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évolution climatique prés du groenland


Invité pab54000
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Invité pab54000

je lis souvent se forum, mais nécrit que rarement (manque d'expérience) Mais aujourd'hui j'ai une question.

A la vue de gfs depuis quelque jours, les modèles voient une température inférieur 0C au dessus du niveau marin entre l'islande et le groenland pour les jours à venir. D'après se ke je crois la banquise n'ateint jamais l'islande, La récurence de ce phénomène me fait poser la question est ce normal cette prévison de température, à cet endroit??? Y a t'il possibilité de création de glace entre ces 2 terres ( bien que la mer ne gèle que dans des tempéraures bien inférieurs à 0), et enfin ce phénomène peut il avoir des répercussion sur la salinité de l'eau par exemple.

merci aux personnes qui me répondront

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je lis souvent se forum, mais nécrit que rarement (manque d'expérience) Mais aujourd'hui j'ai une question.

A la vue de gfs depuis quelque jours, les modèles voient une température inférieur 0C au dessus du niveau marin entre l'islande et le groenland pour les jours à venir. D'après se ke je crois la banquise n'ateint jamais l'islande, La récurence de ce phénomène me fait poser la question est ce normal cette prévison de température, à cet endroit??? Y a t'il possibilité de création de glace entre ces 2 terres ( bien que la mer ne gèle que dans des tempéraures bien inférieurs à 0), et enfin ce phénomène peut il avoir des répercussion sur la salinité de l'eau par exemple.

merci aux personnes qui me répondront

Avant 2005, il se produisait très souvent un "pont" de glaces flottantes entre le Groenland et l'Islande en fin d'hiver.Mais ce "pont" ne s'est pas reformé ces dernières années.

Tu notes toi-même que l'eau de mer ne peut geler que si sa température descend très sensiblement au dessous de 0°C. De plus ce gel suppose l'expulsion du sel (la glace flottante est de l'eau pratiquement douce), ce qui renforce la salinité (et donc la difficulté à geler) des eaux les plus proches.

C'est d'ailleurs un mécanisme comparable qui, en augmentant la densité des eaux terminalesdu GS, amenait avant 2005 celui-ci à plonger à la verticale au nord de la mer de Norvège.

Enfin, si on observe ces jours-ci des gelées matinales dans l'est ou le centre de la France, qui de plus normal que d'observer des températures encore plus basses au niveau du cercle arctique ?

Alain

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Avant 2005, il se produisait très souvent un "pont" de glaces flottantes entre le Groenland et l'Islande en fin d'hiver.

Mais ce "pont" ne s'est pas reformé ces dernières années.

J'avais lu le contraire, à savoir que ce pont de glace s'était reformé en février 2007, ce qui ne s'était pas vu depuis des décennies. Ci-dessous la dépêche en anglais datant du 4 février 2007, explicite...The oceans may be warming and air temperatures rising, but in recent days Iceland has bucked the global climate trend.

Thick pack ice, the like of which has not been seen for decades, stretched into the western fjords as temperatures plummeted and a bitter wind blew in from -Greenland.

The ice has proved a headache for fishermen, who have been unable to put to sea, but it is what comes with pack ice that has caused most concern: polar bears.

People living around the fjord of Dyrafjördur, which last week was almost filled with the ice, were keeping an eye on the sea, conscious that the bears live on the pack ice that covers much of the Arctic ocean.

When chunks break off, as appears to have happened last week, the bears become stranded, drifting wherever the ice takes them.

There have been numerous accounts of bears making land on the shores of Iceland in the past. But it is the bears who tend to come off worse in encounters with the Icelanders, who take a distinctly unsentimental approach to wildlife.

In 1993, the last time a bear is known to have made it to Icelandic waters, it was caught by a fishing crew and killed. It is believed to have been stranded on a piece of pack ice that broke off the main pack and melted, leaving the animal swimming in the open ocean 70 miles from the main ice sheet. Five years earlier, the last bear to make it to shore was promptly shot when it turned up near the town of Haganesvík in the north of the country.

Coastguard commander Asgrinur Asgrinsson remembers a polar bear coming ashore on the island of Grimsey, north of the mainland, when he was a child. It was shot and stuffed and now has pride of place in the museum in the town of Husavik.

There are thought to be about 25,000 polar bears in the wild and environmentalists have warned that they are in danger of becoming extinct as their habitat shrinks. Climate change scientists say that with temperatures rising, the pack ice may have melted completely by 2040, leaving the Arctic ocean navigable and the polar bears with nowhere to go.

Last week's return of the pack ice to Iceland initially suggested that those predictions might have been overly pessimistic.

"I have lived here my whole life, but I have never seen so much pack ice before," said Helgi Árnason, a farmer in -Dyrafjördur.

"Forty years ago, large icebergs drifted on to beaches but it was nothing compared with this.

"[Pack ice] used to be Iceland's ancient enemy, but we stay calm so long as the situation doesn't worsen. This is just to remind us where we live."

According to the coastguard, the build-up of ice was the result of a combination of a high pressure system to the south of the mainland coupled with winds blowing in from Greenland, 300 miles to the west.

"It looked like the main pack ice had reached the coast," said Mr Asgrinsson. "But in fact it was a piece of the main pack that had broken away."

A report by a panel of international scientists, published on Friday, blamed greenhouse gas emissions for rising global average air and ocean temperatures, the widespread melting of snow and ice, and rising global mean sea levels.

The report said that average Arctic temperatures increased at almost twice the global average rate in the past 100 years.

A recent Nasa study showed that Greenland is losing 53 cubic miles of ice every year, twice the rate in 1996.

The melting polar ice means polar bears are not the only hazard for those living in the region.

Another study suggested that the thaw was luring killer whales further north.

Researchers said the whales were attacking a wide range of sealife, including beluga, bowhead and narwhal whales.

Jeff Higdon, from the University of Manitoba and the Fisheries and Oceans Canada monitoring project, said the increasing areas of open water meant the whales were able to venture farther into the Arctic.

"We've got reports of killer whales attacking every marine mammal in the Arctic," he said.

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En complément de la dépêche ci-dessus, on peut également aller voir les rapports du Iceland Meteorological Center sur la proximité de la banquise des côtes Islandaises, mois par mois depuis 1998 à l'adresse suivante:

http://andvari.vedur.is/hafis/enska/monthly_report/

Ces rapports confirment que la banquise a quasiment rejoint le côtes du nord-ouest de l'Islande fin janvier 2007, ce qui ne s'était a priori pas vu depuis au moins 1998 (cela dit, j'ai l'impression que fin décembre 2001, la banquise n'était pas loin non plus).

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