williams Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 toute l'influence de la position du soleil par rapport au barycentre tient en une seule formule : V = Ve + Vr + 2.oméga.Vr Si la distance du soleil au barycentre qui est le repère galiléen normal et approximatif pour le système solaire ( il faudrait encore tenir compte de la rotation autour du centre de la galaxie, etc....), alors Ve , vitesse d'entraînement varie.... ce qui sur un milieu ( le plasma solaire) sans cohérence mécanique ( du moins on le pense mais personne n'est allé le vérifier ) a une influence sur les éruptions solaires qui sont les plus porteuses d'énergie, notamment dans l'invisible ! Je pense qu tu as raison mais la tu compare 2 echelles de temps de la variation de la vitesse du soleil. Car le soleil met entre 250 et 300 millions d'annees pour accomplir un tour autour du coeur de la Voie-Lactée a une vitesse moyenne de à 240 km/s. Il aurait execute que 15 a 18 fois le tour de notre galaxie. Il est aussi anime d'une oscillation d'une periode de l'ordre 30 millions d'annee autour du plan de la galaxie. Et ces periodes aurait ete trouve dans l'histoire climatique de la Terre. Donc la variation de la vitesse du la distance du centre de la voie-lactee.... varie lentement. Et la variation dont je parle est sur 15 a 23 ans ce qui proche des cycles solaire connu. Les differentes orbites du centre de gravite du Soleil autour du barycentre du Sys. solaire se reproduisent séquentiellement avec une periode 178 ans tout comme on le voie. Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alain Coustou Posté(e) 28 février 2005 Auteur Partager Posté(e) 28 février 2005 Il me vient à l'esprit que j'ai téléchargé à partir d'un site de météorologie deux cartes de l'extension des glaces dans l'hémisphère nord au 7 février, en 2004 et 2005 (exactement 1 an d'intervalle). La carte de 2005 fait bien apparaître une réduction de superficie d'environ 1 million de km². En particulier, le Spitzberg est totalement en eaux libres, contrairement aus années précédentes. La tendance semble donc bien à une réduction sensible de la banquise, en été comme en hiver, en extension comme en épaisseur. A Méteor: Il ne faut pas oublier qu'il se produit une saturation progressive de l'effet de serre imputable à un gaz donné, dès lors qu'il existe dèjà dans l'atmosphère. Un doublement du CO2 n'est donc susceptible d'entrainer à lui seul qu'un réchauffement direct de quelques degrès au maximum. mais il y a d'autres facteurs qui interviennet et les effets de synergie et de rétroaction (positive ou négative) peuvent effectivement énormément faire varier les conséquences. Alain Coustou Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 28 février 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 28 février 2005 Pour Meteor, globalement d'accord avec tes calculs, j'ajouterais que le pourcentage ramené au sol est du même ordre, que ce soit 2w sur 1368 ou que ce soit 0,5w sur 342 ca ne change rien, sachant que la T° de la Terre est de l'ordre de 288° Kelvin 283 si on enleve la T° de fond cosmique on arrive grosso modo à prés d'1° par 0,5W un peu moins en fait. Sachant que la constante solaire etait dans les maxima de 1366 en moyenne au debut du XIXe siecle au debut de l'ère industrielle date des reference du GIEC qui chiffre la hausse depuis cette époque à 0,6° et que dans les années 1980 à 2000 elle a ete de l'odre de 1368 dans les maxima. Cela représente etrangement la hausse enregistrée depuis, je ne nie pas l'impact des GES mais il me semble agir à la marge et l'activité solaire est toujours et de loin prédominante. Par ailleurs je repete une Nième fois que 100 ppm de Co2 de plus (380 en etant large au lieu de 280 avant l'ère industrielle) cela ne fait jamais que 0,01% de la composition globale de l'atmosphère et je n'arrive pas à croire que cela puisse avoir amené une hausse de cet ordre quand on sait que la vapeur d'eau est de 1% soit 30 fois plus que le taux de Co2. Ma position est cependant trés différente en ce qui concerne les CFC et la couche d'ozone là il y avait bien impact gravissime de l'effet anthropique sur la biosphère, là dessus je suis entierement d'accord. Tout comme il y en a un par la deforestation, par l'exploitation non mesurée de la ressource hydraulique (Mer d'Aral par exemple). Tout comme il y en a un par la destruction de la biodiversité, comme il y en a un avec l'exploitation des ressources fossiles, comme il y en a un par l'impact des produits chimiques utilisés dans l'agriculture etc ... Je suis trés attaché à la preservation de la nature mais je ne suivrai pas ceux qui pour justifier une cause inventent de nouveaux concepts scientifiques en partant sur des bases que j'estime erronés. