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Etude climatologique du Centre-Ouest (1945-2014) [Inclus: (2018-2023) et 2021 en projection statistique]


Aldébaran
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Le Voide (49-Maine et Loire), à 35 km au sud d'Angers et à 135 mètres d'altitude.

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A noter que si à la fin de cette année 2015, la température moyenne climatique est observée en dehors, et au-dessus de la zone estimée la plus probable (zone orangée foncée), cela signifierait alors que la température moyenne sur la période (2014-2015), serait alors à un niveau sans précédent depuis le début des relevés pour une période biennale. excl.png

Au cours de ces 2 dernières années, on a pu observer à travers les données moyennées des 4 stations de référence de ce sujet, la survenue sur notre région, d’une succession d’événements climatologiques possédant de fortes anomalies thermiques excédentaires, au point que la période (2014-2015) est désormais la période biennale la plus chaude jamais observée sur ce territoire.

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Je vous propose ci-joint, un aperçu des événements climatologiques de ces 2 dernières années ayant contribué à cette anomalie chaude sans précédent, et à travers leurs températures moyennes:

-Janvier 2014: le 2eme mois de janvier le plus chaud de (1945-2015)

-Hiver 2014: le 3eme hiver le plus chaud de (1945-2015).

-Semestre (Hiver-Printemps 2014): le 3eme semestre (Hivers-Printemps) le plus chaud de (1945-2015).

-Octobre 2014: le 5eme mois d'octobre le plus chaud de (1945-2015).

-Novembre 2014: le 4eme mois de novembre le plus chaud de (1945-2015).

-Automne 2014: le 2eme automne le plus chaud de (1945-2015).

-Semestre (Été-Automne 2014): le 3eme semestre (Été-Automne) le plus chaud de (1945-2015).

-Année 2014: la 2eme année la plus chaude de (1945-2015).

-Avril 2015: le 4eme mois d'avril le plus chaud de (1945-2015).

-Printemps 2015: le 6eme printemps le plus chaud de (1945-2015).

-Été 2015: le 5eme été le plus chaud de (1945-2015)

-Semestre (Printemps-Été 2015): le 3eme semestre (Printemps-Été) le plus chaud de (1945-2015).

-Novembre 2015: le mois de novembre le plus chaud de (1945-2015).

-Semestre (Été-Automne 2015): le 7eme (Été-Automne) le plus chaud de (1945-2015).

-Décembre 2015: le mois de décembre le plus chaud de (1945-2015).

-Année 2015: la 3eme année la plus chaude de (1945-2015).

Enfin, à noter également, que la période (Novembre-Décembre 2015), où l’on a pu relever des températures moyennes mensuelles les plus élevées, sur chacun de ces 2 mois d'affilés respectifs, est également une situation sans précédent sur ces 50 dernières années sur ce territoire, du fait que cette configuration particulière n’avait plus été observée depuis la période (Février-Mars 1957), même si cette particularité avait été approchée depuis à 2 reprises sur (Juin-Juillet 1976), et (Novembre-Décembre 2011).

A noter que la période (Février-Mars 1957) est une référence très relative, du fait de seulement 11 années de relevés complets, et ainsi d'une plus grande possibilité statistique de réaliser cette configuration.

Enfin, exceptionnellement, je vous offre la possibilité de visualiser également les périodes biennales sur l'ensemble des départements de ce sujet:

Les périodes biennales de la période (1947-2015) sur le Maine-et-Loire:

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Les périodes biennales de la période (1945-2015) sur la Sarthe:

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Les périodes biennales de la période (1945-2015) sur l'Indre-et-Loire:

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Les périodes biennales de la période (1945-2015) sur la Vienne:

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L'année 2020 achevée, nous voici désormais à mi-parcours des projections de la période (2018-2023) réalisées il y a déjà 3 ans, et donc me revoilou avec ce sujet pour faire un petit point.   

(2018-2023) en projection statistique sur la région: Centre-Ouest     Je déterre ce sujet ne sachant pas trop où poster ce message contenant mes réflexions de ces derniers mois, où l'envie s

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Le Voide (49-Maine et Loire), à 35 km au sud d'Angers et à 135 mètres d'altitude.

