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Semaine du 5/02/2007 au 11/02/2007
ort a répondu à un sujet de Meteo-Corny dans Evolution à plus long terme
Pourmoi tout diverge complètement dès le 1er février. Et même si certains scénarios se rapprochent à nouveau vers le 7... cela ne veut rien dire. Personnelllement, je ne crois pas à une jonction anticyclonique en mer du nord qui nous apporterait un blocage dans ces 10 prochains jours. Pour moi, on va vivre encore plusieurs jours de beau avec des inversions en basse couche parfois tenace et des températures proche des normes voire un peu plus. Rien d'exceptionnel. Bref grande lassitute sur toute la ligne. Peu d'espoir que cela change véritablement pour la suite de février au vue de ce que nous vivons cet hiver. -
Suivi de l'épisode hivernal dans le Centre-Est
ort a répondu à un sujet de TreizeVents dans Le temps en France
Quelques nouvelles du plateau Suisse Romand. Plus précisément Yverdon-les-Bains. Pas de précipitation en ce moment. Température flirtant le 0°C. Pas de neige non plus. Les routes sont dégagées. Lausanne, Nyon subissent des précipitations neigeuses mais pour le moment, cela ne tient pas encore vraiment sur les routes. -
Semaine du 01/01/2007 au 07/01/2007
ort a répondu à un sujet de Hingis dans Evolution à plus long terme
Parlons du début janvier. Les cartes GFS donne à réfléchir. Certes c'est dans 1 semaine environ mais si les vents signalés ne sont que la moitié de ce qu'il est prévu, ce sera déjà très costaud. Cette fois on devrait enfin avoir les HP avoir du mal à résister. Enfin l'espoir de passer à un flux de nord / nord ouest avec à la clé dès le 5 ou le 6 de la neige possible... Qu'en pensez-vous ? -
Dernières offensives hivernales 2005/2006
ort a répondu à un sujet de sebd-78 dans Prévisions à court et moyen terme
Tu as raison, et je me suis marché dessus. Je voulais bien dire que la chaleur latente de fusion de l'eau absorbe la chaleur au milieu environnant lorsque la neige se transforme en pluie et non l'inverse. Ce que je voulais ajouter c'est que l'on assiste aussi au phénomène inverse lorsque la pluie se transforme en neige lorsque la température des basses couches est suffisamment froide. Dans ce cas, on a un réchauffement de l'environnement. Ce qui n'était pas le cas ces jours. Dans ce cas on a bel est bien phénomène de yoyo tel que je le décris. Mais en effet dans le cas de mercredi ce n'était pas possible... je me suis un peu embrouillé je l'admets... Merci pour la précision des 1000 mètres d'isothermie. Ce doit être toutefois assez exceptionnel, non ? -
Dernières offensives hivernales 2005/2006
ort a répondu à un sujet de sebd-78 dans Prévisions à court et moyen terme
Incroyable /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> . A vous lire, la neige débarque... désolé de vous décevoir mais je parie qu'il n'y aura rien de rien . Au mieux sur le Jura, 700 mètres et encore... Faut pas rêver... Concernant, les chutes brutales de température et la neige, je constate en consultant les chiffres donnés par florent que c'est rare et que cela s'est produit qu'une seule fois en avril 1976. Raison de plus de ne pas s'emballer... Je rappelle que les conditions de neige en plaine c'est en gros la ligne des 528 (en hiver) et non pas celle des -5°C. Or, le 528 restera cantonné sur l'extrême nord de la France dans une zone sans précipitation... Autre phénomène thermique à souligner. Lorsque la quantité de précipitation est très importante comme ce sera le cas dans le centre et surtout l'est (jura notamment), la tendance est à une légère augmentation de la température sous les précipitations et non pas l'inverse. En effet, le passage de l'état de vapeur à l'état liquide libère de la chaleur et de l'état liquide à l'état solide (neige) également. Plus il y a de précipitation et plus le risque de voir de la neige dans une zone limite est peu probable à cause de ce phénomène. Il n'est pas rare de voir les précipitations neigeuse jouer au yoyo entre 2 altitudes à cause de ce phénomène. En effet la neige se transforme en pluie et prend de la chaleur à son entourage (refroidit donc le milieu ambiant). La neige descend de plus en plus bas. Puis arrive un moment où la neige se retransforme en pluie quelque centaines de mètre plus bas et redonne sa chaleur à l'air ambiant. L'air se réchauffe, remonte /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> et transforme la neige en pluie... et cela recommence... or ce phénomène est accentué avec des fortes précipitations comme ce sera le cas. Le Yoyo sera donc important et se situera probablement entre 700 m et 1200 m et sûrement pas entre la plaine et 700 m. Même si la neige faisait son apparition pendant quelques minutes à très basse altitude, elle disparaîtrait rapidement à cause de ce phénomène, d'autant que les masses d'air en présence ne sont pas particulièrement froides. -
