seb_méditerranée Posté(e) 21 mars 2006 Partager Posté(e) 21 mars 2006 Bonsoir, Si cela intéresse quelqu'un, je viens de publier mon premier article dans une revue en ligne. Il traite du possible lien entre une profonde anomalie de tropopause et les pluies intenses qui ont touché Alger le 10 novembre 2001. L'article n'étant pas payant, je peux vous le faire passer sans problème. Pour information, je suis en première année de thèse, mon sujet d'étude étant le lien entre les anomalies de tourbillon potentiel en haute troposphère et les événements précipitants intenses en région Méditerranéenne. Cela serait sympa de pouvoir discuter du sujet avec des personnes intéressées. Voici le lien : http://www.copernicus.org/EGU/adgeo/7/adgeo-7-251.pdf Et mon e-mail : seb.argence@cime.org Bonne lecture, Seb Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yann Posté(e) 22 mars 2006 Partager Posté(e) 22 mars 2006 Bonsoir Seb, Est ce l'épisode pluvieux qui a provoqué de nombreux morts et dégâts dans le quartier de Bab el oued à Alger suite à des coulées de boue et inondations par ruissellement pluvial ? Je travaille sur la problématique des risques naturels dans le SE de la France, donc ton sujet et des échanges sur cette thématique pourraient être intéressants. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb_méditerranée Posté(e) 22 mars 2006 Auteur Partager Posté(e) 22 mars 2006 Bonsoir Seb, Est ce l'épisode pluvieux qui a provoqué de nombreux morts et dégâts dans le quartier de Bab el oued à Alger suite à des coulées de boue et inondations par ruissellement pluvial ? Je travaille sur la problématique des risques naturels dans le SE de la France, donc ton sujet et des échanges sur cette thématique pourraient être intéressants. Oui, il s'agit bien de cet événement. Il faudrait me dire ce que tu fais et pour qui tu travailles afin que je puisse voir quels échanges seront possibles. Merci d'avance, Seb Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
js13120 Posté(e) 23 mars 2006 Partager Posté(e) 23 mars 2006 Article très interessant, application concrète des anomalies à la 1.5PVU... Tous les évènements méditerranéens majeurs ont pour cause les anomalies de tropo bien phasées... L'algérie n'est qu'un exemple mais de grande ampleur, à mon avis le lien n'est pas possible mais évident. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
lds Posté(e) 23 mars 2006 Partager Posté(e) 23 mars 2006 Très intéressant cet article en effet et puis une publication dès la première année de thèse chapeau! Cet article m'amène à plusieurs questions orientées sur "la façon de modifier la tropo". Je m'explique : dans l'article il est bien précisé que le choix de réduire ou augmenter le TP à tel ou tel endroit est plus ou moins subjectif. Certes l'image sat permet de voir si l'intrusion sèche est bien 'vue' par le modèle et éventuellement de recaler celui-ci si cela n'est pas le cas. Dans le cas que tu as étudié la localisation semblait assez bonne et le modif du PV est, et vous le dites, assez subjective. Bref on sent bien et on sait bien qu'une ou des modifs de l'anomalie de tropo peuvent améliorer (ou déteriorer parfois) la prévi mais la façon de modifier cette anomalie et surtout les critères de ces modifs sont souvent trop 'subjectifs'. Je précise que cela devient encore plus vrai lorsque l'on veut faire plusieurs prévis (une sorte de prévi d'ensemble comme tu l'évoques en conclusions) car alors l'image sat ne peut à elle seule donner les indications objectives d'un ensemble de modifs. Pourquoi alors ne pas voir si les méthodes déjà existantes utilisées pour la prévision d'ensemble à échelle synoptique permettent de donner des indications sur les zones et la façon de modifier le PV et essyer ensuite un ensemble de prevs à petite échelle en suivant ces choix objectifs. Chaque jour le centre européen, le NCEP et même MF utilisent un ensemble d'états initiaux construits suivant des