(2018-2023) en projection statistique sur la région: Centre-Ouest

 

  Je déterre ce sujet ne sachant pas trop où poster ce message contenant mes réflexions de ces derniers mois, où l'envie s'est présentée de tenter d'explorer statistiquement la période (2018-2023), avec une approche expérimentale dont les premiers prémices datent de 2014.  Avant d'aller plus loin, pour mieux comprendre mon approche, je tiens tout de même à préciser que j'ai remarqué, à la lecture du forum d'Infoclimat, qu'au niveau de la climatologie en général, et de la récurrence de la survenue d'événements climatologiques, il semblait y avoir 2 perceptions : L'une rappelant souvent que: "la nature se fiche des statistiques", et l'autre au contraire, se basant parfois sur des récurrences passées, pour tenter d'entrevoir demain. Pour ma part, je considère que si sur ces 70 dernières années, si certaines amplitudes en termes d'anomalies, ou si certaines récurrences semblent observées, c'est qu'il y a peut-être une raison qui mériterait une certaine attention, même si l'on en ignore parfois précisément leurs causes. Ainsi, l'intégralité des projections futures de ce message sont issues de l'analyse de la variabilité passé du climat de notre région.

 

  Cette approche est avant tout un outil de suivi, et de détection d'anomalies climatologiques futures, car il est basé sur le principe que les évolutions à venir les plus probables, sont au moins celles qui ont été observées sur la variabilité de notre climat depuis 1945. Une situation atypique et inédite, toujours possible, pourrait ainsi être facilement mise en évidence, dans le cas où la courbe de suivi sortirait de son intervalle projeté  le plus probable. Une situation qui ne s'est néanmoins pas produite lors de ces 4 dernières années, concernant la survenue, et la récurrence des anomalies de températures sur notre région, comme le montre le graphe ci-dessous :

 

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  De ce suivi et de cette expérience intéressante sur ces 4 dernières années, au moment de renouveler mon graphe pour les 6 prochaines années, l'envie est venue d'étendre cette approche à l'évolution de la pluviométrie, et de l'indice d'aridité de De Martonne de notre région, et en y intégrant cette fois-ci, en plus de la méthode éprouvée sur ces 4 dernières années, une méthode plus sélective qui intègre le contexte climatologique de la région lors de la réalisation de la projection. C'est ainsi que sur les 3 graphes suivant, vous pouvez observer la superposition de 2 projections qui sont complémentaires l'une et l'autre, avec au passage une résolution de la projection que j'ai pris le temps d'améliorer par rapport à celles issues de ces 4 dernières années.

 

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  Les plus attentifs auront peut-être remarqué que la méthode récente utilise une convergence issue de multiples autres projections. Une convergence qui en fonction de la variabilité du paramètre observé, et de la possibilité de la survenue d'anomalies et de récurrences atypiques possible, a été ajusté pour autoriser cette éventualité inédite.  La température moyenne possédant une variabilité moins forte que la pluviométrie, la prise en compte de l'ensemble (100%) de ses projections était possible.  Au contraire de la pluviométrie, où sa variabilité parfois forte dans le passé, laisse entrevoir de possibles scénarios atypiques à l'avenir, avec ainsi la prise en compte que de 85% de ses projections, dont je reviens avec plus de précision par la suite. Il s'agit d'un critère qui a été ajusté en fonction de la variabilité de chacun des paramètres climatologiques étudiés.

 

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  Si la projection en trait pointillé est moins bien résolue que celle délimitée par le trait fin noir, c'est que chacune de ses incertitudes est issue de la convergence de plus d'une vingtaine autres projections, et qu'en plus d'un intérêt pas forcément pertinent, une résolution mensuelle n'était raisonnablement pas humainement possible. La nouvelle méthode utilise donc, comme vue ci-dessous, une convergence de multiples projections. Cette convergence a pour but principal, d'accumuler, de mettre en avant, et de synthétiser l'ensemble des récurrences, et des anomalies observées dans le passé, afin de faire émerger un signal probable concernant la normale recherchée future. Cette approche se basant sur les observations passées, augmente ainsi en fiabilité au fur et à mesure des données climatologiques accumulées depuis 1945, et offre tout de même quelques perspectives intéressantes.

 

  Observez la position du signal émergé, (intervalle grisé) par rapport à l'intervalle en pointillé rouge, et la position de la normale recherchée. On s'aperçoit que même si l'intensité des anomalies est mal appréhendée sur les 2 premiers graphes, du fait de données climatologiques plus faibles que sur les 2 derniers, on relève tout de même que le signal était plutôt orienté vers la bonne récurrence :

 

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  Afin d'évaluer la pertinence de cette approche expérimentale, je me suis projeté dans le passé dans le but d'appliquer cette méthode en fonction des données climatologiques que l'on pouvait disposer à l'époque, afin de vérifier notamment  l’intérêt des signaux projetés, par rapport aux observations qui ont suivi. J'ai donc choisi d'éprouver cette méthode face aux anomalies pluviométriques les plus fortes observées sur notre région, sur des périodes de 6 années. Ce choix de 6 années est un peu le fruit du hasard, car il ne correspond à la base, qu'à ma disponibilité d'introduire 6 années de suivi sur mon graphe. Les périodes (1988-1993), (1997-2002), (2003-2008) ont ainsi été sélectionnées sur la base de ces critères, avec l'ajout aléatoire de la toute dernière période récente de 6 années (2012-2017). Il n'est pas très pertinent de remonter plus loin dans le passé, du fait que la base de données devient alors trop faible pour pouvoir être exploitée avec raison. En effet, sur une période devenant de plus en plus courte, la variabilité naturelle de notre climat devient alors de plus en plus forte, empêchant ainsi la pertinence d'analyse possible.