Dernières offensives hivernales 2005/2006
ort a répondu à un sujet de sebd-78 dans Prévisions à court et moyen terme
Personnellement je ne pense pas que nous aurons de la neige en plaine qui tient au sol ou juste en toute fin de période (nuit de mercredi à jeudi) et que sur le plateau Suisse. Tout d'abord, les sols sont chauds. On est en avril, nous avons eu de très belle journée. Celle de mardi sera fraiche pour un mois d'avril mais ensoleillée. Les masses d'air vraiment froide ne semble pas descendre sur le centre, là où il y aura la zone de précipitation. Aucun modèle voit du -5°C à 850 hPa dans la zone de précipitation (du moins pas pendant la phase active des précipitations) et la ligne des 528 reste en manche. Par contre dans la zone de conflit des masses d'air, il devrait y avoir une quantité de précipitation vraiment significative. On se souviendra de mercredi plutôt comme une journée de pluie continue, importante, froide mais pas neigeuse... -
Petite question aux administrateurs du site : Je constate que si l'on prend la peine de regarder dans le profil des utilisateurs un petit commentaire s'affiche du style "gelée blanche" ou "frisson d'avril". Cela est-il en rapport avec les prédictions des utilisateurs ? Si oui, le fait d'avoir ce commentaire permet de voir plus ou moins la tendance qui se dégage. Je trouve sympa pour ma part d'avoir cette toute petite info. Pour quelle raison avez-vous mis ce commentaire ? /public/style_emoticons/'>http://forums.infoclimat.fr/public/style_emoticons/default/original.gif
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Nouvelles sorties de modéles saisonniers
ort a répondu à un sujet de Devilcongestus dans Tendances saisonnières
Voilà ce que j'écrivais le 11 juillet où j'avais découvert le pot au rose de Florent. Depuis j'observe sans plus ! ... et de constater ce qui ne m'étonne pas, vu la méthode, que les écarts se succèdent et vont grandissant. Seul pour l'instant la tendance générale reste encore correcte. Merci à Meteor, Tomar et Virgile pour vos apports. Je vous invite également à lire l'édifiante réponse de Florent de l'époque à mon intervention. On ne peut être plus clair... ----- Très bien vu Ort... C'est bien le principe et il ne te manque que quelques facteurs correctifs en effet... Je suis resté longtemps interloqué également par cette découverte, alors que j'avais identifié des cycles de 27 ans au départ, que je pense aujourd'hui à 55 ans, ce qui les relie plus logiquement à un mécanisme d'origine solaire. Et c'est plus logique même dans les années considérées, puisque 2003 ressemble bien plus à 1947 ou 1842 qu'à 1976 ou 1921... C'est cela qui me fait dire plus que tout que l'année 2003 était totalement prévisible, presque au dixième près parfois, tant, moyennant quelques corrections, elle est la copie conforme de l'année 1842... J'ai fait cette découverte l'automne dernier, j'y ai crû toute suite d'autant que cela validait au delà de mes espérances mes hypothèses. Je me suis dit que le meilleur moyen de valider tout cela était de parier sur la poursuite de cette corrélation magique : Depuis 2003, cela continue d'évoluer en parrallèle avec le trend 1842-45 en majeure partie... il y a eu beaucoup moins de contingeances avec 1893 ou 1947. Je suis précisément en train de rechercher si d'autres cycles de ce type existent, mais de manière systématique... Je n'ai pas eu grand mal à découvrir celui-ci, dès le départ grâce à ma bonne hypothèse, j'ai pu considérer les bons millésimes. L'analyse pour l'hiver qui vient sera en effet celle-ci si ce cycle se poursuit sans cassure... Déjà 30 mois que ça dure, je n'en espérais pas tant ! Si la relation principale découverte est qui lie 1842-44 à 2003-05 se poursuivait, je nous annonce un hiver extrêmement long, du début décembre à fin mars avec en effet une pause en janvier. Rien n'est sûr, mais le fait que déjà en fin d'hiver dernier, la saison froide ait eu tendance à jouer les prolongations pourrait être un indice... Les cycles climatiques existent et je continue à réunir chaque jour de nouveaux éléments. Ils ne peuvent être engendré que par un facteur extérieur possédant un cycle régulier : en l'état actuel de mes recherches, le soleil est une des seules possibilités. Florent. -
anomalie SST négative en mer de Norvège
ort a répondu à un sujet de rico dans Tendances saisonnières
