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Tunisie : météorologie et climatologie


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http://www.webmanagercenter.com/actualite/economie/2010/08/31/94482/tunisie-secheresse-l-enjeu-d-acheminer-les-eaux-du-nord-vers-le-sud

le sud du pays sera le plus affecté par le réchauffement du climat. Dans cette région, les températures annuelles seront en hausse, les précipitations diminueront et les années de sécheresse seront plus fréquentes.

Pour le centre et le nord du pays, la situation serait moins grave. Les symptômes seront certes les mêmes (baisse des précipitations, plus de sécheresse et élévation de températures), mais seront supportables, du moins jusqu’à la saison des pluies.

Tunisie : Sécheresse, l’enjeu d’acheminer les eaux du nord vers le sud

Par Abou SARRA

Après les oléiculteurs et éleveurs de Tataouine, c’est au tour des agriculteurs kairouanais de clamer haut et fort leurs préoccupations des menaces que fait peser, sérieusement, la sécheresse sur leur cheptel, cultures maraichères et arboriculture fruitière.

Dans ce gouvernorat retenu parmi les régions les plus affectées par la sécheresse, l’eau destinée à l’irrigation se fait rare. Pourtant, cette région, contrairement à d’autres, est dotée d’importantes nappes phréatiques et de grands barrages : Nebhana, Houareb et Sidi Saad.

D’une capacité totale de 330 millions de mètres cubes, ces ouvrages hydrauliques n’en retiennent, actuellement, que 44 millions dont seuls 8 millions de mètres cubes d’eau peuvent être exploités dans l’irrigation.

Le pompage des eaux des barrages à des fins d’irrigation est parfois suspendu. Et même quand ce pompage est autorisé, l’eau tirée n’est pas conseillée. Elle présente un fort taux de salinité. Celui de l’eau du barrage Sidi Saad est estimé à 4 grammes par litre.

Même la nappe phréatique n’est plus accessible avec les forages actuels de 30 mètres de profondeur. Il faudrait désormais forer à une profondeur de plus de 70 mètres pour puiser l’eau. Conséquence : les forages deviennent automatiquement plus coûteux au moment même où l’agriculture, par l’effet de la sécheresse, devient peu rémunératrice. C’est pour dire qu’à défaut de disponibilité de ressources en eau en quantités suffisantes, toute intention d’investissement est compromise.

Cette situation n’est pas une surprise

Il faut dire que cette situation est loin d’être une surprise. Depuis 2006, des études menées par des climatologues de l’Association tunisienne des sciences de la mer (ATSM) et de celle des changements climatiques et du développement durable (2C2D) ont lancé des cris d’alarme.

Ces études rejoignent le rapport du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), pour avancer que l’impact du changement climatique sur la Tunisie sera particulièrement cauchemardesque.

Ce réchauffement se traduira par l’émergence de phénomènes climatiques extrêmes : plus de canicules, plus de crues et plus de vents. Pis, ces phénomènes peuvent se manifester concomitamment.

Par région, le sud du pays sera le plus affecté par le réchauffement du climat. Dans cette région, les températures annuelles seront en hausse, les précipitations diminueront et les années de sécheresse seront plus fréquentes.

Pour le centre et le nord du pays, la situation serait moins grave. Les symptômes seront certes les mêmes (baisse des précipitations, plus de sécheresse et élévation de températures), mais seront supportables, du moins jusqu’à la saison des pluies.

Par secteur, c’est l’agriculture qui pâtira le plus des modifications du climat. De sérieuses conséquences sur les ressources en eau, les écosystèmes, les agro-systèmes (production oléicole, arboriculture, élevage, grandes cultures) ne sont pas à écarter.

La pression sur les ressources en eau sera majeure. Les nappes phréatiques, littorales, aquifères non renouvelables, diminueront de 28% en 2030, les eaux de surface baisseront de 5% au même horizon, la diminution des précipitations estivales augmentera le manque hydrique du sol.

Concernant les écosystèmes, le risque de grands incendies va s’accroître au nord. Une dégradation du sol et des ressources naturelles est également prévisible.

Les agro-systèmes (cultures irriguées, élevage et cultures oasiennes) souffriront à leur tour de ce changement de climat.

La production oléicole et l’arboriculture en sec accuseront, en période de sécheresse, une baisse de 50%, l’équivalent de 800.000 ha pour l’arboriculture non irriguée. En période de pluviométrie favorable, ces deux activités augmenteront de 20%.

L’élevage s’en ressentirait également. Le cheptel (bovins, ovins et caprins) baissera jusqu’à 80% au centre et au sud et de 20% au nord. Durant les années de pluviométrie favorable, l’élevage bénéficiera d’une hausse de rendement à concurrence de 10%.

Au chapitre de la céréaliculture, les superficies céréalières du centre et du sud connaîtront, durant des années de sécheresse successives, une baisse de 200.000 hectares.

En cas d’inondations, des baisses de la production céréalière, en irrigué risquent d’occasionner 13% de pertes aux proches horizons de 2016 et 2030. Durant les années à pluviométrie favorable, les cultures pluviales (céréales) bénéficieront d’une augmentation de rendement pouvant dépasser les 20%.

La solution : acheminer les eaux du nord

Pour faire face à une telle menace, les experts sont unanimes. Ils suggèrent les grands moyens, voire de mégaprojets hydrauliques devant acheminer les eaux du nord vers le centre et le sud du pays.

Il s’agit tout simplement de prolonger le canal Medjerda en direction du sud du pays d’autant plus que le plus net des eaux de cet oued est déversé dans la mer. Les excédents des barrages du nord sont estimés à plus de 500 millions de mètres cubes.

Autre solution proposée par les experts, l’accélération du processus du raccordement des barrages et des nappes phréatiques du pays dans le sens nord–sud.

Le mot d’ordre est désormais à la mobilisation générale pour retenir toute goutte d’eau qui tombe et pour en faire le meilleur usage possible.

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Bonjour   Situation inédite sur la Tunisie et en particulier le Cap bon   Apres avoir ete victime de graves innondations il ya trois semaines auparevent, la peninsule Capbonaise a

Images postées

http://www.toutelatunisie.com/doc.php?docid=411

même si les années très sèches (déficit pluviométrique supérieur à 50 %) sont rares au nord et plus fréquentes au centre et au sud.

Changement climatique en Tunisie

Les changements climatiques sont planétaires et la Tunisie ne fait pas exception. Selon les experts, si la Tunisie a bénéficié d’un climat régulier jusqu’en 1975, elle risque fortement de subir les impacts du réchauffement de la planète, et pourrait connaître, dans les deux prochaines décennies (2020-2030), un temps plus chaud et plus variable. Une augmentation de la température variant entre 1 et 4 degrés est attendue d’ici la fin du siècle, plus importante dans les régions intérieures du pays, par rapport aux zones côtières.

Situation générale

Pendant les cinquante dernières années, le climat tunisien s’est caractérisé par des épisodes de sécheresse, des inondations, une variabilité pluviométrique et la survenue de phénomènes extrêmes d’ordre hydrométéorologique.

Entre 1950 et 1975, le climat s’est réjouit d’un léger refroidissement, mais la période 1976-2004 est plutôt marquée par une forte variabilité des températures. De 1975 à 2000, les températures enregistrées sont évaluées à trois fois celles des extrêmes observés durant la période 1950-1975, ce qui explique les sécheresses récurrentes et les inondations fréquentes, même si les années très sèches (déficit pluviométrique supérieur à 50 %) sont rares au nord et plus fréquentes au centre et au sud.

Cette sécheresse a des impacts négatifs sur le pays, à savoir :

• la mauvaise qualité et la réduction du volume d’eau des barrages, des lacs, des forages artésiens…

• l’augmentation de la température dans un climat à caractère semi-aride ;

• la répercussion néfaste sur les campagnes agricoles (baisse de la valeur ajoutée).

La Tunisie subit donc l’augmentation de la température, quoique le taux de gaz à effet de serre (GES) quelle émet reste très bas.

On prévoit, à l’horizon 2100, une augmentation du niveau de la mer de 50 cm. Une situation qui engendrera une érosion marine de diverses régions littorales relativement basses avec des répercussions environnementales négatives, notamment sur les ressources naturelles côtières (hydrauliques, biodiversité marine…).

Des sebkhas situées dans le golfe de Hammamet et au Cap-Bon, par exemple, seront touchées, ainsi que les rivages des lacs Ichkeul et Ghar El Melh et des îles de Kerkennah, Djerba et Kneïs.

