Pour ne pas battre 2023 il faudrait que çà baisse sérieux à partir de septembre.
Quand on voit que la Niña a un mal fou à démarrer, c'est mal barré.
D'autant que les quelques forçages positifs tels que la vapeur d'eau dans la stratosphère et la baisse des aérosols sur les océans mettront dans le premier cas quelques années à se résorber complètement, dans le deuxième cas sont permanents.
D'autre part, si on suit Realclimate, les raisons, autres que ces petits forçages, de cette bouffée de chaleur de 2023, se prolongeant et même s'amplifiant en 2024, restent encore mystérieuses.