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Message de Sam49

c'est vrai si l'on regarde ce run , mais c'est pas possible!

un anti qui n'en fini pas et qui fait le tour du monde en plus de ça :-)))

Bon et bien il n'y a plus qu'a ce dire que c'est un bug ! mais bon , non ce n'est pas un bug

_________________

Des conditions anticyloniques anticyloniques anticyloniques à perte de vue.

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C'est un cauchemard

_________________

En deux mots : bon courage.

Eh bien moi qui ne croyait pas aux fantômes, je suis bien forcé de l'admettre : le spectre de 2003 est revenu! C'est franchement mal parti, et ce d'autant plus que le printemps est la saison préférée des blocages en tout genre...

Ce sont les big vagues de froid que se prennent les autres régions continentales qui nous condamnent à ce temps là???

Bref...

La situation actuelle est tellement stable que toute prévision à court terme a disparue sur Infoclimat : demain et même après-demain devraient ressembler à aujourd'hui...

L'Europe de l'Ouest se trouve sous une énorme cellule anticyclonique tandis que de gigantesques descentes froides s'organisent simultanément sur l'Amérique du Nord et sur l'Europe de l'Est :dans ces conditions, le mois de février s'annonce bien sec : on retrouve bien cette tendance statistiquement à l'échelle des siècles après les grands étés : dans mes tableaux de tendance j'avais signalé l'éventualité d'un mois de mars sec, ce qui n'empêche pas la période sèche d'être plus large : dans ces mois déjà peu pluvieux en moyenne, cela signifie pas une goutte d'eau à l'horizon.

Néammoins, je ne vois pas là dedans le spectre de 2003, mais bien celui de 1977, 1948 ou encore 1922 : à terme cela nous conduira à un été plus frais que la normale et suffisamment arrosé. Ces années étant toutes particulières dans le détail, le doublet le plus proche pour le moment serait 1842-43... Certaines tendances sont bien cycliques : les analyses que je présente ne sont pas de nature statistique : j'établirai bientôt ici très clairement le lien direct entre cycles solaires et le calendrier des grands hivers en Europe.

Ce lien est plus complexe pour ce qui concerne les étés, mais on peut penser que la situation évolue de la manière suivante. Les hautes pressions pourraient continuer à sévir en mars et même en avril, avec des descentes d'air froid plus à l'ouest : je le redis : attention aux gelées au printemps (de mars à mai, éventuels gros coups de froid à l'échelle de cette saison), 2004 pourrait être désastreuse de ce point de vue. Inversement des coups de canicule précoces en avril, mai, voire début juin à la limite sont envisageable par le même système qu'en août dernier... ce sera normalement moins durable. Année décidément déroutante, il ne faudra plus espérer à priori ce système d'anticyclones sahariens l'été venu, au grand soulagement des agriculteurs, mais au désespoir des vacanciers et des viticulteurs.

Florent.

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J'ai encore du travail et j'ai eu peu de temps la semaine dernière... Mes premiers résultats sont saisissants concernant les hivers : c'est la périodicité à 27 ans des étés que j'ai plus de mal à comprendre, sachant que ce ne doit être que la période dominante comme pour les hivers avec 23 ans, car tous les hivers froids se relient au cycle solaire.

J'ai lu encore un sujet sur un éventuel 2003 bis : je n'y crois toujours pas et ce scénario a de très mince chances de se produire si on observe les séries de données depuis des siècles. J'ai fourni les scénarios qui se produisaient le plus souvent après un opus comme 2003 ici :

Tendances météo moyennes pour 2004

J'ai mis en ligne aussi l'année 2003 car ces grandes tendances se dégagent sur deux ans. On peut constater d'autres part que 2003 correspond fort bien au modèle, les mois de juin et d'août ont même été si chauds que leur écart à la normale a "explosé" au dessus de la fourchette prévue, déjà plus haute que la normale, des températures.

Ensuite, je suis très intéressé par la situation actuelle : comme je vous l'ai expliqué, on peut remarquer que l'on observe fréquemment l'année suivant ce déréglement estival du temps, des vagues de froids courtes, mais pouvant être très prononcées en particulier en mars. Pourquoi ? Parce que comme cette année, les blocages anticycloniques sont encore présents au sortir de l'hiver (même si ils rompent ensuite pour l'été) et nous offre un climat fait plus d'alternance de flux méridiens que zonaux. Dans ces conditions, difficile de trancher entre froid et chaud, nord et sud...

Je le redis encore et ceux qui disent que l'hiver n'est peut-être pas fini ont raison : une coulée neigeuse ou même plusieurs ne sont pas impossible de maintenant au 20 mars.

