Thomas_35 Posté(e) 16 janvier 2010 Partager Posté(e) 16 janvier 2010 Bonjour, Je suis preneur de tous les renseignements sur cette nouvelle orientation (encore une ! désolé j'ai encore créé un sujet). Bien sûr, ce grand laboratoire (le CNRS) détient de nombreux postes dans les métiers de la recherche (biologie, physique, chimie ...) mais la branche qui m'intéresse est celle de la modélisation en météo. En quoi consiste le métier ? Les études requises sont le niveau du doctorat (bac+8) ou l'équivalent mais dois-je m'orienter vers une université de physique, de science, de maths, d'informatique ? Est-ce que le concours est abordable ? PS: J'ai également entendu dire que ce labo avait une réputation de "sans coeur", pourquoi ?. Voilà je crois que c'est terminé , merci d'avance, Thomas. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
pinthotal Posté(e) 16 janvier 2010 Partager Posté(e) 16 janvier 2010 Bonjour, Je suis preneur de tous les renseignements sur cette nouvelle orientation (encore une ! désolé j'ai encore créé un sujet). Bien sûr, ce grand laboratoire (le CNRS) détient de nombreux postes dans les métiers de la recherche (biologie, physique, chimie ...) mais la branche qui m'intéresse est celle de la modélisation en météo. En quoi consiste le métier ? Les études requises sont le niveau du doctorat (bac+8) ou l'équivalent mais dois-je m'orienter vers une université de physique, de science, de maths, d'informatique ? Est-ce que le concours est abordable ? PS: J'ai également entendu dire que ce labo avait une réputation de "sans coeur", pourquoi ?. Voilà je crois que c'est terminé , merci d'avance, Thomas. La voie classique pour les postes d'enseignant-chercheur ou chargé de recherche dans cette branche sera en effet un parcours universitaire en physique poursuivi jusqu'au doctorat en se spécialisant à partir du mastere sur la physique de l'atmosphère. Ensuite l'entrée dans l'un des labos concernés du CNRS se fait par concours sur des projets de recherche. Les places sont chères et bon nombre de docteurs n'obtiennent jamais de poste au CNRS. Les admis ont en général au moins 1 ou 2 stages postdoc à leur actif en plus de leur thèse. Il faudra donc persévérence et patience pour espérer aller jusqu'au bout. Pour travailler en modélisation météo c'est une voie possible mais qui ne sera pas sans embuches. La voie Météo-France n'est pour le coup pas plus difficile et je pense moins périlleuse. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thomas_35 Posté(e) 16 janvier 2010 Auteur Partager Posté(e) 16 janvier 2010 La voie classique pour les postes d'enseignant-chercheur ou chargé de recherche dans cette branche sera en effet un parcours universitaire en physique poursuivi jusqu'au doctorat en se spécialisant à partir du mastere sur la physique de l'atmosphère. Ensuite l'entrée dans l'un des labos concernés du CNRS se fait par concours sur des projets de recherche. Les places sont chères et bon nombre de docteurs n'obtiennent jamais de poste au CNRS. Les admis ont en général au moins 1 ou 2 stages postdoc à leur actif en plus de leur thèse. Il faudra donc persévérence et patience pour espérer aller jusqu'au bout. Pour travailler en modélisation météo c'est une voie possible mais qui ne sera pas sans embuches. La voie Météo-France n'est pour le coup pas plus difficile et je pense moins périlleuse. Merci pour cette réponse . Tu me conseilles la voie Météo-France qui parait moins difficile, j'ai cherché un peu sur l'enm mais je ne trouve pas grand chose à part ça: "Les actions recherche à l'ENM sont menées en étroite collaboration avec les équipes du CNRM, dont l'importante activité est décrite dans le rapport annuel Recherche et Développement de Météo-France. La recherche est représentée à l'ENM par une UFR de météorologie tropicale composée de 4 enseignants-chercheurs et par un enseignant-chercheur dans le domaine des statistiques." En fait on travaille en collaboration avec le CNRM tout en étant fonctionnaire-chercheur à MF ? Par ailleurs, je suppose que le parcours est le même: BAC+8 avec validation de la thèse puis concours ? Merci encore, Thomas. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