méthodes spécifiques et qui sont censées représenter l'incertitude sur l'état initial de la prévi. Est-ce qu'une de ces méthodes, utilisées sur cet épisode met en lumière une 'zone snsible' (sensible dans le sens ou l'erreur sur l'état initial y est importante) dans la même région que celle où tu as modifié le PV? Enfin ce que ton travail montre aussi clairement c'est que les modèles locaux à maille fine, si perfectionnés soient-ils, n'améliorent que peu la prévi si l'état à la limite (qui vient d'un modèle à échelle synoptique moins élaboré) n'est pas bon. Bref, construire des modèles à domaine limité hyper-réaliste c'est génial mais si on est pas capable de leur donner un état à la limite qui soit bon alors on va au devant de grosses déceptions. On attendra forcément beaucoup de ces modèles complexes et la déception n'en serait que plus importante. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
js13120 Posté(e) 23 mars 2006 Partager Posté(e) 23 mars 2006 Il y a une superposition de l'image sat et de la 1.5Pvu initialement prévu ensuite on peut se rendre compte des endroits ou ça cloche Néanmoins tu as raison c'est subjectif et ça demande bcp d'expérience. Attendons la mise en service de arôme pour pouvoir juger de l'amélioration apportée... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
CFR Posté(e) 23 mars 2006 Vincennes (94) / Penta di Casinca (2B) / Quiberon (56) Partager Posté(e) 23 mars 2006 Attendons la mise en service de arôme pour pouvoir juger de l'amélioration apportée... Il y a sûrement à ce niveau là des améliorations à apporter à Arome. En effet, j'ai eu la chance de faire un projet récemment qui portait là dessus, et nous avons mis en évidence une mauvaise influence de l'interpolation de l'analyse Aladin sur la prévi Arome. L'analyse/assimilation Aladin n'est probablement pas bien adaptée à Arome, peut être qu'il faudra donc prévoir une analyse propre pour Arome dans le futur... A suivre en tout cas, mais ce n'est plus moi qui m'en occupe mais, notamment, Sylvie Malardel (pour la partie schéma de convection), qui a dirigé notre projet. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 23 mars 2006 Partager Posté(e) 23 mars 2006 Si j'avais eu à traiter de cette expertise, j'aurais essayé de démontrer la dynamique de l'interaction barocline sur la région, entre l'anomalie de tropo et d'éventuelles anomalies chaudes de basse couche. Sur des coupes j'aurais mis en évidence l'existance de noyaux de vitesses verticales propice à la convection, puis avec meso nh le scénario de la convection... Enfin j'aurais cherché l'influence d'un jet suceptible d'amener de l'air sec en moyenne troposphère. Mais bon, l'anglais c'est pas mon fort. Mais j'ai pas trouvé ces éléments. J'aurais, bien sûr, évité de mettre en valeur la dépression saharienne et ses hypothétiques conséquences. Quand à la "subjectivité" de situer la tropo j'y crois pas beaucoup: Elle est là ou le gradient de TP se renforce sérieusement. Il est clair qu'une 1,5 perdue dans un marais (en coupe) ne nous donnera pas la hauteur de la tropo. Faut chercher le "resserement" pour la trouver. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb_méditerranée Posté(e) 23 mars 2006 Auteur Partager Posté(e) 23 mars 2006 Avant toute chose il faut que j'apporte quelques précisions. Les méthodes de prévision d'ensemble pourraient s'appliquer à ce que je fait et me perpettraient notamment de pouvoir repérer les zones sensibles dans les analyses que j'utilise comme états initiaux de mes prévisions. En revanche, aucune de ces méthodes n'est appliquable au modèle (Méso-NH) que j'utilise. Pour l'instant, ma seule option, ou plutôt la plus fiable, est l'étude des images satellites dans le canal vapeur d'eau associées aux analyses de tourbillon (absolu/potentiel). Dans un deuxième temps, je vous dirais qu'il est vrai qu'un grand nombre de phénomènes violents - comme les orages Cévennols, frontaux