Si le soleil de mars est bien plus puissant qu'en janvier, ce mois peut exceptionnellement se montrer aussi froid qu'en plein hiver... je relisais hier les chiffres de mars 1845 (le plus froid des annales) pour faire de beaux rêves : avec des températures inférieures à -10° plusieurs fois le matin. Il ne sera pas si froid cette année sans doute, même probablement supérieur aux normales. Mais, si nous en avions un aperçu de 2 ou 3 jours, ce serait déjà quelques chose, si nous en avions plus, ce serait alors en rupture avec une très longue série de mois de mars chauds depuis le début des années 1990 : regardez à nouveau les chiffres du tableau 2, c'est le mois de mars qui a la probabilité la plus grande de descendre loin sous les normales ce printemps mais sa variabilité est très forte (écart-type =2,1) : c'est bon et mauvais : cela indique un temps très tranché, mais qui peut très bien être à l'inverse très doux : si les modèles partent dans le sens de la coulée d'air froid dès le début du mois, c'est très encourageant pour indiquer un sens de la tendance de mars 2004 plutôt versée dans le négatif.

L'été prochain, on voit aussi que les fourchettes partent loin dans le négatif, mais avec une variabilité faible cette fois, surtout en juillet (écart-type = 0,9) : peu de surprises à attendre, on est a peu près sûr d'avoir un temps frais cet été...

Wait and see.

Florent.

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Pas mal comme analyse. Elle mérite d'être lue et retenue. Plusieurs sources, dont Alertes-Meteo et Roeder montrent des coups de froid jusque début avril.

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Je suis heureux que des modèles complexes confirment mes analyses "de mon crû pur jus"... Je n'avais pas connaissance de leurs résultats récents et n'y prête que peu d'attention généralement.

J'ai juste utilisé une série de donnée mensuelle sur 250 ans... dommage que je n'ais pas sorti ça avant 2003, l'année s'est remarquablement tenue dans les fourchettes que j'indique, simplement plutot dans les tranches supérieures en été et inférieures en hiver... j'attends de voir ce qu'il en est pour 2004. Janvier a été tout près de la borne basse, le coup de chaud n'ayant eu lieu que quelques jours après la fin du mois...

Si tous les mois se tiennent dans les bornes que j'ai calculé qui regroupent normallement 67% des valeurs possibles, je serais totalement satisfait. (c'est le cas depuis janvier 2003, sauf pour juin et août qui ont explosé la borne haute, ce qui allait toutefois dans le bon sens). Pour en avoir 95% des valeurs possibles, il faut ajouter la valeur de l'écart type en plus et en moins respectivement à la borne supérieure et à la borne inférieure (vous pouvez tester) : moins de risque de se tromper, mais ça fait trop de marge, je n'ai pas indiqué les chiffres car ce n'est plus une tendance !

Wait and see.

Florent.

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J'attends avec impatience la démonstration "physique" de ces fameux cycles. J'espère qu'à cette occasion des explications des critères retenus pour le choix des étés ou hivers de l'étude (si c'est toujours "la situation isobarique" aucune validité avant le 20 ème siècle).

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Effectivement, s'il existe bien des cycles, il faudrait une démonstration physique (basée sur l'astronomie, et plein d'autres interactions notamment). Ce serait intéressant.

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Curieusement les mois à venir (de maintenant à cet été) seront peut être plus intéressants que les mois d'automne et d'hiver que nous venons d'avoir (plutôt mous et secs).....

C'est très paradoxal

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Il s'agira de démontrer l'existence du cycle des hivers en Europe qui relié assez directement à la périodicité solaire... je n'en reviens encore pas car le soleil suffit seul à tout expliquer à 90% ! Je pense que la température me suffira pour discrétiser les hivers et retenir les plus rudes pour montrer cela.

Il doit exister une relation analogue pour les étés, mais plus complexe (je n'ai pas encore trouvé)... Dans mon étude, j'en suis dans la phase de confrontation : je recherche tous les articles écrits sur le sujet au cas où mes recherches auraient déjà été faites ou trouveraient écho...

J'ajoute que mes dernières recherches ne font pas des dates que j'ai proposé une série erronée et qu'un hiver rude aura bien lieu normalement aux alentours de 2007...

Une petite précision toutefois : mes dernières analyses tendent à montrer qu'il faut l'attendre plutôt jusqu'à 2007 qu'après. Il devient très possible surtout pour 2006, mais même également pas impossible dès 2005, autrement dit l'année prochaine ! Mes pourcentages par année d'occurence seraient à modifier largement, comme les explications fournies à compléter et refondre par conséquent dans l'article que j'avais écrit :

Prévision du prochain hiver rude

Florent.

