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SolAmigo

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Cirrus

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  1. Bonjour En comparant croisant des données météo, j'ai probablement fait une erreur, J'ai fais un tour sur la météo espagnole de Madrid (olé): météo espagnole ville de Madrid Et j'ai comparé avec un fichier généré par http://re.jrc.ec.europa.eu/pvgis/apps4/pvest.php?lang=fr&map=europe Par exemple, pour janvier, le relevé météo indique 148h de (plein) soleil. Sauf erreur de ma part, le standard en météo considère un (plein) soleil de 1000W/m2, une irradiation de 148h devrait donc représenter une énergie mensuelle de 148kWh/m2. en considérant janvier (31 jours), cela représente une énergie de 4774Wh/(m2.jours) Or, le relevé PVgis m'indique un flux solaire de 3600Wh/(m2.jours)... 33% d’écart ça me parait beaucoup... Quel serait votre avis sur la question? monthraddata40_25_00_N_03_42_13_W_0kW_0deg_0deg_0.00.pdf
  2. Bonsoir. Effectivement, je n'ai pas fait de recherches bibliographiques. (j'aurais du...) Quand on aborde le sujet de la vapeur d'eau, c'est ce que répondent notamment les professeurs aux élèves énergéticiens. Dommage, on manque un peu de culture technique. En me limitant à la France métropolitaine, je serais curieux de comparer les quantités de vapeur d'eau émises par les centrales nucléaires et les émission "naturelles". Pour ce qui est des centrales nucléaires, j'ai quasiment "toutes les billes" pour faire le calculs, juste le temps de retrouver 2 formules dans mes classeurs. Concernant l'évaporation d'eau naturelle, en France, cela serait de quel ordre?
  3. Bonjour. (en espérant que cela ne dévie pas dans la catégorie "polémique" *) C'est à priori un sujet où à priori peu d'études ont été réalisée, probablement complexe. Puisqu'il parait qu'entre la haute atmosphère et la basse atmosphère, la vapeur tanto contribuerait, tanto irais à l'encontre de l'effet de serre. Je sais que la vapeur d'eau n'est pas considérée, officiellement, comme étant un gaz à effet de serre, dans les méthodes de calcul d'émission polluante de gaz à effet de serre. *: Les principaux émetteurs de vapeur auquel je pense seraient les centrales nucléaires, mais on pourrait aussi se poser la question, par exemple sur les chaudières (en mettant un peu de coté les chaudières à condensation) Néanmoins, en mettant de coté les considérations politiques et idéologiques, je souhaiterais contraire l’opinion scientifique des personnes qui ici, je pense, seraient aptes à avoir à un avis technique éclairé. D'ailleurs, il serait peut-être intéressant de ne pas seulement regarder le bilan radiatif terre-soleil-espace, mais aussi de l'influence sur le rayonnement reçu au sol, même sans perturbation de l'équilibre de l'effet de serre.
  4. Bonjour/Bonsoir, Effectivement, j'ai un peu l'impression d'avoir "oublié" les quelques bases que j'avais. Je réalise l'énormité de mon erreur. En solaire, généralement, on utilise soit des méthodes empiriques sur des cartes, soit des méthodes plus précises avec des programmes bourrés de fichiers météorologiques. Effectivement, il est possible de modéliser "une journée sans nuage" ou "une journée nuageuse" d'un point X sur terre, ce qui pourrait m’être utile, mais j'ai été bien naïf de croire qu'il était possible de modéliser une "journée typique" d'une "année typique" par des méthodes de calculs relativement simples, pour réaliser des estimation de production, avec une précision qui serait comparables à l'utilisation de fichiers météo résultants de 30 ans de mesures sur le terrain. Je n'abandonne pas le projet* mais je vais revoir la méthode. Je regrette aussi qu'on nous en apprenne si peu sur la météorologie. C'est en cherchant à approfondir que je me rend compte de mon ignorance et de l'importance de l'astronomie et de la météo. Venant d'un spécialiste du photovoltaïque, on peut effectivement supposer qu'il connaisse les ratios rayonnement global / diffus, mais peut être pas forcément les justifications précises. Je crois que le nombre de jours sans nuage est une information qui est diffusée par (au moins) certaines stations météo, cela pourrait donner un indice supplémentaire de comparaison. Le spectre m’intéressait surtout si c'était un "bonus" facile à obtenir, mais en général on s'en passe très bien.
