Aller au contenu

Ce tchat, hébergé sur une plateforme indépendante d'Infoclimat, est géré et modéré par une équipe autonome, sans lien avec l'Association.
Un compte séparé du site et du forum d'Infoclimat est nécessaire pour s'y connecter.

La Terre se réchauffe à un rythme "insoutenable", selon un r


gxxiii
 Partager

Messages recommandés

Posté(e)
Avesnes-sur-Helpe (59, 173 m) / Sautin (Be, Hainaut, 271 m)

On dirait un peu une sorte de "maintenant vous avez le droit de paniquer", validé par notre bon ami Tony Blair...

La Terre se réchauffe à un rythme "insoutenable", selon un rapport officiel

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Que les politiques le déclarent soit et tant mieux si elles prennent en considération les avertissements scientifiques, mais le déclarez ne suffit pas. Le rôle des politiques sur ce sujet est de concrétiser des solutions émises par les scientifiques et les professionelles du probleme. Ca j'attend encore de voir default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

La Terre se réchauffe à un rythme "insoutenable", selon Londres

le 30/01/2006 à 15:47

SGE.FNO41.300106154657.photo00.quicklook.default-245x183.jpg

Image satellite montrant la calotte glaciaire réduite le 29 septembre 2005

© AFP/NASA

LONDRES (AFP) - L'augmentation des gaz à effet de serre provoque un réchauffement du climat à un rythme qui est "insoutenable" et dont les conséquences pourraient être plus rapides et plus importantes que prévu, affirme le gouvernement britannique dans un nouveau rapport.

Les calottes glaciaires autour des deux pôles pourraient commencer à fondre au cours de ce siècle en raison du réchauffement climatique dû à l'augmentation de ces émissions, indique notamment le gouvernement.

"Il est à présent évident que l'émission de gaz à effet de serre, associés à l'industrialisation et la croissance économique d'une population mondiale qui a été multipliée par six en 200 ans, provoque un réchauffement climatique à un rythme qui est insoutenable", affirme le Premier ministre Tony Blair dans la préface de ce rapport.

"Les risques de changement climatique pourraient bien être plus grands que ce que nous pensions", avertit M. Blair.

Le rapport, intitulé "Eviter un changement climatique dangereux", compile les travaux de scientifiques réunis en février 2005 à l'occasion d'une conférence sur le changement climatique, organisée à Exeter (sud-ouest de l'Angleterre).

Il affirme qu'il y a à présent "plus de clarté et moins d'incertitudes" concernant l'impact du changement climatique que ne le pensaient dans leur rapport de 2001 le Groupe d?experts intergouvernemental sur l?évolution du climat (GIEC).

Celui-ci affirmait à l'époque qu'"il y a de sérieuses preuves que le changement climatique dû aux émissions humaines de gaz à effet de serre se produit déjà et que les émissions futures de gaz à effet de serre vont probablement augmenter les températures globales d'entre 1,4 et 5,8 degrés celsius au cours de ce siècle, avec un large éventail d'impacts sur la nature et les sociétés humaines."

Or, affirme le rapport du gouvernement britannique, "dans bien des cas, les risques sont plus sérieux que précédemment estimé".

Pour exemple, il cite "le récent changement qui se produit dans l'acidité de l'océan", ce qui "va probablement réduire la capacité d'absorber le dioxyde de carbone (CO2) de l'atmosphère et affecter la chaîne alimentaire marine dans sa totalité".

Et avec de telles hausses de la température moyenne de la Terre, les conséquences sur la géographie de la planète seront majeures, estiment les scientifiques.

Selon eux, une augmentation de 1,5 degré celsius à l'échelle de la planète pourrait ainsi être un seuil qui déclenche la fonte de la calotte glaciaire du Groenland, tandis qu'une augmentation de la température globale d'environ 1 degré pourrait mener à un blanchissement du corail.

Le rapport estime également que des solutions technologiques pour réduire de manière significative les émissions existent, et leur coût pourrait être "plus petit", parfois moitié moins, que ceux considérés jusqu'à présent.

Un éventail d'options "est nécessaire et exclure n'importe quelle option va augmenter les coûts", indique-t-il, en évoquant notamment les échanges de quotas des émissions de CO2.

Source : http://www.ladepeche.com/dep_art.asp?rub=u...154704.xhwhrt55

Florent.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Posté(e)
34230 Paulhan - Centre Hérault

Que les politiques le déclarent soit et tant mieux si elles prennent en considération les avertissements scientifiques, mais le déclarez ne suffit pas. Le rôle des politiques sur ce sujet est de concrétiser des solutions émises par les scientifiques et les professionelles du probleme. Ca j'attend encore de voir default_online2long.gif

Je crois que tu pourras attendre longtemps, il n'y a qu'à voir comment ils traitent les problèmes de raréfaction de la ressource halieutique par exemple.

Le gouvernement British etait bien plus discret quand les reserves pétrolières de la Mer du Nord etaient pleines à rabord, pour la Dame de Fer la pollution c'etait les papiers gras que les gens laissaient trainer dans les squares et rien d'autre.

Seule une castastrophe majeure pourra les amener à prendre des décisions mais il sera alors trop tard...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Partager

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...