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ort

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Cirrocumulus

Cirrocumulus (3/24)

  1. Pourmoi tout diverge complètement dès le 1er février. Et même si certains scénarios se rapprochent à nouveau vers le 7... cela ne veut rien dire. Personnelllement, je ne crois pas à une jonction anticyclonique en mer du nord qui nous apporterait un blocage dans ces 10 prochains jours. Pour moi, on va vivre encore plusieurs jours de beau avec des inversions en basse couche parfois tenace et des températures proche des normes voire un peu plus. Rien d'exceptionnel. Bref grande lassitute sur toute la ligne. Peu d'espoir que cela change véritablement pour la suite de février au vue de ce que nous vivons cet hiver.
  2. Quelques nouvelles du plateau Suisse Romand. Plus précisément Yverdon-les-Bains. Pas de précipitation en ce moment. Température flirtant le 0°C. Pas de neige non plus. Les routes sont dégagées. Lausanne, Nyon subissent des précipitations neigeuses mais pour le moment, cela ne tient pas encore vraiment sur les routes.
  3. Parlons du début janvier. Les cartes GFS donne à réfléchir. Certes c'est dans 1 semaine environ mais si les vents signalés ne sont que la moitié de ce qu'il est prévu, ce sera déjà très costaud. Cette fois on devrait enfin avoir les HP avoir du mal à résister. Enfin l'espoir de passer à un flux de nord / nord ouest avec à la clé dès le 5 ou le 6 de la neige possible... Qu'en pensez-vous ?
  4. Tu as raison, et je me suis marché dessus. Je voulais bien dire que la chaleur latente de fusion de l'eau absorbe la chaleur au milieu environnant lorsque la neige se transforme en pluie et non l'inverse. Ce que je voulais ajouter c'est que l'on assiste aussi au phénomène inverse lorsque la pluie se transforme en neige lorsque la température des basses couches est suffisamment froide. Dans ce cas, on a un réchauffement de l'environnement. Ce qui n'était pas le cas ces jours. Dans ce cas on a bel est bien phénomène de yoyo tel que je le décris. Mais en effet dans le cas de mercredi ce n'était pas possible... je me suis un peu embrouillé je l'admets... Merci pour la précision des 1000 mètres d'isothermie. Ce doit être toutefois assez exceptionnel, non ?
  5. Incroyable /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> . A vous lire, la neige débarque... désolé de vous décevoir mais je parie qu'il n'y aura rien de rien . Au mieux sur le Jura, 700 mètres et encore... Faut pas rêver... Concernant, les chutes brutales de température et la neige, je constate en consultant les chiffres donnés par florent que c'est rare et que cela s'est produit qu'une seule fois en avril 1976. Raison de plus de ne pas s'emballer... Je rappelle que les conditions de neige en plaine c'est en gros la ligne des 528 (en hiver) et non pas celle des -5°C. Or, le 528 restera cantonné sur l'extrême nord de la France dans une zone sans précipitation... Autre phénomène thermique à souligner. Lorsque la quantité de précipitation est très importante comme ce sera le cas dans le centre et surtout l'est (jura notamment), la tendance est à une légère augmentation de la température sous les précipitations et non pas l'inverse. En effet, le passage de l'état de vapeur à l'état liquide libère de la chaleur et de l'état liquide à l'état solide (neige) également. Plus il y a de précipitation et plus le risque de voir de la neige dans une zone limite est peu probable à cause de ce phénomène. Il n'est pas rare de voir les précipitations neigeuse jouer au yoyo entre 2 altitudes à cause de ce phénomène. En effet la neige se transforme en pluie et prend de la chaleur à son entourage (refroidit donc le milieu ambiant). La neige descend de plus en plus bas. Puis arrive un moment où la neige se retransforme en pluie quelque centaines de mètre plus bas et redonne sa chaleur à l'air ambiant. L'air se réchauffe, remonte /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> et transforme la neige en pluie... et cela recommence... or ce phénomène est accentué avec des fortes précipitations comme ce sera le cas. Le Yoyo sera donc important et se situera probablement entre 700 m et 1200 m et sûrement pas entre la plaine et 700 m. Même si la neige faisait son apparition pendant quelques minutes à très basse altitude, elle disparaîtrait rapidement à cause de ce phénomène, d'autant que les masses d'air en présence ne sont pas particulièrement froides.
  6. Personnellement je ne pense pas que nous aurons de la neige en plaine qui tient au sol ou juste en toute fin de période (nuit de mercredi à jeudi) et que sur le plateau Suisse. Tout d'abord, les sols sont chauds. On est en avril, nous avons eu de très belle journée. Celle de mardi sera fraiche pour un mois d'avril mais ensoleillée. Les masses d'air vraiment froide ne semble pas descendre sur le centre, là où il y aura la zone de précipitation. Aucun modèle voit du -5°C à 850 hPa dans la zone de précipitation (du moins pas pendant la phase active des précipitations) et la ligne des 528 reste en manche. Par contre dans la zone de conflit des masses d'air, il devrait y avoir une quantité de précipitation vraiment significative. On se souviendra de mercredi plutôt comme une journée de pluie continue, importante, froide mais pas neigeuse...
  7. ort

