math92 Posté(e) 30 décembre 2004 35680 Vergéal Partager Posté(e) 30 décembre 2004 voici un article de science et vie Riches en soufres, les pluies acides issues de la pollution industrielle limiteraieny le réchauffement global! C'est la paradoxale conclusion d'une équipe anglo-américaine financée en partie par la Nasa qui travaille sur les marécages. Ces derniers sont en effet responsable d'un tiers des emissions de méthane, un des principaux gaz à effet de serre. Ces émissions proviennent de la dégradation de tourbes et d'acétates par certaines bactéries. Or, le souffre présent dans les pluies acides limite l'activité de ces bactéries en donnant l'avantage à de sconcurentes, consommatrices de sulfates et productices non de méthane mais d'hydrogène! Résultat : en 2004, les pluies acides auraient réduit les émissions de méthane d'environs 160 millions de tonnes. Et d'ici à 2030, le phénomène pourrait ramener le niveau de méthane en dessous de ce qu'il était avant l'ère préindustrielle! "On ne dit pas que les pluies acides sont une bonne chose, précise tout de même Elaine Mathew, chercheur à la Nasa. Notre étude montre surtout que l'effet de serre varie en fonction d'un grand nombre d'interactions et qu'il faut en tenir compte." Qu'en pensez vous? a + Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomar Posté(e) 31 décembre 2004 Partager Posté(e) 31 décembre 2004 Ce n'est pas nouveau du tout. C'est une des explications (avec les aérosols, d'ailleurs c'est lié) données pour le refroidissement des années 50 à 70, années de forte industrialisation avec forte augmentation de consommation de pétrole très soufré. Depuis les normes de pollution ont drastiquement réduit les taux de soufres pour l'automobile et les industries... et les pluies acides ont fortement diminuées dans les pays occidentaux. Pour moi, article très peu pertinent, encore une pierre dans le jardin des négationnistes du réchauffement... (et pourtant je sui loin d'être un excité anti-américain à tout crin). Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
stalbuck Posté(e) 31 décembre 2004 Partager Posté(e) 31 décembre 2004 C'est une des explications (avec les aérosols, d'ailleurs c'est lié) données pour le refroidissement des années 50 à 70, années de forte industrialisation avec forte augmentation de consommation de pétrole très sou Oui , une explication possible, mais désolé, c'est loin d'etre la seule et pas forcément la plus convaincante. Qu'on ne me dise pas que la consommation de petrole souffré n'a pas été énorme pendant la seconde guerre mondiale, c'est à dire 10 ans avant. Qu'on ne me dise pas non plus que la consommation de pétrole souffré a disparu subitement en 1970, les mesures de restrictions de souffre sont arrivés plus tardet très progressivement. Pourquoi occulter systématiquement l'activité solaire, comme si c'était une honte d'en parler. Le document de L'université de Lyon me semble plus représentatif de la réalité, à savoir baisse de l'activité solaire, et en meme temps, poursuite des rejets de CO2 par l'homme, ce qui a aboutit lors de cette période à une stabilisation, voire légère baisse des températures. La suite on la connait, augmentation encore plus forte des rejets de CO2 et en meme temps augmentation de l'activité solaire, les deux cumulés, nous donnant depuis près de 20 ans une augmentation forte des températures (hypothèse, je n'affirme pas). ens lyon Pour moi, article très peu pertinent, encore une pierre dans le jardin des négationnistes du réchauffement Pourquoi ? Quand un article va dans le sens du réchauffement, les négationnistes le trouvent foireux et les autres magnifique, et quand ca va dans le sens contraire, c'est les négationnistes qui sont contents, et les autres trouvent l'article mauvais. Je suis d'accord le titre est très exagéré (tout come ceux sur les craintes du réchauffement en général). Il peut y avoir une place pour des études qui vont dans un sens comme dans l'autre. Les modifications du climat par des causes anthropiques, entrainenet forécment des phénomènes différents, qui dans un cas accentuent le réchauffement, qui dans l'autre l'amoindrissent. C'est la facon de présenter les études scientifiques, avec titres racoleurs qui est dommage. Je ne soutiens pas forcément cet article, ni ne le descend en attendant d'en savoir plus, car comme tous les articles qui sortent, cela mérite d'etre étudier d'un peu plus près pour voir s'il y a quelque chose de réaliste ou non dedans. Si je dis ca, c'est parce que le Giec soutenait il y a encore pas longtemps que la diminution des rejets de méthanes provenait de la baisse des surfaces marécageuses, par des secheresses successives ces dernières années, selon eux dues au réchauffement. Maintenant un autre article nous dit que c'est à cause des pluies acides. Qui a raison j'en sais rien, en attendant, ca fait deux théories contradictoire, et je n'ai aucune idée de quelle est la bonne. Le titre de l'article est quand à lui franchement exagéré. Je trouve qu'on accorde beaucoup d'importance au méthane qui ne représente que 2% de l'effet de serre, d'autant plus que sa durée de vie dans l'atmosphère n'est que de 10 ans , en comparaison avec le CO2 qui a une durée de vie de l'ordre du siècle. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
DidierG Posté(e) 31 décembre 2004 Partager Posté(e) 31 décembre 2004 L 'article ne dit pas non plus qu'il faille rejeter plus de soufre pour éliminer les proportions de méthane... Il s'agit plus d'une piste d'explication sur la baisse récente de la teneur en méthane qu'autre chose à mon sens. A+ Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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