  5. Bonjour et merci pour ta réponse. hou! Effectivement, c'est vraiment faible la teneur en ozone dans l’atmosphère. (si faible et si vital) Je ne vais pas compliquer plus, ça l'est déjà assez pour moi. J'apprends beaucoup. Si je comprend bien, en utilisant tes formules, avec l'humidité relative au sol, on peut déjà avoir une approximation indicative de ce qui se passe. Oui, je crois que j'ai déjà vu la température du point de rosée sur certaines stations météo, mais je ne sais pas comment passer de l'un à l'autre. Un de mes souhaits serait d'avoir un moyen de comparaison entre certains sites solaires réputés (Font Romeu, Alméria ...) et d'autres endroits, soit sous des latitudes tempérées soit sous des latitudes tropicales. (une intuition personnelle étant que le solaire par concentration -utilisant le rayonnement solaire direct- devrait fonctionner en Guadeloupe, par exemple. Une personne plus calée que moi dans le métier (des énergies renouvelables) m'ayant affirmé que cela ne pouvait pas fonctionner sous ses latitudes à cause de l'humidité, pourtant quand ça tape là bas, c'est "pire" que l'Espagne... Donc j'aimerais bien vérifier ça avec des éléments techniques) Concernant Rayleigh, je ne comprends pas ce que représente le coefficient de 0.08, je croyais que épaississeur de Rayleigh dépendait de la hauteur du soleil dans le ciel, cela ne semble pas être le cas dans tes calculs. Pourrais-tu m'expliquer? Concernant les aérosols, si j'ai bien compris, tu calcules le facteur de trouble de Linke (ou quelque-chose d'équivalent?), en utilisant un coefficient de 0.05 qui correspond à des sites faiblement pollués comme des région rurales. Par contre, je ne comprends pas bien ce qu'est l’asymétrie, aurais-tu quelques explications à ce sujet? Concernant les cellules H4 à M9 que Williams a nommé "coefficients des polynômes qui permettent de calculer la transmission des gaz", classés en 8 lignes 2 colonnes, comme (sur Wikipédia) il y a 8 raies bandes d’absorption, je suppose que ce n'est pas une coïncidence. L'un des chiffres défini la largeur de la raies bande d’absorption et l'autre "l'intensité de l’absorption", c'est bien ça? Pourrais-tu me donner la correspondance entre les coefficients et les longueurs d'ondes concernées ? Avec un peu de soin et de travail, j’aurais des éléments de comparaison entre le rayonnement solaire et les réponses spectrales de différents types de capteurs solaires (thermiques, silicium cristallin ou amorphe), ça serait super.
  6. Bonjour. Merci pour ta réponse. Plus je commence à comprendre et plus je me dis que c'est compliqué. Concernant la teneur en Ozone, j'ai fouiné et j'ai trouvé ça: http://planeteviable.org/repartition-ozone-stratostphere/ la teneur en ozone dépendrait de la latitude, du mois de l'année (puisque le rayonnement solaire influe sur son taux de renouvellement/destruction, si j'ai bien compris). Et sûrement de l'année étant donné, qu'a une certaine époque, il parait qu'on l'aurais un peu trouée notre couche d'ozone et ensuite il semblerait que les choses se soient améliorée. Les données de ce site étant de 2003, pas sur qu'elle soient encore d'actualité Pour les calculs, vous êtes partis sur une hypothèse de composition de 0.25(quoi? ppm?) d'O3 dans l’atmosphère. Pourriez-vous m'expliquer ce choix? Concernant le taux humidité relative, nécessaire pour les calculs, je ne comprend pas pourquoi, mais il semblerait que cela soit une donnée difficile à trouver. J'ai fouiné sur internet, résultat (très) décevant. J'ai même ouvert une discussion sur le forum, mais l'humidité relative semble être peu diffusée par les stations météo Comment trouver des approximations de HR en fonction des lieux? entre le désert le plus sec et un climat tropical hyper humide, on varie entre quelles extrêmes? entre le jour ou le soleil a bien réchauffé l'air et la nuit fraîche, au cours d'une même journée comment varie l'humidité? (de plus, ça revient à dire l'humidité relative dépend de la température donc de l'insolation et l'insolation dépend de l'humidité... des équation complexes!) Peut être inutile pour vous qui semblez maîtriser le sujet, mais j'ai trouvé ça intéressant: http://culturesciences.chimie.ens.fr/content/chimie-atmospherique-labsorption-des-uv-par-lozone-1208 http://planet-terre.ens-lyon.fr/article/bilan-radiatif-terre2.xml Désolé, je ne connais rien ou presque à la météorologie, alors je me pose beaucoup de questions...