    Jeu de pronostic mensuel

    Petite question aux administrateurs du site : Je constate que si l'on prend la peine de regarder dans le profil des utilisateurs un petit commentaire s'affiche du style "gelée blanche" ou "frisson d'avril". Cela est-il en rapport avec les prédictions des utilisateurs ? Si oui, le fait d'avoir ce commentaire permet de voir plus ou moins la tendance qui se dégage. Je trouve sympa pour ma part d'avoir cette toute petite info. Pour quelle raison avez-vous mis ce commentaire ? /public/style_emoticons/'>http://forums.infoclimat.fr/public/style_emoticons/default/original.gif
  8. Voilà ce que j'écrivais le 11 juillet où j'avais découvert le pot au rose de Florent. Depuis j'observe sans plus ! ... et de constater ce qui ne m'étonne pas, vu la méthode, que les écarts se succèdent et vont grandissant. Seul pour l'instant la tendance générale reste encore correcte. Merci à Meteor, Tomar et Virgile pour vos apports. Je vous invite également à lire l'édifiante réponse de Florent de l'époque à mon intervention. On ne peut être plus clair... ----- Très bien vu Ort... C'est bien le principe et il ne te manque que quelques facteurs correctifs en effet... Je suis resté longtemps interloqué également par cette découverte, alors que j'avais identifié des cycles de 27 ans au départ, que je pense aujourd'hui à 55 ans, ce qui les relie plus logiquement à un mécanisme d'origine solaire. Et c'est plus logique même dans les années considérées, puisque 2003 ressemble bien plus à 1947 ou 1842 qu'à 1976 ou 1921... C'est cela qui me fait dire plus que tout que l'année 2003 était totalement prévisible, presque au dixième près parfois, tant, moyennant quelques corrections, elle est la copie conforme de l'année 1842... J'ai fait cette découverte l'automne dernier, j'y ai crû toute suite d'autant que cela validait au delà de mes espérances mes hypothèses. Je me suis dit que le meilleur moyen de valider tout cela était de parier sur la poursuite de cette corrélation magique : Depuis 2003, cela continue d'évoluer en parrallèle avec le trend 1842-45 en majeure partie... il y a eu beaucoup moins de contingeances avec 1893 ou 1947. Je suis précisément en train de rechercher si d'autres cycles de ce type existent, mais de manière systématique... Je n'ai pas eu grand mal à découvrir celui-ci, dès le départ grâce à ma bonne hypothèse, j'ai pu considérer les bons millésimes. L'analyse pour l'hiver qui vient sera en effet celle-ci si ce cycle se poursuit sans cassure... Déjà 30 mois que ça dure, je n'en espérais pas tant ! Si la relation principale découverte est qui lie 1842-44 à 2003-05 se poursuivait, je nous annonce un hiver extrêmement long, du début décembre à fin mars avec en effet une pause en janvier. Rien n'est sûr, mais le fait que déjà en fin d'hiver dernier, la saison froide ait eu tendance à jouer les prolongations pourrait être un indice... Les cycles climatiques existent et je continue à réunir chaque jour de nouveaux éléments. Ils ne peuvent être engendré que par un facteur extérieur possédant un cycle régulier : en l'état actuel de mes recherches, le soleil est une des seules possibilités. Florent.
  9. En effet Tomar, je suis assez d'accord avec toi. La prochaine décade vue très chaude par les modèles américain dans cette zone nous permettra de voir plus clair. Si l'anomalie se résorbe et ne réapparaît pas la semaine suivante on pourra vraiment dire qu'il ne s'agissait que de l'effet des températures des basses couches sur les eaux de surface. Sinon, on pourra dire qu'un autre effet intervient ou que tout simplement, le refroidissement de la zone a quelques jours ou semaine d'avance. Et cela n'a peut-être rien à voir avec le GS, seulement un positionnement des centres d'actions qui sont alors propices à refroidir davantage et plus rapidement une zone par rapport à la moyenne habituelle. Personnellement dans ce débat acharné, je suis plutôt un partisan d'une interaction forte et déterminante des échanges atmosphère / océan et du positionnement du centre d'action plutôt que des apports de chaleur du GS. Je nie pas l'influence du GS qui charie une quantité impressionnante de calorie et adoucit la température des eaux en profondeur et en surface du Nord Est Atlantique mais cela ne détermine de loin pas à lui seul notre climat (disons que je lui donne un 20 % peut-être 1/3 de responsabilité). Et si les apports diminuent, je pense que l'échelle de temps se compte plutôt en mois et en année avant de voir une influence notable et durable que sur quelques jours ou quelques semaines d'observation. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  10. ort

