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Tendance été 2013


phoenix
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Posté(e)
Malmedy ( Province de Liége ) 342m

je suis désolé j'ai Oublié de Préciser que les dernières Cartes sont Misent a jour une fois par mois , je confirme qu'il ya une légère tendance ( toujours selon ces Prévisions ) vers un mois de juin un peu Frais avec les Sorties du Mois d'Avril en comparaison avec les Sorties du mois de Mars .

Cartes Prévisions d'anomalie pour les t2m ( Mise a Jour Mars 2013 )

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Les plus actifs

Finalement, a piocher dans le passé, on a eu une situation similaire en 1976.

A l'époque, de décembre à juillet, les hautes pressions étaient coincées sur la scandinavie et n'en n'ont quasi pas bougé pendant 7 mois... l'effet a été le même,....sauf que pour nous en France, pas placés du même côté...et bien c'était soleil et sécheresse à perpet, ponctuées de coup de froid intenses mais bref, comme nos coups de chauds actuels.

Même si pour nous c'était une météo à l'envers de 2013, ça montre que l'on est peut être encore dans la variabilité naturelle ?

...on essaye d'y croire...

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La situation de 1976 n'est pas tout à fait la même que cette année.

C'est même le contraire.

Le premier semestre 1976 a été marqué par une configuration classique zonal sur l'atlantique comme en atteste la carte. D'ailleurs sur l'ensemble de l'hémisphère on trouve les BG à leurs places et les anomalies de HG sur les positions subtropicales donc rien de très anormal malgré tout de même une belle anomalie hémisphérique globale négative ce qui n'est pas une surprise car la norme utilisé est celle de 81/2010.

La NAO fût bien positive globalement. Le flux d'ouest a été très bénéfique à l’élaboration d'anomalie HG continentale ce qui a évidemment accentuer la sécheresse en Europe occidentale.

compday.92.137.55.246.118.4.51.20.gif

Voici une situation proche de celle qu'on connait actuellement.

La situation de 2010 montre une situation NAO- largement dominante sur l'atlantique ce qui est normal car tous les mois de ce premier semestre 2010 ont été négatif.

Je rappel un printemps Mitigé et un été Mitigé également.

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La situation de 2013 (jusqu'au 25/04), on remarque une configuration atlantique similaire NAO- (BP du centre atlantique jusqu'en France donnant à ce printemps un aspect très mitigé).

Les anomalies sur le reste de l'hémisphère concorde un peu également à la seul différence du Canada où 'on avait eu une belle anomalie en 2010 (peut être dû à el Nino).

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Finalement, a piocher dans le passé, on a eu une situation similaire en 1976.

A l'époque, de décembre à juillet, les hautes pressions étaient coincées sur la scandinavie et n'en n'ont quasi pas bougé pendant 7 mois... l'effet a été le même,....sauf que pour nous en France, pas placés du même côté...et bien c'était soleil et sécheresse à perpet, ponctuées de coup de froid intenses mais bref, comme nos coups de chauds actuels.

Même si pour nous c'était une météo à l'envers de 2013, ça montre que l'on est peut être encore dans la variabilité naturelle ?

...on essaye d'y croire...

Hémisphériquement parlant, tu as tout a fait raison !

Pour la France, tu as raison également, nous étions dans le miroir. thumbup1.gif

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Maintenant passons à l'été à proprement parler.

Il y a quelque chose qui diverge entre l'hiver et l'été.

On dit que la synoptique hivernale remonte à 2009 mais pour l'été je considère plutôt qu'elle remonte à 2007. Pourquoi?

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En regardant les 6 derniers été on constate que c'est la même synoptique.Ces cartes sont tellement jumelles entre elle qu'on pourrait en faire qu'une.

Comparons les chiffres de la NAO, on constate que TOUS les MOIS des 6 derniers été ont une NAO négative voir bien négative pour la pluspart. Évidemment le constat sur les cartes est indéniable.

Ainsi ça fait 19 mois estivaux consécutif ( en comptant août 2006) que la NAO est négatif donc que l'on a une synoptique globale défavorable à un été chaud en France ( donc plutôt d'avantage favorable à un été mitigé).

Vous pouvez remonté les annales de la NAO depuis 1950, c'est la première fois que ça se produit et le dernier mois NAO+ (estival) remonte à juillet 2006 évidemment.

Évidemment la variabilité des centre d'actions montre que parfois la France peut se retrouver légèrement en Marge (caractérisant un bilan globale plus ou moins chaud) de cette anomalie pathologique négative sur l'Europe de l'ouest mais le constat est que cette anomalie qui s'accroche comme cela à l’Europe occidental chaque été depuis 6 ans dû à la NAO- nous garantit des été mitigés voir pourri sur le nord du pays.