  7. Bonjour, Dans le cadre de la réalisation d'un fichier "Excel" (LibreOffice, pour être plus précis) dédié aux calculs solaires, je souhaiterais, si certaines personnes sont en mesure de me fournir ces infos: des moyennes mois par mois de l'hygrométrie du jour et de la température du jour (par jour, je veux dire la moyenne du lever au coucher de soleil) pour une ville typique de chaque type de climat. Si les moyennes mensuelles sur la durée du jour sont trop difficiles à trouver, je me contenterais des moyennes "classiques" Pour le climat tempéré océanique, j'ai choisit Brest et j'ai déjà trouvé les températures (sur le site de PVgis) Pour le climat méditerranéen, j'ai choisi Madrid et là encore, c'est ok pour les températures. N'étant pas du tout un "amateur météorologue averti", je ne sais pas quelles villes choisir comme ville typique des autres types de climats: Tropical humide, Tropical sec, Subtropical, Tempéré continental, Subarctique, Polaire. S'il est possible d'avoir un petit coup de main
  8. Bonjour, Je n'ai pas reçu de notification, je ne savais pas que la discussion avait repris. ça dépasse actuellement le niveau de mes compétences mais c'est (très) intéressant. Merci. Dans le fichier, il me semble qu'il y ai un mélange de notation américaine (ou la virgule est employée comme séparateur de "millier") et de notation française. ça représente quoi les "U"? (comme U vapeur d'eau, colonne AL à AQ)
  9. Bonjour, Pour faire simple: le calcul des DJU climaticien d'Infoclimat prend en compte la variation de l'hygrométrie et de l'ensoleillement du lieu ? Non. Ou si c'est seulement un delta de température par rapport à une base? Oui. Dans le détail: Par définition, les DJu, c'est des Degrés Jours unifiés. Par définition, c'est donc 1 degrés d'écart par jour, par rapport à une température (intérieure) que l'on souhaite maintenir. L'ensoleillement et l'hygrométrie ne rentrent pas en ligne de compte dans le calcul des DJu. Cela ne veut pas dire que l'on ne regarde rien d'autre quand on fait des calculs... Quand on fait des calculs de consommations de chauffage, on peut prendre en compte (à part) les apport solaires. La méthode la plus simple c'est d'utiliser les DJu "de base18" (ceux couramment utilisés), en supposant qu'en réalité on chauffera à 20C et que les 2 degrés supplémentaire seront fournis par le soleil. Un calcul plus précis est possible, mais c'est plus compliqué. Quand on fait de la clim avec les DJu, il faut prendre en compte la contribution de l’ensoleillement à part. L'été les apport solaire sont trop importants pour être négligés. La façon dont le bâtiment va s'échauffer au soleil dépend principalement de ce qu'on appelle le "facteur solaire" des parois et de leur orientation. L'inertie du bâtiment et l'utilisation ou non de la technique de sur-ventilation nocturne vont aussi influer sur l'échauffement du bâtiment. L'hygrométrie n'est prise en compte que si on installe une clim "active", puisque la vapeur d'eau va être transformée en eau et que cela entre pour une part non négligeable de la consommation d'une clim
  10. Bonjour, Faisant des recherches sur ce sujet, je découvre ce fil et je me permet d'y prendre part, un peu tard, mais j’espère néanmoins pouvoir échanger avec vous. Visiblement, je suis beaucoup moins calé que vous en math et en physique appliquée à ce domaine. Pour ma part, j'ai réalisé un fichier Excel/LibreOffice permettant de tracer des diagrammes solaires (représentant le mouvement apparent du soleil). Maintenant, comme vous, je voudrait y ajouter le calcul de l'ensoleillement direct et diffus. Quelques liens à partager avec vous: http://herve.silve.pagesperso-orange.fr/solaire Explication très claires sur certaines formules que vous utilisez. http://re.jrc.ec.europa.eu/pvgis/ Ce site fournis des calculs de l'ensoleillement diffus, direct, énergie reçue, angle optimal (...) pour l'europe, l'affrique et l'Asie. le site PVgis, ne fonctionne pas pour ce qui est des DOM et de l’Amérique, ce qui donne un intérêt de disposer d'un outil d'estimation du rayonnement solaire. j'apprécierais de voir le résultat de votre travail, et je suis évidement près à partager, moi aussi, le peu que j'ai fait sur le sujet.
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