    Hiver 2005-2006

    Si on donne des chiffres dans le vide cen'est pas très exhaustif. -0.3°C par rapport à quelle période Aldo ?
  11. ort

    Hiver 2005-2006

    Désolé N4SH mais je ne crois pas qu'il existe un modèle que l'on peut qualifier de saisonnier. Bien entendu, il y a la NOA, l'AO, les anomalies de températures mesurés dans les océans qui sont des indicateurs relativement fiable (quoique pas à 100 %) mais que l'on ne peut pas réellement modéliser. La NASA nous offre périodiquement ses cartes, meteoffice également... peut-être utilisent-ils un modèle ?... de toute manière, pour l'instant c'est assez médiocre ce qu'ils obtiennent comme prévision. Ce n'est pas parce qu'on ne peut pas modéliser que l'on doit absolument arrêter de chercher. Il faut commencer par observer, dégager des relations, tester les relations puis petit à petit construire un modèle. Celui-ci n'étant pas forcément construit sur ce qui existe déjà. A cause de la complexité, les modèles classiques basés sur les équations des échanges theromdynamique des particules patinent après une dizaine de jour (quand c'est facile , sinon ils sont dans le brouillard déjà avant) ne pourront à mon sens jamais arriver à faire mieux que quelques semaines (je rêve un peu, mais admettons que la puissance des ordinateurs nous permettent d'y arriver... ). Alors adapter un modèle classique sur du saisonnier, il faut oublier ! La complexité est telle que le nombre de possibilité a chaque itération multiplie le nombre de possibilité et de calcul par des chiffres que j'ose même pas imaginer... et puis même si on a les ordinateurs d'une puissance infinie (genre ordinateur quantique), il faudrait aussi connaître l'état de l'atmosphère avec une précision au moins 1000 fois plus précis qu'aujourd'hui. On ne va pas mettre des sondes toutes les centaines de mettre pour mesurer (faut pas oublier qu'il y a 3 dimensions). Non décidément, un modèle classique tel que pourrait se l'imaginer un scientifique, j'ai bien du mal à y croire. Le chaos n'est pas modélisable de manière classique. Nous devons nous tourner vers des modèles soit mathématique (essentiellement statistique et probabiliste) (là c'est un long débat pour savoir si on peut réellement sortir quelque chose), soit on opte pour des corrélations liés à l'histoire climatique passé (étude du climat, des cycles historique... mais là on a une précision pas suffisante sur l'année mais plutôt sur les tendances probables du siècle en cours. evt. décennie (ce n'est plus vraiment saisonnier). Toutes ces considérations pour dire qu'à l'heure actuelle, les physiciens et les mathématiciens se crèpent le chignon sur la modélisation à long terme. Les premiers disent que les mathématiques ne permettent pas de rendre compte de ce qui se passe physiquement (je devrais dire thermodynamiquement). Les physiciens voulant en quelque sorte suivre l'état de la matière heure par heure. Les seconds disent que cela ne sert à rien de suivre l'état de la matière heure par heure, mais c'est plutôt l'état global de l'atmosphère qui doit être suivi. La-dessus, les spécialistes dans le domaine de la climatologie sont plutôt des géographes qui préfèrent faire des statistiques et qui souvent ont bien des difficultés à valider leur hypothèse car ne possédant pas les outils thermodynamiques pour le faire --> pas mal d'acharnement entre les scientifiques objectif plutôt à la tendance physique et les scientifiques plutôt subjectifs qui ne font pas dela climatologie quantifiable (il disent plutôt : la température moyenne sera 2°C en dessous des normes) mais plutôt qualifiable (ils disent souvent : il fera très froid, il fera sec... il pleuvra beaucoup, plus que la moyenne...). Le drame c'est quand les subjectifs commencent à être sur le terrain objectif sans avoir un outil ou un modèle --> gros débat !
  12. ort