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ce que tu expliques est interessant, Florent76. D'ailleurs dans le livre de Rene Chaboud "Questions de temps" (1ere edition en 1993), cette periodicite de 23 ans est deja evoquee. fevrier 1956 ne se range pas dans ta logique, mais il faut aussi tenir compte des eruptions volcaniques (cf l'analyse de Marcel Leroux sur le refroidissement temporaire apporte par ces eruptions, "La Dynamique du temps et du climat").

En tous cas la piste est deterministe : l'activite solaire (theorie de Svensmark). Et c'est la plus seduisante. Celle de l'effet de serre est mise a mal, on le voit deja de 1950 a 1980 (refroidissement). En etant objectif, il faudrait approfondir les recherches sur la piste solaire SURTOUT. Et ca, c'est encore une histoire de credits... or la theorie de l'effet de serre paye mieux puisqu'il y a des enjeux economiques derriere... ne soyons pas hypocrites : si certains tiennent autant a la theorie sur l'effet de serre, c'est parce qu'elle constitue un pouvoir contre les industries petrolieres americaines. Alors svp restons dans la science objective, merci.

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"si certains tiennent autant a la theorie sur l'effet de serre, c'est parce qu'elle constitue un pouvoir contre les industries petrolieres americaines"

Qu'est ce qui controlent le monde? C'est évidemment les états unis et leur puissance militaire, economique et financière. Ce n'est pas une domination mais un écrasement total. Il n'y a pas de contre pouvoir à cette domination malgré les fantasmes d'Anecdote et d'autres.

Tout est bloqué, le développement industriel à outrance continue, la surexploitation des richesses naturelles aussi bien en minerais, bois, ou poissons continue. Aucun traité écologique sérieux n'est adopté car les américains (et les russes bloquent) bloquent tout processus.). C'est la loi de l'argent (et c'est pas nouveau) qui controle ce monde et en occident les médicaments sont gaspillés alors qu'en afrique, il n'y en pas car ça rapporte pas aux laboratoires pharmaceutiques.

Les ecologistes n'ont aucun pouvoir dans ce monde malheureusement mais ça fait trop plaisir à certains de croire qu'ils en ont pour pour parler du complot du réchauffement climatique. A qui profiteraient en premier si on découvrait que le c02 industriel n'a aucun impact sur notre environnement? Ce ne serait-ce pas par hasard à ceux qui financent la campagne du président le + puissant du monde? default_tongue.png/emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Je n'aime pas trop non plus parler de complot, Eric.

Tu sais quand meme comme moi que les réseaux financiers contrôlent le monde, des Etats-Unis au Japon, en passant par l'Europe. Ils ont des intérêts convergents, nier cela serait de la naïveté pure et simple.

L'Europe suit de plus en plus les EU en matière de réchauffement climatique, en Belgique on se bat encore une fois entre Régions linguistiques pour savoir qui doit faire plus d'efforts.

Personellement, il faut changer de mode de vie, et je n'attendrai pas que ces serial-killers nous disent ce qu'il faut faire pour commencer. Je n'ai pas mon permis, malgré toutes les pressions que j'ai du subir, je voyage exclusivement en transports en commun, je n'achète pas n'importe quoi, je ne prends pas trop de sacs, je n'utilise pas des c*******s pour un confort superflu qui consomment de l'ozone. L'être humain a besoin de se sentir bien dans sa peau en se mettant en valeur, et d'une certaine façon en se croyant supérieur face à son prochain.

Non, ce n'est pas un complot général, par contre c'est de l'inconscience et du masochisme pour les gens du bas et de l'égoïsme porté à son stade le plus ultra pour les gens du haut. On crèvera tous un jour si on ne réagit pas. Théodore Monod nous manque ... Léo Ferré aussi !

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"Tu sais quand meme comme moi que les réseaux financiers contrôlent le monde, des Etats-Unis au Japon, en passant par l'Europe. Ils ont des intérêts convergents, nier cela serait de la naïveté pure et simple."

pas de la naivete, mais de la malhonneteté intellectuel. Ceux qui crient au complot, à la manipulation sans arret sont les maitres en la matière.

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Un mot en réaction au post d'anectdote.

Si je ne m'abuse Florent n'a jamais parlé de rechauffement ou refroidissement de la planète mais il tente de montrer l'existence de cycles et, eventuellement, de les raccrocher à l'activité solaire.

