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Suivi du temps aux Etats-Unis.

THE_PHOENIX

Par THE_PHOENIX,
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Babarskaja

Cette photo illustre bien le caractère "contrasté" du climat des Grandes Plaines d'Amérique du Nord:     Source.

pow

Pour ce qui est de Mammoth Lakes, le centre ville est occupé majoritairement par des habitants à l'année contrairement aux quartiers résidentiels dédié à la location. Il y a tout de même 8300 hab

Higurashi

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Higurashi

Higurashi

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  Superbe. D'où vient ce phénomène?

 

De la réflexion des lumières artificielles sur les cristaux de glace présents dans l'air par temps très froid. 

Sinon, ça a été capturé à Spring Arbor. 

Modifié par Higurashi
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gosto13

gosto13

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Nîmes-Ouest (30)
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Je vous trouve un peu "Rabat-joie" sur le fait de dire que les médias en font des tonnes avec le climat américain quand on voit que pour quelques centimètres en plaine française on envoie des envoyés spéciaux et on en parle pendant des heures tout comme un petit coup de vent avec des rafales max à 130km/h on essaye d'expliquer pourquoi la France est frappée de plein fouet par une succession de tempêtes ou une "vagoulette" de froid avec du -6 on a droit à des conseils pour lutter contre le froid ou nous expliquer si la France a déjà été touchée par des températures aussi glaciales.

Là en Amérique du nord les événements climatiques sont impressionnants on parle de plusieurs mètres de neige en l'espace de peu de temps et des températures à paralyser notre pays et le plonger dans un chaos total.

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Canada Goose

Canada Goose

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il y a 20 minutes, gosto13 a dit :

Là en Amérique du nord les événements climatiques sont impressionnants on parle de plusieurs mètres de neige en l'espace de peu de temps et des températures à paralyser notre pays et le plonger dans un chaos total.

 

Toujours les mêmes arguments qui ne tiennent pas... Il faut comparer ce qui est comparable.

 

Le seuil d'une vague de froid est (très grossièrement) à -30 °C au Canada, -10 °C en France ou... 10 °C dans le sud de la Thaïlande. Ainsi, arrivé à ces seuils-là (c'est un ordre d'idée, je le répète...), les conséquences seront similaires, car ces pays sont habitués à vivre dans un climat X mais, au-delà, ça vient perturber leur quotidien voire mettre en danger les populations (à des échelles différentes). Un Canadien rigole à -15 °C quand un Français couine de froid et un Thaïlandais est déjà à la morgue. Pas parce que l'un est plus fort que l'autre ; non, simplement parce que c'est une question d"habitude. Idem pour les tempêtes de neige ou les fortes pluies. Dans le désert d'Atacama, au Chili, 10 mm de pluie provoquent des inondations, parfois catastrophiques...

 

Quant au traitement médiatique (en France), la question n'est pas de s'intéresser ou non aux événements extrêmes qui ont lieu ici, en Amérique du Nord. Le truc, c'est que les médias français sont obsédés par tout ce qui vient d'Amérique, et ça date pas d'hier ! Il se passe des événements météo tout aussi extrêmes en Asie ou en Europe du Nord (parfois..) et, pourtant, on n'en entend jamais parler. Idem pour bien d'autres sujets d'actualité.

 

Parenthèse refermée. Si vous voulez débattre de ça, allez le faire ailleurs, merci. ;) 

 

Pour en revenir à la météo, voici ce qui nous attend ce week-end... Blizzard dans l'est du Canada (Nouveau-Brunswick, entre autres) et grand froid dans le sillage de la dépression.

 

static-us-late-week.jpg

 

rf-friday-11-pm.jpg

Modifié par Canada Goose
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mottoth

mottoth

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Décines (69), Aeroport St Exupery (69)
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Retour sur décembre 2017 pour quelque villes du nord-est des Etats-Unis, mois marqué par la vague de froid d'après-noël.

 

Chicago: Un mois pas si froid que cela, il suffit de remonter en... 2016 pour trouver plus froid (avec une tnn de -25.0°c). Et cela manque de neige, comme l'année dernière.

72530_DEC17.png

 

 

New York / Newark: j'ai choisi l'aéroport de Newark pour représenter la ville, un peu moins urbanisé que La Guardia ou Central Park et moins maritime que JFK.

Seule la tx du 31/12 fut notable, c'est la txn de décembre sur ma période d'étude, soit 2000-2017. Presque pas de neige au sol pour cette vague de froid de fin d'année. En revanche on retrouve des éléments classiques du froid New Yorkais: une HR parfois vraiment basse et du vent.