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 A Méteor: Il ne faut pas oublier qu'il se produit une saturation progressive de l'effet de serre imputable à un gaz donné, dès lors qu'il existe dèjà dans l'atmosphère. Un doublement du CO2 n'est donc susceptible d'entrainer à lui seul qu'un réchauffement direct de quelques degrès au maximum. mais il y a d'autres facteurs qui interviennet et les effets de synergie et de rétroaction (positive ou négative) peuvent effectivement énormément faire varier les conséquences. Alain Coustou Oui oui je suis bien d'accord avec toi.D'ailleurs la meilleure preuve de cette saturation est que l'effet de serre naturel est responsable d'environ 31 °C de température supplémentaire dont 33% seraient dus au CO2 et le reste à H2O.(en première approche et pour fixer les idées) Donc 280vpm de CO2 seraient responsables de ,grosso modo,10°C. Bien que l'effet ne soit pas linéaire ,s'il n'y avait pas saturation ,on pourrait dire que 720 vpm(le double de la teneur actuelle) seraient responsables d'une élévation de l'ordre de 20°C soit +10°C par rapport à la situation actuelle, ce qui est manifestement faux. Je crois qu'il existe une loi reliant l'augmentation de ture au log de la teneur en CO2. Je ne sais pas ce que tu utilises dans tes modèles. à plus Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
GD Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 Par ailleurs je repete une Nième fois que 100 ppm de Co2 de plus (380 en etant large au lieu de 280 avant l'ère industrielle) cela ne fait jamais que 0,01% de la composition globale de l'atmosphère et je n'arrive pas à croire que cela puisse avoir amené une hausse de cet ordre quand on sait que la vapeur d'eau est de 1% soit 30 fois plus que le taux de Co2. Parce qu'ils n'ont pas le même effet radiatif en particulier ... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 Par ailleurs je repete une Nième fois que 100 ppm de Co2 de plus (380 en etant large au lieu de 280 avant l'ère industrielle) cela ne fait jamais que 0,01% de la composition globale de l'atmosphère et je n'arrive pas à croire que cela puisse avoir amené une hausse de cet ordre quand on sait que la vapeur d'eau est de 1% soit 30 fois plus que le taux de Co2. Ben oui mais si tu admets un effet de serre naturel ce que personne ne conteste et qui a été maintes fois calculé (encore une fois c'est l'application des lois physiques de l'absorption) l'effet de forçage radiatif naturel du CO2 est bien de l'ordre de 10°C.Il est donc normal qu'un doublement ou même que 30% de plus ait une influence. La faible teneur que tu cites ne veut rien dire en soi. Les autres gaz diatomiques n'ont que très peu de pouvoir radiatif. Au regard de ce que tu n'admets malheureusement pas je comprends mieux tes réticences. Je ne sais pas ce qui te pourrais te faire changer d'avis. Une démonstration mathématique peut-être?(mais pas de moi) Tu sais pour revenir au faibles teneurs ,une dose de quelques dizaines de mg de KCN (cyanure de potassium) tue un homme en quelques dizaines de secondes. L'exemple est idiot mais si on calcule la teneur du KCN par rapport au corps humain soit environ 1ppm ,voire moins,il y a de quoi réfléchir sur le danger des faibles teneurs. Pour la vapeur d'eau par rapport au CO2 ,c'est comme comparer le CO2 aux CH4,CFC,NO2,... Ils n'ont pas les mêmes pouvoirs d'absorption car les molécules ne sont pas identiques. Leurs pouvoirs vibrationnels rotatoires et linéaires ne sont pas les mêmes. Donc à ne pas comparer. Le problème c'est que si l'on remet en question en permanence les lois physico-chimiques ,c'est vrai qu'on ne peut plus avancer ni discuter en aucune manière de l'effet de serre. A moins que ce que j'ai appris au cours de mes études soit complètement faux ,va savoir.(ou diront les méchants que je l'ai mal assimilé,mais dans ce cas je ne suis pas le seul) à plus Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 Pour Meteor, globalement d'accord avec tes calculs, j'ajouterais que le pourcentage ramené au sol est du même ordre, que ce soit 2w sur 1368 ou que ce soit 0,5w sur 342 ca ne change rien, sachant que la T° de la Terre est de l'ordre de 288° Kelvin 283 si on enleve la T° de fond cosmique on arrive grosso modo à prés d'1° par 0,5W un peu moins en fait. peit complément Pour revenir sur la relation flux radiatif reçu par le sol et la température ,je rappelle qu'il faut utiliser la loi de Wien : Phi = sigma * T ^ 4 Avec sigma = constante de Stefan-Boltzmann = 5.67 10 -8 W/m2.°K-4 Par exemple si on considère un flux incident moyen de 342 W/m2 avec un albédo de 30% ,soit la situation sans effet de serre on trouve : T = (342*0.7/ sigma) ^0.25 = 255 °K soit -18 °C . C'est bien la température qu'il y aurait sur Terre sans ES.