Principales réalisations

C’est dans un tel contexte que la Tunisie s’est engagé dans une politique globale de lutte contre le changement climatique.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la Convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique (CCNUCC) qu’elle a ratifiée en 1993, la Tunisie prépare régulièrement des communications nationales qui résument ses efforts pour contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, tant au niveau national qu’international.

Elles comprennent notamment un inventaire des gaz à effet de serre (GES), une évaluation de sa vulnérabilité et une analyse des actions d’atténuation et d’adaptation aux effets du changement climatique menées. La Tunisie a en effet instauré des mesures institutionnelles, réglementaires et financières visant la protection de l’environnement pour accompagner ses programmes de développement, et qui indirectement contribuent à l’atténuation des émissions de GES.

A titre d’exemple, la Tunisie a mis en place un système d’alerte climatique précoce, développé des systèmes météorologiques qui diffusent les informations climatologiques à tous les secteurs.

Une foultitude de projets sont menés sur l’atténuation, l’adaptation au changement climatique, la sensibilisation, le renforcement des capacités et la recherche, avec l’appui de partenaires scientifiques et techniques internationaux.

Perspectives

La Tunisie pourrait être menacée dans les décennies prochaines par une augmentation de 0,8 °C de la température au nord et au nord-ouest du pays, de 1,3 °C au sud-ouest et à l’extrême-sud et de 1 °C au nord-ouest et au sud-est. C’est pourquoi elle fait de la question du changement climatique l’une des préoccupations nationales et cherche à identifier les moyens pour bénéficier des opportunités offertes par les mécanismes internationaux, pour assurer un suivi rigoureux du changement climatique à long terme. En ce sens, elle privilégie les recherches en biotechnologie végétale.

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Salam Nuri

merci beaucoups pour les articles

Oui j'ai entendu parler de ce projet que je trouve irréalisable, parce que niveau du chott El jerid se trouve plus élevé que celui la mer ( 20m je crois )

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Salam Nuri

merci beaucoups pour les articles

Oui j'ai entendu parler de ce projet que je trouve irréalisable, parce que niveau du chott El jerid se trouve plus élevé que celui la mer ( 20m je crois )

Je crois qu'il ya possibilité de creuser un canal comme le canal de Panama et le canal de SuezVoici une carte montrant l'évolution du climat en l'horizon 2050 (ça sera plus chaud et plus sec mais déja en cette année 2012 il ya +3 d'anomalie thermique positive et un déficit pluviometrique important au centre et au sud du pays)

climate-change-scenarios-for-desert-areas-by-2050_749b.jpg

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Voici une carte montrant l'évolution du climat en l'horizon 2050 (ça sera plus chaud et plus sec mais déja en cette année 2012 il ya +3 d'anomalie thermique positive et un déficit pluviometrique important au centre et au sud du pays)

climate-change-scenarios-for-desert-areas-by-2050_749b.jpg

il pleuvra d'avantage sur la péninsule arabique ???
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Oui selon l'étude , il pleuvra d'avantage sur la péninsule Arabique, surtout au niveau du désert "rub3 al khali"* désert grand comme l'Ukraina avec pres de +500 mm de surplus pluviometrique

Pour le canal, la distance entre le golfe de Gabes et chatt el ghrasa est pres de 150 km,ce qui est plus du double du canal de Panama qui a couté la somme astronomique (selon le web) de pres de 600 mln $ a l'époque

Le canal de suez est pres de 200 km de longueur et a couté (tjs selon le web) pres 400 mln $ a l'époque

*

Empty_quarter_Arabia.PNG

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pour les 3 prochains jours nous seront en bordure EST de l'anticyclone qui véhiculera un peu d'air frais sur sa face EST et pourrait l'isoler en goutte froide au centre de la méditerrannée

donc au menu, un peu de vent, une légère baisse de Tx°, quelques pluies faibles attendues sur le littoral nord et peut être le cap bon

avnpanel1.gif

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Oui selon l'étude , il pleuvra d'avantage sur la péninsule Arabique, surtout au niveau du désert "rub3 al khali"* désert grand comme l'Ukraina avec pres de +500 mm de surplus pluviometrique

Pour le canal, la distance entre le golfe de Gabes et chatt el ghrasa est pres de 150 km,ce qui est plus du double du canal de Panama qui a couté la somme astronomique (selon le web) de pres de 600 mln $ a l'époque

