florent76

Dans la liste complète des tornades établie par tes soins toutes sources confondues, on n'avait rien recensé en effet depuis l'événement du 11 juillet 1984 dans le département des vosges. Et avant cela, un cas présumé à Saint-Dié à une date indéterminée en l'an 1807.Florent.

Tu peux toujours signaler et mettre ça dans ce sujet, cela pourrait être très intéressant : peut-être était-ce les prémices du phénomène... Expliques quel jour et à quelle heure tu as vu et pris cela en photo.../index.php?s=&showtopic=18966&view=findpost&p=416761'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=416761 Florent.

On a environ 7 km entre Soulosse et Neufchâteau...Florent.

Le cours d'eau, c'est la Meuse ! Le carré rouge est juste là pour situer du premier coup d'oeil la commune, je ne sais pas précisément où elle a frappé pour l'heure.Je connais un peu le coin... Le relief s'élève depuis Neufchateau en direction de Soulosse... Il faudrait voit sur place où est survenue la tornade, car je sais qu'il y a un certain relief sur place au point que Brancourt doit être située sur un petit plateau (où il y a d'ailleur un château) si ma mémoire est bonne. Florent.

Bravo pour le dossier photos prises sur le terrain : exceptionnel !Florent.

Au fil des renseignements, nous allons peut-être en savoir plus sur la trajectoire de cette tornade. Voici une carte de la zone à toutes fins utiles... Carte de situation : Florent.

Voilà une première cartographie de ce que l'on pourrait appeler : Tornade à Montmirail (51) 11/02/2007 vers 14:00 La tornade aurait été signalée dans tous ces points qu'il est encore malaisé de relier, sauf pour le tronçon central... Au niveau du déplacement Est -> Ouest ou l'inverse ?? Florent.

Comme quoi, je n'ai pas rêvé ! Et certains journalistes ne savent pas une seconde de quoi il parlent une fois de plus quand on voit l'incohérence totale de leurs propos !/index.php?s=&showtopic=18948&view=findpost&p=416645'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=416645 Florent.

Merci pour ta contribution plus qu'explicite sur la tornade ! Les ravages sont encore bien pire que les minces vues que l'on en a eu jusqu'à maintenant ! Aux pieds de ces habitants du hameau de Brancourt, la toiture qui se trouvait un peu plus tôt au-dessus de leut tête. Comment fait-tu pour que ton scan numérise l'article en format texte et image et pas seulement image ?? Florent.

Pas seulement... Quand ESTOFEX sort une alerte c'est que l'on peut craindre plus que des orages...Prévision de temps violent Validité : Lun 12 Fev 2007 06:00 à Mar 13 Fev 2007 06:00 UTC Près de l'axe du talweg mi-troposphérique mentionnée ci-dessus l'air frais est présent. La progression du talweg et de l'air frais associé déstabilisent l'environnement à l'intérieur et autour du niveau 1 situé dans le NW. Quelques centaines de J/kg sont prévus dont certains peuvent être situés aux basses altitudes. La combinaison avec un fort cisaillement à basse altitude sur le flanc méridional du creusement dépressionnaire en surface aidera la convection à s'organiser en lignes et probablement en quelques petites supercellules. Une menace de tornades est prévue à travers la zone en niveau 1 en entier aussi bien que de la grêle marginalement grave. Des rafales fortes sont probables lors de tout orage. À travers la zone en niveau 2, les rafales fortes excédant 25 m/s seront générales, et excédant localement 32 m/s sont prévues sur le passage des rafales convectrices pendant le matin et le début de l'après-midi. On s'attend à ce que la menace convectrice diminue à partir du NW après le passage du talweg à mi-niveau en altitude au début de l'après-midi dans la région de la Manche et vers la fin la soirée en France méridionale. Source : http://estofex.org/cgi-bin/polygon/showfor...ormforecast.xml Florent.

