tip1979

Il faudrait avoir la température du point de rosée, s'il est très proche de celui de l'air extérieur (<0.1°K ?), on peut estimer que les conditions de brouillard sont présentes. Ça se passe avec des hygrométries très fortes, ça dépend de la pression et de la température, il est possible que la station fasse le calcul. Il sera givrant si les surfaces où le brouillard peut se déposer sont à une température inférieure à 0°C. Ici un peu plus de lumière et retour de la bruine à la tombée de la nuit. (A cette instant: T°: 10.8°C, T° de rosée 10.4°C, 97% d'HR.)

Ici rien d'exceptionnel, 4ème rang depuis 2007. Cumul depuis le 01/01 : 186.1mm, c'est en dessous de 2016 245.8mm/2009 201.2mm/2014 198.2mm. 2009 avait eu aussi une bonne période avec très peu de précipitation.

Plus que le cumul, c'est la vitesse à laquelle il est obtenu qui fait la crue. Les dix jours de "sec" ont minimisé la durée et donc avec un gros cumul on a une crue importante. Le gros paquet du soir est passé, dans les 8-10mm en sus des 15mm de la journée, le puits est à 5.28m d'eau, loin du record de 5.74m, plus c'est haut plus la décharge est rapide.

Ma station sonique renvoie au pas de 1 s et je calcule la rafale max sur 3 secondes en recherchant les 3 mesures consécutives qui donnent la moyenne la plus haute, rien qu'en 3 mesures il y a déjà des écarts importants (j'ai 9.65% d'écart pour la rafale max du 22/1) entre elles et parfois la meilleure moyenne n'est pas celle qui contient toutes les mesures les plus fortes. Si je prends la tempête du 2 novembre 23 ma rafale max est de 116.92km/h mais les 3 mesures de 1s c'est 116.06, 121.00, 113.69km/h Une mesure sur 3 secondes bien centrée donne sans doute la même résultat mais on rate la plus forte mesure. Avec 12 mesures pour 3 secondes on doit voir des mesures tout aussi variables, peut-être plus forte que la rafale officielle.

J'énonce une généralité , l'ouverture des portes reste de l'anticipation mais c'est sans doute "optimisable", les anglais, les hollandais et d'autres auront le problème, les barrières anti marée et la crue du fleuve barré ne font pas bon ménage. La Vilaine a été baptisée il y a bien longtemps par les locaux pour de bonnes raisons.

Oui, mais la décharge augmentée pour anticiper la suite d'un épisode peut avoir lieu avant que le remplissage devienne contraignant. On augmente le débit vers l'aval en tenant compte des apports en aval pour être à peine en dessous du seuil de crue à l'embouchure pour nos fleuves assez courts. Un barrage "transparent" c'est dangereux, si l'écrêteur de crue voit son débit être surpassé par les apports amont, on risque la surverse et tous les risques qui vont avec. "On" casse un ou deux barrages par an dans le monde à cause de ça. Et ouvrir dans cette situation pour préserver l'ouvrage, c'est rendre la crue pire, mais moins que la rupture de l'ouvrage. Sinon avec un cumul de 147.4mm pour le mois (rang 5 à cette date depuis 2007), j'ai mon puits qui est monté de 70cm en 24 h, soit 1 m depuis vendredi (63.8mm + 2.2 aujourd'hui) Les travaux d'il y a quelques années se révèlent insuffisants.....

Il n'y a personne qui anticipe ? Faire de la place dans un réservoir pour que la crue le remplisse et pas pour qu'elle atteigne le déversoir d'urgence est le B A BA de la gestion d'une onde de crue.

J'ai une pression mini de 975.6hPa vers 21h, ça remonte.

Si c'est l'anémomètre du type de la vidéo du premier message cité (il ressemble fortement), je ne prends pas la mesure au sérieux. Effet de falaise et le bras remonte contre le vent. Par contre il est sûr qu'il y a pas mal de vent... Je réagissais surtout au "imaginer en France", entre la lecture des relevés informatiques lors des suivis à l'aise dans mon fauteuil de maintenant et l'ambiance de l'époque à quelques nautiques à l'ouest de la bouée d'Armen entre les immeubles liquides mobiles plus hauts que la mâture, je choisi mon souvenir.

Il y a des décennies, j'ai subi autant, 17 à 20 m à quelques km des terres de France.

La remontée brutale des températures (1700-1720) chez moi, c'est aussi accompagnée d'un renforcement significatif du vent. Il n'a pas fallu plus de 2mm (chez moi) pour que la température du point de rosée monte au dessus de la température ambiante précédente, d'où la buée remarquée par tous.

Le dimanche étant un jour chômé en Europe parce que consacré au Seigneur du moins en théorie, l'industrie et les transports sont vachement moins gourmand en électricité. Comme la l'autoritarisme d'état impose l'achat obligatoire de l'électricité en fonction de son origine et non de son coût, l'électricité d'origine renouvelable non pilotable est consommée en priorité, les autres sources cessant ou diminuant leur production, au vu des besoins plus faibles. Le pourcentage de renouvelable non pilotable augmente mécaniquement.

Ici, le crachin épais de l'après midi du 6 décembre a permis à 2024 de cumuler à ce jour plus de précipitation que 2014 en totalité, 1246.6 vs 1244.8mm à rapprocher de ma moyenne locale de 995.6mm

La perte de plus de 20% sur l'humidité relative qui a enfin quitté les quasi 100% a fait le job

A date du 1er décembre mon cumul annuel de 1226.4mm est en avance sur 2014 avec ses 1168.7mm. 2014 a fini avec 1244.8 mm, il reste 30 jours à 2024 pour faire mieux (2023 1206.5mm). Tout ça c'est plus de 200mm au dessus de ma moyenne. Ce 1er décembre est mon record depuis 1968 pour la température moyenne (13.7°C), la dernière fois que le besoin de chauffage avait été aussi peu élevé un 1er décembre c'est en 1985 (13.4°C)