 de 118h (16h en moins par décennie) avec une stabilisation depuis les années 1980. Vue les années très ensoleillées depuis 2013 cela ne m'étonnerait pas que la tendance reparte à la hausse et particulièrement au printemps (en tout cas pour le nord du pays).

 

 

Modifié par thib91
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J'ai le même ressenti pour l'Ile-de-France, mais attention aux courtes séries : depuis 5 ans l'ensoleillement est très bon dans l'Est et le centre du pays, est-ce que ça va durer… ?

On pourrait retrouver une série plus humide si les dépressions passaient davantage sur le pays et qu'à l'inverse le temps était plus anticyclonique sur l'Atlantique nord. Il y a de forts contrastes suivant la longitude et même parfois la latitude : Les nombreux orages en Espagne ces derniers étés ne sont pas non plus habituels...

Mon idée est que si on reste dans un contexte climatique chaud, la répartition des vagues de chaleur changera de toutes façons du fait de la loi des séries (une série finit toujours par s'arrêter), on pourrait par exemple avoir un schéma estival répétitif suivant : anticyclone persistant sur l'Atlantique, vagues de douceur répétées au Groënland, temps pourris répétés en Grande-Bretagne et en France (inondations sur le nord-est), orages nombreux en Europe centrale, vagues de chaleur plus fréquentes de la Grèce à la partie européenne de la Russie. Une redistribution des cartes, quoi...

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Il y a 18 heures, mottoth a dit :

[...]

- étant de la région Rhône Alpe j'ai moi aussi constaté empiriquement un forte diminution des jours de brouillard, surtout en automne. Evidemment cela favorise la hausse de l'insolation en cette saison.

[...]

 

Content de ne plus être le premier lien renvoyé* par Google pour VAUTARD et al. - Decline of fog, mist and haze in Europe over the past 30 years.

Nombreuses études depuis... (y'a du bon et du moins bon)

 

* Edit: je viens de vérifier, c'était une autre publi de l'auteur à la même période.

Modifié par Thundik81
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Le 14/08/2019 à 19:05, Dionysos a dit :

une journée de grisailles tenaces ou persistantes en décembre fait perdre moins d'ensoleillement potentiel qu'en octobre, puisque les jours sont plus courts...

 

Qu'en pensez-vous ?

Meme constat en Val de Saone 

La grisaille et le brouillard sont moins nombreux en automne et en janvier 

Conséquence depuis quelques années 

L'ensoleillement a passé la barre des 2100 h annuel 

(CONTRE 1910 H )

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Posté(e)
Grenoble (limite Eybens)
Le 29/08/2019 à 01:42, mottoth a dit :

Je n'ai pas vraiment déjà réfléchi sur le sujet ni même comparé les stats d'insolation actuelles aux anciennes normes, cependant voici ce qui me vient à l'esprit:

- l’instrumentation a été changée et seules les données à compter de 1991 sont prise en compte dans les normales de MF. La normale 1981-2010 est en fait la normale 1991-2010.

- étant de la région Rhône Alpe j'ai moi aussi constaté empiriquement un forte diminution des jours de brouillard, surtout en automne. Evidemment cela favorise la hausse de l'insolation en cette saison.

- en quoi pourrait-on imputer cela au RC, par quel mécanisme ?

 

Il semblerais que le RC décale la position moyenne de la zone barocline vers le nord, ce qui en France équivaut à se retrouver plus souvent sous des hautes pression aux racines subtropicales: basiquement cela veut dire plus d’ensoleillement durant la saison de soleil haut, et plus de conditions propices à la grisaille de basse couche (brouillards / status) en saison de soleil bas (automne, hiver).

Donc le RC pourrait expliquer de façon directe une hausse de l'insolation au printemps et en été mais seulement pour cette moitié de l'année. Pour l'autre les brouillards devraient être plus présents, or cela semble être plutôt le contraire. Est ce du au encore RC avec une interaction plus subtile, où y-a-t-il autre chose ?

Je pense que la baisse de la pollution aux particules (charbon par exemple) peut expliquer la baisse des brouillard: il faut des noyaux de condensation pour la formation de grisaille, or l'amélioration constante de la qualité de l'air dans nos région depuis les année 1970-80 peut expliquer à elle seule la formation plus rare des brouillards. D'ailleurs les régions du monde actuellement les plus touchées par le brouillard sont les plus polluées: Plaines du nord de l'Inde, plaines Chinoises. 

 

Donc peut-être ne faudrait-il pas déplorer la disparition de nos brouillards d’antan, ils sont en fait probablement le signe d'un air plus propre plutôt que d'un détraquement du climat. Et ce phénomène se combine probablement avec la modification de la circulation atmosphérique due au RC pour nous donner au final un climat plus ensoleillé toute l'année. J'ai mis tous cela au conditionnel car je n'ai pas conduit les études que ce sujet mériterais.

Je te remercie pour ta réponse détaillée.

En effet, il y a une amélioration de la qualité de l'air, notamment au travers de l'évolution des modes de chauffage

Par ailleurs, le RC peut jouer indirectement sur ce point car moins il fait froid, moins les appareils de chauffage éventuellement polluants  tournent... (en hiver , dans la cuvette grenobloise, le chauffage malgré tout  reste la 1ère source de pollution de l'air...)