    Hiver 2005-2006

    Et oui ! C'est de l'humour. Bien vu Aldo... C'est juste pour rire un peu... et pour voir la réaction de tous ceux qui prenne argent comptant les certitudes des autres. Donc soyez rassuré... l'hiver sera froid neigeux... bref super rigoureux et surtout pas orageux /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Au fait Tom... faut pas devenir paranoïaque et voir Bazire partout. La lecture de mes autres posts sur le site devrait te convaincre que je ne lui ressemble pas du tout. MAis je t'en veux pas
  13. ort

    Hiver 2005-2006

    C'est avec la plus grande des certitudes que je m'oppose catégoriquement à la vague déferlente d'annonce d'un hiver rude pour 2005-2006. Car d'après les positions lunaires et solaires étudiés par les plus grand chercheurs du climat du monde entier, il est absolument impossible d'avoir ne serait-ce qu'une répétition de 95-96 ou 84-85 cette année. En effet les configuration quoique similaire concernant la NAO, l'AO ainsi que par les cycles sont contrecarrés par ce que les scientifiques appellent désormais l'influence lunosolaire. Or cette découverte récente faite il y a quelques semaines par des chercheurs britaniques et norvégiens est absolument stupéfiante. Alors que certains sur ce site cherchent un cycle dans le positionnement de la planète jovienne, la lune elle semblait ne jouer aucun rôle sur le climat. Pourtant une étude approfondie de la distance terre-lune et terre-soleil en corrélation avec le climat a pu être mis en évidence de manière très significative. Il est d'ailleurs étonnant que personne jusqu'à présent ne l'ai remarqué. Ces chercheurs prétendent que la canicule de 2003 était prévisible ou du moins la probabilité d'en avoir une durant l'été 2003 était extrêmement élevée. Ces mêmes chercheurs disent que l'hiver prochain sera plutôt contrasté et annonce un hiver exceptionnellement doux dans le nord de l'Europe et particulièrement pluvieux... à cause d'une distance terre lune très faible qui influencerait le positionnement des anticyclones très à l'ouest, permettant aux dépression d'origine tropicale de remonter sur l'europe de l'ouest. Donc, hiver froid j'y crois pas...
  14. Une petite étude rapide des températures moyennes du mois d'août à Paris le Bourget démontre que depuis 1987 (soit les 14 dernières années) toutes les températures moyennes sont supérieures à la moyenne des 30 (1974 - 2004) ou à la moyenne des 60 dernières années (1944 - 2004). Sauf 1993 ! Et si l'on prend la moyenne 1960-1990, 1993 est juste dans les normes. Ce qui constitue un effet assez marquant (d'autant que dans ma moyenne est pris en compte les années en question). Ce qui signifie pour la mémoire collective qui est très sélective un fait marquant. Si nous avons ne serait-ce que des températures juste dans la moyenne des 30 dernières années nous qualifions ce mois d'août de frais. C'est ce que j'essaie de démontrer dans le post précédent. Ce mois est donc frais pour un subjectif alors qu'il est qualifié de normal pour un scientifique rigoureux. Tout dépend donc où l'on place la référence... Maintenant si je prends un moyenne basée sur les années 1987 à 2004, il est évident que les mois d'août se répartissent assez équitablement. Mais si l'on a un déficit de 0°C par rapport à la moyenne 1960-1990, on a relativement au 15 dernières années vécues un déficit de plus de 2°C actuellement. On peut comprendre que certains ressentent un coup de frais. On a jamais vu des températures aussi froide depuis 1993 et pourtant on est dans les normes d'après la moyenne 1960 - 1990... Alors si on s'achemine vers des moyennes de -2°C par rapport aux normes selon Florent, cela signifiera plus de 4°C de différence par rapport à la moyenne de 1987 à 2004. Un véritable séisme météorologique pour un mois d'août, où nous sommes habitué depuis la fin des années 80 à des records sur record. Donc soyons un peu honnête les uns et les autres et ne nous attaquons pas seulement à coup de chiffre