En effet Tomar, je suis assez d'accord avec toi. La prochaine décade vue très chaude par les modèles américain dans cette zone nous permettra de voir plus clair. Si l'anomalie se résorbe et ne réapparaît pas la semaine suivante on pourra vraiment dire qu'il ne s'agissait que de l'effet des températures des basses couches sur les eaux de surface. Sinon, on pourra dire qu'un autre effet intervient ou que tout simplement, le refroidissement de la zone a quelques jours ou semaine d'avance. Et cela n'a peut-être rien à voir avec le GS, seulement un positionnement des centres d'actions qui sont alors propices à refroidir davantage et plus rapidement une zone par rapport à la moyenne habituelle. Personnellement dans ce débat acharné, je suis plutôt un partisan d'une interaction forte et déterminante des échanges atmosphère / océan et du positionnement du centre d'action plutôt que des apports de chaleur du GS. Je nie pas l'influence du GS qui charie une quantité impressionnante de calorie et adoucit la température des eaux en profondeur et en surface du Nord Est Atlantique mais cela ne détermine de loin pas à lui seul notre climat (disons que je lui donne un 20 % peut-être 1/3 de responsabilité). Et si les apports diminuent, je pense que l'échelle de temps se compte plutôt en mois et en année avant de voir une influence notable et durable que sur quelques jours ou quelques semaines d'observation. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> -
Si on donne des chiffres dans le vide cen'est pas très exhaustif. -0.3°C par rapport à quelle période Aldo ?
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Désolé N4SH mais je ne crois pas qu'il existe un modèle que l'on peut qualifier de saisonnier. Bien entendu, il y a la NOA, l'AO, les anomalies de températures mesurés dans les océans qui sont des indicateurs relativement fiable (quoique pas à 100 %) mais que l'on ne peut pas réellement modéliser. La NASA nous offre périodiquement ses cartes, meteoffice également... peut-être utilisent-ils un modèle ?... de toute manière, pour l'instant c'est assez médiocre ce qu'ils obtiennent comme prévision. Ce n'est pas parce qu'on ne peut pas modéliser que l'on doit absolument arrêter de chercher. Il faut commencer par observer, dégager des relations, tester les relations puis petit à petit construire un modèle. Celui-ci n'étant pas forcément construit sur ce qui existe déjà. A cause de la complexité, les modèles classiques basés sur les équations des échanges theromdynamique des particules patinent après une dizaine de jour (quand c'est facile , sinon ils sont dans le brouillard déjà avant) ne pourront à mon sens jamais arriver à faire mieux que quelques semaines (je rêve un peu, mais admettons que la puissance des ordinateurs nous permettent d'y arriver... ). Alors adapter un modèle classique sur du saisonnier, il faut oublier ! La complexité est telle que le nombre de possibilité a chaque itération multiplie le nombre de possibilité et de calcul par des chiffres que j'ose même pas imaginer... et puis même si on a les ordinateurs d'une puissance infinie (genre ordinateur quantique), il faudrait aussi connaître l'état de l'atmosphère avec une précision au moins 1000 fois plus précis qu'aujourd'hui. On ne va pas mettre des sondes toutes les centaines de mettre pour mesurer (faut pas oublier qu'il y a 3 dimensions). Non décidément, un modèle classique tel que pourrait se l'imaginer un scientifique, j'ai bien du mal à y croire. Le chaos n'est pas modélisable de manière classique. Nous devons nous tourner vers des modèles soit mathématique (essentiellement statistique et probabiliste) (là c'est un long débat pour savoir si on peut réellement sortir quelque chose), soit on opte pour des corrélations liés à l'histoire climatique passé (étude du climat, des cycles historique... mais là on a une précision pas suffisante sur l'année mais plutôt sur les tendances probables du siècle en cours. evt. décennie (ce n'est plus vraiment saisonnier). Toutes ces considérations pour dire qu'à l'heure actuelle, les physiciens et les mathématiciens se crèpent le chignon sur la modélisation à long terme. Les premiers disent que les mathématiques ne permettent pas de rendre compte de ce qui se passe physiquement (je devrais dire thermodynamiquement). Les physiciens voulant en quelque sorte suivre l'état de la matière heure par heure. Les seconds disent que cela ne sert à rien de suivre l'état de la matière heure par heure, mais c'est plutôt l'état global de l'atmosphère qui doit être suivi. La-dessus, les spécialistes dans le domaine de la climatologie sont plutôt des géographes qui préfèrent faire des statistiques et qui souvent ont bien des difficultés à valider leur hypothèse car ne possédant pas les outils thermodynamiques pour le faire --> pas mal d'acharnement entre les scientifiques objectif plutôt à la tendance physique et les scientifiques plutôt subjectifs qui ne font pas dela climatologie quantifiable (il disent plutôt : la température moyenne sera 2°C en dessous des normes) mais plutôt qualifiable (ils disent souvent : il fera très froid, il fera sec... il pleuvra beaucoup, plus que la moyenne...). Le drame c'est quand les subjectifs commencent à être sur le terrain objectif sans avoir un outil ou un modèle --> gros débat !