Allez lire la vidéo Soulosse : récits et Itw du maire en lien dans l'article que je viens de poster. Outre des détails impressionnants que l'on y apprends, à la fin du reportage, on nous parle d'une tornade qui aurait touché également le canton de Montmirail dans la Marne (51). J'ai peine à croire qu'il s'agisse du même phénomène comme le prétends le journaliste... Florent.

Vosges : bourrasque dévastatrice Publié le 12/02 à 13:56 De nombreuses habitations touchées, 8 blessés dans une portion de la plaine des Vosges à Soulosse et Brancourt © France 3 LCA 16 h 30. Des éclairs zébrent le ciel vosgien. Puis de violentes rafales de vent se mettent à balayer le village. En quelques minutes, les tuiles volent, les toits sont arrachés, les portails à terre, les arbres déracinés. Des véhicules ensevelis, 80 maisons touchées, certaines même inhabitables. Deux habitants sont prisonniers des décombres. De très importants moyens mis en oeuvre Les secours, établissent immédiatement un "PC" spécial. 18 h 15 : une cellule de crise mise en place par la préfecture des Vosges. 8 blessés sont à deplorer, dont deux, les plus touchés, prisonniers des décombres. 120 pompiers sont à pied d'oeuvre. 43 véhicules en soutien. Une vingtaine de gendarmes prennent position, chargés notamment de patrouiller toute la nuit pour sécuriser les maisons abandonnées par leurs propriétaires. EDF met en place des groupes électrogènes. Les communes avoisinantes sont réquisitionnées et mettent à disposition salles polyvalentes, et structures destinées à abriter les sinistrés, lesquels pour beaucoup trouvent refuge auprès d'amis ou dans leurs familles. La Croix Rouge, quant à elle, fournit des repas, tandis que les pompiers accomplissent les premiers travaux de bâchage. Témoignage d'un sinistré Philippe n'était pas chez lui, il revenait d'un baptème. Ce qu'il retrouve devant sa maison : des débris et de gravas, de morceaux de métal, et même de meubles, lui laisse supposer le pire..La toiture de son pavillon est touchée, fait apparaître de larges ouvertures, laissant présager de ce qu'il va trouver à l'intérieur. La voiture qu'il avait laissée garée le long du trottoir n'est plus là : elle se trouve à une dizaine de mètres , contre une haie, dans son jardin. Elle a fait un quart de tour ! L'intérieur de la maison est ravagé : les baies vitrées, pourtant protégées par des volets fermés, ont volé en éclats. Le vent, qui s'est engouffré dans l'habitation, a mis à mal rideaux, tentures, bibelots, pour s'échapper par le toit. La véranda, neuve, se trouve en piteux état. Bilan d'un événement climatique imprévisible et peu ordinaire à Soulosse-sous-Saint-Elophe, et Brancourt, où, dans le quartier à Philippe, une trentaine de sinistrés tentaient de préserver l'essentiel. Source : http://lorraine-champagne-ardenne.france3....28221467-fr.php Florent.

Et ils évaluent notre tornade à une F2 (échelle de Fujita) ou une T4 ou T5 (échelle de Torro)D'autres photos nous parvenant de la chaine M6 : FLorent.

Tout parfait... Par contre pour le référencement, bien reprendre le format : jj/mm/aaaa à ou vers hh:mm.Ce sujet et celui sur la tornade de Soulosse ne sont ainsi pas au format au niveau du sous-titre. Pour ce sujet : 11/02/2007 vers 09:00 Serait-il également possible de supprimer les mentions de sujets déplacés dans ce forum qui perturbent la lisibilité. Merci ! Florent.

En effet, parce que par le net, impossible d'accéder aux détails qui remplissent pourtant une demie page dans l'Est Républicain ou le Républicain Lorrain par exemple...Florent.