Un petit commentaire sur l'été 2010 qui est assez spéciale: En effet on remarque de par tous des anomalies extrêmement positive sur le HN en liaison avec une année très chaude et probablement à cause de l'influence de el nino mais le constat est le même on a toujours une anomalie très positive en haute latitude mais une absence d'anomalie sur la France. (ce qui nous donne toujours une NAO-)

Donc on a vraiment une synoptique commune estivale depuis 2007 mais quelques éléments du à la variabilité climatique peuvent modifier quelques paramètres. (ENSO, QBO, activité solaire)

@Jocelyn: Stp évite de faire ce genre d'affirmation surtout quand on sait pertinemment qu'elle est fausse et que l'on écrit 20 lignes avec cartes et indice à l'appuie pour le prouver. Merci.

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Je n'ai pas trop le temps de voir les analyses dans le détail mais dire que la situation actuelle ressemble à celle de 1976, c'est quand même dur à faire avaler à ceux qui ont suffisamment de bouteille comme moi et qui ont vécu cette période, aux alentours du 1er mai on en était déjà à 30°C environ !

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Je n'ai pas trop le temps de voir les analyses dans le détail mais dire que la situation actuelle ressemble à celle de 1976, c'est quand même dur à faire avaler à ceux qui ont suffisamment de bouteille comme moi et qui ont vécu cette période, aux alentours du 1er mai on en était déjà à 30°C environ !

C'est ce que dit Th38, la situation était en 1976, telle que cette année mais à l'envers par rapport à la position hémisphérique.

Nous étions dans le chaud et le sec quand l'Amérique du nord était dans le frais et l'humide.

Il parlait de situation comparable quant aux blocages de la situation, pas vis à vis des positions géographiques de ces blocages.

Enfin, c'est comme ceci que je l'ai compris :

1976 HP sur Scandinavie et BP sur Groënland situation qui a duré sept mois.

2013 BP sur Scandinavie et HP sur Groënland situation qui dure ...................

D'où le "miroir" dont je parle.

PS : J'ai moi aussi connu 1976, c'était effectivement totalement l'inverse de ce que nous ressentons actuellement default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

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C'est ce que dit Th38, la situation était en 1976, telle que cette année mais à l'envers par rapport à la position hémisphérique.

Nous étions dans le chaud et le sec quand l'Amérique du nord était dans le frais et l'humide.

Il parlait de situation comparable quant aux blocages de la situation, pas vis à vis des positions géographiques de ces blocages.

Enfin, c'est comme ceci que je l'ai compris :

1976 HP sur Scandinavie et BP sur Groënland situation qui a duré sept mois.

2013 BP sur Scandinavie et HP sur Groënland situation qui dure ...................

D'où le "miroir" dont je parle.

PS : J'ai moi aussi connu 1976, c'était effectivement totalement l'inverse de ce que nous ressentons actuellement wink.png

J'ai pris grossièrement (à 5 jours près) les premiers quadrimestres de 1976 et 2013.

Ton constat est déjà faux puisqu'en 1976 on a deux grosses anomalies négative de BG sur la Scandinavie et sur le Groenland.

En 2013 aucune anomalie ne se dégage en Scandinavie mais une anomalie positive se dégage au Groenland (classique ces dernières années).

EN 1976 la ceinture de BP est globalement homogène typique d'une NAO+ ce qui n'est pas le cas de cette année.

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Donc ce n'est pas similaire mais on peut admettre que c'est une synoptique globalement contraire bien que ça me dérange un peu tout de même de dire ça.

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Vous pouvez remonté les annales de la NAO depuis 1950, c'est la première fois que ça se produit et le dernier mois NAO+ (estival) remonte à juillet 2006 évidemment.

J'avais déjà posté des diagrammes un jour suggérant fortement qu'on a des étés de plus en plus nuageux et des pressions de plus en plus basses (ce qui est logiquement corrélé) sur les 2/3 nord de la France. C'est surtout très net par rapport à la période fin 80 et 90's (comme tant de choses)

En parallèle, le sud méditerranéen a de plus en plus de canicules, et c'est valable pour le piémont pyrénéen (et ici à Toulouse biggrin.png )

Le problème de la NAO c'est qu'elle a été conçue pour l'hiver, donc son interprétation n'est pas forcément facile en été. Ce serait à préciser.

