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JLB29P

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Cirrus

Cirrus (1/24)

  1. Pendant 30 ans, j'ai souvent passé la Loire, et observé cette pseudo frontière météorologique. Quelques remarques toutefois: J'ai concaténé des cartes relatives aux séismes en France. Les zones les plus actives étant connues (Alpes, Pyrénées, Alsace pour faire simple) une ligne moins active mais significative épouse très grossièrement le cours de la Loire. Il est probable que la Loire comme d'autres fleuves se soit créée en profitant de lignes de fractures Qui dit failles ou volcanisme, dit émanations - plus ou moins importantes et variables en fonction de leur activité - de radon notamment. Sans oublier des différences de potentiel. Cela doit peu influer, sauf sur des phénomènes limites - formation de brume - trajet de la foudre 2°) une masse d'eau a en elle-même un effet sur ces mêmes phénomènes, en mouvement a fortiori. Entendons-nous bien: un fleuve n'a probablement pas d'effet direct sur la météo (les phénomènes ayant leur source à des milliers de km) sauf un bassin fluvial tel que celui de l'Amazone: mais a probablement un effet sur des niveau de transition (condensation...) Si quelqu'un a le temps de chercher les cartes d'impacts de foudre et les relevés météo de stations situées au nord et au sud de la Loire, à partir de cela on pourrait discuter valablement.
  2. Je cherche comment mettre en relation des données météo archivées et le rendement d'une pompe à chaleur (air-eau) qui dépend de son COP, de la température de consigne, de la température extérieure et de paramètres propres à l'installation. De part ma situation géographique, j'accède pour des raisons de proximité aux archives sur (Brest Guipava) http://www.infoclimat.fr/archives/index.ph...-05&s=07110 mais ce n'est pas nécessairement ce qui est représentatif de ma situation particulière (PORSPODER en bord de mer). Ces données sont intéressantes, mais pour une utilisations statistique présentent le gros inconvénient de ne pas être téléchargeables. Si quelqu'un peut les fournir même depuis une station personnelle, je suis preneur... Les courbes fournies par les fabricants de PAC sont très frustres, et mes connaissances en météo et aérolique insuffisantes pour trouver tout seul. J'ai toutefois remarqué une forte incidence des tempêtes et précipitations outre la seule température au sol. Les températures mini et max sont un des éléments possibles, ou une intégration des relevés horaires. Il m'apparait toutefois que la pluie et le vent sont également des éléments à prendre en considération. Ce type d'analyse à très certainement déjà été réalisé, mais où en trouver les résultats ? Sans aller jusqu'à prendre en compte la pression atmosphérique (?), je suis dubitatif devant les données à sélectionner: T° min ? Tmax ? T° moyenne ? T° P. ROSEE ? HUMIDITE ? PRECIP.? VENT MOYEN ? RAFALES ? A T° mini et max très peu différentes, la consommation globale peut varier de 60% d'un jour à l'autre (à T° de consigne et consommation d'eau sanitaire égales). Je ne demande évidemment pas d'indications relatives aux coefficients de ces divers paramètres, sauf si quelqu'un lisant ceci a déjà réalisé ma démarche ou étudié le sujet dans un labo et a obtenu une bonne approximation extrapolable aux PACs. A court terme, je souhaite déterminer quels paramètres météo et avec quels coefficients permettent d'affiner les courbes de rendement des PAC, et à plus long terme, de tenter un asservissement plus fin de leur fonctionnement en tenant compte des prévisions météo à très court terme (quelques heures). Il est par exemple stupide de réaliser un dégivrage alors que les besoins en chauffage sont en fin de cycle et que l'on est dans une journée ensoleillée. Il serait par contre intelligent de "stoker des thermies" en période chaude pour les restituer la nuit, plutôt que de lancer des cycles de chauffage aux heures les plus froides, lorsque le rendement est le plus défavorable (un équilibre tenant compte du cout de l'électricité aux différentes heures est un autre élément facile à calculer) Je n'ai pas à ce jour connaissance d'application de ce type. Une économie de 5% ne présente pas d'intérêt, mais j'ai le sentiment qu'elle pourrait être facilement de l'ordre de 10%. Electronique et informatique aidant, ce n'est peut-être pas utopique.
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