 

Typiquement, sur les 20 dernières années , selon les statistiques de la station de Saint-Geoirs, le mois où le gain d'insolation est le plus net en moyenne est le mois d'octobre. or c'est précisément le mois où se fait la "bascule" entre le non-chauffage et le chauffage (en plaine dans nos régions , on ne chauffe quasiment jamais en septembre, et quasiment toujours en novembre, octobre étant la charnière)

Une refroidissement plus tardif en octobre induirait une mise en route plus tardive des appareils de chauffage, donc une meilleure qualité de l'air, donc une probabilité plus faible de grisailles...

 

L'hiver dernier, sur la cuvette grenobloise, la seule période de grisailles persistantes s'est produite de fin décembre à début janvier

donc avec un impact minimal sur l'insolation (car cette période est celle où les jours sont les plus courts)

et c'est aussi la période où les appareils de chauffage tournaient à plein régime....

 

 

 

 

 

 

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Le 29/08/2019 à 20:59, Pascaloux a dit :

Meme constat en Val de Saone 

La grisaille et le brouillard sont moins nombreux en automne et en janvier 

Conséquence depuis quelques années 

L'ensoleillement a passé la barre des 2100 h annuel 

(CONTRE 1910 H )

J'ai habité 6 ans dans le beaujolais, magnifique région, mais j'ai le souvenir d'une région très grise en hiver.  C'est pourquoi je suis très surpris de voir cette région, dépasser LYON qui me semble être plus ensoleillée.

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Il y a 1 heure, ruthénois12 a dit :

J'ai habité 6 ans dans le beaujolais, magnifique région, mais j'ai le souvenir d'une région très grise en hiver.  C'est pourquoi je suis très surpris de voir cette région, dépasser LYON qui me semble être plus ensoleillée.

au dernier pointage du cumul  2019, Mâcon est devant Lyon, et fait jeu égal avec Saint-Geoirs.....mais l'automne n'est pas encore arrivé

la station de Mâcon est généralement très bien ensoleillée en été (surtout si on tient compte de sa latitude déjà relativement élevée) mais réalise des performances d'insolation généralement  très faibles en octobre-novembre-décembre, justement à cause de ces grisailles persistantes.

En automne , Il y a généralement un dégradé des grisailles entre le Val de  Saône , le Lyonnais et le Sud-Isère

Un cas d'école : lors du très anticyclonique mois de décembre 2016, Mâcon avait cumulé 28h ( ! ), Lyon-Bron 77h et Saint-Geoirs 150h  😉

 

Modifié par Dionysos
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Il y a 4 heures, ruthénois12 a dit :

J'ai habité 6 ans dans le beaujolais, magnifique région, mais j'ai le souvenir d'une région très grise en hiver.  C'est pourquoi je suis très surpris de voir cette région, dépasser LYON qui me semble être plus ensoleillée.

Sur les 10 dernières années révolues (2009-2018), voici les moyennes MF :

Saint-Geoirs 2160

Lyon Bron 2114

Mâcon 2005

Donc Mâcon est en nette progression , c'est clair, mais reste en-dessous de Lyon (a fortiori Saint-Geoirs)

Par contre, comparé à la normale 1981-2010 l'écart se réduit entre Mâcon et les 2 autres stations citées, ce qui pourrait bien provenir d'une moindre fréquence/persistance des grisailles anticycloniques automnales/hivernales dans le Val de Saône ces dernières années.

Sachant qu'il ne s'agit bien sûr que de 10 années... (il en faut normalement 30 pour établir une "normale")

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  • 4 weeks later...

Un petit calcul sur le coin de table...donc très sommaire

(En plus je prend 2019 en ajoutant pour les 3 mois manquant la normale pour les 3 mois restants...mais ça ne craint pas grand chose) 

Sur Lyon, si on prend les 6 années les plus chaudes depuis le début des relevés, on a 

2003

2014

2015

2017

2018

2019

Moyenne de l'ensoleillement pour ces 6 années : 2221 heures....

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Grenoble (limite Eybens)
Il y a 2 heures, th38 a dit :

Un petit calcul sur le coin de table...donc très sommaire

(En plus je prend 2019 en ajoutant pour les 3 mois manquant la normale pour les 3 mois restants...mais ça ne craint pas grand chose) 

Sur Lyon, si on prend les 6 années les plus chaudes depuis le début des relevés, on a 

2003

2014

2015

2017

2018

2019

Moyenne de l'ensoleillement pour ces 6 années : 2221 heures....

 

Oui, si on prend les 10 dernières années de Lyon Bron (2010-2019) , il y en a 1 seule en-dessous de la "normale"  d'insolation 1981-2010 (l'année 2013), toutes les autres sont plus ou moins en dessus (plutôt plus que moins, d'ailleurs...)

Je pense que ça tient essentiellement à 2 choses :

- des mois d'été quasiment tous très bien ensoleillés (unique exception juillet 2014)

- une tendance à la raréfaction des grisailles et autres brumes anticycloniques en automne

C'est en hiver et printemps que la progression de l'insolation est la moins nette (constaté aussi à Saint-Geoirs)

D'ailleurs la seule année déficitaire de la période , 2013,  l'a été en raison d'un premier semestre catastrophique... (je me souviens bien de ce printemps 2013, je n'avais pu couper définitivement  le chauffage qu'au tout début du mois de juin...)

 

 

 

 

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