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Et oui ! C'est de l'humour. Bien vu Aldo... C'est juste pour rire un peu... et pour voir la réaction de tous ceux qui prenne argent comptant les certitudes des autres. Donc soyez rassuré... l'hiver sera froid neigeux... bref super rigoureux et surtout pas orageux /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Au fait Tom... faut pas devenir paranoïaque et voir Bazire partout. La lecture de mes autres posts sur le site devrait te convaincre que je ne lui ressemble pas du tout. MAis je t'en veux pas
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C'est avec la plus grande des certitudes que je m'oppose catégoriquement à la vague déferlente d'annonce d'un hiver rude pour 2005-2006. Car d'après les positions lunaires et solaires étudiés par les plus grand chercheurs du climat du monde entier, il est absolument impossible d'avoir ne serait-ce qu'une répétition de 95-96 ou 84-85 cette année. En effet les configuration quoique similaire concernant la NAO, l'AO ainsi que par les cycles sont contrecarrés par ce que les scientifiques appellent désormais l'influence lunosolaire. Or cette découverte récente faite il y a quelques semaines par des chercheurs britaniques et norvégiens est absolument stupéfiante. Alors que certains sur ce site cherchent un cycle dans le positionnement de la planète jovienne, la lune elle semblait ne jouer aucun rôle sur le climat. Pourtant une étude approfondie de la distance terre-lune et terre-soleil en corrélation avec le climat a pu être mis en évidence de manière très significative. Il est d'ailleurs étonnant que personne jusqu'à présent ne l'ai remarqué. Ces chercheurs prétendent que la canicule de 2003 était prévisible ou du moins la probabilité d'en avoir une durant l'été 2003 était extrêmement élevée. Ces mêmes chercheurs disent que l'hiver prochain sera plutôt contrasté et annonce un hiver exceptionnellement doux dans le nord de l'Europe et particulièrement pluvieux... à cause d'une distance terre lune très faible qui influencerait le positionnement des anticyclones très à l'ouest, permettant aux dépression d'origine tropicale de remonter sur l'europe de l'ouest. Donc, hiver froid j'y crois pas...