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Invité Sky Blue

J'avais déjà posté des diagrammes un jour suggérant fortement qu'on a des étés de plus en plus nuageux et des pressions de plus en plus basses (ce qui est logiquement corrélé) sur les 2/3 nord de la France. C'est surtout très net par rapport à la période fin 80 et 90's (comme tant de choses)

En parallèle, le sud méditerranéen a de plus en plus de canicules, et c'est valable pour le piémont pyrénéen (et ici à Toulouse biggrin.png )

Le problème de la NAO c'est qu'elle a été conçue pour l'hiver, donc son interprétation n'est pas forcément facile en été. Ce serait à préciser.

C'est d'autant plus dure que la NAO+ prend ses quartiers d'été en régime AL.
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Donc ce n'est pas similaire mais on peut admettre que c'est une synoptique globalement contraire bien que ça me dérange un peu tout de même de dire ça.

Eh bien tu vois, quand on regarde dans les grandes lignes de la situation hémisphérique, je ne trouve pas cela si dérangeant de trouver que 2013 est un peu comme un 1976 inversé. Cf les anomalies de géopotentiels depuis le 1er mars, par rapport à la situation sur la même période en 1976 :

[align=center]compa.png[/align]

Bon bien sûr ce n'est pas exactement le "miroir", mais dans l'ensemble on voit bien l'opposition des deux schémas. Maintenant, je me garderais bien d'en tirer des conclusions pour la suite. La situation de 1976 est celle d'un vortex bien concentré au nord du Canada cerclé d'une ceinture de hautes pressions aux latitudes moyennes dans un climat global plus froid. La situation de 2013, c'est celle d'une synoptique polaire qui part entièrement en vrille, des anomalies basses virées du pôle qui dominent aux latitudes moyennes, le tout dans un climat global réchauffé (d'ailleurs la situation de 2013, c'est celle de toutes les dernières années).

Pour le reste, je suis entièrement d'accord avec Cotissois : je ne suis guère convaincu d'un intérêt de la NAO en été. Je m'étais amusé une fois à calculer les corrélations entre la NAO et les températures mensuelles en France, il y avait des résultats pas trop mauvais comme on s'en doute en hiver, mais en été il n'y avait quasiment plus aucun lien entre les deux. Faudrait que je retrouve la feuille de calcul, elle doit traîner quelque part sur mon disque dur.

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Pour le reste, je suis entièrement d'accord avec Cotissois : je ne suis guère convaincu d'un intérêt de la NAO en été. Je m'étais amusé une fois à calculer les corrélations entre la NAO et les températures mensuelles en France, il y avait des résultats pas trop mauvais comme on s'en doute en hiver, mais en été il n'y avait quasiment plus aucun lien entre les deux. Faudrait que je retrouve la feuille de calcul, elle doit traîner quelque part sur mon disque dur.

En effet la NAO est assez complexe en été cependant quand on regarde les cartes les été 2007 à 2012 (NAO archi négative pour les 3) on remarque bien les anomalies typiques de cette synoptique à savoir des anomalie haute vers le Groenland/Islande et anomalie basse du coté de l'Europe de l'ouest.

D'ailleurs est ce que quelqu'un sait SVP comment fait-on pour faire tenir une carte dans un post car les miennes finissent en lien mort. pinch.gif

Quand on regarde ces anomalies basses à chaque fois sur le RU, on remarque que le nord de la France (touché par ces anomalies) observe un été très nébuleux, c'est assez nouveau depuis quelques années quand même ce qui plombe à chaque fois le thermomètre à l'échelle nationale.

Donc sachant que ces anomalies Basses ouest européenne sont corrélée à ces anticyclones de hautes latitudes provocant la NAO-, on peut dire sans trop de risque que la NAO- est responsable des été mitigés en France.

Pour ce qui est du thermomètre, effectivement ça ne sert à rien de faire le calcule tant les résultats ne seraient pas concluant pour la simple et bonne raison que si on prend la NAO depuis 1950, elle sera biaisé par les cycles de l'AMO probablement responsable de nos été chaud d'une part et par le RC d'autre part.

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Pour ce qui est du thermomètre, effectivement ça ne sert à rien de faire le calcule tant les résultats ne seraient pas concluant pour la simple et bonne raison que si on prend la NAO depuis 1950, elle sera biaisé par les cycles de l'AMO probablement responsable de nos été chaud d'une part et par le RC d'autre part.

Pourquoi dirais-tu que la NAO serait biaisée par l'AMO ?

La NAO est comme l'AO un indice du mode de variabilité synoptique dont le calcul repose uniquement sur le positionnement des géopotentiels, sans prise en compte des températures.

L'AMO, c'est un indice basé uniquement sur les températures de surface d'une partie du bassin Atlantique, et qui non seulement se biaise d'elle même avec le réchauffement qui n'est que très sommairement retiré lors de son calcul (pas assez à mon avis, ou du moins pas de manière assez fiable), mais qui en plus est en partie dépendante de l'ENSO (eh oui!).