pinthotal Posté(e) 17 janvier 2010 Partager Posté(e) 17 janvier 2010 Merci pour cette réponse . Tu me conseilles la voie Météo-France qui parait moins difficile, j'ai cherché un peu sur l'enm mais je ne trouve pas grand chose à part ça: "Les actions recherche à l'ENM sont menées en étroite collaboration avec les équipes du CNRM, dont l'importante activité est décrite dans le rapport annuel Recherche et Développement de Météo-France. La recherche est représentée à l'ENM par une UFR de météorologie tropicale composée de 4 enseignants-chercheurs et par un enseignant-chercheur dans le domaine des statistiques." En fait on travaille en collaboration avec le CNRM tout en étant fonctionnaire-chercheur à MF ? Par ailleurs, je suppose que le parcours est le même: BAC+8 avec validation de la thèse puis concours ? Merci encore, Thomas. Le CNRM est un service de Météo-France donc la majorité de son personnel et de ses chercheurs est du personnel de Météo-France, même si il y a aussi quelques postes de chercheurs CNRS qui y travaillent. Il est donc en effet très possible de travailler en recherche et/ou modélisation météo en étant ingénieur à Météo-France. Le parcours n'est pas du tout le même : rentrer à l'ENM par concours niveau classes prépas (bac+2), suivre les 3 ans d'école d'ingénieur de l'ENM (bac +5) puis faire une thèse après le diplome d'ingénieur. Pendant la scolarité à l'ENM il y a des stages qui peuvent notamment se faire au CNRM et qui permettent de s'aiguiller sur la suite (notamment la thèse éventuelle). Le concours est donc beaucoup plus tôt (bac +2) et ensuite tout n'est plus qu'un compromis entre chance, réussite et patience pour obtenir un poste de recherche au CNRM. C'est parce que la sélection se fait au niveau bac+2 et non au niveau bac+8 que je trouve que cette voie est moins périlleuse (pour être pragmatique tu es payé à partir du bac+2 plutôt que de rester pendant + de 10 ans avec des contrats précaires par la voie universitaire...) Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thomas_35 Posté(e) 17 janvier 2010 Auteur Partager Posté(e) 17 janvier 2010 Le CNRM est un service de Météo-France donc la majorité de son personnel et de ses chercheurs est du personnel de Météo-France, même si il y a aussi quelques postes de chercheurs CNRS qui y travaillent. Il est donc en effet très possible de travailler en recherche et/ou modélisation météo en étant ingénieur à Météo-France. Le parcours n'est pas du tout le même : rentrer à l'ENM par concours niveau classes prépas (bac+2), suivre les 3 ans d'école d'ingénieur de l'ENM (bac +5) puis faire une thèse après le diplome d'ingénieur. Pendant la scolarité à l'ENM il y a des stages qui peuvent notamment se faire au CNRM et qui permettent de s'aiguiller sur la suite (notamment la thèse éventuelle). Le concours est donc beaucoup plus tôt (bac +2) et ensuite tout n'est plus qu'un compromis entre chance, réussite et patience pour obtenir un poste de recherche au CNRM. C'est parce que la sélection se fait au niveau bac+2 et non au niveau bac+8 que je trouve que cette voie est moins périlleuse (pour être pragmatique tu es payé à partir du bac+2 plutôt que de rester pendant + de 10 ans avec des contrats précaires par la voie universitaire...) Merci pour ces informatiques, très utiles et assez "rassurantes". Donc si je résume le parcours que tu me proposes: BAC S -> Classes prépas (2 ans) -> Concours -> ENM formation (3 ans) -> Ingénieur -> Thèse -> Métier chercheur Il est vrai qu'il semble beaucoup plus agréable que celui de l'université. Sinon, est-il possible de passer par le concours TSE puis de passer des concours interne pour devenir ingénieur puis chercheur ? En gros ca suivrait le parcours: BAC S -> Concours TSE -> ENM formation (2ans) -> Technicien météo -> Concours interne -> Ingénieur -> Thèse -> Métier chercheur C'est plus long mais peut être plus facile ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