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Analyse prévisionnelle de JUILLET 2005
ort a répondu à un sujet de florent76 dans Tendances saisonnières
Une petite étude rapide des températures moyennes du mois d'août à Paris le Bourget démontre que depuis 1987 (soit les 14 dernières années) toutes les températures moyennes sont supérieures à la moyenne des 30 (1974 - 2004) ou à la moyenne des 60 dernières années (1944 - 2004). Sauf 1993 ! Et si l'on prend la moyenne 1960-1990, 1993 est juste dans les normes. Ce qui constitue un effet assez marquant (d'autant que dans ma moyenne est pris en compte les années en question). Ce qui signifie pour la mémoire collective qui est très sélective un fait marquant. Si nous avons ne serait-ce que des températures juste dans la moyenne des 30 dernières années nous qualifions ce mois d'août de frais. C'est ce que j'essaie de démontrer dans le post précédent. Ce mois est donc frais pour un subjectif alors qu'il est qualifié de normal pour un scientifique rigoureux. Tout dépend donc où l'on place la référence... Maintenant si je prends un moyenne basée sur les années 1987 à 2004, il est évident que les mois d'août se répartissent assez équitablement. Mais si l'on a un déficit de 0°C par rapport à la moyenne 1960-1990, on a relativement au 15 dernières années vécues un déficit de plus de 2°C actuellement. On peut comprendre que certains ressentent un coup de frais. On a jamais vu des températures aussi froide depuis 1993 et pourtant on est dans les normes d'après la moyenne 1960 - 1990... Alors si on s'achemine vers des moyennes de -2°C par rapport aux normes selon Florent, cela signifiera plus de 4°C de différence par rapport à la moyenne de 1987 à 2004. Un véritable séisme météorologique pour un mois d'août, où nous sommes habitué depuis la fin des années 80 à des records sur record. Donc soyons un peu honnête les uns et les autres et ne nous attaquons pas seulement à coup de chiffre et de moyenne mais raisonnons aussi d'un point de vue quelque peu subjectif. Finalement l'être humain n'est pas une machine mais un être doté de sensation et de sentiment. En cela Florent je comprends ta réaction de parler d'un début de mois d'août frais même si cela ne correspond pas à la réalité brute de certains chiffres. Le mois n'étant toutefois pas terminé, ne tirons pas de conclusion hâtive... car pour l'instant on est dans les normes et tu nous prévoyais au moins -0.6°C... jusqu'à -2.2°C. Même si 2005 serait dans les normes, nous aurions cependant une cassure nette avec les 10 dernières années et 2005 constituerait déjà "une anomalie" que tu as mis en évidence Florent depuis longtemps. Hasard ou réelle coincidence ? Après un juillet râté et une année 2004-5 plutôt en demi teinte, je préférerais pour l'instant ne pas tirer de conclusion... /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> -
Analyse prévisionnelle de JUILLET 2005
ort a répondu à un sujet de florent76 dans Tendances saisonnières
Olivier78, je pense que tu as mis le doigt sur ce qui se passe réellement avec le modèle de Florent. Il s'agit d'une corrélation mathématique calculée sur des données passées et la dite corrélation change sans cesse avec les nouvelles données --> ce n'est pas un modèle dont Florent nous gratifie mais uniquement une sorte de régression polynomiale a n degrés basé sur les données de 1842 et suivant. Le tout agrémenter d'une deuxième courbe de régression des années 1890 lui permettant de fournir un indice de confiance mensuel. Bref, c'est pire encore que ce que je pensais, rien à voir avec un quelconque modèle. Florent, s'il te plait, soit objectif et ne minimise pas tes plantages. Admet les chiffres. Tes réponses manquent singulièrement de crédibilité et ne donne pas l'impression que tu sois très sérieux dans tes recherches. Il n'y a aucun mal à avouer être dans le flou. Mais j'aimerais juste dans ce débat apporter une petite question aux statisticiens qui éclairera peut-être la lanterne dans ce débat subjectif (ressenti psychophysique) et objectif (mesure scientifique) que se livre Florent et météor. Si l'on considère l'écart à la moyenne des température d'un mois, peut-on dire que si l'on à un écart de 0°C, on soit réellement dans une configuration neutre. Je m'explique et pour cela j'aurais besoin que les spécialistes m'éclairent quelque peu : la moyenne des températures est basée sur une trentaine au moins de mois d'août (plus si on prend une série plus longue). Parmis ces mois, certains sont franchement plus chaud et d'autres franchement plus froid. Ce qui m'intéresse de savoir est d'une part l'écart type du mois d'août et d'autre part si nous avons une proportion 50/50 ou plutôt 30/70 autour de la température moyenne. Autrement dit, avons nous une proportion égale entre les mois d'août plutôt chaud et plutôt frais où y a-t-il plutôt quelques étés très chaud et une majorité un peu frais ou l'inverse. Cette constatation pourrait sensiblement faire varier la donne entre subjectif et objectif dans ce débat. Car si pour un objectif, un mois dont la moyenne se situe à +-0.5°C est un mois d'août normal, il pourrait être qualifié de plutôt frais par un subjectif qui dirait quand général une majorité des mois d'août sont plutôt plus chaud que la moyenne et seul quelque'uns sont très froid ou juste dans la moyenne. Autrement dit, août est-il un mois très sujet aux grandes variations d'une année à l'autre ou plutôt assez stable et proche de la moyenne (écart type). On pourrait faire la même reflexion pour les autres mois. Cette réflexion me pousse donc à emettre l'hypothèse qu'un simple chiffre indiquant un écart au norme n'est pas forcèment un indicateur d'une fiabilité très bonne. Encore faudrait-il indiquer si cette écart se produit souvent ou non et plutôt dans quel sens. Ceci nous permettrait de mieux cerner l'exceptionnel (d'un point de vue ressenti) de ce que nous percevons, ce que ne peut pas nous donner à lui seul un écart de température sur une moyenne mensuel. -