Le canal de suez est pres de 200 km de longueur et a couté (tjs selon le web) pres 400 mln $ a l'époque

*

Empty_quarter_Arabia.PNG

Nuri

je me demande comment faire remplir le bassin du chott El Jerid qui se trouve à 20 m d'altitude

même si il est rempli une fois d'une façon ou d'une autre , l'eau pourrait s'évaporer trés vite,

il faut un canal naturel entre la mer et le chott, l'écoulement naturel de l'eau de la mer vers le chott ne peut se faire parceque le chott est plus élévé

Quand à la péninsule arabique à priori le desert se transformera en forêt laugh.png (avec ces 500 mm prévues)

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Salam Kikou, tu connais surement mieux que moi car je n'y connais rien de ce domaine de génie civile, ma question est:

en creusant un canal de la mer a chott algharsa (qui ne passe pas par chat-el-jerid et je suppose qu'il ya un passage entre les 2 pts qui soit a 0-10 metres de nivelation) est ce que c'est possible que chatt-al-gharsa devient une mer intérieure?

mais comme tu dis bien ça parait assez impossible et couteux et peu rentable et utile pour se réaliser et je ne crois pas qu'une mer intérieure si peu profonde pourrait faire augmenter les précipitations

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il ya des régions montagneuses a la végétation luxuriante en Arabie, je me base sur les photos du net mais je ne suis jamais allé la bas (a part l'UAE) et souhaite visiter le Yemen et biensur Mecca-Medina un jour

Voila quelques photos

Abha en Arabie Saoudite

asir2.jpg

Ibb au Yemen

2100025871_2baba7e514.jpg?w=450

Salala a Oman

Rossetti_Salalah-Oman_Oct10_-012.jpg

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Je voudrais aussi ajouter que et l'Arabie et l'Afrique du nord ont été verdoyants a des époques préhistoriques en alternance avec des périodes de sécheresse

http://en.wikipedia.org/wiki/Sahara_pump_theory

During periods of a wet or "Green Sahara", the Sahara and Arabia become a savanna grassland and African flora and fauna become common. Following inter-pluvial arid periods, the Sahara area then reverts to desert conditions, usually as a result of the retreat of the West African Monsoon southwards. Evaporation exceeds precipitation, the level of water in lakes like Lake Chad falls, and rivers become dry wadis. Flora and fauna previously widespread as a result retreat northwards to the Atlas Mountains, southwards into West Africa, or eastwards into the Nile Valley and thence either south-east to the Ethiopian Highlands and Kenya or north-east across the Sinai into Asia. This separates populations of some of the species in areas with different climates, forcing them to adapt, possibly giving rise to allopatric speciation.

http://en.wikipedia.org/wiki/North_African_climate_cycles#African_Humid_Period

African Humid Period

Main article: Neolithic Subpluvial

[edit]

Climatology

The African Humid Period occurred between 14,800 and 5,500 years ago, and was the last occurrence of a “green Sahara”. Conditions in the Sahara during the African Humid Period were dominated by a strong North African Monsoon, resulting in larger annual rainfall totals compared to today’s conditions.[15] With the increased rainfall, the vegetation patterns North Africa were nothing like what we see today. The majority of the Sahara region for instance was characterized by expansive grasslands, also known steppe. Meanwhile, the Sahel region south of the Sahara was mostly savanna.[16] Today the Sahara region is mostly desert and the Sahel is characterized by steppe conditions. The African Humid Period was also characterized by a network of vast waterways in the Sahara, consisting of large lakes, rivers, and deltas. The four largest lakes were Lake Megachad, Lake Megafezzan, Ahnet-Mouydir Megalake, and Chotts Megalake. Large rivers in the region included the Senegal River, Nile River, Sahabi River, and Kufra River. These river and lake systems provided corridors that allowed many animal species, including humans, to expand their range across the Sahara.[17]

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Salut a tous!