Pour rappel quand même, pour calculer l'AMO, vous prenez toutes les SST entre 0° et 60° N et 7,5° et 75° ouest (ce qui signifie que le Golfe de Gascogne, la Mer du Nord, la Méditerranée Occidentale ou les rivages d'Ecosse ne sont pas pris en compte dans le calcul, par contre la Mer des Caraïbes, les côtes du Sénégal, les Bermudes ou encore le détroit du St Laurent sont retenus, déjà cela aide à relativiser le poids de cet indice pour l'Europe vous ne trouvez pas ?), vous en faites une moyenne, vous calculez la tendance linéaire, vous soustrayez cette tendance, et paf, ça fait des chocap.. euh l'AMO.

Après, il est évident que si tu cherches à établir des corrélations entre NAO et l'AMO d'une part, et les températures en France d'autre part, tu trouveras de meilleurs résultats mathématiques avec l'AMO puisque dans le fond tu vas comparer du réchauffement avec du réchauffement. Mais est-ce que cela aura vraiment de la valeur, je ne le pense pas forcément.

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Pourquoi dirais-tu que la NAO serait biaisée par l'AMO ?

La NAO est comme l'AO un indice du mode de variabilité synoptique dont le calcul repose uniquement sur le positionnement des géopotentiels, sans prise en compte des températures.

L'AMO, c'est un indice basé uniquement sur les températures de surface d'une partie du bassin Atlantique, et qui non seulement se biaise d'elle même avec le réchauffement qui n'est que très sommairement retiré lors de son calcul (pas assez à mon avis, ou du moins pas de manière assez fiable), mais qui en plus est en partie dépendante de l'ENSO (eh oui!).

Pour rappel quand même, pour calculer l'AMO, vous prenez toutes les SST entre 0° et 60° N et 7,5° et 75° ouest (ce qui signifie que le Golfe de Gascogne, la Mer du Nord, la Méditerranée Occidentale ou les rivages d'Ecosse ne sont pas pris en compte dans le calcul, par contre la Mer des Caraïbes, les côtes du Sénégal, les Bermudes ou encore le détroit du St Laurent sont retenus, déjà cela aide à relativiser le poids de cet indice pour l'Europe vous ne trouvez pas ?), vous en faites une moyenne, vous calculez la tendance linéaire, vous soustrayez cette tendance, et paf, ça fait des chocap.. euh l'AMO.

Après, il est évident que si tu cherches à établir des corrélations entre NAO et l'AMO d'une part, et les températures en France d'autre part, tu trouveras de meilleurs résultats mathématiques avec l'AMO puisque dans le fond tu vas comparer du réchauffement avec du réchauffement. Mais est-ce que cela aura vraiment de la valeur, je ne le pense pas forcément.

Merci pour le rappel de l'AMO.

Non ce n'est pas ce que je veux dire, ce que je veux dire est que si l'on corrèle par exemple NAO+ par rapport à la t° en France et la NAO- et la T° en France le tout en été et depuis 1950. On trouvera des résultats pas concluants au motif comme tu dis que la NAO ne prend en compte que les anomalie de géopotentielle et pas la Température.

Car comme je te le dit ce serait biaisé par les cycle de l'AMO qui passerait tantôt négatif puis tantôt positif donc entrainerait une variabilité énorme de Température ce qui évidemment rendrait les moyennes non concluante car les moyennes sont sensibles aux extrêmes. Et si l'on prend en compte le RC depuis 25 ans (qui représenterait presque la moitié de l'échéance), cela entrainerait encore une mauvaise influence sur la moyenne.

Pourquoi? Tous simplement car les été qu'il soit NAO- ou NAO+ sont de plus en plus chaud et l'AMO+ couplé au réchauffement a eu impact telle sur les été qu'avec une synoptique défavorable, on s'en sort thermiquement à chaque fois dans les normes.

En gros ce que j'essaye de dire est qu'il faudrait comparer NAO-/NAO+ a arme égale or le climat a tellement changé en 30 ans qu'il est impossible de le faire dans l'état actuelle des choses.

Ce que l'on peut remarqué par contre est qu'avec la NAO- de ces derniers été, on remarque à chaque fois une anomalie sur l'Europe de l'ouest (notamment sur la GB) pourrissant les été du nord de la France (voir tous le pays comme en 2007) qui subisse plus ou moins fortement ces anomalies négatives en fonction des centre d'action.