Analyse prévisionnelle de JUILLET 2005
ort a répondu à un sujet de florent76 dans Tendances saisonnières
Effectivement, l'approche purement physico-chimique des interactions qui ont lieu dans l'atmosphère est à 100 lieues d'un approche intuitive et/ou basée sur l'observation. Il semble en effet que Florent ne cherche pas à entrer sur le terrain des scientifiques purs. Il n'en a pas les moyens et se contente à son niveau (rien de péjoratif... /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> ) d'élaborer des modèles plus subjectifs et plus "mathématiques" que "physique". Il reste également très subjectif dans l'interprétation de ses propres résultats, Bien qu'il pose quelques règles objectives, il garde un tempérament très peu critique sur ses propres résultats --> 70 % de réussite pour un subjectif contre 43 % de réussite pour un sujet objectif. Personnellement je suis plus objectif que subjectif et tout mon acquis scientifique dit :"Ce gars il fait rien de très précis, il raconte beaucoup et nous emballe dans son histoire --> faut pas faire confiance". D'un autre côté je dois dire que cet approche, bien que scientifiquement pas très défendable a aussi un intérêt. Il met en exergue certains phénomènes intéressant qui peuvent aider les objectifs a améliorer la perception physique d'un hypothétique modèle de prévision à long terme. Je dis hypothétique puisqu'il n'existe pas vraiment de modèle saisonnier basé sur des équations physiques. Et je pense que ce ne serait pas possible avant longtemps voir jamais... Peut-on vraiment modéliser la complexité du climat ? Peut-on vraiment mettre en équation toutes les interactions des particules de l'atmosphère, seconde après seconde ? Non, parce qu'il faudrait connaître non seulement l'état initiale de toute les particules, ce qui n'est pas possible. C'est ce qui explique qu'il n'est pas possible de prévoir le temps avec ce système à plus de 10 jours. L'approche de Florent n'est pas scientifique, son approche n'est même pas défendable scientifiquement. Comparer des séries de chiffre paraît assez absurde quand on connaît les lois de la thermodynamique et les équations de l'air. Mais existe-t-il autre chose ? Florent pense que le soleil et la position des planètes influence de manière significative le climat --> recherche sur les cycles,... Le calcul de ces influences à l'aide d'équation démontre que l'influence semble si négligeable qu'il n'est à priori pas digne d'intérêt de s'y atteler. Pourtant autant le battement d'un papillon en Australie peut déclencher un orage en France quelques semaines après , autant ces phénomènes astronomique, de manière non perceptible et mesurable peuvent engendrer du chaos une tendance quantifiable d'un phénomène météorologique type. On n'a pas pu prouver qu'un papillon déclenchait un orage (du moins pas physiquement mais mathématiquement !) Et si un tel phénomène entrait en jeu dans la genèse de certains mouvements atmosphériques qui nous paraissent aléatoires ? A ce que je sache personne peut dire pourquoi nous avons un phénomène de blocage ou subitement un courant d'ouest marqué. Des périodes fraiches et pluvieuses et d'autres sèches et chaudes. Est-ce dû à des cycles ? Au pur hasard ? A des phénomènes interne (courants océaniques ou volcans par exemple...) ? Si je rejette scientifiquement son travail, je garde cependant l'approche d'observation et les tests d'élaboration d'un modèle basé sur les cycles et la reproductivité climatique comme approche subjective néamoins pas impossible ! J'aurais cependant ardemment souhaité qu'il puisse valider ses hypothèses sur une plus large échelle. Or, comme il le dit lui-même, la période que nous vivons et "comme par hasard" la plus belle période de test. Il ne semble pas exister dans le passé proche d'autres périodes sur lesquelles nous pourrions valider son "modèle" car pas assez de données historiques à disposition. Dommage ! Et un peu court pour quelqu'un qui voudrait faire un vrai travail scientifique. Malheureusement on doit se contenter de ce qu'on a là présentement... Alors -
/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Stupeur sur l'arc lémanique, lundi après-midi du 18 juillet... en particulier dans la région veveysanne où les vignobles ont été littéralement déchiqueté par des grelons absolument énorme pour la région. Du jamais vu depuis plus de 50 ans. De nombreux vignobles ont été endommagé à 100 % sur plusieurs km2. Les dégats sont très importants. Toit envolé, arbres déracinés, trains stoppé, caves inondées, voiture cabossée, pare-brise brisé... mais apparemment pas de victime... voici un lien intéressant http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=...y=1121703762000
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Afin de pouvoir comparer le -0.94°C Météor avec les -1.6°C ou -2.7°C de Florent, pourrais-tu donner sur quelle base de moyenne est calculé ta valeur ou tout simplement la température moyenne prévue pour cet hiver ?