Tornade dévastatrice sur le Cotentin Paru dans l'édition du lundi 12 février 2007 Au camping municipal de la Saline, les caravanes n'ont pas résisté hier matin. Quatre familles se sont débrouillées pour se reloger. Un coup de vent rageur, estimé à plus de 180 km/h, a provoqué des dégâts considérables hier matin près de Cherbourg. Deux personnes ont même été blessées. « On a entendu un grand bruit. J'ai ouvert la fenêtre et j'ai vu une tuile voler. » Cette habitante d'un pavillon sur les hauts de Brécourt, à Équeurdreville-Hainneville, est effarée. « Ça a duré une minute, pas plus. » Mais quelle minute ! Dans un couloir 150 m sur 5 km de long, le vent s'est déchaîné vers 9 h du matin. Sur ce sillon, règne la désolation. « Vous imaginez la force qu'il faut pour casser net un panneau de signalisation ? » Des panneaux qui ont pris la bourrasque de plein fouet. Il en traîne un peu partout. Un lampadaire brisé coupe le boulevard Jacques-Prévert. Un peu partout, des tuiles, des ardoises, des branches, des morceaux de bois ou de tôles jonchent la chaussée. « La tornade a démarré à Tonneville, dans la Hague. Elle a soufflé jusqu'à la pointe du Homet, dans la rade de Cherbourg. Dans l'enceinte militaire, une vingtaine d'appartements et cinquante voitures ont été abîmées », signale le commandant de la base navale. Stationnées sur le parking des immeubles HLM, des dizaines de voitures sont endommagées. Les vitres ont éclaté. Leurs propriétaires s'activent pour poser des bâches en plastique pour les protéger. Le bardage d'un garage n'a pas résisté, il est littéralement plié. Même punition pour plusieurs immeubles ou maisons qui ont vu des pans de leurs toitures arrachés. Les arbres aussi ont payé le prix fort ! Pins, peupliers, acacias sont arrachés, brisés, sectionnés. Certains sont tombés sur les maisons. Deux blessés En descendant sur la Saline qui longe la mer, le spectacle est hallucinant. Le hangar d'un magasin d'antiquités a perdu la moitié de son toit. Le camping municipal est dévasté. Un grand mobile home s'est retourné sur une voiture en l'écrasant. Plusieurs caravanes sont retournées. L'une d'elles gît sur le toit. Les pompiers ont relevé, ici, deux blessés légers, transportés à l'hôpital de Cherbourg. Hier après-midi, l'un d'eux y était encore, victime de traumatismes à la face et au thorax. « C'est incroyable qu'il n'y ait pas eu plus de blessés. Les gens commençaient tout juste à se réveiller. » Le standard des pompiers est submergé d'appels. Un peu partout, divers objets menacent de tomber. On se préoccupe de ceux qu'il faudra reloger. Combien exactement ? En milieu d'après-midi, le sous-préfet de Cherbourg, Raymond Cervelle, tente de faire le point : « Cinq familles dans les immeubles de Brécourt. Il y aura peut-être aussi des particuliers qui demanderont dans la soirée. Tous les moyens sont mobilisés. » Thierry DUBILLOT. Source : http://www.ouest-france.fr/BasseNormandie_...&idCLA=8618 Florent.

La tornade a fait 8 blessés A 16 h 30, hier, dans un petit village de la Plaine des Vosges, à quelques kilomètres de Neufchâteau, les hameaux de Soulosse et de Brancourt ont été l’objet de vents d’une rare violence. Toits et tuiles de quatre-vingt maisons ont été littéralement soufflés. Deux personnes se sont retrouvées ensevelies sous les gravats. Elles souffrent de blessures graves. Six autres blessés légers sont à déplorer. Face à la gravité de la situation et à l’étendue des dégâts, un «PC» a été installé dans la mairie de Soulosse et une cellule de crise activée à la Préfecture. Source : L'est Républicain - édition du 12/02/2007 http://www.estrepublicain.fr/photos/pdf/une/NEU01.pdf Florent.