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Le problème, c'est qu'à trop vouloir comparer des choses "à armes égales", au final tu n'apprends rien ; c'est au contraire en étudiant les rapports qu'il peut y avoir par exemple entre les températures estivales dans notre pays, et un indice totalement indépendant des températures, que tu pourras trouver des déductions intéressantes.

A comparer l'AMO avec les températures estivales en France, bien sûr que je vais trouver une bonne corrélation, puisque dans le fond je vais comparer du réchauffement avec du réchauffement. De la même manière, je peux te trouver des corrélations entre les températures estivales en France, et les températures estivales en Australie, au Chili, en Alaska comme à Pékin : elles se réchauffent toutes. Maintenant, qu'est-ce que cela va m'apprendre de comparer les températures de Paris et celles de Sydney, bien qu'il y aura corrélation entre les deux ?

La preuve que ce n'est pas nécessairement inutile de comparer un indice indépendant (du moins de manière directe) des températures comme la NAO, c'est qu'on le fait bien en hiver et que l'on reconnaît que c'est très utile.

Par contre si tu veux te fonder sur l'AMO pour établir une prévision de cet été, je peux déjà te donner un élément de réponse : l'AMO sera très probablement bien positive (autour de +0.4) cet été. Je ne dis pas cela parce que je suis devin, mais seulement parce que les valeurs estivales de l'AMO sont fortement corrélées aux températures de surface du Pacifique central (zone ENSO) de l'automne précédent, cf un petit graphique :

[align=center]amo.png[/align]

Le graphique donne pour chaque année les valeurs moyennes des SST Atlantiques ou de l'AMO en période estivale, et les valeurs de l'indice MEI (mesure de l'ENSO) de l'automne précédent ; vu les valeurs MEI de l'automne dernier vous pouvez mentalement estimer où devraient se situer l'AMO et les SST Atlantiques cet été. Au passage, vous noterez que si les SST Atlantiques venaient à être un peu plus chaudes que l'année dernière (ce qui semble probable si on suit l'ENSO de l'automne dernier), on serait assurés d'être sur le podium des trois étés les plus chauds en Atlantique depuis le début des relevés.

Un Atlantique potentiellement en surchauffe, mais de là à en tirer des conclusions pour la France...

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CFS continue à mettre une anomalie bien positive pour Brest (+2 degrés) tandis que sur les autres stations de réference elles seraient normales ou déficitaires (Lyon -2.5 degrés pour aout).

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Voici LCM en flagrand délit de désinformation.

http://actualite.lachainemeteo.com/actualite-meteo/2013-05-11-14h47/annee-1983---printemps-pourri--canicule-en-juillet-20879.php

Pour eux l'été 1983 est conforme aux normes en raison d'un mois de Juin et Août frais ?

L'été 1983 est le 3ème été le plus chaud depuis 63 ans derrière 2003 et 2006, ce sont des énormités que de dire ça.

A ce que je sache Juin et Août 1983 ne sont pas non plus catastrophique puis qu'ils sont aussi excédentaire par rapport aux normes 71/2000 donc largement plus par rapports aux normes de l'époque.

En plus ils font une deuxième erreur car ils disent que juillet 1983 est le 3ème mois de Juillet le plus chaud depuis 1950 or ce n'est que le deuxième...

Je sais que c'est LCM mais là ils dépassent les bornes.

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Pour eux l'été 1983 est conforme aux normes en raison d'un mois de Juin et Août frais ?

Oui, ils sont un peu "amusants" pour ne pas dire autre chose sur cet aspect la.

Néanmoins, la question de fond de s'intéresser aux bilans des étés qui ont fait suite à un printemps doux n'est pas forcément inintéressante. Le problème à mon avis dans la démarche LCM, c'est qu'ils se contentent de donner le nombre de beaux étés qui ont suivi un printemps maussade, sans plus de détails sur leur méthode employée.

Quels critères ont-ils retenu pour dire qu'un printemps était pourri, ce qui les a conduit à sélectionner quelles années ? Parce que d'une certaine manière, il est facile de dire par exemple "dans les années 1970 un seul printemps pourri a été suivi d'un bel été", mais cela va avoir un impact bien différent selon qu'ils aient sélectionné un seul printemps sur cette décennie (ce qui ferait 100% de printemps pourri suivi d'un bel été), ou cinq printemps (ce qui ne ferait plus que 20%).

Le problème subsidiaire de l'exercice, c'est que l'on doit raisonner dans un monde qui se réchauffe fortement. Oui je sais, la remarque est triviale et j'enfonce des portes ouvertes. Néanmoins, le fait est que nous avons de plus en plus tendance à considérer comme pourries des saisons qui nous auraient paru plus que correctes il y a vingt ans de cela. Partant de la, il n'est pas forcément facile de qualifier ce que pourrait être un printemps pourri dès lors qu'un 20xx nous aura paru bien terne et un 197x très beau à son époque alors que les deux vont présenter exactement le même bilan !