ou bien les cyclogéneses - qui se forment dans la région Méditerranéenne sont associés à de profondes anomalies de tropopause et ainsi de tourbillon potentiel. Cependant, même si le lien entre les anomalies d'altitude et le développement de tels systèmes intenses a déjà été assez étudié (ce lien n'est pas forcément diect), l'étude de l'influence des anomalies de tourbillon potentiel sur la génération voire la localisation des pluies est encore mal connu. Enfin, il faudrait que je prennes plus de temps pour étaler mes résultats et vous donner plus de précisions sur ce qui est déjà "acquis" car je suis assez pressé. En tout cas, l'intérêt que suscite ces travaux me fait réellement plaisir. Seb Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
js13120 Posté(e) 23 mars 2006 Partager Posté(e) 23 mars 2006 On ne parlait pas tout à fait de la même chose j'ai l'impression, ids parlait de la capacité nouvelle des ingé à agir sur une sortie de run en améliorant l'état initial grâce à une étude compartive de la carte de la 1.5PV et de l'image sat sur le spectre de vapeur d'eau. La comparaison pouvant permettre de recadrer dès le départ une anomalie pas bien placée par le run... et ainsi l'améliorer. Du très beau sur le papier mais concrètement il faudrait voir ce que ça donne en suivant ça dans les prochains n° de atmosphères ou le mag' de la smf. Cependant je suis entièrement de ton avis sur l'analyse avec le phasage de l'anomalie de basse couche. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb_méditerranée Posté(e) 23 mars 2006 Auteur Partager Posté(e) 23 mars 2006 Si j'avais eu à traiter de cette expertise, j'aurais essayé de démontrer la dynamique de l'interaction barocline sur la région, entre l'anomalie de tropo et d'éventuelles anomalies chaudes de basse couche. Sur des coupes j'aurais mis en évidence l'existance de noyaux de vitesses verticales propice à la convection, puis avec meso nh le scénario de la convection... Enfin j'aurais cherché l'influence d'un jet suceptible d'amener de l'air sec en moyenne troposphère. Mais bon, l'anglais c'est pas mon fort. Mais j'ai pas trouvé ces éléments. J'aurais, bien sûr, évité de mettre en valeur la dépression saharienne et ses hypothétiques conséquences. Quand à la "subjectivité" de situer la tropo j'y crois pas beaucoup: Elle est là ou le gradient de TP se renforce sérieusement. Il est clair qu'une 1,5 perdue dans un marais (en coupe) ne nous donnera pas la hauteur de la tropo. Faut chercher le "resserement" pour la trouver. Bien, bien. Je suis tout à fait d'accord avec ce que tu dis, les divers éléments (jet, convection, etc.) ont évidemment été appréhendés mais il faut savoir que cet article porte sur mes travaux rélisés de mars à mai 2005 durant mon stage de DEA donc il s'agit d'une ébauche de ce que nous sommes en train de faire. En revanche, Je pense que je me dois de t'apporter des précisions étant donné que tes propositions sont vraiment très intéressantes : l'événement d'Alger n'est pas directement associé à une cyclogénese intense mais plutôt à une dépressionn déjà creuse (centre à 996 hPa sur le nord de l'Algérie) présentant un gradient de pression plutôt lache. Ainsi, le lien entre l'anomalie de tourbillon potentiel et la situtation météo n'est pas aussi évidente. D'un autre, côté, la cyclogénese qui s'est ensuite développée pour dramatiquement toucher les Baléares est à relier avec le mécanisme d'interaction barocline. En effet, on n'avait pas d'anomalie chaude significative en basses-couches avant que les plus fortes pluies touchent Alger, le gradient de température était très forts mais ne présentatit pas d'anomalie. En ce qui concerne les vitesses verticales, plusieurs points sont à aborder. Dans un premier temps, il faut savoir que la configuration du jet d'altitude n'entraîne aucun forçage particulier du mouvement vertical. Aussi, le schéma selon lequel des ascendances devrait se produire à l'avant de l'anomalie de tropo ne se vérifie pas ici. Il faut plutôt se pencher sur la situation à mésoéchelle pour voir que les orages qui ont frappé Alger ce jour-là sont pluôt la conséquence de conditions favorables dans les basses couches (jet humide de basses-couches, orographie qui entoure la ville, zones de convergence de basses-couches...) Au fait, les coupes verticales de TP sont juste là pour illustrer un des effets de l'inversion de tourbillon potentiel et rien de plus. Il est évident que les zones utiles sont les gradients resséré. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 24 mars 2006 Partager Posté(e) 24 mars 2006 Je me suis interrogé sur le titre : pourquoi cibler le TP, alors qu'apparament l'essentiel est en basse couche? Mais j'ai d'autres interrogations: Pourquoi dire dès le début que c'est un anticylone qui amène l'air froid en Afrique, alors qu'on voit bien que cet air froid glisse tout simplement dans l'anomalie basse de TP, pour arriver à une altitude inférieure à 5000m au plus creux sur le Maroc? Pourquoi donner comme deuxième cause une dépression, alors que leur rôle est essentielement passif. Apparament tu lies situation météo = explication norvégienne. Et donc tu te retrouves dans un cas que la théorie norvégienne ne peut expliquer. Si le but, c'est de faire le lien, bon courage! A mon avis, la situation météo, c'est le sénario à grande échelle : - Arpège (dans ton cas), la tropo, le jet associé; - les basses couches, zones baroclines, jets associés; - étude d'advection d'air sec en moyenne troposphère; A laquelle il faut rajouter : phénomènes locaux (mer, reliefs) convection, avec méso nh. Même si les deux modèles sont couplés, je pense qu'il faut analyser ces deux parties séparément: une partie à l'échelle des ondes de Rossby planétaires, (TP, ThetaE, jets, V V) Une partie à l'echelle plus petite (convection) Pour les V V , la mise en phase de l'anomalie basse avec le jet et les V V est un cas fréquent, et loin d'être général, sinon la convection aurait lieu à coup sûr. Dans cette situation, leur absence serait plutôt mystérieuse. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
lds Posté(e) 24 mars 2006 Partager Posté(e) 24 mars 2006 Avant toute chose il faut que j'apporte quelques précisions. Les méthodes de prévision d'ensemble pourraient s'appliquer à ce que je fait et me perpettraient notamment de pouvoir repérer les zones sensibles dans les analyses que j'utilise comme états initiaux de mes prévisions. En revanche, aucune de ces méthodes n'est appliquable au modèle (Méso-NH) que j'utilise. Pour l'instant, ma seule option, ou plutôt la plus fiable, est l'étude des images satellites dans le canal vapeur d'eau associées aux analyses de tourbillon (absolu/potentiel). Dans un deuxième temps, je vous dirais qu'il est vrai qu'un grand nombre de phénomènes violents - comme les orages Cévennols, frontaux ou bien les cyclogéneses - qui se forment dans la région Méditerranéenne sont associés à de profondes anomalies de tropopause et ainsi de tourbillon potentiel. Cependant, même si le lien entre les anomalies d'altitude et le développement de tels systèmes intenses a déjà été assez étudié (ce lien n'est pas forcément diect), l'étude de l'influence des anomalies de tourbillon potentiel sur la génération voire la localisation des pluies est encore mal connu. Enfin, il faudrait que je prennes plus de temps pour étaler mes résultats et vous donner plus de précisions sur ce qui est déjà "acquis" car je suis assez pressé. En tout cas, l'intérêt que suscite ces travaux me fait réellement plaisir. Seb Moi aussi je dois apporter quelques précisions. Dans mon esprit c'est bien sur les conditions initiales d'échelle synoptique ARPEGE que l'on pourrait tester les méthodes existantes de PE. De la même façon que l'outil d'inversion-modification du PV travaille avec ARPEGE et donne une nouvelle condition initiale modifiée, les méthodes de PE (où au moins certaines d'entre elles) pourraient permettre de faire les modifs de PV (pour le moment on est à échelle synoptique) suivant des critères objectifs (parceque tenant compte de toute la période précédente d'assimilation des obs et donc de construction de l'erreur initiale ou de la dynamique future) et non pas subjectifs. Cela donnerait ensuite un ensemble de conditions initiales aux limites à utiliser avec Meso-NH. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Météofun Posté(e) 24 mars 2006 Partager Posté(e) 24 mars 2006 Diablement intéressant cet article Seb … Très belle démonstration de l’intérêt du TP, et de son inversion, pour des études à petites échelles. On remarque aussi, comme cela a déjà été fait dans des messages précédents, d’un point de vu plus pratique, l’intérêt pour la prévi opérationnelle d’avoir un état initial la plus parfait possible. On note aussi les qualités intrinsèques du modèle Meso NH contenu de la très bonne résolution des précipitations au niveau de leurs intensités. Ceci doit certainement bien mettre en évidence que la reconstitution des phénomènes de basses couches est tout à fait correcte. D’ailleurs, un peu à l’image de ce que souligne certains, dont toi, ce devrai être diablement intéressant de pouvoir faire un lien plus précis des anomalies de TP d'altitude avec les basses couches (anomalies de température, dynamique du flux, … plus généralement, les anomalies de tourbillons de basses couche (disons sous 700hPa)) qui sont primordiales dans l’évolution de systèmes de ce types. Il y a une quantité impressionnante d’articles sur le site de la revue, dont peut-être certains peuvent compléter celui-ci sur un autre angle. Je n’ai pas encore regardé précisément, mais il y a de quoi. Concernant les remarques de Gombervaux, je pense que la description des phénomènes synoptiques avec les explications plus classiques sur le champs de pression, champs de température, … n’est pas problématique à partir du moment où l’on ne cherche pas a expliquer la formation des phénomènes par ce biais. Par contre, l’avantage, c’est d’être quand même bien plus parlant et concret vis-à-vis de ce que l’on peut observer, ceci ne venant que compléter le reste, un peu à l’image de ce qui a été fait dans l’article. Pour le titre de l’article, je pense que c’est lié à la mise en relation entre le TP et la localisation géographique du système (plus que sur son intensité), mais ce n’est qu’un point de vu extérieur. Sinon, c’est vrai que l’approche méthodologique développée par Gombervaux est assez tentante. Tous ces échanges sont passionnants ! @+ Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 24 mars 2006 Partager Posté(e) 24 mars 2006 l'événement d'Alger n'est pas directement associé à une cyclogénese intense mais plutôt à une dépressionn déjà creuse (centre à 996 hPa sur le nord de l'Algérie) présentant un gradient de pression plutôt lache. Ainsi, le lien entre l'anomalie de tourbillon potentiel et la situtation météo n'est pas aussi évidente. D'un autre, côté, la cyclogénese qui s'est ensuite développée pour dramatiquement toucher les Baléares est à relier avec le mécanisme d'interaction barocline. En effet, on n'avait pas d'anomalie chaude significative en basses-couches avant que les plus fortes pluies touchent Alger, le gradient de température était très forts mais ne présentatit pas d'anomalie. Je ne comprends pas que tu parviennes à dissocier la présence d'une dépression et le gradient de température élevé, pour ignorer la présence d'une anomalie chaude.Le gradient de tempé élevé est caractéristique de la présence d'un front; Et si ce front a évolué en dépression, c'est bien sous l'influence de l'arrivée de l'anomalie de tropo, qui a déformé sa zone barocline pour créer ainsi une anomalie chaude dans la zone froide du front.... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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