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  1. Une référence sur l'impact de l'IOD sur MJO... Observations of the Madden Julian Oscillation during Indian Ocean Dipole events Earle A. Wilson,1 Arnold L. Gordon,1,2 and Daehyun Kim1 Received 5 June 2012; revised 29 January 2013; accepted 31 January 2013. [1] The characteristics of Madden Julian Oscillation (MJO) development and propagation during Indian Ocean Dipole (IOD) events are presented in this study. We find that MJO activity over the Indian Ocean and Maritime Continent is enhanced during negative IOD and subdued during positive IOD. MJO events occurring during positive IOD have weaker convection and less organized wind anomalies than those occurring during neutral or negative IOD. These differences are starkest over the eastern Indian Ocean where the IOD has the greatest effect on low-level humidity. Based on these observations and current MJO theories, we posit that the IOD primarily influences the MJO through its modulation of local low-level moisture. Citation: Wilson, E. A., A. L. Gordon, and D. Kim (2013), Observations of the Madden Julian Oscillation during Indian Ocean Dipole events, J. Geophys. Res. Atmos., 118, doi:10.1002/jgrd.50241
  2. Une référence sur l'impact de l'IOD sur MJO... Observations of the Madden Julian Oscillation during Indian Ocean Dipole events Earle A. Wilson,1 Arnold L. Gordon,1,2 and Daehyun Kim1 Received 5 June 2012; revised 29 January 2013; accepted 31 January 2013. [1] The characteristics of Madden Julian Oscillation (MJO) development and propagation during Indian Ocean Dipole (IOD) events are presented in this study. We find that MJO activity over the Indian Ocean and Maritime Continent is enhanced during negative IOD and subdued during positive IOD. MJO events occurring during positive IOD have weaker convection and less organized wind anomalies than those occurring during neutral or negative IOD. These differences are starkest over the eastern Indian Ocean where the IOD has the greatest effect on low-level humidity. Based on these observations and current MJO theories, we posit that the IOD primarily influences the MJO through its modulation of local low-level moisture. Citation: Wilson, E. A., A. L. Gordon, and D. Kim (2013), Observations of the Madden Julian Oscillation during Indian Ocean Dipole events, J. Geophys. Res. Atmos., 118, doi:10.1002/jgrd.50241
  3. Ce qui manque ce sont des comparaisons modèles d'un année à l'autre. On remarque en effet que CFS simule des coups de froid de façon récurrente ou des synoptiques à potentiel. Au coeur de l'hiver. Bien que globalement, du doux soit prévu. Il me semble que l'an passé, cet aspect était moins net avec des potentialités plus tardives (genre fin février - mars).
  4. RQ1 : Il me semble important avant tout exercice de prévision saisonnière de dresser le cadre climatologique générale. On peut souligner entre autres : * un léger forçage Nina en 1ère partie d'hiver, même si l'effet est complexe et controversé, non explicite NB : si l'on pense que la MJO a un impact, il n'y a pas de raison qu'ENSO n'en ait pas un non plus. * Sur l'Atlantique Nord, point de structure Tripôle ou Fer à Cheval (mais une anomalie froide très nette au Large du Labrador) * Sur l'Atlantique tropical, les anomalies sont peu marquées et peu structurées RQ2 : Les forçages MJO et Stratosphériques peuvent être impactants mais ils restent imprévisibles. On doit être conscient qu'ils peuvent sérieusement "perturber" une tendance mensuelle. RQ3 : A propos des graphes du bas de _Seb et en dépit de la RQ2 - en complément : * Relatif contraste entre les 5 mois de la période "froide" : NDJFM * L'incertitude en T2m semble particulièrement forte en D, F et M, plus faible en N et J - Novembre notamment ? * En Novembre le système saisonnier propose une asymétrie dans les scénarios extrêmes, avec un scénario extrême froid qui excède le Q5 ; aspect que l'on retrouve sur le paramètre pluie avec des conditions sèches "claires" > conditions anticycloniques et des températures pas trop élevées par inversion ? * Décembre et Mars apparaissent "Doux", Humide pour l'un, plutôt Sec avec incertitude pour l'autre
  5. CEP A 144H, pas fréquent ce genre de structure !
  6. C'est peu probable en général ! A suivre malgré tout la MJO dont la prévisibilité est limitée : Les dernières prévisions sont plus ouvertes. On commence à voir des choses dans les ensembles... Preuve possible que le Pacifique titille l'Europe... Et la stratosphère donne elle aussi des signes... A suivre.
  7. Il s'agit d'une représentation à 2 dimensions de la prévision américaine ensembliste de l'Oscillation tropicale Madden et Julian (30-50 jours). Est caractérisée la phase correspondant à cette oscillation, notée de 1 à 8 en fonction de l'endroit où se développe l'activité convective. Phases 2-3 sur Océan Indien Phases 6-7 sur Pacifique Ouest et Central Nous serions en phase 5. Composite sur l'anomalie OLR selon phase (en hiver) OLR < 0 : activité convective plus forte OLR > 0 : activité convective moins forte Cassou a montré qu'en fonction de la phase de la MJO, certains régime de temps était favorisés. Par exemple la phase < 0 de la NAO dans les toutes dernières phases.
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