Je ne vais pas forcément avoir le temps de vous faire quelque chose de complet et d'exhaustif en prenant en compte les trois critères que sont les températures, l'ensoleillement et les précipitations, mais je tenais à montrer que le résultat de ce genre d'exercice peut fortement varier selon les méthodes employées. Je ne prendrais donc en compte que les températures, je m'en excuse d'avance, peut-être aurais-je le temps de faire mieux plus tard.

Bon déjà, il nous faut donc qualifier les printemps que nous allons qualifier de maussade. Le critère que je vous propose, c'est de retenir tous les printemps qui ont présenté un bilan thermique déficitaire par rapport à la moyenne des dix années précédentes. Cela a deux avantages : d'une part, la période est à la fois mobile et suffisamment courte pour ne pas être trop influencée par le réchauffement de fond, et d'autre part parce que le ressenti que nous avons de nos saisons est souvent lié à celles qui la précèdent (un printemps normal après trois printemps très doux nous semblera froid, un printemps normal après trois printemps frais nous semblant bien chaud).

Entre la décennie 1960 et la décennie 2000, ce sont 24 printemps (sur 50) qui ont ainsi affiché un bilan déficitaire par rapport à la moyenne des dix années précédentes. Pour ceux que cela intéresse, je vous en donne la liste : 1962, 1963, 1965, 1967, 1968, 1969, 1970, 1971, 1973, 1975, 1978, 1979, 1980, 1983, 1984, 1985, 1986, 1987, 1995, 1996, 2004, 2005, 2006 et 2008.

On remarquera, au passage, que 18 de ces 24 printemps se situent avant 1987, contre seulement 6 après cette date : difficile de nier que nous vivons un cycle remarquable de printemps anormalement doux.

Du coup, on peut classer les étés qui ont fait suite à ces printemps, selon l'anomalie qu'ils ont eux-même présenté par rapport aux étés des dix années précédentes.

Printemps suivis d'un été plutôt doux (>+0.25°) par rapport aux années précédentes : 1967, 1970, 1971, 1973, 1975, 1983, 1995, 2005 et 2006 soit 9 étés.

Printemps suivis d'un été plutôt frais (<-0.25°) par rapport aux années précédentes : 1965, 1968, 1978, 1980, 1985, 2008 soit 6 étés

Printemps suivis d'un été plutôt normal par rapport aux années précédentes : 1962, 1963, 1969, 1979, 1984, 1986, 1987, 1996 et 2004 soit 9 étés.

Comme vous le constatez, j'arrive sur un résultat contraire à celui de LCM puisque avec les critères que j'ai employé je trouve davantage d'étés doux que frais à la suite d'un printemps maussade.

Je ne vais pas vous dire que ceci est la preuve définitive que les printemps frais sont plutôt suivis de beaux étés, d'une part parce que ce n'est qu'un exercice statistique qui ne prouve pas grand chose vu la faiblesse de l'échantillon de départ, mais surtout parce que les résultats que vous obtiendrez dépendent avant tout des critères qui ont été retenus. Il est tout à fait possible que quelqu'un trouve un résultat contraire du mien, en partant de critères différents et tout à fait cohérents. C'est pour cela que ce que je trouve le plus foireux dans l'article de LCM, ce n'est même pas leur été 1983 à "+0.6°" alors que c'est l'un des plus chauds observé dans notre pays, mais leur conclusion péremptoire selon laquelle "les statistiques nous affirment que les printemps frais et humides n'aboutissent presque jamais à un bel été". Triste et désolant à la fois de voir ce qui pourrait être un média de référence sur la météorologie faire ainsi les caniveaux.

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Bonne initiative 13Vent.

Tu as bien démontré que LCM faisait de la publicité et rien d'autre.

Tu as eu connaissances de l'article d'aujourd'hui d'après ce que je vois parce que ces petits malins ont revu leurs copies.

Hier ils affirmaient mot pour mot que l'été 1983 fût conformes aux normes de saisons (sans donnée de chiffre), que Juillet 1983 était le 3ème mois de juillet le plus chaud depuis 1950 et ils affirmaient que Juin et Août 1983 était frais.

Depuis ils ont surement dût avoir des remontrances d'où leurs modifications qui est toujours fausse....

Sinon ton analyse montre bien que l'on a pas forcément un été pourri après un printemps frais même si différente méthode peuvent aboutir à d'autre résultat.