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Très intéressant ton calcul meteor. - 0.94°C reste un écart de température plutôt modéré par rapport à la moyenne. Cependant il est prédit sur une moyenne de 3 mois. Rien n'empêche d'imaginer un terrible mois de décembre suivi d'un mois de janvier et de février proche des normes voir légérement au-dessus. Dans ce cas, l'hiver ne serait effectivement pas spécialement terrible mais on peut avoir un des mois particulièrement rigoureux tout de même. Pour ma part aussi, cette corrélation m'échappe... et je reste disons très prudent avec cette observation... comme avec toutes les autres observations d'ailleurs.
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Génial ces cartes du positionnement moyen des centres d'action de 1844. Il me vient 2 réflexions 1° Comment ont-il pu les établir. A l'époque il n'y avait pas un réseau de mesure de la pression aussi perfectionné qu'aujourd'hui... et probablement pas de station en mer. Peut-on faire confiance à ces cartes ? 2° Si oui, le travail de Florent va être considérablement augmenté. Car pour parfaire "son modèle", il faudrait intégrer ces cartes dans son analyse. Et pour ce faire je propose de donner à chaque carte une note de 1 à 8 ou 1 à 16 selon les diverses situations rencontrées. (blocage, flux zonal, retour d'est...) Il existe peut-être déjà quelque chose en ce sens. On pourrait ensuite étudié avec Excel les séries en ajoutant cette donne. Bien du plaisir...
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Il me semblait judicieux de dissocier le "terrible hiver 2005-2006" et l'étude sur les années similaires. BIen qu'il y ait en finalité un lien, je trouve que ce serait mieux ainsi. Je trouve que le topics sur le terrible hiver 2005-2006 dévie souvent,... on pourrait aussi mettre mon sujet dedans. Toutefois, l'étude sur les années similaires n'est pas l'étude sur l'hiver 2005-2006. Pour moi 2 sujets différents à traiter... Ok avec toi. Mais c'est le seul mois franchement différent. On pourrait aussi parler de décembre 2004 ou d'avril 2005 qui ne sont franchement pas folichon en terme de corrélation mais dont tu inclus dans la période 1842-1844. Pas d'accord avec toi. Il existe des exemples avec un cycle corrélé et dont les années divergent complètement. On ne peut donc pas dire cycle d'origine solaire identique -> année climatique identique. On ne peut pas dire non plus année climatique identique -> cycle d'origine solaire identique (preuve en est !) Tu va me dire que 2003 et 1842 sont corrélés pour les 2 : cylces solaires et régime climatique similaire et que c'est la particularité qui fait que ce cas est non seulement particulier mais absolument intéressant à étudier. J'admets donc ta remarque et je vais chercher d'autres exemples plus pertinent dans le cycle avec si possible 55 ans d'écart
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Il n'y a pas que 1842 et 2003 qui présente des températures moyennes mensuelles identiques à la station de Paris le Bourget. Le couple 1818 / 1930 est également remarquable puisque on peut considérer pour une année complète un suivi des températures moyennes mensuels vraiment intéressant (sauf juillet). Mais cela n'a pas duré... Si nous étions en 1931 et que Florent penché derrière Excel nous avait dégoté 1818 comme année de référence, il aurait probablement prédit ceci : L'hiver 1931-1932 sera rude. Il commencera déjà en novembre 1931 et mise à part décembre 1931 qui sera juste dans les normes, janvier, février et mars seront durablement froid et très probablement fortement neigeux. Mais la réalité sera tout autre. D'abord l'année 1931 se trouve pas vraiment corrélée avec 1819 comme s'attendait Florent. Certes les écarts entre sa prédiction et la réalité ne s'est pas montré très fortement prononcé au début de l'année. Il a donc insisté et réaffirmé que son modèle était correct. Mais alors qu'il annoncait une fin d'été et un début d'automne plutôt chaud, la réalité fut bien différente avec un juillet / août pas terrible et un mois de septembre quasi hviernal. Rien de grave disait Florent. Des bugs sur un mois, cela arrive. Pas