Tornade dans les Vosges : deux blessés graves le 12 février 2007 : 12h01 Des vents violents ont détruit plusieurs maisons et arraché des dizaines de toitures. Maison endommagée par la tornade dans les Vosges La préfecture des Vosges a annoncé que huit personnes ont été blessées, dont deux grièvement, à la suite d'une mini-tornade qui a détruit dimanche trois maisons et arraché quelque 70 toitures dans les hameaux de Brancourt et Saint-Elophe. Une cinquantaine d'habitations étaient encore privées d'électricité lundi, alors que 2.600 habitations étaient sans courant dimanche, selon les autorités. Les deux blessés graves avaient été coincés dans des décombres avant d'être dégagés, puis transportés vers l'hôpital de Neufchâteau. Source : http://www.lefigaro.fr/france/20070212.WWW...ses_graves.html Florent.

Sécheresse : Le bétail tire la langue Toujours en première ligne en période de sécheresse, les éleveurs estiment que la situation devient alarmante après huit mois au régime sec. Il leur faut rapidement de l’eau, et en quantité, sinon la prochaine saison sèche pourrait être encore plus difficile. Mais la saison des pluies est en retard… «Beaucoup d’éleveurs se sont donné les moyens de ne pas trop subir des épisodes de sécheresse malheureusement de plus en plus fréquents, notamment en s’équipant de chaînes fourragères. Mais, en principe, une saison sèche normale prend fin avec les pluies qui tombent traditionnellement fin décembre et en janvier. Or, cette année, on est début février et l’on n’a toujours pratiquement rien vu venir… » Guy Monvoisin s’inquiète. Président du syndicat des éleveurs, il se refuse à faire dans le catastrophisme, mais il ne cache cependant pas que, si la pluie tarde encore, la situation pourrait devenir autrement plus délicate. Jusqu’à présent, explique-t-il, la plupart des éleveurs ont réussi, sinon à maintenir leurs troupeaux en bon état, au moins à limiter les effets de la sécheresse et à garder leurs animaux vivants. Grâce à leurs réserves fourragères, mais aussi, se félicite-t-il, grâce à l’intervention de l’Erpa (Etablissement de régulation des prix agricoles). En bonne intelligence avec les professionnels, il a pris au bon moment les mesures d’aide nécessaires en subventionnant un aliment sécheresse, dès fin novembre (lire par ailleurs). Aux yeux du président du syndicat des éleveurs, cette mesure a jusqu’à présent permis de limiter les pertes de poids et de croissance des animaux. Surtout, en cette saison, elle a permis d’assurer le sevrage des veaux dans des conditions à peu près acceptables. Zone rouge En revanche, Guy Monvoisin ne cache pas son inquiétude pour l’avenir si l’eau du ciel n’arrive pas en quantité suffisante dans les jours qui viennent. « En principe, explique-t-il, entre la chaleur de l’été et les pluies de fin décembre et de janvier, l’herbe repousse vite en cette saison. C’est donc entre mi-décembre et mars que les éleveurs peuvent refaire leurs pâturages et leurs réserves d’eau, préparer le fourrage qui sera coupé en hiver et stocké en prévision des mois secs de fin d’année. Si, maintenant, la pluie tarde, on va finir par se retrouver en saison fraîche, période où même avec de l’eau l’herbe pousse très lentement. Nous risquons donc de ne pas pouvoir reconstituer les stocks de fourrage et nous retrouver démunis en fin d’année si une nouvelle sécheresse venait à sévir. De ce point de vue, aujourd’hui, nous sommes donc pratiquement déjà dans le rouge. Et si on ne voit rien venir d’ici la fin du mois, on risquera effectivement la catastrophe. » Source : http://www.info.lnc.nc/caledonie/20070210.LNC3545.html Florent.