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Je ne voudrai pas minimiser l'intérêt du boulot de 13vents particulièrement intéressant, d'autant que moi, mes productions sur IC à côté c'est 0 pointé.

Cela étant, les températures c'est un peu short pour tirer des tendances.

La température n'est pas un paramètre imparable. Un printemps maussade et humide sera frais, mais pas froid, car les tn seront remarquablement douces. C'est ce qui se passe cette année.

Ensuite, immanquablement, l'humidité importante qui sera rejetée dans l'atmosphère va, dans les nombreuses semaines qui suivent, maintenir les températures à des niveaux plus raisonnables.

Les deux mois de juillet 83 et 06 ont pu connaitre des périodes caniculaires, parce que juin ont été très chaud.et déjà relativement secs. Il n'y avait plus grand chose à évaporer.

Les deux canicules hors norme depuis le début du XXème et de gabarit à peu près équivalentes (du 27 07 au 4 08 1947 et du 4 08 au 13 08 03) aurait elles pu avoir lieu après un printemps humide et tout du moins tardif......j'en doute.

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Cela étant, les températures c'est un peu short pour tirer des tendances.

Oui, je concède que ne regarder que les températures c'est un peu parcellaire pour ce genre d'études, mais comme je l'ai dit je n'avais pas beaucoup de temps au moment où je l'ai fait. J'aimerais bien essayer de réaliser quelque chose d'un peu plus complet, mais il faudrait d'abord que je consolide mes données personnelles sur l'ensoleillement car c'est une donnée sur laquelle je n'ai pas beaucoup d'historiques sur mon disque dur. Work in progress default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Printemps pourri = été pourri ?, acte II

Bon, je vous avais dit que je regarderais un peu mieux quand j'aurais davantage de temps cette histoire des étés maussades qui feraient régulièrement suite aux printemps ayant eux-mêmes été maussades. J'ai compilé davantage de données, et cette fois-ci nous allons travailler avec trois indicateurs : les températures moyennes bien entendu, les durées d'ensoleillement, et le nombre de jours avec précipitations supérieures ou égales à 1 mm (je pense que vous serez d'accord pour dire qu'une semaine avec sept jours à 2 mm, aura toutes les chances d'être bien plus maussade en ressenti qu'une semaine avec un seul jour où il est tombé 40 mm sous un orage).

Pour réaliser une compilation entre ces trois valeurs, j'ai calculé pour chaque année l'écart de température, d'ensoleillement et de jours de précipitations par rapport à la moyenne des années précédentes, et j'ai divisé chaque série par son écart type avant de les additionner. C'est assez sommaire, mais ce n'est pas trop mal pour ce genre d'exercice. Concrètement, pour ceux qui auraient l'impression que je leur parle en hébreu default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">, j'ai déterminé pour chaque printemps et chaque été un indice compris oscillant globalement entre -5 et +5, et marquant son caractère par rapport aux 10 années précédentes. Plus l'indice est négatif, plus la saison a été maussade (températures déficitaires, ensoleillement déficitaire, jours de précipitations excédentaires), et plus il est positif plus au contraire la saison a été belle.

Petit rappel, il s'agit d'indices calculés à partir de moyennes nationales, pas la peine de me dire que mon tableau vaut rien parce que telle année est notée plutôt sèche alors que chez vous elle a été humide sneaky2.gif Le seul indice sur lequel je suis peut-être léger c'est l'ensoleillement car il est difficile de trouver beaucoup de données sur ce paramètre et le nombre de stations utilisées est du coup peut-être un peu faible même si j'ai fait au mieux pour bien répartir. Je précise qu'il s'agit aussi de moyennes trimestrielles, qui peuvent cacher un mois inverse. Même avec août pas au top (c'est le moins qu'on puisse dire), l'été 2006 a été chaud et bien ensoleillé en moyenne.

Pour l'étude, j'ai retenu comme seuil de printemps maussade un indice de -0.7, soit 19 printemps retenus entre 1960 et 2009. Sur ces 19 printemps, la distribution est la suivante : 7 ont été suivis d'étés plutôt beaux, 9 d'étés plutôt maussades, et 3 d'étés sans grand relief. Dans le détail :

1962

: printemps épouvantablement frais, gris et pluvieux, doté d'un indice de -4,6 soit le plus bas de toute la période d'étude. Eh bien si l'été qui a suivi n'a pas été particulièrement chaud, il a été particulièrement bien ensoleillé et peu arrosé, d'où un indice de +3,9.

1963

: printemps un peu frais sans plus, mais assez gris et surtout pluvieux, indice de -2,4. L'été qui suit ne sera pas particulièrement frais non plus, mais dans la continuité grise et surtout pluvieuse. Indice de -2,8.

