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Merci pour cette info, je vais aller voir ça. Cordialement. Pierre.
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Bonjour à toutes et à tous, Je souhaite acheter la station météo Infactory (réf PX1117 - 909 chez Pearl). J'ai réussi à me procurer une documentation, mais si elle est correcte vis à vis de la partie interne et du logiciel, la partie externe(capteurs) ne ressemble en rien à la référence donnée. Si quelqu'un possède cette station, peut-il me dire : où trouver une documentation cohérente, quel est le diamètre interne des tiges filetées en "U" servant à la fixation à un mât, si on peut trouver quelque part le protocole d’échange avec un PC. Cordialement. Pierre.
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Je rappelle que toute la plaine environnante est plate et à 2 ou 3 mètres seulement au-dessus de la Seine. Dès lors, je ne comprends pas comment peut "couler" l'air froid et qui vient d'où ?"L'air se réchauffe". J'avais cru comprendre que l'air (pur) était transparent au rayonnement solaire à tout le moins dans le spectre visible et proche infrarouge et que par contre, la vapeur d'eau absorbait de l'énergie (au sein de la brume, la vapeur est saturante). En conséquence, ne serait-ce pas plutôt la nappe de brume qui réchauffe l'air qui y est compris (par conduction). Cette masse s'élevant alors elle doit être remplacée par de l'air froid. A mon sens, l'air froid ne peut pas venir de la plaine (convection horizontale) car la brume s'échauffant est une barrière. De plus, la plaine est limitée par la forêt de Saint-Germain où l'air est plus chaud car les branchages limitent le rayonnement du ciel. Par contre, l'air froid qui est au-dessus de la plaine et du fleuve peut descendre là où il n'y a pas encore d'échauffement : au-dessus du fleuve. Rencontrant le fort taux d'humidité du fleuve , la brume se forme alors sur le fleuve. Ce raisonnement vous parait-il correct ? Cordialement. Pierre
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Merci pour ces informations. Pour autant, pourquoi les conditions deviennent favorables au-dessus du fleuve, qu'est ce qui a changé qui fasse que la brume s'y installe ? l'ai chaud montant aux alentours créerait une descente d'air froid au-dessus du fleuve (encore cette fichue convection ) ?Cordialement. Pierre
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Bonjour à toutes et à tous, Sortant des mes digressions sur les matelas pneumatiques, une question de météo. J'habite sur des coteaux au bord de la Seine (HERBLAY). J'ai remarqué plusieurs fois le phénomène suivant : - Le ciel est dégagé et de l'autre côté de la Seine, il y a une plaine au même niveau que la Seine (plus quelques mètres). Avant que le soleil ne se lève, une nappe de brouillard s'étend sur cette plaine (inférieure à 10 m de hauteur) ; rien au-dessus de la Seine. Quand le soleil se lève, rapidement, une nappe de brouillard vient se former juste au-dessus de la Seine (15 à 20 m de hauteur) alors que sur la plaine, elle diminue. Aujourd'hui, il y a de la neige, mais j'ai remarqué ce phénomène plusieurs fois hors neige. Un dessin : Une photo (elle est sombre, mais tout est extrêmement lumineux) : Comment expliquez-vous ce phénomène ?. Merci de vos renseignements. Cordialement. Pierre
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Stabilité de l'air à petite échelle
ChP a répondu à un sujet de ChP dans Questions - réponses sur la météo
Si je résume (un peu brutalement), en l'absence de mouvements extérieurs tendant à déformer le matelas, pas de convection verticale et installation d'une stabilité.Par ailleurs, je suis tout à fait conscient que les simples mouvements de respiration du dormeur engendrent des petits mouvements du matelas, mais pas au point, il me semble, de détruire la stabilité verticale. Merci à tous de l'apport d'idées à ce sujet et, si vous en avez d'autres, je suis preneur /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Cordialement. Pierre -
Stabilité de l'air à petite échelle
ChP a répondu à un sujet de ChP dans Questions - réponses sur la météo