pinthotal Posté(e) 17 janvier 2010 Partager Posté(e) 17 janvier 2010 Merci pour ces informatiques, très utiles et assez "rassurantes". Donc si je résume le parcours que tu me proposes: BAC S -> Classes prépas (2 ans) -> Concours -> ENM formation (3 ans) -> Ingénieur -> Thèse -> Métier chercheur Il est vrai qu'il semble beaucoup plus agréable que celui de l'université. Sinon, est-il possible de passer par le concours TSE puis de passer des concours interne pour devenir ingénieur puis chercheur ? En gros ca suivrait le parcours: BAC S -> Concours TSE -> ENM formation (2ans) -> Technicien météo -> Concours interne -> Ingénieur -> Thèse -> Métier chercheur C'est plus long mais peut être plus facile ? Oui c'est possible, c'est exactement ce que j'ai fait. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thomas_35 Posté(e) 17 janvier 2010 Auteur Partager Posté(e) 17 janvier 2010 Quelle voie choisir, quelle est celle qui est la plus facile ? Après quelques nouvelles recherches sur l'enm, je crois qu'il faut servir pendant 3 ans MF avant de tenter le concours d'ingénieur: Après trois ans de service, le technicien peut se présenter au concours interne d'ingénieur des travaux ; après 10 ans de service, il peut devenir ingénieur des travaux par voie professionnelle. Du coup une nouvelle interrogation de ma part: faut-il servir aussi pendant 3 ans en tant qu'ingénieur avant de tenter de rentrer au CNRS ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thomas_35 Posté(e) 19 janvier 2010 Auteur Partager Posté(e) 19 janvier 2010 Une nouvelle question ^^: Est-ce que le chercheur peut être amené à se déplacer (mis à part pour les conférences ...) sur le terrain pour faire d'éventuelles expériences ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
pinthotal Posté(e) 19 janvier 2010 Partager Posté(e) 19 janvier 2010 Quelle voie choisir, quelle est celle qui est la plus facile ? Après quelques nouvelles recherches sur l'enm, je crois qu'il faut servir pendant 3 ans MF avant de tenter le concours d'ingénieur: Après trois ans de service, le technicien peut se présenter au concours interne d'ingénieur des travaux ; après 10 ans de service, il peut devenir ingénieur des travaux par voie professionnelle. Du coup une nouvelle interrogation de ma part: faut-il servir aussi pendant 3 ans en tant qu'ingénieur avant de tenter de rentrer au CNRS ? Il faut 3 années civiles d'ancienneté, y compris l'école donc en pratique tu peux passer le concours après 2 ans de service en tant que technicien. Ensuite tu peux démarrer une thèse directement après la formation d'ingénieur, et à l'issue de cette thèse tu peux éventuellement postuler sur un poste de recherche. Dans cette voie tu ne seras pas un chercheur CNRS tu seras un chercheur Météo-France. Pour ton autre question tout dépend de l'objet des recherches, il peut y avoir des missions de terrain occasionnelles mais clairement ça ne sera pas la majorité de ton temps, il faut s'attendre à travailler en bureau devant ton ordinateur. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tooms Posté(e) 23 janvier 2010 Partager Posté(e) 23 janvier 2010 Une nouvelle question ^^: Est-ce que le chercheur peut être amené à se déplacer (mis à part pour les conférences ...) sur le terrain pour faire d'éventuelles expériences ? Si le monde de la recherche t'intéresse, je te conseille de faire le parcours LMD dans la foulée. Je connais pas ton age ni ta situation mais c'est plus facile d'obtenir le doctorat en sortie de master. Pour faire une thèse, tu auras besoin de trois choses : un sujet, un financement et un directeur. Sachant que les places sont chères, il faut avoir un bon niveau et surtout de bonnes relations. Je veux pas te décourager à l'avance, mais c'est une voie qui demande beaucoup de sacrifices, surtout si tu tombes sur un directeur pas terrible ! Et pour répondre à ta question, un chercheur en atmosphère peut se déplacer assez souvent. Tout dépend des projets dans lequel il s'implique. J'ai connu des chercheurs qui sont partis à Concordia en plein Antarctique pour faire des radiosondages ! Le meilleur conseil que je peux te donner, c'est d'y aller à fond ! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thomas_35 Posté(e) 23 janvier 2010 Auteur Partager Posté(e) 23 janvier 2010 Il faut 3 années civiles d'ancienneté, y compris l'école donc en pratique tu peux passer le concours après 2 ans de service en tant que technicien. Ensuite tu peux démarrer une thèse directement après la formation d'ingénieur, et à l'issue de cette thèse tu peux éventuellement postuler sur un poste de recherche. Dans cette voie tu ne seras pas un chercheur CNRS tu seras un chercheur Météo-France. Pour ton autre question tout dépend de l'objet des recherches, il peut y avoir des missions de terrain occasionnelles mais clairement ça ne sera pas la majorité de ton temps, il faut s'attendre à travailler en bureau devant ton ordinateur. Ah oui d'accord, merci. Par contre je trouve qu'on ne dispose pas de beaucoup d'information sur le site de l'enm qui se focalise surtout sur les métiers de techniciens et d'ingénieurs mais pas de chercheurs. S'il existe un site où l'on peut avoir plus d'informations je ne serai pas contre ^^. Enfin, quelle prépa dois-je faire ? Prépa maths sup/spé ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thomas_35 Posté(e) 23 janvier 2010 Auteur Partager Posté(e) 23 janvier 2010 Si le monde de la recherche t'intéresse, je te conseille de faire le parcours LMD dans la foulée. Je connais pas ton age ni ta situation mais c'est plus facile d'obtenir le doctorat en sortie de master. Pour faire une thèse, tu auras besoin de trois choses : un sujet, un financement et un directeur. Sachant que les places sont chères, il faut avoir un bon niveau et surtout de bonnes relations. Je veux pas te décourager à l'avance, mais c'est une voie qui demande beaucoup de sacrifices, surtout si tu tombes sur un directeur pas terrible ! Et pour répondre à ta question, un chercheur en atmosphère peut se déplacer assez souvent. Tout dépend des projets dans lequel il s'implique. J'ai connu des chercheurs qui sont partis à Concordia en plein Antarctique pour faire des radiosondages ! Le meilleur conseil que je peux te donner, c'est d'y aller à fond ! Merci pour ces informations et ces encouragements mais je crois que je vais prendre la voie de l'enm qui parait plus simple pour devenir chercheur à MF et non pas au CNRS (désolé je ne sais pas comment faire pour modifier le titre du topic). Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tooms Posté(e) 28 janvier 2010 Partager Posté(e) 28 janvier 2010 Il me semble qu'une prépa physique chimie serait plus adaptée. Sinon il reste le parcours universitaire, tu fais un master physique atmosphérique et tu tentes le concours spécial maitrise, mais bon les places sont plus restreintes ! Dans tous les cas, tu devras y mettre un bon coup ! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thomas_35 Posté(e) 30 janvier 2010 Auteur Partager Posté(e) 30 janvier 2010 Il me semble qu'une prépa physique chimie serait plus adaptée. Sinon il reste le parcours universitaire, tu fais un master physique atmosphérique et tu tentes le concours spécial maitrise, mais bon les places sont plus restreintes ! Dans tous les cas, tu devras y mettre un bon coup ! Merci pour tout. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thomas_35 Posté(e) 7 février 2010 Auteur Partager Posté(e) 7 février 2010 Une question me revient: Lequel des parcours suivant est le bon ? Soit: BAC S -> Concours TSE -> ENM formation (2ans) -> Technicien météo -> Concours interne -> Ingénieur -> Thèse -> Métier chercheur Ou: BAC S -> Concours TSE -> ENM formation (2ans) -> Technicien météo -> Concours interne -> ENM formation (3ans) -> Ingénieur -> Thèse -> Métier chercheur En gros, une fois qu'on a passé le concours interne d'ingénieur, faut-il refaire une formation ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
pinthotal Posté(e) 8 février 2010 Partager Posté(e) 8 février 2010 Une question me revient: Lequel des parcours suivant est le bon ? Soit: BAC S -> Concours TSE -> ENM formation (2ans) -> Technicien météo -> Concours interne -> Ingénieur -> Thèse -> Métier chercheur Ou: BAC S -> Concours TSE -> ENM formation (2ans) -> Technicien météo -> Concours interne -> ENM formation (3ans) -> Ingénieur -> Thèse -> Métier chercheur En gros, une fois qu'on a passé le concours interne d'ingénieur, faut-il refaire une formation ? Oui bien sûr, pour avoir un diplôme bac +5 il te faut faire les 5 ans d'étude (2 + 3). Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thomas_35 Posté(e) 12 février 2010 Auteur Partager Posté(e) 12 février 2010 Oui bien sûr, pour avoir un diplôme bac +5 il te faut faire les 5 ans d'étude (2 + 3). Ok merci pour cette réponse Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christophe30 Posté(e) 12 février 2010 Saint-Quentin-la-Poterie (30) Partager Posté(e) 12 février 2010 Ok merci pour cette réponse Où en est tu de tes études en ce moment? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jeff04 Posté(e) 12 février 2010 Partager Posté(e) 12 février 2010 Merci pour ces informations et ces encouragements mais je crois que je vais prendre la voie de l'enm qui parait plus simple pour devenir chercheur à MF et non pas au CNRS (désolé je ne sais pas comment faire pour modifier le titre du topic). J'ai modifié le titre /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">Pour le CNRM, en effet il y a du personnel CNRS dans ce laboratoire, mais c'est comme certains l'ont dit, principalement des personnels Météo-France. Après au CNRS, il existe de nombreux métiers qui ont des rapports avec la météo. Sur Toulouse, mes collègues du CNRS (sans oublier ceux de l'Université Paul Sabatier) travaillent au laboratoire d'Aérologie : http://www.aero.obs-mip.fr/ Il y a de la météo dans leurs recherches. Axes de recherche Les processus dynamiques, thermodynamiques et microphysiques qui gouvernent l'atmosphère météorologique, de la petite échelle (convection nuageuse ou couche limite) à celle des perturbations synoptiques, aux latitudes moyennes et tropicales ; La physico-chimie de la troposphère et de la basse stratosphère avec la production naturelle et anthropique, le transport, les flux aux interfaces, l'évolution et l'impact d'espèces chimiques gazeuses et particulaires, avec des développements plus spécifiques concernant d'une part l'ozone, d'autre part les oxydes d'azote, les composés organiques volatils et les aérosols carbonés ; L'océanographie côtière dans ses aspects dynamiques relatifs à la circulation générale, aux forçages et aux perturbations internes ; biogéochimiques avec les cycles associés des principaux éléments ; climatique vers l'étude de l'impact du changement global. Les activités scientifiques des équipes reposent sur deux aspects complémentaires : la modélisation numérique et l'observation, pour lesquels les équipes du Laboratoire d'Aérologie ont des compétences reconnues au niveau national et international. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 14 février 2010 Brest Partager Posté(e) 14 février 2010 Hey Thomas ! Tu es bien motivé, mais prépare quand même un plan B. La météorologie est devenu un domaine d'excellence tourné vers les mathématiques appliquées, qui veut des candidats à son image. Le CNRM c'est le domaine recherche de Météo-France : même si une petite partie seulement de l'énorme travail passe en opérationnel, l'excellence du CNRM fait l'image de Météo-France, notamment pour rivaliser avec l'ECMWF ou le MetOffice. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thomas_35 Posté(e) 16 février 2010 Auteur Partager Posté(e) 16 février 2010 Où en est tu de tes études en ce moment? Je suis en 1ère S. J'ai modifié le titre Pour le CNRM, en effet il y a du personnel CNRS dans ce laboratoire, mais c'est comme certains l'ont dit, principalement des personnels Météo-France. Après au CNRS, il existe de nombreux métiers qui ont des rapports avec la météo. Sur Toulouse, mes collègues du CNRS (sans oublier ceux de l'Université Paul Sabatier) travaillent au laboratoire d'Aérologie : http://www.aero.obs-mip.fr/ Il y a de la météo dans leurs recherches. Merci, ah oui d'accord des axes bien compliqués mais qui ont l'air intéressant. Là encore c'est incroyable le nombre de domaines qui touchent à la météo. Hey Thomas ! Tu es bien motivé, mais prépare quand même un plan B. La météorologie est devenu un domaine d'excellence tourné vers les mathématiques appliquées, qui veut des candidats à son image. Le CNRM c'est le domaine recherche de Météo-France : même si une petite partie seulement de l'énorme travail passe en opérationnel, l'excellence du CNRM fait l'image de Météo-France, notamment pour rivaliser avec l'ECMWF ou le MetOffice. Je ne savais pas que le CNRM avait autant de prestige, ça doit être vraiment demandé, non ? Bah sinon en plan B, il y en a pas lol. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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