Huit mois de déficit pluviométrique en Nouvelle-Calédonie La Nouvelle-Calédonie, en pleine phase climatique El Niño, enregistre des précipitations beaucoup plus faibles que la normale depuis maintenant huit mois. De juin 2006 à janvier 2007, explique Météo-France, le déficit moyen, très important, est de -46 % pour 27 postes répartis sur l’ensemble de l’archipel. Seulement un peu plus de la moitié des précipitations normales a été enregistré pendant cette période. Le déficit est général mais plus important sur la côte Ouest qu’ailleurs. Les déficits y sont de -49 % pour Nessadiou à -60 % dans la région de Poya/Népoui (Koumac -57 %, Koné -51 %, La Foa -58%, Tontouta et Nouméa -56 %). La côte Est est moins touchée, avec un bilan allant de -12 % pour Yaté à -52 % dans la région de Houaïlou/Canala, alors que les îles Loyauté sont dans la moyenne (- 45 %). Saison des pluies retardée Cette période englobant la saison sèche, l’important déficit se traduit par des quantités de pluie très faibles, surtout sur la côte Ouest qui est la région la moins arrosée du pays : 209 mm à Népoui au cours des huit derniers mois, 232 mm à La Tontouta, 238 mm à Koumac, 274 mm à Nouméa, bien loin des 1 550 mm enregistrés à Yaté. Autre conséquence de l’épisode El Niño : la saison des pluies est retardée. Le mois de janvier enregistre un déficit global de -39 %, mais c’est surtout la côte Ouest qui est touchée avec des quantités très faibles dans la région de Tontouta (29,8 mm) /Bouraké (14,4 mm). Certains postes de la côte Est ont enregistré des quantités importantes (391 mm à Yaté, 296 mm à Touho, 290 mm à Poindimié) qui restent toutefois en dessous de la normale. A Tontouta, il a été enregistré 33 mm de pluie sur les deux derniers mois alors que l’évaporation d’un plan d’eau est estimée à plus de 400 mm sur la même période. Foin et aliment sécheresse, c’est le régime de survie pour le bétail qui ne trouve plus l’ombre d’un brin d’herbe sur des pâturages brûlés par le soleil. 400 tonnes d’aliment distribuées C’est dès le mois de novembre de l’année dernière que les professionnels et responsables du secteur de l’élevage, réunis au sein de la commission sécheresse, ont tiré la sonnette d’alarme. Dans un contexte où la sécheresse menaçait de s’installer durablement, l’Erpa a réagi sans attendre. Dès le 20 novembre, une aide a été apportée aux éleveurs sous la forme d’un aliment sécheresse. Fabriquée par la Sica à base de différentes céréales, cette farine complète, très appréciée du bétail, est subventionnée par l’Erpa à hauteur de 50 %, soit 20 F par kilo, les frais de transport depuis l’usine de Boulouparis étant également pris en charge. Bien que représentant un coût supplémentaire non négligeable pour les éleveurs, qui doivent apporter à leur bétail des rations quotidiennes de 2,5 à 5 kg par tête, l’opération a largement fait la preuve de son intérêt au bénéfice de la filière. Dès le début, la demande a en effet été forte. A fin janvier, ce ne sont pas moins de 250 tonnes d’aliment qui avaient été distribuées au bétail, et 150 tonnes supplémentaires ont été commandées par le provendier puisque, en l’absence de pluies, l’Erpa a décidé de prolonger l’opération jusqu’à fin février. Source : http://www.info.lnc.nc/caledonie/20070210.LNC3545.html Florent.

Sécheresse au Népal : le PAM double son aide GENEVE - Le Programme alimentaire mondial (PAM) a décidé de doubler son aide aux victimes de la sécheresse dans le nord du Népal. Il va assister désormais 400'000 personnes par voie aérienne jusqu'en juin. La pénurie de céréales dépasse les 190'000 tonnes, a précisé la porte-parole du PAM à Genève, Christiane Berthiaume. Plus de 30% de la nourriture doit être acheminée par hélicoptère. La Suisse a contribué jusqu'ici à hauteur de 400'000 dollars à l'appel de fonds de 16 millions de dollars lancé par le PAM pour cette opération. Selon une récente évaluation, les conditions de vie se sont encore détériorées dans ces régions reculées du royaume himalayen, longtemps sous contrôle de la guérilla maoïste. L'accès est devenu plus facile aux organisations humanitaires depuis la suspension des hostilités. (ats / 09 février 2007 17:37) Source : http://www.romandie.com/infos/ats/display2...72194810700.xml Florent.

Enok baptisée dans la confusion Le suivi du système né au large des côtes malgaches a une nouvelle fois mis en lumière les différences d’appréciation entre le Centre des cyclones tropicaux de La Réunion et la station météorologique mauricienne de Vacoas. Hier soir, la forte tempête tropicale se trouvait à 645 km au nord-nord-est de La Réunion. 10 février 2007 Un système dépressionnaire chasse l’autre. Hier soir, Dora n’était plus qu’une dépression extra-tropicale et avait été en quelque sorte débaptisée par le Centre des cyclones tropicaux de La Réunion. Elle se trouvait à plus de 800 km au sud-est de La Réunion et continuait de s’éloigner à la vitesse de 22 km/h vers le sud-ouest. En revanche ce que nous annoncions dans notre édition d’hier s’est confirmé. Le système né au large de la côte est malgache a continué à se creuser. À 10 heures hier matin « 08-20062007 », huitième système de la saison, n’était qu’une perturbation tropicale (1 000 hPa). C’est dans l’après-midi que les choses se sont gâtées entre le Centre des cyclones tropicaux de La Réunion et la station météorologique mauricienne de Vacoas. À 16 heures, pour les prévisionnistes de la station du Chaudron elle avait atteint le stade de dépression tropicale (998 hpa). Le phénomène se trouvait alors par 15°10 sud et 55°40 est à 640 km de nos côtes. Il se déplaçait vers l’est à la vitesse de 20 km/h. "Le système s’intensifie, indiquait le Centre des cyclones tropicaux de La Réunion. La convection présente maintenant une structure en bande incurvée. Les vents les plus se trouvent dans le demi-cercle nord en raison du flux de mousson. Les conditions sont neutres à favorables à l’intensification avec une assez bonne divergence, pas de cisaillement. Au sol, l’alimentation est bonne côté équatorial, mais assez faible côté polaire ou Dora monopolise l’alimentation par les alizés. Il n’y a pas d’alerte en cours à la Réunion. " UNE INTENSIFICATION EXPLOSIVE Pour les prévisionnistes mauriciens, à la même heure, on n’en était déjà plus là. "La perturbation tropicale qui évoluait près de l’île Tromelin s’est intensifiée en une tempête tropicale modérée et a été nommée Enok par les services météorologiques de Maurice." Alors, perturbation ou tempête tropicale modérée ? Ce n’est pas la première fois (voir par ailleurs) que les météorologues des deux îles ne parviennent pas à accorder leurs violons. Une cacophonie qui fait vraiment désordre alors qu’un système cyclonique rôde à 640 km de nos côtes. Finalement, Météo-France, après son bulletin de 16 heures classant le système en dépression tropicale, l’a rectifié en début de soirée, "surclassant" celui-ci en tempête tropicale modérée... et officialisant du même coup son baptême ! Au bulletin de 22 heures, Météo-France classait ensuite Enok en forte tempête tropicale. Une intensification explosive dans tous les sens du terme, l’exemple d’un système passant du stade de dépression tropicale à celui de forte tempête tropicale en 6 heures étant à coup sûr ou presque une première dans les annales. Heureusement, au-delà de la polémique, les modèles numériques s’accordent sur une trajectoire en arc de cercle qui amènerait le météore sur une course vers le sud-est puis plus progressivement en direction du sud ce qui pourrait le faire passer entre Maurice et Rodrigues. Il ne s’agit là que d’une projection dont la marge d’erreur est très importante d’où l’importance pour les stations météorologiques des deux îles de parler d’une seule voix. Alain Dupuis La polémique continue entre météorologues mauriciens et réunionnais Systèmes baptisés trop tôt ou tard, erreur de positionnement de 100 km d’un phénomène évoluant à proximité immédiate des deux îles : le Centre météorologique régional spécialisé (CMRS) cyclones de La Réunion ne ménage pas ses critiques vis-à-vis de ses collègues mauriciens. Contrairement aux autres régions du monde où l’autorité des CMRS est indiscutée, le bassin sud-ouest de l’océan Indien s’illustre parfois par une cacophonie qui a pris de l’ampleur au c ?ur de la saison cyclonique 2004-2005. La dix-septième session du Comité des cyclones tropicaux dans le sud-ouest de l’océan Indien qui s’était tenue au Botswana, en octobre 2005, avait permis de mettre sur la place publique le différend. Il avait été l’occasion d’un sévère lavage de linge sale en famille entre les météorologues des deux îles. Gérard et Hennie. Ce sont les deux gouttes d’eau qui avaient fait déborder le vase des relations entre le Centre météorologique régional spécialisé cyclone (CMRS) de La Réunion et le sous-centre régional de Maurice. En février puis en mars 2005 encore, la gestion de ces deux systèmes par les météorologues réunionnais et mauriciens avait déjà fait apparaître des incohérences. L’autorité en matière de baptême des systèmes dépressionnaires est une prérogative absolue des Centres météorologiques régionaux spécialisés. Une exception toutefois : le CMRS de La Réunion. Afin de ménager les susceptibilités mauriciennes et malgaches, il a été décidé de créer au début des années 90 deux centres sous-régionaux. Les Mauriciens ont la responsabilité des baptêmes à l’est de 55° est, les Malgaches à l’ouest de 55° est. "Cette spécificité est considérée comme absurde par les spécialistes oeuvrant dans le domaine du suivi opérationnel cyclonique, relève le CMRS de la Réunion. Un ancien directeur du Centre des ouragans de Miami l’a d’ailleurs très sévèrement qualifiée." Source : http://www.clicanoo.com/article.php3?id_article=148815 Florent.