La situation est on ne peut plus réelle. Je vais essayer de mieux définir le problème.Une personne est allongée sur sur un matelas pneumatique de 5 cm d'épaisseur. On va supposer que la surface de contact personne/matelas = matelas/sol = 1 m². Pour être réaliste, la personne est dans un sac de couchage tel que la température au niveau du matelas est constante et égale à 15 °C. Quelque soit la résistance thermique effective du matelas, le métabolisme génère une puissance qui conserve la température de 15 °C (dans les limites du raisonnable). On néglige les effets de bords. La température au-dessous du sac est de 0 °C et reste à cette valeur. En résumé, le modèle est le suivant : un parallélépipède, fermé et rempli d'air, de 2 m de longueur, de 0,5 m de large et de 5cm d'épaisseur a sa surface supérieure maintenue à 15 °C et sa surface inférieure maintenue à 0 °C. On néglige le rayonnement qui, qu'il y ait convection ou pas, dans ces conditions est le même. S'il n'y a pas de convection, la résistance thermique de mon parallélépipède est celle de l'air. S'il y a de la convection, ce qui est plus que probable contenue de la valeur du nombre de Rayleigh estimée à 140000 par "ribi", est-ce que la résistance thermique effective va être faiblement/fortement dégradée ? Mais ce qui me gêne, est que, même si les conditions sont réunies (Ra = poussée d'Archimède / dissipation = 140000), pour qu'il y ait convection, il faut qu'il y ait au départ une poussée d'Archimède . Or l'air froid du bas étant plus lourd que l'air chaud du haut, ça ne va pas dans le bon sens. Bon, mais bien que toutes vos contributions m'intéressent énormément, là, je sens que ça va me dépasser. Cordialement. Pierre -
Stabilité de l'air à petite échelle
ChP a répondu à un sujet de ChP dans Questions - réponses sur la météo
Oui, je parle bien du matelas et non du sac de couchage. C'est là ma question : 1 - y a-t-il convection (air froid plus lourd que l'air chaud), 2- s'il y a convection, a-t-on un moyen (mathématique, physique, ...) d'évaluer cela ? NOTA : Je suis vraiment hors sujet, désolé. Cordialement. Pierre -
Stabilité de l'air à petite échelle
ChP a répondu à un sujet de ChP dans Questions - réponses sur la météo
Oui, je le précise, mais cela me paraissait évident dans la mesure où j'ai dit que sur le matelas, il y avait une personne, donc source de chauffage équivalente à une soixantaine de watts (personne qui dort ). Non, c'est un environnement classique où une personne est dans un sac de couchage adapté avec un collant et une petite polaire. Le but de mon questionnement est de savoir si, soit comme tu le dis ci-dessus, on a un gradient constant et dans ce cas, il n'y a pas de convection (car l'air froid est plus lourd que l'air chaud) et l'isolation thermique se résume à celle de l'air immobile ou bien alors, est-ce qu'il va se créer une convection forcée (je ne parle pas des mouvements résiduels du dormeur) que je n'arrive pas à comprendre et qui de fait va diminuer la résistance thermique apparente de l'air. Voilà, voilà .Cordialement. Pierre -
Stabilité de l'air à petite échelle
ChP a répondu à un sujet de ChP dans Questions - réponses sur la météo
Oui, la matière du matelas et sa fine épaisseur sont telles qu'on peut considérer qu'il n'existe pas d'un point de vue thermique.Plus précisément, 'hydrostatique" ça veut dire quoi en terme de température ? Dans mon modèle, les température sur les deux faces du matelas sont toujours différentes. Quand le matelas est entre la personne et le sol, le sol est toujours à 0 °C (réservoir infini) et le dessus est toujours à 15 °C car la personne est un générateur de chaleur.Donc, que veut dire équilibre dans ce cas ? C'est tout à fait vrai. Cependant, la convection (qui doit être de l'ordre de quelques cm/s (c'est pas une tornade dans le matelas quand même ! ) va simplement diminuer la résistance thermique de l'air. Les résistances thermiques des matériaux environnant restent quand même plus faibles (rapport terre/air immobile = 30).Cordialement. Pierre -
Stabilité de l'air à petite échelle
ChP a répondu à un sujet de ChP dans Questions - réponses sur la météo
