kéké Posté(e) 9 janvier 2007 Bourth Partager Posté(e) 9 janvier 2007 Je commence à regarder et j'ai déja envio de zaper tellement c'est deja bidon /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
pochetteblanche Posté(e) 9 janvier 2007 Paris 15 Partager Posté(e) 9 janvier 2007 ouais naz La tempête ne sert que de prétexte à une histoire d'amour bidon! Par contre tempête de glace à l'air pas mal... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nicolas 17/69 Posté(e) 10 janvier 2007 Partager Posté(e) 10 janvier 2007 Ahlala vous êtes durs ! Bon j'ai voulu regarder ce film et je dois dire que je m'attendais moi aussi à une grosse *****. Et c'est vrai que la séquence de la tempête proprement dite prête un peu à sourire. Mais déjà ils ont eu la prudence de pas trop en faire, avec un montage très serré au moment où les arbres commencent à dégringoler et une durée générale de la séquence plutôt courte... Et puis surtout après, j'ai trouvé bien faite la reconstitution de l'ambiance d'après-tempête, avec cette sensation d'emprisonnement ressentie à cause des voies impraticables, le retour aux méthodes et matériels d'antan, l'obligation de renoncer à bien des éléments de confort, l'isolement du à l'absence brutale des réseaux de télécommunication... et peut-être surtout le vécu de tout ça sur la durée. L'habitude qu'on prend au fil des jours d'enjamber les arbres ou les branches à chaque instant dès qu'on met le nez dehors... A la fin, ça m'a même rappelé des souvenirs qui s'étaient enfuis entre temps, tels le bruit incessant des tronçonneuses qu'on entend un peu partout. Si les maisons semblaient étrangement épargnées par la tempête (chez nous un certain nombre de maisons laissaient voir leurs entrailles, le toit arraché voire les murs éventrés), en revanche les scènes à l'extérieur dans les bois restaient saisissantes de vérité. Sans parler de l'histoire elle-même qui finalement, s'est révélée beaucoup plus sensible et subtile que je l'aurais cru. Mais ça c'est un autre débat qui dépasse le cadre d'IC. Enfin dernier mérite du film. Ici la tempête c'était Martin et non Lothar, déjà en soi une petite "surprise". Et surtout, je crois que ça se passait dans le Cantal (la voiture des secours était immatriculée dans le 15). Le film rend donc hommage à une région trop souvent oubliée, alors qu'elle avait paraît-il beaucoup souffert de Martin (je me souviens d'un topic à ce sujet). Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant