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Le trou d'ozone au dessus du Pôle sud proche du re


tony86
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Le trou d'ozone au dessus du Pôle sud proche du record de 2003

Le trou d'ozone au dessus de l'Antarctique a atteint environ 27 millions de kilomètres carrés à la mi-septembre, une taille proche du record observé à la même date en 2003, a indiqué vendredi l'Organisation météorologique mondiale (OMM).

Le Dr Geir Braathen, spécialiste de ce phénomène à l'OMM, estime cependant que 2005 "ne devrait pas battre le record" enregistré en 2003.

"Il est trop tôt pour dire que la situation s'améliore" et que la taille du trou se stabilise, a-t-il expliqué à la presse, à l'occasion de la journée internationale de protection de la couche d'ozone, célébrant l'adoption du Protocole de Montréal le 16 septembre 1987. "La disparition de l'ozone continue à un rythme plus lent mais il nous faudra encore 5 à 10 ans d'observation".Ces dernières années, le trou dans la couche d'ozone, qui est influencé à la fois par les conditions atmosphériques et par la pollution, a atteint sa dimension maximale à la mi-septembre, et parfois vers la fin septembre.

En 2003, le trou avait atteint la superficie record de 28 millions de km2 alors qu'en 2002 il n'avait jamais été aussi petit depuis dix ans.La couche d'ozone de la stratosphère, un coussin épais d'une dizaine de kilomètres, protège la vie sur Terre du danger des rayons ultraviolets (UV). Elle est menacée par la présence de certaines substances chimiques dans l'atmosphère telles que la chlorine émanant de polluants dus à l'activité humaine comme les chlorofluorocarbones (CFC).

Bannis par le protocole de Montréal en 1987, les CFC étaient auparavant largement utilisés dans les aérosols et les réfrigérateurs.

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Posté(e)
34230 Paulhan - Centre Hérault

Tant que le vortex polaire augmentera il y aura problème avec la couche d'ozone même si le taux de CFC est en diminution.

Les trés basses temperatures du vortex polaire l'hiver sont en effet elles mêmes destructrices de l'ozone stratopsherique, or dans le vortex polaire la communication est totale entre troposphère et stratosphère.

Or le global warming est lui même facteur d'augmentation du gradient thermique entre la basse troposphère, la tropopause et la stratospshère.

Ce qui à mon avis conduit à l'apparrition d'un vortex de plus en plus grand, il ya donc correlation avec le taux de Co2 et des autres GES puisqu'ils augmentent ce gradient thermique.

En Terre de feu le système d'alerte est permanent surtout durant le printemps Austral quand le trou est le plus grand à la sortie de l'hiver polaire, en Australie même les taux de cancers de la peau est redoutablement elevé, pourtant l'Australie est bien plus eloignée du pôle sud.

Il est à craindre que le trou Arctique prenne de l'ampleur cette année avec le rechauffement trés important de la zone Arctique ce qui augmentera encore le gradient thermique durant l'hiver polaire et donc constituera un facteur d'extension du Vortex polaire Nord.

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Tant que le vortex polaire augmentera il y aura problème avec la couche d'ozone même si le taux de CFC est en diminution.

Les trés basses temperatures du vortex polaire l'hiver sont en effet elles mêmes destructrices de l'ozone stratopsherique, or dans le vortex polaire la communication est totale entre troposphère et stratosphère.

Or le global warming est lui même facteur d'augmentation du gradient thermique entre la basse troposphère, la tropopause et la stratospshère.

Ce qui à mon avis conduit à l'apparrition d'un vortex de plus en plus grand, il ya donc correlation avec le taux de Co2 et des autres GES puisqu'ils augmentent ce gradient thermique.

En Terre de feu le système d'alerte est permanent surtout durant le printemps Austral quand le trou est le plus grand à la sortie de l'hiver polaire, en Australie même les taux de cancers de la peau est redoutablement elevé, pourtant l'Australie est bien plus eloignée du pôle sud.

Il est à craindre que le trou Arctique prenne de l'ampleur cette année avec le rechauffement trés important de la zone Arctique ce qui augmentera encore le gradient thermique durant l'hiver polaire et donc constituera un facteur d'extension du Vortex polaire Nord.

L'hypothése n'apparaît nulle part à ma connaissance, mais il me semble qu'on pourrait légitimement se demander si un phènoméne comparable à celui expliqué par Torrent ne s'est pas produit pendant la transition Permien-Trias. Le réchauffement estimé à près d'une dizaine de degrès aurait entrainé un fort refroidissement de la haute stratosphère et se serait alors accompagné d'un très large "trou" dans la couche d'ozone. Ceci aurait pu contribuer à la disparition de certaines espéces vivantes au niveau des latitudes élevées. C'est une théorie complémentaire de celles que j'ai décrites dans un autre post. Mais comme je suis fatigué de me battre pour des théories portant sur des questions bien plus importantes pour notre avenir, je ne vais pas essayer de développer cette hypothèse, tout en la consdérant comme tout à fait vraisemblable. Surtout, qu'il n'existe guère de moyen de la prouver, sinon en raisonnant par analogie avec les observations actuelles.

Un moyen (hors de ma portée) de la tester pourrait consister à mesurer de manière plus précise l'élevation de température (et son rythme) pendant cette transition Permien-Trias. Si cette élevation et la perturbation de la composition armosphèrique ne suffisaient pas à expliquer la disparition de tous les organismes vivants sur les terres émergées aux latitudes moyennes et élevées, le reliquat pourrait être considéré comme imputable à l'amplification du rayonnement UV imputable à une réduction de la couche d'ozone.

Un bon sujet de recherches pour ceux qui acceptent se sortir des sentiers battus tout en s'appuyant sur des faits et un raîsonnement scientifique solide. Et qui ne craîgnent pas les "coups de baton" que ne manqueront pas de leur asséner les conformistes des sciences...

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Il est à craindre que le trou Arctique prenne de l'ampleur cette année avec le rechauffement trés important de la zone Arctique ce qui augmentera encore le gradient thermique durant l'hiver polaire et donc constituera un facteur d'extension du Vortex polaire Nord.

C'est au printemps que le trou d'ozone augmente ou diminue.

De l'hiver 1987/88 a 1997/98 les hivers ont ete souvent doux en France mais froid en Islande avec un ao+. Donc le vortex au dessus de l'Arctique a ete fort et la temperature stratospherique de l'hemis. nord a diminuer alors le trou d'ozone a bien augmente. Vers 1997/98 le vortex y est moins fort en hiver (6 hivers faible sur 8) et donc la temperature stratospherique a l'hemis. nord reaugmente, mais doucement. Pour le trou d'ozone je ne sais pas trop dans hemisphere nord.

L'hiver dernier le vortex a ete assez fort au debut et faible a la fin de l'hiver. Donc si l'hiver qui arrive est froid en Europe comme prevu, alors il y aura une diminution de la temperature stratospherique et une augmentation de la temperature vers le pole nord alors le trou d'ozone de l'Arctique risque d'augmenter au printemps.

Williams

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