joel Posté(e) 11 mars 2005 Partager Posté(e) 11 mars 2005 Bonjour j'ai une vantge pro 2 sans fil je m'apprete à la mettre sur le web lors des tableaux revient sans arret ces mots : THW Index Heat Index Rain Rate Storm Total Current Rain Rate: pouvez vous m'aider à les traduire histoir ede voir si je me suis pas trompé merci de votre aide à bientot Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
manugde Posté(e) 11 mars 2005 Hettange-Grande (NO 57) Partager Posté(e) 11 mars 2005 THW Index Heat Index Rain Rate Storm Total Current Rain Rate: L'index THW est un index de ressenti basé sur la température, l'humidité et le vent. Il existe aussi l'index THSW, qui ajoute en plus l' énergie solaire. Heat Index. Cette index représente l'Humidex il me semble, mais il faudra le confirmé. Il se base sur la température et l'humidité, et est l'inverse du Wind Chill. Current Rain Rate et Rain Rate : Intensité des précipitation, calculé en mm/heures. Il est calculé sur une courte période (1 à 5 minutes en général). Storm Total. Valeur représentant la quantité de précipitation durant un épisode pluvieux. Même si il y a de courtes accalmie, le total continu de s'incrémenter. J'espère avoir répondu à tes questions. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
joel Posté(e) 11 mars 2005 Auteur Partager Posté(e) 11 mars 2005 bonsoir merci c'est exactement ce que je voulais savoir merci de ton aide bonne soirée Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chri Posté(e) 15 mars 2005 Quimperlé (29) - 51m Partager Posté(e) 15 mars 2005 Et l'ETP mm sur la vantage, est-ce le cumul de l'évaporation sur 24 heures? Que représente, concrètement, un ETP de 1.8 mm par exemple. De plus, pourriez-vous confirmer que le Heat Index est égal à l'humidex? Dans ce cas, le THSW sert à quoi? Merci. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
ChristianP Posté(e) 15 mars 2005 Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer) Partager Posté(e) 15 mars 2005 Bonsoir, La Vantage peut donner l'ETP en 1h, un jour (0h-0h), un mois... (par logiciel, cumul sur plusieurs jours ciblés) Attention l'ETP de la Vantage est surestimée si l'anémo est à plus de 2 m du sol (enfin chez l'amateur l'erreur peut-être compensée si l'installation donne un windrun 2 fois plus faible que celui qui serait relevé dans une bonne installation à 10 m au dessus d'un terrain bien normalisé pour le vent) Le Heat Index (HI), c'est l'humidex US, il n'a pas du tout la même échelle de valeurs que l'humidex Canadien. Des travaux sont en cours sur un nouvel indice plus performant et commun. Le TSHW prend en compte tous les paramètres, y compris le rayonnement solaire. Il n' est donc pas très efficace pour estimer un ressenti à l'ombre. A l'ombre il vaut mieux utiliser le THW (T + H + vent). Le HI étant valable lorsqu'il n'y a pas de vent du tout (faussé dès qu'il y a du vent tout comme l'humidex Canadien). Le WC est surtout utile sans soleil. Le TSHW est bien plus pertinent que le WC en hiver avec le soleil. Les deux meilleurs indices sur la Vantage pour le moment sont le THW et le TSHW. Le WC, le HI, et l'humidex Canadien n'apportent rien de plus par rapport aux deux autres même quand les facteurs leurs sont favorables et ils sont souvent plus faux dans les autres cas car ils ne prennent pas en compte des paramètres indispensables dans le ressenti (le soleil et/ou le vent selon les cas). Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chri Posté(e) 15 mars 2005 Quimperlé (29) - 51m Partager Posté(e) 15 mars 2005 Bonsoir, "Attention l'ETP de la Vantage est surestimée si l'anémo est à plus de 2 m du sol (enfin chez l'amateur l'erreur peut-être compensée si l'installation donne un windrun 2 fois plus faible que celui qui serait relevé dans une bonne installation à 10 m au dessus d'un terrain bien normalisé pour le vent)" Qu'entendez-vous par Windrun? Pourquoi l'ETP est surestimée si l'anémo est à plus de 2 m du sol? Enfin, doit-on comprendre un ETP de 2 mm est égal à une évaporation de 2 mm de précipitations ou encore un RR du mois de 100 mm et un ETP de 20 mm ferait au final un "bénefice" pour la nature de 80 mm ? "Le Heat Index (HI), c'est l'humidex US, il n'a pas du tout la même échelle de valeurs que l'humidex Canadien. Des travaux sont en cours sur un nouvel indice plus performant et commun." L'Humidex présent dans les relevés info-climat par exemple n'est donc pas le même que le HI de la vantage? A combien l'écart entre les deux unités se situe-t-il? "Le TSHW prend en compte tous les paramètres, y compris le rayonnement solaire. Il n' est donc pas très efficace pour estimer un ressenti à l'ombre. A l'ombre il vaut mieux utiliser le THW (T + H + vent). Le HI étant valable lorsqu'il n'y a pas de vent du tout (faussé dès qu'il y a du vent tout comme l'humidex Canadien). Le WC est surtout utile sans soleil. Le TSHW est bien plus pertinent que le WC en hiver avec le soleil." Donc, un TSHW sans soleil est équivalent à un THW (non mesuré sur la vantage pro plus à priori). Quant au WindChill, il serait donc faussé si il y a du soleil? Je pensais qu'il était calculé en fonction de la température actuelle sous abri associé à la vitesse moyenne (?) du vent. Merci encore de vos précieux renseignements techniques. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
manugde Posté(e) 15 mars 2005 Hettange-Grande (NO 57) Partager Posté(e) 15 mars 2005 L'ETP est l'inverse de la pluviométrie. Ta formulation est bonne. Tu peux considérer que si tu as un ETP supérieur à la pluvio sur un mois, il y a déficit, et on peux parler de sécheresse. L'inverse est vrai également. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
ChristianP Posté(e) 15 mars 2005 Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer) Partager Posté(e) 15 mars 2005 Pour le windrun, voir l'explication sur ce sujet pas très loin dans ce forum. Plus il y a de vent et plus il y a de l'ETP. La formule de l'ETP dans la Davis est prévue pour un vent mesuré à 2 m de haut (c'est la norme en agro) qui est plus faible qu'un vent à 10 m. Si l'ETP est plus importante que les RR on parle de déficit hydrologique. Pour le déficit hydrique (concerne les végétaux) on calcule les cumuls d'ETR (évapotranspiration réelle) à partir de l'ETP avec d'autres équations ( L'ETR est égale à l'ETP seulement si le sol est saturé d'eau, sinon l'ETR est toujours plus faible et décroit d'autant plus que la réserve d'eau du sol concernée par les végétaux est faible. Même une ETP de 10 mm/24h ne donne pas grand chose en ETR quand la réserve du sol est faible, les végétaux "économisent" de l'eau et n'évaporent plus beaucoup) Sur le site de la NOAA tu trouveras l'échelle du HI THW TSHW (voir moteur de recherche), c'est la même pour ces 3 indices (de mémoire il me semble qu'elle figure dans la station Infoclimat de Dominique à Echirolles). Les écarts sont assez conséquents avec le Canadien, mais c'est le rapport avec l'échelle de danger qu'il faut regarder (un index US est faible mais donne un danger bien plus tôt avec cette graduation différente) Le logiciel de la Vantage te donne le graphe du THW et du HI (TSHW avec capteur solaire), il figure aussi dans ta base de données weatherlink. Et oui comme précisé sur le site du WC, il peut être trop froid de 10° par soleil par rapport à la réalité. Il n'y a pas grand monde qui se balade sous le soleil, habillé d'un abri normalisé On utilise la T sous abri pour le WC car c'est elle qu'on mesure le plus souvent dans les stations. Les capteurs de rayonnement solaire ne sont pas très courants. La formule du WC n'inclue donc pas une valeur quelconque pour prendre en compte l'énergie du rayonnement solaire si on y est exposé. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boudu34 Posté(e) 3 février 2006 Partager Posté(e) 3 février 2006 Bonjour tout le monde. Je fais remonter ce topic car je n'étais pas avec vous à cette époque et je fouine dans les archives ! Il y a pas mal de temps de ça, j'ai mesuré l'ETP pendant quelques années, par pur plaisir personnel de recherche. Je voulais savoir bêtement : 1 / Si l'arrosoir que je versais le soir sur mes salades était bien "bu" ou si une partie remontait former les prochains nuages 2 / Que restait-il de la quantité de pluie qui tombait dans l'année. L'appareil de mesure, quoique non normalisé ( Christian !) était aussi simple qu'efficace (et avait même été "approuvé" par des gens de MF à l'époque !). Un bac métallique de 1 m de diamètre et d'environ 30 cm de haut. Posé parfaitement horizontal au milieu d'un terrain dégagé, même d'herbes folles, dans un rayon de 30 mètres. Accessible à tous les vents sur 360°. La mesure était donnée par la quantité d'eau qu'il fallait ajouter tous les soirs pour rétablir le niveau 0, matérialisé par deux tiges en acier inox qui, terminées en pointes, affleuraient la surface de l'eau, une par le bas, et l'autre, coudée en U inversé, par le haut. Un rapport mathématique avec la surface me donnait des "mm d'évaporation" identiques aux millimètres de RR que je recevais quand il pleuvait. Et, à la fin de la décade, je faisais mon petit bilan "Écohydrique" ! Ensuite, si le solde était positif, on avait eu une année humide, si il était équivalent, normale, et sèche dans l'autre cas. En plus, quand il pleuvait, la quantité d'eau "enlevée" pour revenir à 0 permettait de contrôler le pluvio. Cela m'a aussi permis, mais c'est pour l'anecdote, de dire à mon voisin, que dans notre garrigue languedocienne, sa piscine s'était évaporée 1 fois et demie dans l'année qui venait de passer. Très fruste comme raisonnement, mais y avait-il une erreur dans ma procédure ? Merci de vos avis. Amicalement Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
ChristianP Posté(e) 3 février 2006 Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer) Partager Posté(e) 3 février 2006 Bonjour tout le monde. L'appareil de mesure, quoique non normalisé ( Christian !) était aussi simple qu'efficace (et avait même été "approuvé" par des gens de MF à l'époque !). Un bac métallique de 1 m de diamètre et d'environ 30 cm de haut. Posé parfaitement horizontal au milieu d'un terrain dégagé, même d'herbes folles, dans un rayon de 30 mètres. Accessible à tous les vents sur 360°. La mesure était donnée par la quantité d'eau qu'il fallait ajouter tous les soirs pour rétablir le niveau 0, matérialisé par deux tiges en acier inox qui, terminées en pointes, affleuraient la surface de l'eau, une par le bas, et l'autre, coudée en U inversé, par le haut. Un rapport mathématique avec la surface me donnait des "mm d'évaporation" identiques aux millimètres de RR que je recevais quand il pleuvait. Et, à la fin de la décade, je faisais mon petit bilan "Écohydrique" ! Ensuite, si le solde était positif, on avait eu une année humide, si il était équivalent, normale, et sèche dans l'autre cas. En plus, quand il pleuvait, la quantité d'eau "enlevée" pour revenir à 0 permettait de contrôler le pluvio. Cela m'a aussi permis, mais c'est pour l'anecdote, de dire à mon voisin, que dans notre garrigue languedocienne, sa piscine s'était évaporée 1 fois et demie dans l'année qui venait de passer. Très fruste comme raisonnement, mais y avait-il une erreur dans ma procédure ? Merci de vos avis. Amicalement Bonsoir, Même principe utilisé à la station Radome / agro de MF/INRA à Bormes le Ruscas (celle qui a relevé près de 22° il y a qq jours ) : Pour la piscine du voisin tout dépend de la prodondeur de sa piscine (et de la largeur de la surface de l'eau exposée à l'air si les côtés sont évasés) Bon WE Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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