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Comparaison canicule 2003 et 2006


MICHELF
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Un peu en marge de la canicule (mais lié à la sécheresse dont on recommence à parler), je signale cet article récent du Journal of Climate : une analyse des variations d'humidité estivale en Europe entre 1901 et 2002, sur la base d'une grille 0,5x0,5°.

Les records de sécheresse sont enregistrés dans les années 1940 et 1950 (record absolu 1947), ceux d'humidité dans le milieu des années 1910, les années 1970 et le début des années 1980 (record absolu 1915).

Sur toute la période, il n'existe aucune tendance statistiquement significative, qu'il s'agisse de la durée des sécheresses ou de l'étendue des zones concernées. Ce constat est valable pour les décennies récentes de fort réchauffement.

***

doi: 10.1175/JCLI3734.1

Journal of Climate: Vol. 19, No. 12, pp. 2818–2834. / june 2006

Summer Moisture Variability across Europe

G. van der Schrier

Climatic Research Unit, School of Environmental Sciences, University of East Anglia, Norwich, United Kingdom, and Royal Netherlands Meteorological Institute, De Bilt, Netherlands

K. R. Briffa, P. D. Jones, and T. J. Osborn

Climatic Research Unit, School of Environmental Sciences, University of East Anglia, Norwich, United Kingdom

ABSTRACT

Maps of monthly self-calibrating Palmer Drought Severity Index (SC-PDSI) have been calculated for the period of 1901–2002 for Europe (35°–70°N, 10°W–60°E) with a spatial resolution of 0.5° × 0.5°. The recently introduced SC-PDSI is a convenient means of describing the spatial and temporal variability of moisture availability and is based on the more common Palmer Drought Severity Index. The SC-PDSI improves upon the PDSI by maintaining consistent behavior of the index over diverse climatological regions. This makes spatial comparisons of SC-PDSI values on continental scales more meaningful.

Over the region as a whole, the mid-1940s to early 1950s stand out as a persistent and exceptionally dry period, whereas the mid-1910s and late 1970s to early 1980s were very wet. The driest and wettest summers on record, in terms of the amplitude of the index averaged over Europe, were 1947 and 1915, respectively, while the years 1921 and 1981 saw over 11% and over 7% of Europe suffering from extreme dry or wet conditions, respectively.

Trends in summer moisture availability over Europe for the 1901–2002 period fail to be statistically significant, both in terms of spatial means of the drought index and in the area affected by drought. Moreover, evidence for widespread and unusual drying in European regions over the last few decades is not supported by the current work.

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Personellement je ne me hasarde pas à relier un épisode caniculaire isolé à la tendance avérée au réchauffement climatique. Mais si ces épisodes se multipliaient avec des records de température battus année après année, il faudrait évidemment se poser la question.

Déjà certains climatologues comme Le Treut considérent le lien comme probable, ainsi qu'il apparait dans cette dépéche d'agence (en Anglais, sorry) :

Ta position me paraît sage... et celle de Le Treut un peu étrange. En fait, elle me semble totalement infalsifiable : qu'il y ait canicule (2003, 2006) ou non canicule (autres années), c'est lié au réchauffement. On n'est pas très avancé. On le serait plus si on avait un relevé des Tm estivales depuis le début des mesures, pour connaître la probabilité de deux épisodes caniculaires de dix jours en JJA, sur une période de trois ans et sur une grande partie de la France (ou de l'Europe, si les données existent).
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Déjà certains climatologues comme Le Treut considérent le lien comme probable, ainsi qu'il apparait dans cette dépéche d'agence (en Anglais, sorry) :

EUROPE:

Global Warming, Not Just Heat Wave

Julio Godoy

PARIS, Jul 21 (IPS) - The heat wave sweeping Europe is a direct consequence of the warming of the earth's atmosphere, experts say.

"We are observing and suffering the first effects of global warming," Hervé Le Treut, meteorologist at the French Centre for Scientific Research told IPS.

Petite rectification. Vu ce que déclare Le Treut, il considère le lien canicule-RC comme CERTAIN et non seulement probable.C'est une assertion irréfutable et difficilement explicable de la part d'un scientifique aussi en vue. A moins que ses propres neurones n'aient été touchées par la canicule et que l'effet d'auto-persuasion du à tout ce réchauffement... médiatique n'ait fait son oeuvre.

Une question que je me pose : cet hiver, il a fait un froid de canard et mon cousin qui est cultivateur a perdu une grosse partie de ses plantations du au gel tardif d'avril (!). Pourrait-on spéculer que les chaleurs actuelles (qui sont plutot de la rigolade comparées aux chaleurs d'été dans les climats continentaux d'Europe centrale) ne seraient que la compensation du froid "exceptionnel" des mois précédents ? En quelque sorte, on finirait par avoir de nouveau des vraies saisons quoi.