1964

: températures un peu plus douce que les années précédentes au printemps, mais l'ensoleillement n'est pas au rendez vous à l'inverse des précipitations, pour un indice final à -0,9. L'été qui a suivi a été remarquablement chaud, ensoleillé et sec, avec un indice de +4,6.

1965

: un peu de fraîcheur, mais surtout beaucoup de grisaille et de précipitations au printemps (-3,2). L'été qui suit restera frais, peu ensoleillé et bien arrosé (-1,8).

1969

: de la grisaille, de l'humidité, même si les températures sont globalement dans la moyenne des dernières année l'indice printanier est de -2,2. L'été qui suit garde des températures de saison, mais il est peu ensoleillé et assez arrosé (-0,9)

1970 : printemps véritablement froid, bien gris et bien arrosé (-3,8). L'été qui suit est plutôt doux, mais pas très bien ensoleillé même si les précipitations restent sages (+0,3).

1972

: printemps légèrement doux, mais assez mal ensoleillé et arrosé (-0,8). L'été qui suit n'est pas très humide, mais il est très frais et bien gris (-2,6).

1975

: printemps bien frais, bien gris, et pluvieux (-2,4), été chaud, bien ensoleillé et sec (+2,7).

1978

: températures banales au printemps, mais fort déficit d'ensoleillement et surtout beaucoup de jours de précipitations (-2,9). Eté très frais, avec un ensoleillement un peu déficitaire et une humidité un peu plus présente que les années précédentes (-2,0).

1979

: copié/collé du printemps de l'année précédente (-2,9), mais l'été qui suit est à peine frais, pas plus humide que les années précédentes. Son défaut, c'est qu'il n'est que peu ensoleillé (-0,8)

1980

: printemps frais et gris même s'il n'est pas particulièrement pluvieux (-1,4). Eté désastreux ensuite, entre grande fraîcheur, grisaille persistante et humidité marquée (-3,7, c'est le troisième été le plus maussade de la période)

1983

: températures assez proches de la moyenne des 10 années précédentes au printemps, mais humidité importante et ensoleillement en retrait (-3,5). Très bel été ensuite, avec températures très élevées accompagnées d'un ensoleillement assez bon et de peu de jours de précipitations (+3,3).

1986

: printemps frais, très gris, et assez humide (-2,3). Eté assez banal en températures, mais lumineux et surtout bien sec (+1,6).

1994

: printemps bien doux, mais plombé par une humidité très importante et un ensoleillement très faible (-0,7). L'été qui suit est normalement ensoleillé, mais assez sec et surtout bien chaud (+2,1).

1999 : Même scénario qu'en 1994, le printemps est bien chaud mais très gris et très humide (-0,9). L'été qui suit est sans relief, peut-être un poil doux mais gris (-0.2).

2000

: Encore un printemps globalement doux, mais gris et arrosé (1,0), suivi d'un été un peu frais, moyennement ensoleillé, et surtout humide (-1,1).

2001 : La série des printemps doux mais gris et humides continue, et ce coup-ci c'est très marqué (-2,5). L'été qui suit n'a pas de caractère particulier, il est un poil plus chaud que les années précédentes, un poil plus ensoleillé, mais un peu plus humide (+0,2).

2006

: Un printemps un peu frais par rapport à la décennie écoulée, et à nouveau gris et arrosé (-1,8). L'été qui suit est très chaud, bien ensoleillé, et normalement arrosé (+1,6).

2008

: Idem qu'en 2006, le printemps est un peu frais, mais surtout gris et arrosé (-2,6). L'été qui suit est en moyenne frais par rapport à la décennie précédente, peu lumineux et plutôt humide (-1,8).

En complétant les paramètres pris en compte, on voit que le postulat selon lequel "les statistiques nous affirment que les printemps frais et humides n'aboutissent presque jamais à un bel été" comporte quand même beaucoup de contre exemples default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

Plus sérieusement, cela permet de constater que finalement, le caractère maussade ou non du printemps ne nous apprend pas grand chose sur l'été. Les décennies écoulées regorgent d'exemples de printemps maussades suivis d'étés pourris, comme de printemps maussades suivis de très belles saisons estivales.

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Invité Sky Blue

Plus sérieusement, cela permet de constater que finalement, le caractère maussade ou non du printemps ne nous apprend pas grand chose sur l'été. Les décennies écoulées regorgent d'exemples de printemps maussades suivis d'étés pourris, comme de printemps maussades suivis de très belles saisons estivales.

C'est la meilleur nouvelle du jour.thumbup.gif
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