J'ai du mal à concevoir que dans des matériaux 10, voire 100 fois plus conducteurs que l'air, il puisse y avoir des gradients de température supérieurs à ceux existants dans l'air. Mon matelas ne fait que 5 cm d'épaisseur et non 15, mais c'est du pareil au même pour le présent sujet /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Par contre, qu'entends-tu par effet thermodynamique si ce n'est que le travail produit par les échanges thermiques qui sont dus ici, par le fait que deux faces ne sont pas à la même température et qu'il va se créer des mouvements de convection.Cordialement. Pierre -
Stabilité de l'air à petite échelle
ChP a répondu à un sujet de ChP dans Questions - réponses sur la météo
je t'en remercie. Tu sembles confirmer ce que j'ai dit, mais tu ajoutes un élément qui est l'homogénéisation à une température intermédiaire. Cela voudrait dire qu'auprès de chaque surface, il y aurait un très fort gradient de température dans l'air du matelas alors qu'il n'y en aurait pratiquement pas au centre. Cela ne me semble pas aller dans le sens de la stabilité.Merci pour ces idées. EDIT: orthographe. Pierre -
Stabilité de l'air à petite échelle
ChP a répondu à un sujet de ChP dans Questions - réponses sur la météo
Pour qu'une bulle d'air se déplace, il faut qu'elle soit soumise à une force. Les seules forces que je vois pouvoir perdurer dans cet environnement sont les forces de gravité, c'est-à-dire celles liées à une différence de densité et dont la direction est la verticale.J'avoue ne pas comprendre ton raisonnement. Dans le cas ou le matelas est sous la personne, si je m'en réfère à ceci : Stabilité de l'air , en remplaçant la pression (puisqu'elle est constante ici) par la cote verticale dans le diagramme, la courbe d'état, au lieu de se diriger faiblement vers le haut-gauche, va fortement vers le haut-droit. Dans ces conditions, on est bien dans le cadre de la stabilité absolue ? Oui, non ? Merci pour vos avis. Cordialement. Pierre -
Bonjour à toutes et à tous, Je ne pense pas que ma question a un rapport direct avec la météo, encore que. Soit un matelas pneumatique posé sur un sol froid et une personne dormant sur ce matelas. On va dire que la température de la surface au sol est de 0 °C et que celle en contact avec la personne est à 15 °C. Mettons l'épaisseur du matelas à 5 cm. Sur cette différence "d'altitude", je ne pense pas qu'il y ait une grosse variation de pression. Par contre, entre le haut et le bas, il y a un gradient de température de 15 °C. Dans ces conditions, que va faire une bulle d'air qui décollerait du bas du sac ? A mon avis, si sa température varie selon une adiabatique ou pseudo adiabatique, elle ne va pas pouvoir monter car elle va se refroidir et comme l'air ambiant va en s'échauffant du bas au haut du sac, la densité de la bulle restera toujours supérieure à celle qu'elle va rencontrer. Donc, pour moi, cette situation est une situation de stabilité. Maintenant, prenons une situation inverse. Supposons qu'on veuille se protéger du froid en mettant sur soi ce matelas. Dans ces conditions, la face chaude du sac va se trouver maintenant en bas et la face froide en haut. Une bulle d'air décollant du bas en suivant une courbe ... va rencontrer de l'air dont la densité est de plus en plus élevée et donc cette bulle va être propulsée vers le haut. Cette situation est alors celle d'une instabilité absolue. Ai-je raison ou bien est-ce que je raconte des bêtises ? Cordialement. Pierre
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Effet du vent sur la masse d'un Homme
ChP a répondu à un sujet de Thomas_35 dans Questions - réponses sur la météo
Hormis les équations de la dynamique, il ne faut pas oublier les équations de la statique. Pour que la personne reste en équilibre, la résultante des forces doit passer par le polygone de sustentation comme le montre le dessin ci-dessous. On considère aussi qu'elle ne glisse pas sur le sol : On voit sur le dessin que la force du vent doit être comprise entre Fmin et Fmax pour que la résultante passe par le polygone de sustentation : si la force est inférieure à Fmin, la personne va tomber vers l'avant, si la force est supérieure à Fmax, elle va basculer en arrière. Dans le cas où la personne est faiblement penchée vers le vent (dessin de gauche), il suffit de peu de vent pour la déséquilibrer. Si elle se penche plus (dessin de droite), il faut une force de vent supérieure. Si le vent varie, faut gérer .Cordialement. Pierre -