72502_DEC17.png

 

 

Boston: un froid bien plus accentué qu'à New York, avec des records de tnn et txn de ma période d'étude pour décembre bien "améliorés". Il faut souligner que depuis 20 ans on n'avait pas connu de vague de froid majeure en décembre. Là encore le vent est de la partie et la neige assez rare.

72509_DEC17.png

 

 

Albany (NY): rien d'extraordinaire à part la durée du grand froid, qui s'est prolongé début janvier.

72518_DEC17.png

 

 

Bangor (Maine): les records de froids de ma période d'étude ont été largement balayés (5 bons degrés pour la tnn), et la barre des -30°c a été atteinte, ce qui n'est pas si courant. Les anomalies de t° plus prononcées ici dénotent bien du caractère plus inhabituel du froid de cette fin de mois. A noter aussi une belle couche de neige pour la saison en fin de mois, quasiment le quadruple de l'épaisseur habituellement mesurée en fin d'année.

72607_DEC17.png

 

 

BONUS:

Mt Washington: pour le fun, un nouvel aperçu des conditions dantesques qui règnent au sommet des White Mountains. IRE moyen de -57 le 27/12, avec cette tx de -28.8°c qui améliore le record bas de tx de ma période d'étude de plus de 5°c.

72613_DEC17.png

 

Modifié par mottoth
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pochetteblanche

pochetteblanche

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Paris 15
Posté(e)

"BOMBE CYCLONIQUE"

Une tempête hivernale d'une rare intensité est en cours de formation au large de la côte sud-est des États-Unis. Des médias américains, tels que Mashable et leWashington Post, évoquaient même mardi soir une possible «bombe cyclonique». En météorologie, le terme de «bombe» qualifie la formation extrêmement rapide d'une dépression très intense. Il faut techniquement que la pression chute de plus de 24 millibars en moins de 24h pour que l'on puisse qualifier une tempête de «bombe».

Or le National Weather Service américain (équivalent de Météo-France) prévoyait justement un «creusement» de la dépression de 44 millibars entre mercredi et jeudi matin (heure locale) au fur et à mesure qu'elle remonte vers le nord. La pression pourrait même chuter à 950 millibars jeudi soir, lorsque la tempête sera remontée au large des côtes de la Nouvelle-Angleterre, à l'extrême nord-est du pays. Ce type de basse pression est typique de ce que l'on rencontre au cœur d'un cyclone tropical de catégorie 3, mais ce serait quasiment du jamais vu pour une tempête hivernale dans cette région. D'où le terme de «bombe cyclonique».Le moteur de cette tempête serait alimenté par la très grande différence de températures entre la grosse poche d'air polaire coincée au-dessus du Canada et des États-Unis et les eaux de surface particulièrement chaudes du courant océanique Gulf Stream dans l'Atlantique.

Le terme de «bombe» ne qualifie que l'explosivité du phénomène et ne présage en rien des dégâts qui sont attendus. Tout dépendra de la trajectoire précise de la dépression. Mercredi matin, l'intégralité de la côte Est, de la Floride à la Nouvelle-Angleterre, était placée en alerte «tempête hivernale» ou «blizzard». Les régions les plus au sud pourraient être touchées par quelques chutes de neige éparses ou des pluies verglaçantes inhabituelles pour la région, quand le nord, Boston notamment, pourrait être balayé de vents violents pouvant atteindre 80 km/h conjugués à des chutes de neige intenses atteignant plusieurs dizaines de centimètres dans la journée de jeudi. En raison de coefficients de marée élevés, des inondations côtières «mineures à modérées» sont possibles en fonction de la hauteur des vagues,prévient aussi le Weather Prediction Center.

Les prévisions pour la ville de New York oscillent encore entre chutes de neige importantes (entre 5 et 10 cm) et tempête de neige intense (quelques dizaines de centimètres) en fonction de l'évolution de la trajectoire de cette tempête. Une légère bifurcation vers l'ouest pourrait avoir d'importantes répercussions sur la météo de toute cette région très densément peuplée des États-Unis. Puis la dépression pousuivra sa route vers le Canada et Québec.

Quel que soit le scénario, les prévisionnistes américains anticipent un brusque refroidissement consécutif au passage de la tempête. La vague de froid polaire qui est actuellement bloquée dans la baie Hudson au Canada devrait en effet s'engouffrer au sud pour frapper New York, Boston ou Washington D.C. ainsi que le MidWest. Des records de froid historiques pourraient être battus entre vendredi et dimanche.

http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/01/03/01008-20180103ARTFIG00190-une-bombe-cyclonique-menace-la-cote-est-des-etats-unis.php

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