de souci, l'hiver avec des tonnes de neige arrive... mon modèle n'a pas failli depuis 2 ans /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Mais ce fut la déception. Novembre bien trop doux, décembre bien vu mais janvier fut si doux qu'on se serait cru au printemps. Certes, février a été l'hiver. Mais mars avec quelques pluies tardives... rien de bien folichon... /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Voici une petite fiction rigolote basé sur des données quant à elle bien réelle. Ce n'est pas que je veuille semer le doute et descendre le travail de Florent. Bien au contraire. Je me suis seulement permis d'étudier quelques années et d'en tirer les conclusions qui semble d'imposer : Un suivi moyen des températures pendant 1 année compète sur un relevé de 250 ans se retrouve plusieurs fois. Certes pas légion mais tout de même quelques cas. Par contre inévitablement les 2 années se mettent à différer assez sérieusement au bout de 12, 18 voire 24 mois. L'approche d'un hiver rude n'est pas forcé parce qu'on suit une autre année avec hiver rude en vue depuis 1 année ou plus. Donc pas de souci pour ceux qui ont envie d'un hiver 2005-2006 plutôt triste et chaud avec juste une semaine de froid en février... c'est possible /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Question : ces cas d'années semblables sont ils le fait du simple hasard ou cela obéit-il tout de même à une loi atmosphérique ? Si oui, comment cela se met-il en place ? Pour ma part, l'impression que me laisse cette dernière analyse me laisse songeur. A mon sens, on est plutôt dans un délire statistique /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> qu'en face d'une réelle corrélation. Mais j'admets que le cas 1842-44 / 2003-05 m'intéresse encore et que j'attends le dénouement avec impatience.
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Je te suis complètement GD. Et le risque c'est de croire que l'on a trouvé quelque chose et qu'en fait on ne voit que la pointe de l'iceberg. En observant d'un peu plus prêt les 2 courbes de température 1842-44 / 2003-05 on découvre en effet que la série commence vers déc 1841 et s'arrête environ 1 année après (un peu plus s'y on met de côté le fameux mois de novembre). Cependant, bien qu'il n'y ait pas de bonne corrélation pour la suite, le visuel des courbes donne à penser que la tendance reste assez bonne. Cela reste cependant un peu maigre pour prouver quelque chose. En observant les années d'avant on voit une corrélation intéressante entre 1839 et 2000. Par contre 1840/2001 et 1841/2002 ne sont franchement pas corrélés. Mise à part cela, il ne me semble pas que nous ayons d'autres séries aussi bien corrélées. Je reste assez circonspect pour le moment... et je commence à douter de la justesse de tes intuitions Florent. Mais comme je ne peux pas faire mieux, je te laisse le bénéfice du doute...
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le problème Florent, c'est que si ta suite de 1842 casse et pour moi elle vacille actuellement, tu n'as pas la possibilité de prévoir la suite... tu te retrouves sans rien. Parce qu'il ne s'agit pas d'un modèle à proprement parler mais de l'utilisation d'une bizzarerie climatique assez exceptionnelle, à savoir des températures mensuelles qui se répète pendant plusieurs mois d'affilée à 150 ans d'intervalle. Toutefois, je reste attentif à la suite des événements. Ce qui m'intéresse de comprendre c'est quand cela va casser... pourquoi ça casse... mais surtout quel phénomène se passe-t-il pour avoir ce phénomène répétitif exceptionnel. Je ne crois pas au pur hasard. A mon avis les chances sont trop faibles pour cela...
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Evidemment j'ai sacréemnt du retard sur tes recherches Florent. Je ne tiens pas à recopier ce que tu as fait. D'abord parce que cela ne sert à rien... et d'autre part parce qu'il vaut mieux chercher là où personne n'a encore chercher pour espérer trouver quelque chose. Par contre, j'attends avec impatience la présentation de tes travaux. Une mine d'informations... Et Paris le Bourget 2003-2004-2005, les données tu les as ?