Merci "sebb" pour ces précisions. Cordialement. Pierre
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Bonjour à toutes et à tous, Aujourd'hui, le 25/05/2010, en Ile de France, Météo France nous annonce des orages de grêle. Compte-tenu qu'il faut chaud, est-ce dû au fait que ces orages vont prendre naissance à très haute altitude ? Merci pour vos informations. Pierre
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Sur ma station météo, (que je ne citerai pas car elle m'indique actuellement un grand beau soleil alors qu'il neige), il y a des tels symboles. Je suis bien conscient que cette indication est on ne peut plus approximative. Cela dit, d'une manière générale on associe plutôt un ciel couvert à une dépression et un ciel plutôt dégagé à un anticyclone. C'est tout ce que je cherche, une espèce de table de généralités.Cordialement. Pierre
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Bonjour à toutes et à tous, Je suis en train de réaliser un logiciel de météo basé sur sur les seuls relevés de ma station (je suis en Ile de France). J'aimerais pouvoir associer à mes relevés de petits symboles graphiques indiquant d'une manière générale la tendance. Je pense que les deux paramètres principaux sont les variations de la pression et la température. Le gradient de pression et la direction du vent peuvent peut-être servir à affiner. Savez-vous, connaissez-vous des tables reliant ces différents paramètres comme par exemple dans le tableau suivant (de mon cru ... ) Merci pour votre aide. Pierre
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La photo N° 3 montre que c'est un appareil embarquable par son plan et ses molettes de fixations ... A mon sens, il devait servir d'altimètre à bord de l'avion de Mermoz. Cordialement. Pierre
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Merci Cers pour ces compléments d'informations. Cordialement. Pierre
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Peut-être aurez-vous des renseignements plus ciblés sur des sites ou forum de météo portugaise. En tapant dans un moteur de recherche "site météo portugais" ou "forum météo portugais", on obtient plein de liens (je ne suis pas allé les consulter).Cordialement. Pierre
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Merci Cers pour toutes ces précisions. Je pense que je n'ai pas vraiment compris ce que vous avez voulu dire par rapport à ma question. Ne vous offusquez pas des remarques/questions que je reformule. Est-ce que vous ne voulez pas simplement dire de le foehn est un vent puissant et laminaire ?A partir de ce qui suit, vous ajouter des conditions/explications qui complexifient (peut-être nécessaires) la compréhension du phénomène. Je ne vois pas en quoi cela va influer sur la répartion des masses d'air en aval. Cela suppose même que ce soit un air sec (10 °K/km), non ? "transporte" je suppose ? Est-ce que cette surpression limite la détente adiabatique, auquel cas l'air se refroidirait moins que prévu ? J'ai sûrement compris de travers ce passage, j'en ai compris qu'en aval, ben ... ça se mélange ... ou pas !S'il y a des réponses simples, n'hésitez pas, sinon, j'essaierai de m'informer un peu mieux avant de reposer des questions. Cordialement. Pierre
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Cers, Vous dites qu'en aval une (des) particule(s) d'air descendent en mode adiabatique et donc au fur et à mesure de leur descente deviennent plus chaud que l'air ambiant. C'est choquant car l'air chaud est plus léger que l'air froid. Donc pour moi, si cela se passe réellement, c'est qu'une force dynamique les y poussent, c'est-à-dire le vent. Est-ce cela ? Au final, l'air est plus chaud. Est-ce parce qu'il a balayé l'air froid qui y résidait et alors qu'est devenu cet air froid (refroidissement des alentours ?) ou bien est-ce que finalement il y a eu échange thermique entre les particules et l'air ambiant ... ou un mixte ? Merci pour vos précisions. Pierre
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Voir ma réponse au message N° 28 ICI Cordialement. Pierre