 

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   Le graphe ci-dessous synthétise les résultats intéressants que j'ai pu obtenir, où la récurrence pluviométrique a été plutôt bien appréhendée, même si les intensités des périodes plus lointaines (1988-1993) et (1997-2002) ont été sous-estimées, et pour cause, la base de données climatologiques ne disposait pas de ce genre d'anomalies rapportées aux périodes climatiques respectives. Ces projections statistiques se basant sur les observations passées depuis 1945, leurs fiabilités augmentent au fur et à mesure que la base de données climatologique croit avec le temps.

 

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  Et si je prends le temps de partager ce message, c'est que les projections statistiques de ces 6 prochaines années me semblent particulièrement intéressantes, notamment au niveau de la pluviométrie, où même en prenant en compte la survenue d'une situation atypique, un signal marqué semblerait émerger sur notre région :

 

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  Ces 2 derniers graphes mettraient ainsi en avant, les scénarios les plus probables susceptible de se produire sur notre région sur la période (2018-2023), sur la base de la variabilité climatologique passée, et de l'évolution du climat actuel. Dans le cas contraire, une situation observée qui irait au-delà de ces intervalles, plus improbable mais restant possible, signalerait alors l'émergence d'une situation atypique, et ainsi la survenue d'une période toute aussi intéressante à analyser à l'avenir. Car cette approche, avant d'être un outil de projections, reste aussi avant tout un outil de détection.  Bon, y a plus qu'à suivre alors... "Qui vivra verra". 

 

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Le Voide (49-Maine et Loire), à 35 km au sud d'Angers et à 135 mètres d'altitude.

L'année 2020 achevée, nous voici désormais à mi-parcours des projections de la période (2018-2023) réalisées il y a déjà 3 ans, et donc me revoilou avec ce sujet pour faire un petit point. :P

 

Comme je le précisais dans le message précédent, cette approche statistique est avant tout un outil de suivi, et de détection d'anomalies climatologiques futures, et ces 3 années de recul m'ont permis de vérifier la pertinence de ces projections, notamment avec la mise en évidence de l'anomalie thermique survenue en 2020, qui a été particulièrement visible tout au long de l'année écoulée, ainsi que le relevé d'une anomalie thermique de plus grande ampleur encore tout au long de la période (2014-2020).

 

L'anomalie thermique de la période (2015-2020) a d'abord été mise en évidence sur l'une de mes plus anciennes projections réalisée à la fin de l'année 2014, au moment où ma méthode était assez aboutie:

 

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Ce visuel montre à quel point les 6 dernières années que l'on vient de vivre dans notre région, ne sont pas si anodines en termes d'anomalies thermiques. En effet, non seulement la normale climatique de la température moyenne a continué de progresser, mais la variabilité naturelle, telle que l'on a déjà pu l'observer dans le passé, a soutenu son évolution à un niveau très intense au point de la plafonner vers le haut de la projection à la fin de l'année 2020, où une température moyenne climatique de 12.35°C a bien été relevée sur la période (1991-2020). Bref, pour faire simple, non seulement la température moyenne monte, mais en plus sur ces 6 dernières années, on ne pouvait quasiment pas faire plus rapide.

 

De plus, l'anomalie thermique de la période (2018-2020) a été particulièrement remarquée sur l'une des synthèses que j'avais réalisé il y a 3 ans, à travers le graphe suivant notamment:

 

210213030650926991.jpg

 

Cette observation, en plus de la précédente, m'a poussé a examiner plus attentivement les anomalies thermiques de ces 10 dernières années, et d'en réaliser une synthèse sur le topic de suivi de la climatologie de l'année 2020, et disponible via ce lien: https://forums.infoclimat.fr/f/topic/55925-climatologie-2020/?do=findComment&comment=3373615

 

 Il a été ainsi mis en évidence que la période (2014-2020) possède une anomalie thermique sans précédent et particulièrement marquée par rapport à ses prédécesseurs, et soutenue notamment par l'anomalie thermique également intense et sans précédent relevée sur la période (2017-2020).

