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Messages recommandés

Bonjour,

Je suis ravi de vous apprendre que notre second cours (je vous rapelle que le premier concerné les modéles) mensuel de météorologie est désormais en ligne sur Hexagone-météo.

Notre second cours se déroulera en 3 parties.

1ére partie: L'émagramme 731

2éme partie: les nuages, car il est indispensable de connaître ces notions pour continuer sur le cours des radiosondages

3éme et derniere partie: suite du cours sur l'émagramme.

A l'issue de ces cours vous pourrez analyser, comprendre... ces outils météorologiques.

Je vous souhaite une bonne lecture et vous rapelle que des fiches d'exercices pour une meilleur compréhension seront accessible d'ici peu. En espérant que ca vous plaise! default_innocent.gif

N'hesitez pas à donner des commentaires et critiques sur ce sujet!

alexy31

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Salut !

Je viens de lire ton cours. Je le trouve très intéressant.

Lorsque tu dis "Le terme « adiabatique » signifie la montée, l’ascendance…", en fait ce n'est pas tout à fait exact. L'adiabatisme se réfère à un système où il n'existe aucun échange de chaleur entre la particule considérée et son environnement. Seule la pression de la particule s'équilibre avec celle de la pression environnante; sa température n'est pas influencée par l'environnement, mais par sa seule pression. Les particules réelles évoluent dans un système non-adiabatique mais l'emagramme est par contre conçu sur un système adiabatique pour simplifier grandement les calculs. Les erreurs restent généralement faibles par rapport à la réalité. Par contre, à titre d'exemple, dans un système réel tel que notre atmosphère, si on suspend un ballon rempli d'air chaud à pression constante, il se refroidira fatalement au fil du temps jusqu'à s'équilibrer avec la température environnante, alors que dans un système adiabatique sa température n'évoluera pas au fil des heures. Seule la pression changeante de l'environnement aura une repercution sur sa température.

Concernant la dernière partie de ce 1er cours sur les radiosondages, tu expliques bien les notions de stabilité et d'instabilité. Par contre, il existe deux niveaux intermédiaires (ICL et ICS) qui sont capitals pour l'étude des situations orageuses dont le calcul de la CAPE, et un troisième qui a son importante aussi (IS). Mais peut-être est-ce volontaire de ta part et prévu pour le 2eme ou 3eme cours ? default_blink.png

J'ai noté quelques erreurs d'orthographe et de frappe ici ou là. Il y a aussi quelques erreurs d'étourderie (comme on dit courament); par exemple dans le sommaire, les leçons 4 et 5 sont identiques.

Mais, dans l'ensemble c'est un très bon cours. default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

Edit: Je voulais également parler des "microgoutelettes", mais j'avais oublié d'en parler dans mon message. Gombervaux a rectifié le tir. default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Au delà des quelques erreurs relevées plus bas, c'est un dossier joliment fait, well done !

Par contre niveau modèle évite de confondre Thêta et Thêta E ça la fout mal, et front polaire on peut éviter aussi.

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Merci pour ces quelques conseils et critiques.

Je vais tenter de corriger tout ceci.

Pour l'instabilité convective séléctive, et convective séléctive se sera la lecon n°7, c'est à dire celle qui suit.

Mais avant de faire ce cours, le prochain portera principalement sur les nuages car c'est grace aux cours suivant sur l'emagramme que l'on pourra determiner les nuages.

Donc on parlera de l'effet de foehn...

Merci encore

Les avis sont toujours les bienvenus.

alexy31

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et front polaire on peut éviter aussi.

Moi je pense que ce pourrait être une bonne base à l'introduction des deux systèmes de compréhension.Mais faudrait préciser dès qu'on parle des centres d'action et du front pôlaire, qu'on est alors, dans l'approche simplificatice norvégienne de la théorie.
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Moi perso, le terme de front polaire ne me gêne pas trop … Si on met : front polaire = zone barocline de grande échelle, on reste exacte théoriquement. Le souci, c’est que le front polaire a été le fer de lance de la théorie Norvégienne, c’est peut-être pour ça qu’il fait peur ? Mais je trouve que ce n’est pas dramatique conceptuellement parlant si on l’adapte aux théorie dynamique : c’est juste une question de nom.

De la même façon, parler de condition anticyclonique ou dépressionnaire ne me gêne pas du tout : je l’emploie même souvent dans les bulletins, mais à condition de l’entendre comme la situation météo qui amène à l’anomalie de pression, laquelle n’étant qu’une des conséquences de cette situation.

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