et de moyenne mais raisonnons aussi d'un point de vue quelque peu subjectif. Finalement l'être humain n'est pas une machine mais un être doté de sensation et de sentiment. En cela Florent je comprends ta réaction de parler d'un début de mois d'août frais même si cela ne correspond pas à la réalité brute de certains chiffres. Le mois n'étant toutefois pas terminé, ne tirons pas de conclusion hâtive... car pour l'instant on est dans les normes et tu nous prévoyais au moins -0.6°C... jusqu'à -2.2°C. Même si 2005 serait dans les normes, nous aurions cependant une cassure nette avec les 10 dernières années et 2005 constituerait déjà "une anomalie" que tu as mis en évidence Florent depuis longtemps. Hasard ou réelle coincidence ? Après un juillet râté et une année 2004-5 plutôt en demi teinte, je préférerais pour l'instant ne pas tirer de conclusion... /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  15. Olivier78, je pense que tu as mis le doigt sur ce qui se passe réellement avec le modèle de Florent. Il s'agit d'une corrélation mathématique calculée sur des données passées et la dite corrélation change sans cesse avec les nouvelles données --> ce n'est pas un modèle dont Florent nous gratifie mais uniquement une sorte de régression polynomiale a n degrés basé sur les données de 1842 et suivant. Le tout agrémenter d'une deuxième courbe de régression des années 1890 lui permettant de fournir un indice de confiance mensuel. Bref, c'est pire encore que ce que je pensais, rien à voir avec un quelconque modèle. Florent, s'il te plait, soit objectif et ne minimise pas tes plantages. Admet les chiffres. Tes réponses manquent singulièrement de crédibilité et ne donne pas l'impression que tu sois très sérieux dans tes recherches. Il n'y a aucun mal à avouer être dans le flou. Mais j'aimerais juste dans ce débat apporter une petite question aux statisticiens qui éclairera peut-être la lanterne dans ce débat subjectif (ressenti psychophysique) et objectif (mesure scientifique) que se livre Florent et météor. Si l'on considère l'écart à la moyenne des température d'un mois, peut-on dire que si l'on à un écart de 0°C, on soit réellement dans une configuration neutre. Je m'explique et pour cela j'aurais besoin que les spécialistes m'éclairent quelque peu : la moyenne des températures est basée sur une trentaine au moins de mois d'août (plus si on prend une série plus longue). Parmis ces mois, certains sont franchement plus chaud et d'autres franchement plus froid. Ce qui m'intéresse de savoir est d'une part l'écart type du mois d'août et d'autre part si nous avons une proportion 50/50 ou plutôt 30/70 autour de la température moyenne. Autrement dit, avons nous une proportion égale entre les mois d'août plutôt chaud et plutôt frais où y a-t-il plutôt quelques étés très chaud et une majorité un peu frais ou l'inverse. Cette constatation pourrait sensiblement faire varier la donne entre subjectif et objectif dans ce débat. Car si pour un objectif, un mois dont la moyenne se situe à +-0.5°C est un mois d'août normal, il pourrait être qualifié de plutôt frais par un subjectif qui dirait quand général une majorité des mois d'août sont plutôt plus chaud que la moyenne et seul quelque'uns sont très froid ou juste dans la moyenne. Autrement dit, août est-il un mois très sujet aux grandes variations d'une année à l'autre ou plutôt assez stable et proche de la moyenne (écart type). On pourrait faire la même reflexion pour les autres mois. Cette réflexion me pousse donc à emettre l'hypothèse qu'un simple chiffre indiquant un écart au norme n'est pas forcèment un indicateur d'une fiabilité très bonne. Encore faudrait-il indiquer si cette écart se produit souvent ou non et plutôt dans quel sens. Ceci nous permettrait de mieux cerner l'exceptionnel (d'un point de vue ressenti) de ce que nous percevons, ce que ne peut pas nous donner à lui seul un écart de température sur une moyenne mensuel.
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