Mais ce qui me fait rigoler c'est que tu oses écrire : "Alors svp restons dans la science objective, merci"

la science objective : les amp ou le fait de denoncer "la théorie du complot" des tenants du réchauffement...franchement faut oser alors que rien de ce que tu énonces n'a été démontrer scientifiquement. On ne vas pas reprendre les vieilles discussions sur la théorie des amp et ses diverses conclusions mais venant de la part de rois de la réthorique et dés :"c'est évident, on voit bien que..." oser parler de science objective c'est gonflé.

Je me souviens il n'y a pas si longtemps avoir demandé à corps et à cris des prévisions des ampistes, mais sans succés. Alors que de simples images sats suffisent...apparemment...

Quant aux crédits, anecdote tu n'ignore pas que pas mal de modèle météo simple mais assez réalistes peuvent tourner sur un simple pc, alors pourquoi ne pas les utiliser pour nous demontrer l'existence des amp...il suffirait de refroidir le pole, non?

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quand je parle de science objective, je veux dire une science rigoureuse :

1) qui se doit de confronter ses theories aux phenomenes reels (or le schema tricellulaire de Ferrel ne passe pas l'epreuve du satellite, alors pourquoi le garde-t-on ? idem pour la theorie du front polaire)

2) qui ne favorise pas une theorie plutot qu'une autre pour une raison politique (exemple : l'effet de serre).

Les donnees scientifiques actuelles sur le climat ne permettent pas de decouler sur des decisions politiques, ce au regard des nombreuses incertitudes. Or c'est le contraire qu'on observe. Malgre les ecarts importants entre les sorties des modeles climatiques et les phenomenes reels (les poles ne connaissent pas un rechauffement vertigineux). Donc ce n'est pas serieux.

Respirer mieux est une raison suffisante pour baisser les emissions des gaz.

La theorie de l'effet de serre est nettement fragilisee par les observations et la theorie des cycles solaires.

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"quand je parle de science objective, je veux dire une science rigoureuse : "

Ben bien sur, tu parles de science rigouruese alors que les théories que tu utilises ne reposes sur rien d'autre que des interprétations d'images, pas l'ombre d'un lien avec les lois sérieux avec les lois de la dynamique des fluides (sans doutes navier-stokes est bon pour la poubelle), je ne parle pas de démonstration mathématiques qui semblent il ne servent à rien alors que derrière toutes les lois de la physique il y a des concepts mathématiques. Tous les domaines de la physique sont concernés par les mathématiques sauf...l'atmosphère bien sur...

La rigueur c'est de démontrer ce que l'on avance de manière méthodique et suivant les lois de la physique et des concepts mathématiques. Cela fait des siècles que toutes les théories scientifiques sérieuses ont été démontrées ainsi. Mettre un nom sur quelquechose que l'on voit sur une image sat ne suffit pas à prouver son existence.

Pour terminer, en effet le front polaire n'existe pas, d'autres théories sur la cyclogénèse et la frontogénèse ont été avancées depuis plus de 50 ans.

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Lds a raison lorqu'il dit :

Un mot en réaction au post d'anectdote.

Si je ne m'abuse Florent n'a jamais parlé de rechauffement ou refroidissement de la planète mais il tente de montrer l'existence de cycles et, eventuellement, de les raccrocher à l'activité solaire.

Néammoins, je ne donne pas tort à Anecdote lorqu'il prétendait ce qui est certainement proche de la vérité :

En etant objectif, il faudrait approfondir les recherches sur la piste solaire SURTOUT. Et ca, c'est encore une histoire de credits... or la theorie de l'effet de serre paye mieux puisqu'il y a des enjeux economiques derriere... ne soyons pas hypocrites

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Effectivement, les hivers rudes surviennent quelque soit les conditions climatiques... Seulement leur intensité diffère certainement au long des siècles et nous avons bien peu d'éléments pour la mesurer au délà de 3 siècles.

Je pense que le réchauffement d'origine urbain est indéniable depuis le début du XXe siècle : il a toujours existé, mais il s'étend aujourd'hui de plus en plus avec l'effet de la périurbanisation. Je m'étonne que personne n'ai songé à en définir les limites géographiques : c'est ce que je tenterais de faire dans une prochaine étude grâce à un ingénieuse méthode inspirée de travaux universitaires.

Le réchauffement dû à l'effet de serre additionnel d'origine anthropique reste pour l'heure selon moi trop mal estimé pour que l'on puisse en tirer de quelconques conclusions :

- Avec +0,6° estimés il ne dépasserait pas loin s'en faut, en amplitude, les réchauffements naturels survenus dans l'Histoire et est à peine supérieur aux erreurs que l'on pourrait imputer aux appareillages et aux effets de site.