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Une question que je me pose : cet hiver, il a fait un froid de canard et mon cousin qui est cultivateur a perdu une grosse partie de ses plantations du au gel tardif d'avril (!). Pourrait-on spéculer que les chaleurs actuelles (qui sont plutot de la rigolade comparées aux chaleurs d'été dans les climats continentaux d'Europe centrale) ne seraient que la compensation du froid "exceptionnel" des mois précédents ? En quelque sorte, on finirait par avoir de nouveau des vraies saisons quoi.

L'hiver dernier a été marqué par la persistance du froid en basse couche, cela était dûe à la présence anormale de hauts géopotentiels sur notre pays une bonne partie de l'hiver.

Depuis quelques années (2002), les hauts géopotentiels ont une emprise très importante sur notre pays en toute saison (principalement quand même en hiver).

C'est pour cela, qu'on note une sécheresse marquée sur une bonne partie du pays ainsi que des hivers plus froid et des étés plus chaud.

Le géopotentiel c'est l'altitude à laquelle on atteind une pression donnée.

Comme tu le sais une masse d'air froide est plus dense qu'une masse d'air chaude, donc une masse d'air froid entraînera de bas géopotentiels (comme le vortex polaire) et une masse d'air chaude entraînera de hauts géopotentiels.

En Europe de l'Ouest les hauts géopotentiels arrivent de l'Afrique du Nord, donc si en Afrique du Nord les températures sont plus chaudes que la normale (par exemple à cause du réchauffement climatique), les hauts géopotentiels auront tendance à être plus "puissant" et donc seront plus difficilement délogeable par les dépressions (ce qui est le cas depuis plusieurs années chez nous).

Le réchauffement climatique peut donc expliquer le froid de l'hiver dernier et surtout l'anticyclonisation de cet hiver.

A voir dans les prochaines années.

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Posté(e)
Décines (69), Aeroport St Exupery (69)

Cette notion de "compensation" est des plus farfelue qui soit... Cette idée n'a rien de scientifique, on ne peut rien prétendre expliquer ou prévoir par des "compensations", il faut arrêter avec ça default_w00t.gif

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En Europe de l'Ouest les hauts géopotentiels arrivent de l'Afrique du Nord, donc si en Afrique du Nord les températures sont plus chaudes que la normale (par exemple à cause du réchauffement climatique), les hauts géopotentiels auront tendance à être plus "puissant" et donc seront plus difficilement délogeable par les dépressions (ce qui est le cas depuis plusieurs années chez nous).

Le réchauffement climatique peut donc expliquer le froid de l'hiver dernier et surtout l'anticyclonisation de cet hiver.

A voir dans les prochaines années.

C'est une explication qui me dérange à plus d'un titre :- La tendance au réchauffement existe depuis au moins 2 décennies en Europe de l'Ouest. Or la "continentalisation" du climat selon ton explication des géopotentiels est loin d'etre évidente vu que les saisons ont tendance au contraire à etre beaucoup moins marquées... sauf l'hiver dernier default_w00t.gif

- Depuis le temps qu'on parle d'un réchauffement climatique, si cette explication est valable, on l'aurait vu non ? A voir dans les prochaines années comme tu dis, je veux bien, mais d'ici là, on aurait oublié depuis longtemps cette hypothèse.

- D'après Lindzen, si le climat se réchauffe, le moteur climatique du à la différence de T entre l'équateur et les zones tempérées devrait baisser en puissance. Logiquement, les hauts géopotentiels auraient tendance à etre MOINS puissants (et non plus).

Pour ce qui est de la "compensation", je suis bien d'accord avec Mottoh, je n'ai jamais fait passer ça pour qq chose de scientifique. Ce n'est qu'une réflexion pas plus idiote que celles qu'on entend concernant les catastrophes à venir dus au RC.

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Re bonjour,

- La tendance au réchauffement existe depuis au moins 2 décennies en Europe de l'Ouest. Or la "continentalisation" du climat selon ton explication des géopotentiels est loin d'etre évidente vu que les saisons ont tendance au contraire à etre beaucoup moins marquées... sauf l'hiver dernier

Non ca fait depuis 2002 que nous avons un temps bien plus anticyclonique que la normale avec des saisons plus marqué (surtout les étés).

C'est pour ca que je recherche des données pluviométriques pour l'Espagne et le Portugal entre 80 et 90, si l'explication est bonne, l'Espagne et le Portugal ont du connaître une décennie sèche.

D'après Lindzen, si le climat se réchauffe, le moteur climatique du à la différence de T entre l'équateur et les zones tempérées devrait baisser en puissance. Logiquement, les hauts géopotentiels auraient tendance à etre MOINS puissants (et non plus).

