Patricia Régnier Posté(e) 7 janvier 2007 Partager Posté(e) 7 janvier 2007 Nous tenions à vous informer du nouveau blog ouvert pour noter les relations entre taux de protons élevés et les plus violentes tempêtes. L'exemple des tempêtes du 26 et 28 décembre 1999. cliquer ici Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TIGRE Posté(e) 8 janvier 2007 Ancey (21) - 380m Partager Posté(e) 8 janvier 2007 Encore une théorie visant à coudre une relation activité solaire et météorologie terrestre. De même qu'une certaine forme d'activité favoriserait les hivers froids, maintenant voici les tempetes les plus fortes. Chacun peut avancer sa théorie, mais personnellement je ne suis pas convaincu d'une telle osmose entre notre étoile et notre climat. Exemple, des mesures très precises ont revelées que l'activitée solaire entre un minima et un maxima solaire varie d'environ 0.07% (source: je ne l'ai plu), ce qui est fortement négligeable sur l'impact terrestre. La densité qui nous arrive dessus varie bien plus, mais sur des periodes tres courtes, trop courtes a mon avis pour que cela est une incidence direct. Notre planete est vulnérable mais pas si fragile Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
williams Posté(e) 8 janvier 2007 Partager Posté(e) 8 janvier 2007 Encore une théorie visant à coudre une relation activité solaire et météorologie terrestre. De même qu'une certaine forme d'activité favoriserait les hivers froids, maintenant voici les tempetes les plus fortes. Chacun peut avancer sa théorie, mais personnellement je ne suis pas convaincu d'une telle osmose entre notre étoile et notre climat. Exemple, des mesures très precises ont revelées que l'activitée solaire entre un minima et un maxima solaire varie d'environ 0.07% (source: je ne l'ai plu), ce qui est fortement négligeable sur l'impact terrestre. La densité qui nous arrive dessus varie bien plus, mais sur des periodes tres courtes, trop courtes a mon avis pour que cela est une incidence direct. Notre planete est vulnérable mais pas si fragile Tu ne peus pas comparer la variation de la moyenne de l'activitée solaire entre un minima et un maxima solaire d'environ 0.07% avec ce que dit Patricia. Car ce dont elle parle vient des eruptions solaires et donc d'une periode calme soit sans eruption pendant a un moment a une periode avec une ou plusieurs eruptions solaires tres violentes le taux de variation de protons et de la vitesse du vent solaire est tres important comme le montre les graphiques puisque cela DOUBLE ! Donc avant de dire que ceci est faux il faut le verier tout comme Torrent et moi on la fait sur le barycentre et constate qu'il y avait bien des liens. Ici tu as bp de donnees sur le soleil : http://sec.noaa.gov/ftpdir/warehouse/ Serais la source de donnees dont tu as utilisé Patricia ? Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 8 janvier 2007 Partager Posté(e) 8 janvier 2007 Tu ne peus pas comparer la variation de la moyenne de l'activitée solaire entre un minima et un maxima solaire d'environ 0.07% avec ce que dit Patricia. Car ce dont elle parle vient des eruptions solaires et donc d'une periode calme soit sans eruption pendant a un moment a une periode avec une ou plusieurs eruptions solaires tres violentes le taux de variation de protons et de la vitesse du vent solaire est tres important comme le montre les graphiques puisque cela DOUBLE ! D'un autre côté Williams on sait prévoir ( à peu près) les tempêtes quelques jours à l'avance à l'aide des modèles de prévision classiques et ces modèles n'intégrent pas les éruptions solaires, à moins que les "germes" de ces tempêtes soient justement initiés par ces mêmes éruptions solaires? Le problème de tout celà est l'ampleur du "bruit de fond". On ne peut certainement pas dire qu'un gros flux de protons soit sans influence aucune sur l'atmosphère terrestre, mais quel est l'ordre de grandeur de cette influence dans le bruit de fond plus ou moins chaotique de l'atmosphère? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TIGRE Posté(e) 8 janvier 2007 Ancey (21) - 380m Partager Posté(e) 8 janvier 2007 Tu ne peus pas comparer la variation de la moyenne de l'activitée solaire entre un minima et un maxima solaire d'environ 0.07% avec ce que dit Patricia. Car ce dont elle parle vient des eruptions solaires et donc d'une periode calme soit sans eruption pendant a un moment a une periode avec une ou plusieurs eruptions solaires tres violentes le taux de variation de protons et de la vitesse du vent solaire est tres important comme le montre les graphiques puisque cela DOUBLE ! Donc avant de dire que ceci est faux il faut le verier tout comme Torrent et moi on la fait sur le barycentre et constate qu'il y avait bien des liens. Ici tu as bp de donnees sur le soleil : http://sec.noaa.gov/ftpdir/warehouse/ Serais la source de donnees dont tu as utilisé Patricia ? Williams Je n'ai pas carrément dis que tout cela est faux, j'ai dis que l'influence si il y en a serait bien trop minime pour que cela est une influence direct. C'est vrai que je ne suis pas expert en la matiere loin de là, mais dans ce cas pourquoi est ce que cette influence serait portée plus sur une depression que sur une autre ? Les exemples cités ne sont pour moi qu'une coincidence entre les relevés solaire anormal et le fait qu'une depression explosif se produise en meme temps sur la france.... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patricia Régnier Posté(e) 8 janvier 2007 Auteur Partager Posté(e) 8 janvier 2007 Serais la source de donnees dont tu as utilisé Patricia ? Williams Tu me demandes de te donner la source des graphiques ? Ai-je bien compris ta question ? En effet la dynamique de l'univers est essentiellement provoquée par les protons électrons (et nucléons si je ne me trompe pas) leur modification est sans doute responsable de nombreuses perturbations atmosphèriques. Meteor le sait bien. Le tout est d'arriver à modéliser Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
gerardlh Posté(e) 10 janvier 2007 Rouen Est 152 m. Partager Posté(e) 10 janvier 2007 Nous tenions à vous informer du nouveau blog ouvert pour noter les relations entre taux de protons élevés et les plus violentes tempêtes. L'exemple des tempêtes du 26 et 28 décembre 1999. cliquer ici Bonsoir , non je ne suis pas convaincu par cette théorie , par les événements climatiques donnés ils sont trop locaux il aurait fallu plus d'exemples sur l'ensemble de notre planète, à mon avis. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patricia Régnier Posté(e) 10 janvier 2007 Auteur Partager Posté(e) 10 janvier 2007 Bonsoir , non je ne suis pas convaincu par cette théorie , par les événements climatiques donnés ils sont trop locaux il aurait fallu plus d'exemples sur l'ensemble de notre planète, à mon avis. Certainement que la théorie demande à être précisée. Mais c'est un point de départ. Les courbes parlent d'elles-mêmes. 1/ Après tout il faudrait aussi savoir quel a été le temps ailleurs. 2/ Tu pourras lire le lien depuis le blog l'explication de sa théorie par Jean-Martin Meunier En réalité les vents d'ouest sont en relation directe avec les émissions de protons des taches solaires (Meunier,1991). Suivant les lois de l'électromagnétisme (règle des 3 doigts) les jets de protons solaires sont déviés vers l'est par le champ géomagnétique. Par couplage électrostatique ils induisent des vents allant de l'W vers l'E. On notera la conservation de l'énergie cinétique 1/2 mV2 puisque la vitesse V des protons solaires est de plus de 300 km/s . Cela peut mouvoir des masses d'air au sol de masse M supérieure de plusieurs millions de fois à la masse m des jets de protons solaires. . Cette explication est à rapprocher de l'expertise de Météo France "les variations exceptionnelles de température et de pression aussi bien au voisinage du sol qu'en haute altitude (8 000 m) et ont pu confirmer la réalité de ces phénomènes par l'examen des observations disponibles. Une première analyse suggère que c'est la mise en phase d'une perturbation de très haute altitude et d'une perturbation de surface qui a causé la violence extrême des vents. Ce travail d'expertise renforçait les prévisions du modèle et justifiait les avis de tempête émis". Il ajoute aussi Les protons solaires augmentent la pluviosité en augmentant l'électro-positivité de l'ionosphère, donc le champ électrique de l'air , de l'ordre de 110V/m .Comme chacun le sait la dynamique de l'univers est essentiellement causée par les électrons et protons (plus neutrinos), alors pourquoi l'atmosphère terrestre serait-elle épargnée ? Nous ne sommes que le résultat de ces évenements cosmiques en chaîne. Le plus difficile est de modéliser. Tous les météorologues professionnels le savent bien. Il ne faut pas oublier qu'à l'origine astronomie (cosmogonie) et météorologie ne faisaient qu'un. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
gerardlh Posté(e) 11 janvier 2007 Rouen Est 152 m. Partager Posté(e) 11 janvier 2007 Bonjour Patricia R je suis un lève tôt . Bien intéressent en tout cas et en plus pratique pour les événements météo à venir si cette théorie se révèle fiable excellent travail à suivre de près.Bonne journée. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patricia Régnier Posté(e) 11 janvier 2007 Auteur Partager Posté(e) 11 janvier 2007 Bonjour Patricia R je suis un lève tôt . Bien intéressent en tout cas et en plus pratique pour les événements météo à venir si cette théorie se révèle fiable excellent travail à suivre de près.Bonne journée. Meteo France avait de toute manière bien analysé la situation à l'inverse de l'Allemagne. Les protons seraient l'explication de ces perturbations dans l'atmosphère. Cette page du CNRS devrait permettre de mieux comprendre le processus. Bonne journée à toi et merci pour tes encouragements. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patricia Régnier Posté(e) 13 janvier 2007 Auteur Partager Posté(e) 13 janvier 2007 Bonjour Patricia R je suis un lève tôt . Bien intéressent en tout cas et en plus pratique pour les événements météo à venir si cette théorie se révèle fiable excellent travail à suivre de près.Bonne journée. Sur le forum /index.php?act=ST&f=22&t=15055&st=0#entry387085'>le champ mangnétique influence-t'-il le climat ? Charles Muller a donné les coordonnées d'une étude de Jean Lilensten et Pierre-Louis Blelly qui explique dans les détails cette théorie dont voici un extrait Météorologie de l'espace - 6 Le vent solaire est constitué de particules chargées, principalement des électrons et des protons. Il est permanent, mais hautement variable lors d’éruptions solaires : sa vitesse moyenne de 400 km/s peut ainsi doubler, de même que sa concentration, qui est en moyenne de 5 particules par cm3 au niveau de la Terre. Son interaction avec l'environnement terrestre est fortement contrôlée par la présence de notre champ géomagnétique. A partir d’une dizaine de rayons terrestre en amont de notre planète, celui-ci dévie les ions vers l’aube (côté est) et les électrons vers le crépuscule (côté ouest) créant la magnétopause, limite des domaines d'influence respectifs du vent solaire et du champ magnétique terrestre (magnétosphère). En plus de courants surfaciques, la séparation de charge entraîne l'apparition d'un champ électrique qui traverse la magnétosphère d'est en ouest. Les courants qu'il engendre, dont l’intensité varie avec celle du vent solaire, affectent l'ensemble de notre planète. Définition de météorologie de l'espace selon le CNES La météorologie de l'espace La météorologie de l'espace a pour objet de prévoir les événements solaires qui peuvent par leur importance altérer le fonctionnement des satellites en orbite et provoquer des incidents électriques comme ceux advenus en 1989 à Toronto. Les événements solaires majeurs sont liés à des éjections de masse coronale qui peuvent atteindre la Terre. Leurs précurseurs sont la formation de taches solaires de grandes surfaces. Les mesures de PICARD à certaines longueurs d'onde peuvent être fournies. Elles peuvent être utilisées à des fins d'alerte, car même à 500 km/s, les particules voyagent pendant trois jours avant d'atteindre la Terre. La mission PICARD est décrite en détail dans deux articles (Thuillier et al., 2003 et 2006) Bonne journée Patricia Régnier Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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