 

Enfin, l'intensité de l'anomalie thermique de la seule année 2020 a été particulièrement visible sur le graphe suivant, à travers notamment la projection annuelle réalisée au tout début de l'année 2020.

 

210213030643168413.jpg

 

On peut en effet facilement visualiser la normale climatique de la température moyenne évoluant dans la partie la plus haute de la projection de l'année 2020, et avec une intensité particulièrement forte atteinte sur les mois de juin et de décembre 2020.

 

Le niveau atteint par la normale climatique de la température moyenne à la fin de l'année 2020, laisse entrevoir une perspective intéressante pour l'année 2021, où la superposition statistique de l'ensemble des projections signalerait une approche statistique possible pour une projection climatologique de la seule année 2021.

 

D'autant plus qu'une telle projection sur l'année 2021 seule, en rappelant qu'elle serait basée sur une approche encore alternative, et dont je manque encore un peu de recul, semblerait également possible sur un autre paramètre climatologique, celui concernant l'évolution de l'indice climatique d'aridité de la région, visible ci-dessous:

 

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La projection réalisée pour l'année 2021, à la vue de la normale climatique de l'indice d'aridité observée à la fin de l'année 2020, laisserait entrevoir un signal statistique possible pour 2021, si l'on superpose les 3 projections de ce graphe. 

 

 

Une approche statistique pour tenter d'entrevoir une projection climatologique de l'année 2021 sur la région?

 

Autant le dire tout de suite, pour ma part, il s'agit d'une toute première, mais la configuration particulière atteinte sur mes graphes en cette fin d'année 2020, me donne très envie de les éprouver encore un peu plus, et exploiter ainsi autant que possible les informations statistiques qu'ils laisseraient entrevoir pour cette année 2021 qui débute. Ne rêvez pas trop, les informations statistiques objectives et les plus probables resteraient bien évasives sur la manière dont les événements climatologiques pourraient survenir tout au long de cette année, et bien des scénarios resteraient très largement possibles, notamment sur la survenue ou non d'épisodes caniculaires, de sécheresses, d'inondations, ou d'épisodes de froids.

 

Néanmoins, si je me base sur l'ensemble des projections réalisées sur ces 3 dernières années, le signal statistique qui laisserait entrevoir un scénario comme étant le plus probable, projetterait pour l'année 2021, et sur la région étudiée:

 

     -Une température moyenne annuelle en 2021 qui serait inférieure à nos 3 années précédentes (2018, 2019, 2020), et qui ne devrait pas non plus se situer parmi les 5 années les plus chaudes de notre région, une situation observée pourtant à 3 reprises sur les 3 dernières années, et à 4 reprises sur les 7 dernières.

     -Un cumul annuel moyen des précipitations en 2021 qui devraient être supérieur à au moins 640 mm.

     -Un indice d'aridité annuel moyen qui devrait classer l'année 2021 comme étant une année "humide".

 

 

Pour finir la synthèse des projections climatologiques de la période (2018-2023), en évoquant enfin l'évolution de la pluviométrie sur notre région:

 

210213030652491831.jpg

 

 

Il est intéressant de visualiser le contraste pluviométrique que l'on a pu observer sur l'année 2019, où les 3 derniers mois de cette année-là ont été assez intense, et tout en contraste avec ses 9 premiers mois, où l'anomalie constatée était plutôt déficitaire. On pouvait relever presque autant de précipitations sur la période (janvier-septembre 2019) avec 365.1 mm, que sur la période (octobre-décembre 2019) avec 348.2 mm.

 

On peut aussi constater sur le graphe suivant, que l'approche alternative concernant les projections qui intègrent le contexte climatologique à la fin de l'année 2017, sur ces 3 dernières années du moins, reste encourageante à la vue de l'évolution des normales climatiques sur la période (2018-2020), mais je pense que ce sont les 3 années à venir qui vont être davantage déterminante, et ainsi tout aussi passionnante à suivre! :ph34r:

 

 

210213030655394042.jpg

 

Merci de m'avoir suivi jusqu'ici, et rendez-vous l'année prochaine... ou dans 3 ans si ça se passe mal... ou plus jamais si ça se passe très très mal ! :ph34r:

 

Non, je rigole, car dans tout les cas, des anomalies resteront toujours très intéressantes à analyser, et à mettre en évidence! Et, je le répète, mes graphes de projections restent avant tout des outils de suivi, même si je tente de les exploiter autant que possible. Vu le temps consacré, tant qu'à faire, autant essorer et partager autant que possible toutes les informations qu'ils pourraient être tentant de dévoiler. ^_^

 

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