Les géopotentiels sub-tropicaux auront tendance à être plus fort si le climat se réchauffe, c'est de la physique simple.

A l'Equateur, l'air chaud et humide s'élève en altitude et crée la Zone de Convergence Intertropicale, cet air chaud retombe vers le sol aux alentours de 30/35° de latitude et crée la cellule de Hadley (très grande zone de subsidience et donc très grande zone anticyclonique).

Maintenant tu es d'accord que pour refroidir une molécule d'air et donc la faire redescendre, s'il elle est plus chaude et la masse d'air en altitude moins froide il faudra qu'elle fasse plus de chemin et donc on assistera à une extension vers le Nord de la cellule de Hadley.

Tu confonds "puissance" des géopotentiels et remontée vers les hautes latitude à mon avis...

- Depuis le temps qu'on parle d'un réchauffement climatique, si cette explication est valable, on l'aurait vu non ? A voir dans les prochaines années comme tu dis, je veux bien, mais d'ici là, on aurait oublié depuis longtemps cette hypothèse.

J'en sais rien si on l'aurait vu, sûrement que des personnes l'ont vu si elle est juste !

Moi j'essaie de fournir des explications.

qui sont plutot de la rigolade comparées aux chaleurs d'été dans les climats continentaux d'Europe centrale

On peut aussi comparer le climat de la France avec celui du Koweit si tu veux... mais ca ne sert à rien car c'est pas le même climat.

Bonne journée default_dry.png

EDIT : J'ai trouvé un article marocain parlant de la sécheresse :

http://www.lematin.ma/Journal/article.asp?...o&ida=63261

On voit bien que depuis 1980 il y en a plus et bizard (non pas bizard) on retrouve 1930 1945.

Période pendant laquelle la température globale a augmenter

http://www.ens-lyon.fr/Planet-Terre/Infosc...TCO2/T150-2.gif

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Posté(e)
st yrieix le déjalat (19) 750 m / 1800 mm annuel

Moi je dirais que l'on etait sous l'influence del nino depuis fin 2002 c'est pour cela que l'on n'avait plus de vrai flux zonal, mais depuis la nina est revenu mais plutot faible (car avec la nina le flux zonal revient) donc elle n'arrive pas retablir le flux ,mais je pense que cet hiver sera doux et humide .En esperant que el nino ne reviendra pas de façon forte ou moderé.

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Pour revenir à la comparaison entre nos deux canicules qu'on peut encore qualifier d'historiques de nos jours, il s'avère que 2006 est bien plus long que 2003 au niveau des T au dessus de 30°C.

Record en cours de 19 jours CONSECUTIFS au dessus de 30° à LYON BRON, seulement 14 jours en été 2003.

2003 : intensité RECORD

2006 : durée RECORD

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Posté(e)
Décines (69), Aeroport St Exupery (69)

Pour revenir à la comparaison entre nos deux canicules qu'on peut encore qualifier d'historiques de nos jours, il s'avère que 2006 est bien plus long que 2003 au niveau des T au dessus de 30°C.

Record en cours de 19 jours CONSECUTIFS au dessus de 30° à LYON BRON, seulement 14 jours en été 2003.

2003 : intensité RECORD

2006 : durée RECORD

Ca dépend de ce qu'on appelle canicule: pour moi 30°c à Lyon c'est pas la canicule. Je suis plutôt d'accord avec le seuil de MF (tn 20°c / tx 34°c à Bron) pour parler de canicule, dans ce cas là:

- En 2003 on dénombre 26 jours de canicule dont 12 consecutifs en aout 2003

- En 2006 on dénombre pour l'instant 10 jours de canicule... en comptant aussi les 22 et 23/07 ca ferait 12 jours dont 9 consecutifs du 19 au 27/07.

-> 2003, en terme de canicule, surpasse pour l'instant largement 2006 tant en durée qu'en intensité.

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Ca dépend de ce qu'on appelle canicule: pour moi 30°c à Lyon c'est pas la canicule.

Je suis plutôt d'accord avec le seuil de MF (tn 20°c / tx 34°c à Bron) pour parler de canicule, dans ce cas là:

- En 2003 on dénombre 26 jours de canicule dont 12 consecutifs en aout 2003

- En 2006 on dénombre pour l'instant 10 jours de canicule... en comptant aussi les 22 et 23/07 ca ferait 12 jours dont 9 consecutifs du 19 au 27/07.

-> 2003, en terme de canicule, surpasse pour l'instant largement 2006 tant en durée qu'en intensité.

D'accord pour le terme canicule.