Joli aperçu de la météo en 2012 en Afrique du nord et Asie sud-occidentale dans le link ci dessous

http://www.arabiawea...06;ة-2012

Dsl, le link ne marche pas car en charactere arabes mais il suffit d'aller au site ci dessous

http://www.arabiaweather.com/Arabia/index

Et chercher la news de

Wednesday, December 26, 2012

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Voila les photos de 2012 de la Tunisie prises du site

1/vent violent de 110 km/h a Monastir

28a1dg9.jpg

2/Fortes neiges a Ain Draham en Fevrier

1zmeedu.jpg

3/trombe marine ou tuba a Mahdia

24wr1wy.png

4/fortes neiges a Ain Draham,

fyk8ls.jpg

5/Neige a Rafraf au bord de la mer en Fevrier

eja8fa.jpg

6/neige a Beni-Mtir le 6 Fevrier

2ppltty.jpg

7/Evacuation d'un lycee a Mateur suite a la crue d'un oued le 23 Fevrier

15rfjo2.jpg

8/fortes pluies a Tunis le 15 Novembre

2rxunv9.jpg

J'uploaderais les photos apres car il ya refus des links de ces photos

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bonjour

merci à vous deux pour tous ces posts très interressants.

une courte vidéo ' la Tunisie filmée à partir du ciel"

étonnant le phénomène de marée observable dans le golf de Gabès, je croyait que la méditerranée ne connaissait pas cela!

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bonjour

merci à vous deux pour tous ces posts très interressants.

une courte vidéo ' la Tunisie filmée à partir du ciel"

étonnant le phénomène de marée observable dans le golf de Gabès, je croyait que la méditerranée ne connaissait pas cela!

merci yaraligöz pour cette vidéo thumbup.gif
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Salam Kikou, tu connais surement mieux que moi car je n'y connais rien de ce domaine de génie civile, ma question est:

en creusant un canal de la mer a chott algharsa (qui ne passe pas par chat-el-jerid et je suppose qu'il ya un passage entre les 2 pts qui soit a 0-10 metres de nivelation) est ce que c'est possible que chatt-al-gharsa devient une mer intérieure?

mais comme tu dis bien ça parait assez impossible et couteux et peu rentable et utile pour se réaliser et je ne crois pas qu'une mer intérieure si peu profonde pourrait faire augmenter les précipitations

Tout a fait d'accord avec toi nuri

les travaux seront trés couteux et le résultat sera peu utile, à part une petite baignade pour les hbitants locaux smile.png

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Salut a tous!

Joli aperçu de la météo en 2012 en Afrique du nord et Asie sud-occidentale dans le link ci dessous

http://www.arabiawea...06;ة-2012

Dsl, le link ne marche pas car en charactere arabes mais il suffit d'aller au site ci dessous

http://www.arabiawea...om/Arabia/index

Et chercher la news de

Wednesday, December 26, 2012

Nuri

merci pour le site que je trouve interessant

j'ai voulu partager cette superbe photo d'un orage qui a frappé la coté syrienne en octobre dernier

jableh.jpg

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Salam kikou, je voudrais souligner le graaand engoument des Jordaniens pour la meteo

voila le forum jordanien de meteo ci dessous et figure toi qu'en moins d'1 semaine ils sont deja a la page 413!scared.gif pour le suivi de la meteo pour la derniere decade de decembre cad pres de 4130 messages (il ya 10 messages par page)

http://jordanweather.jo/forum/showthread.php?t=14683&page=413

Mais en meme temps avec toutes ces pages on n'arrive pas biensur a suivre car il ya beuacoup trooop de posts, j'ai jete un coup d'oeil le matin ils etaient a la page 390 et la le soir je vois qu'ils sont arrives deja a la page 413!

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A ma connaissance il y a très peu de projet réalisé ou projeté d'être réaliser en ce qui concerne d'introduire des eaux de mers dans les terres.

( je n'ai en tête que le projet de canal en Aquaba et la mer Morte )

La plupart du temps les états cherchent soit à reflouer l'eau de mer au delà de digues ( polders hollandais, ) soit à créer des îlots en apprortant du remblais ( Dubaï , japon ...)

On avais déjà discuté d'un projet similaire avec notre ami Le fumeur qui verrais bien la création d'étendus d'eau au niveau des plaines situées au sud des Aurès vers Biskra .

Et on avait évoqué le risque de salinisation des nappes phréatiques qui serait encore plus dangeureux, sans compter que personne ne peut réellement être sur d'un impact significatif du point du vue des pluies.

L'exemple des gigantsque barages sur l'Euphrate est là aussi pour montrer les limites de cette thèse car il n'y a pas vraiment eu d'impact sur la pluviométrie régionnale, et même certains avance que c'est l'inverse qui se serait produit.

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