La Grande-Bretagne sous la neige 07/02/2007 (Photo: Keystone) De fortes chutes de neige et du verglas ont perturbé le trafic vendredi après-midi sur l'ouest de Angleterre et le Pays de Galle. L'aéroport de Birmingham a été fermé. L'aéroport de Birmingham a été fermé plus de trois heures, alors que la circulation sur les routes était rendue très dangereuse par des brouillards givrants. D'importantes chutes de neige avaient déjà fortement perturbé les transports jeudi dans une partie de la Grande-Bretagne. A Birmingham, cinquième aéroport du pays, les vols ont été suspendus à 16h30 pour laisser les équipes dégager la neige des pistes, avant de reprendre à 19h45. Des retards étaient signalés à l'aéroport international de Cardiff où le déblayage de la neige était en cours. Cependant, les automobilistes affrontaient des conditions de circulation difficiles sur les routes à cause des nouvelles chutes de neige mais également de brouillards givrants et de verglas. "Nous avons des conditions qui se dégradent sur les routes", a indiqué une porte-parole des services routiers. Le centre du Pays de Galles était recouvert d'une couche d'environ 30 cm de neige, bloquant des centaines de véhicules sur les routes et submergeant les services d'urgence. Sur le réseau ferroviaire, seuls quelques retards étaient signalés. Plusieurs centaines d'écoles sont restées fermées vendredi pour la seconde journée consécutive. Source: SDA/ATS http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/11156701 Florent.

Vous en avez mis du temps ! /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Des modestes, c'est bien ce que je disais ! Après c'est comme les vaches, certains peuvent pas comprendre... /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">Florent.

La séance de flagellation est prévue aussi ! Tu fais vraiment les choses bien et en grand ! /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">Florent.