Disons alors que juillet 2006 aura connu un nombre consécutif de FORTES CHALEURS incroyablement élevé.

PS: il était temps que ça se calme car la végétation commencait à prendre les couleurs de 2003.

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Posté(e)
Décines (69), Aeroport St Exupery (69)

Disons alors que juillet 2006 aura connu un nombre consécutif de FORTES CHALEURS incroyablement élevé.

C'est sur, ces 50 derniers jours restent exceptionnels pour la stabilité de chaleur, et juillet 2006 est déjà rentré dans les annales, reste juste à préciser à quel rang (1er ou 2e).Le problème c'est que 2003 a placé la barre tellement haut qu'on peine malgré tout à comparer les 2 étés, du moins dans le centre-est... 2003 c'était vraiment un autre monde.
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C'est sur, ces 50 derniers jours restent exceptionnels pour la stabilité de chaleur, et juillet 2006 est déjà rentré dans les annales, reste juste à préciser à quel rang (1er ou 2e).

Pour Lyon, la plus haute marche du podium devrait revenir à 2006, devant 1983, sauf accident de dernière minute.

En effet, les prévisions à 3 jours semblent confirmer le maintien d'une Tm proche de 25°.

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Le problème c'est que 2003 a placé la barre tellement haut qu'on peine malgré tout à comparer les 2 étés, du moins dans le centre-est... 2003 c'était vraiment un autre monde.

C'est clair qu'Aout 2003 fut vraiment au dessus du lot en valeur moyenne mais si on y regarde bien, JUILLET 2006 se placera bien sûr devant JUILLET 2003 mais aussi et surtout devant JUIN 2003 (anomalie de +8° !), pour la Tm à LYON et ce n'est pas anodin.
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Posté(e)
Décines (69), Aeroport St Exupery (69)

A Lyon Bron, c'est acquis, les tn de JUILLET 2006 seront les plus élevées depuis les premiers relevés

(>20°1)

Les Tn d'Aout 2003 sont plus fraiches !

D'ailleurs c'est scandaleux, on était censé avoir un rafraichissement et bien dormir pendant 2/3 nuits à Lyon mais que nenni: après une chute vertigineuse à 18.1°c

hier matin à Bron (du jamais vu depuis 3 semaines!), on étouffe à nouveau dans la capitale des gaules avec 19.2°c cette nuit et 34°c attendus aujourd'hui...

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pour mon secteur, ( merlimont, 62 ), en 2003, juin presentait une temperature moyenne > de 1.8°c a la moyenne mais aucun jours > a 30.°c n avait été observés, juillet etait egalement > de 1.2°c avec seulement 2 jours > a 30.°c, en 2003 la periode de cannicule s etait produite du 1 au 12 avec un maximum de 36.5°c observé le 10, une temperature TX > de 3.6°c a la normale et 5 jours > a 30°c . juin 2006 et , pour les temperature, ainsi que pour les precipitations presque identique a 2003 , mais par contre beaucoup plus ensoleillé d ou des temperatures TN < a 2003. juillet 2006 , pulverise tous les records precedemment enregistrés avec 22 jours > a 25°c, 11 jours > a 30°c, 2 jours > a 35°c et un record absolu annuel relevés le 19 juillet avec 37.6°c. au 30 juillet la moyenne TX est de 27.3°c , > de 1.7°c a aout 2003. donc , aucun doute , chez moi l episode de canicule 2006 depasse de loin 2003. pour aout , on verra, la premiere semaine s annonce deja beaucoup plus fraiche que ce que l on connait depuis le debut juin

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Bonjour,

Je ne sais pas si cela a déjà été évoqué sur le forum , mais Météo France a publié sur son site un très intéressant article sur la canicule de 2006, avec plusieurs comparaisons avec 2003 :

http://www.meteofrance.com/FR/actus/evenem...jsp?docid=25400

Dommage que Meteo France ne possède (ou ne publie) que des relevés effectués la plupart du temps dans les aéroports, souvent loin des centre-ville où les effets de la canicule se font le plus sentir...

D'une part, je ne vois pas comment de cette façon on peut évaluer l'effet urbain alors que l'effet de la canicule est à priori plus fort dans les villes et que c'est dans les villes que se trouve le plus grand nombre de personnes à risque

D'autre part, les relevés effectués ne reflètent pas forcément le climat de la ville, l'exemple que je connais le mieux (mais il y en a surement d'autres) est celui de Saint-Geoirs (publié sous le nom "Grenoble-Saint Geoirs" car il s'agit de l'aéroport de la ville de Grenoble) mais qui se situe à plusieurs dizaines de km de la ville à une altitude et une exposition complètement différentes et qui a un climat très peu représentatif de celui de la ville de Grenoble.

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