- Il est imputé aux gaz à effets de serre (GES) dont les concentrations dépassent tous ce qui est connu depuis 100 000 ans : si ces gaz ont toujours vu croitre leur concentration en période de réchauffement, on ne sais toujours pas dire si il l'entraine, où si ils covarient en fonction d'un troisième facteur. Pourquoi une hausse des température n'entrainerait-elle pas une augmentation de la biomasse et alors seulement une augmentation du CO2, sans que son taux restant très faible ait un impact majeur sur le climat ? Le taux de GES ne serait alors qu'un indicateur de la température et de l'activité biologique. Une hypothèse qui vaut très bien celle du Global Warming.

- Si l'on démontre finalement que le taux de GES joue directement sur la température : on ne connais toujours pas l'effet des nuages qui en font varier les conséquences du simple au décuple.

Devant tant d'incertitude, je reste donc circonspect devant le scénario du global warming et attends que la recherche avance. Je préconise de faire cesser les émissions gazeuses en prévention, mais surtout pour la salubrité de notre bien commun : l'air. Même si il ne se réchauffait pas, ce n'est pas une raison pour devoir absorber oxydes nitreux, ozone, benzène et autres qui constituent un danger par leur seuls effets cancérigènes et mutagènes.

Pour en revenir à nos blancs moutons, autrement dit nos hivers glacés, les derniers à relier en Europe de l'Ouest le plus directement à l'activité solaire sont 1963, 1970, 1985 et suivants et 1997 et le prochain donc vers 2007. Le fait que 1970 et 1997 aient été relativement moins marqués que ce à dont on aurait pu s'attendre en regard du passé m'interpèle. Même le célèbre 1985 ne se classe qu'à la 15e place sur XXe siècle. Seul 1907, dans la même configuration fut relativement décevant. Les hivers rudes semblent moins sévères depuis 40 ans, sans que je puisse dire encore si ce n'est qu'une facétie climatique ou une réelle tendance ? Ce n'est pas que lié à l'urbanisation, les vagues de froid ont été moins durables que par le passé. Inutile de vous dire que j'attends impatiemment le prochain opus prévu vers 2007 pour confirmer ou infirmer cette hypothèse : les événements climatiques actuels sont à observer attentivement de ce point de vue.

Florent.

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"Le réchauffement dû à l'effet de serre additionnel d'origine anthropique reste pour l'heure selon moi trop mal estimé pour que l'on puisse en tirer de quelconques conclusions :

- Avec +0,6° estimés il ne dépasserait pas loin s'en faut, en amplitude, les réchauffements naturels survenus dans l'Histoire et est à peine supérieur aux erreurs que l'on pourrait imputer aux appareillages et aux effets de site."

Les réchauffements naturels se comptent sur des milliers d'années. Le réchauffement anthropique a 100 ans à tout casser alors je ne vois pas comment on peut mettre ces réchauffements sur le même plan.

Si on était en 2500 après JC et que la température n'avait augmente que de 0.8 degrés depuis 100 ans, Le réchauffement anthropique, on pourrait l'oublier mais là on a pas assez de recul ni pour affirmer ni infirmer comme le font souvent ici quelques internautes quoi que ce soit!

100 ans sur une échelle climatique, qu'est ce que c'est? rien du tout.

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Effectivement, nous manquons de recul et nous ne comprenons même pas entièrement le processus qui conduit aux grands réchauffements à l'échelle géologique cette fois (avec augmentation du taux de CO2) auquel on compare le réchauffement récent.

D'autre part, un simple exemple : les températures peuvent varier bien vite : de 1685 à 1700, la moyenne des température s'est abaissée de 1° environ... la chute qui a conduit aux anées les plus froides du petit âge glaciaire, comme la hausse ensuite ont été soudaines...

Tout reste à démontrer.

Florent.

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De 1685 à 1700, la moyenne des température s'est abaissée de 1° environ c'est lors de periode de maunder soit lorsque l'activite du soleil a aussi fortement chutee. Et donc c'est ce dernier qui en est la cause, ce n'est pas une coinsidence comme c'etait pas la 1ère fois.

Parmis vous est ce que quelqu'un connait des sites avec les donnees en chiffre et pas graphique si possible du taux des gaz a effet de serre les plus important pour voir leur evoltion, ainsi que de l'ozone dans la stratosphere et des aérosols stratosphériques ?

C'est en analysant tout ceci l'evolution de la temperature et l'activite du soleil qu'ont devrait avoir une meilleur idee des cause et consequence du climat

Williams

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