(cela valide bien l'application de cette loi) Pour connaître l'influence d'une variation de flux dans la zone des 286 °K,il suffit de dériver l'expression ci-dessus. Et l'on obtient dphi =4 T^3 sigma dT Ou dT = dphi / 4 T^3 sigma Par exemple pour un dphi égal à 0.5W/m2 (cas solaire) on obtient une variation de température de 0.094°C soit moins de 0.1°C. Pour un dphi de 5 W/m2(cas ES) la variation de température est de 0.94 °C. Cette variation est donc 10 fois plus forte. Ceci c'est la théorie en l'absence de rétroactions ,or comme je l'ai dit plus haut ,et comme le dit Alain Coustou,il y a des rétroactions qui amplifient le phénomène que l'on soit en refroidissement ou en réchauffement. C'est pourquoi il est bien probable que pdt le petit âge glaciaire la baisse de température mondiale ait été de 0.5 à 1 °C. Ce qui est considérable et peut engendrer des hivers à tendance glaciaire en Europe. L'argument est vrai aussi dans l'autre sens mais pas forcément avec le même facteur d'amplification. A plus Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 28 février 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 28 février 2005 Ce qui m'épate dans cette histoire là c'est que l'on semble considerer que tout vient de ces malheureux 0,036% de Co2 à qui nous devons l'effet de serre et cette difference de 33° entre les -18° theoriques et les +15° constatés. Je vais poser une question, innocente, doit on considerer que l'azote et l'oxygène de l'air ont un effet de serre nul? En d'autres termes puisque le fluide en question provoque notre belle couleur bleue dans l'atmosphère il est deja évident que son solde en termes d'effet de serre n'est pas nul sans quoi elle serait d'une transparence parfaite. Et sans doute autrement important que celui du Co2. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
GD Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 Tiens Torrent, un petit texte utile pour toi... Le savant suédois Arrhénius (1859-1927), prix Nobel en 1903 et un des fondateur de la chimie physique, publie : "On the Influence of Carbonic Acid in the Air upon the Temperature of the Ground" Philosophical Magazine 41, 237-276 (1896). Dans cet article, il calcule que si le dioxyde de carbone disparaissait en entier de notre atmosphère, dont il n'occupe que les trois dix millièmes en volume, la température du sol diminuerait de 21°C. Il estime que l'effet de cet abaissement de température serait que la quantité de vapeur d'eau diminuerait à son tour. La vapeur d'eau étant également en cause dans l'effet de serre, un nouvel abaissement de température presque aussi grand devrait se produire. La disparition de moitié de la quantité de CO2 existant causerait un refroidissement de 4°C. La diminution jusqu'au quart de la proportion actuelle ferait perdre 8°C. Par contre, l'augmentation du double du volume de CO2 actuel devrait permettre de gagner 4°C. Il en conclue que l'activité industrielle de l'humanité civilisée pourrait être une solution technique pour repousser la prochaine ère glaciaire ! Il lie en fait définitivement la dérive anthropogénique de l'effet de serre et l'utilisation industrielle des combustibles fossiles (charbon et hydrocarbures). Arrhénius, qui cite longuement son collègue géochimiste Arvid Gustaf Högbom (1857-1940), est donc le premier à situer le problème dans le cadre du cycle du carbone. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 Ce qui m'épate dans cette histoire là c'est que l'on semble considerer que tout vient de ces malheureux 0,036% de Co2 à qui nous devons l'effet de serre et cette difference de 33° entre les -18° theoriques et les +15° constatés. Je vais poser une question, innocente, doit on considerer que l'azote et l'oxygène de l'air ont un effet de serre nul? En d'autres termes puisque le fluide en question provoque notre belle couleur bleue dans l'atmosphère il est deja évident que son solde en termes d'effet de serre n'est pas nul sans quoi elle serait d'une transparence parfaite. Et sans doute autrement important que celui du Co2. cher Torrentsi cela peut te rassurer j'ai du mal moi-même à m'y retrouver dans tous ces phénomènes d'absorption atmosphérique. Je crois que c'est d'une complexité assez prodigieuse et lorsque tu parles couleur du ciel tu parles rayonnement visible. Que dire des absorptions dans les domaines des UV et de l'IR. Personnellemt j'ai tendance à croire ,comme je te l'ai déjà dit ,les physiciens de l'atmosphère et les spécialistes de la spectro mais j'aimerais avoir une confirmation plus chiffrée et si possible avec les formules de calcul aboutissant à ces résultats.Je ne parle que des calculs concernant une sphère simple entourée d'une atmosphère diatomique où on ferait varier les concentrations en CO2,H2O,CH4,... Or à mon grand désespoir je n'arrive pas à trouver un site où ces calculs sont décrits avec précision. J'aimerais qu'Alain Coustou puisse éclairer ma lanterne,mais il est resté un peu trop vague à ce sujet. J'ai une formation d'ingénieur chimiste et je pense pouvoir comprendre certains calculs mais je dois dire que pour l'instant je suis dans le cirage pour aller plus loin. C'est pourquoi puisque nous avions quelqu'un qui paraissait connaître les méthodes de calcul j'ai un peu râlé qu'on remette le solaire sur le tapis. Enfin je ne suis pas le seul sur ce forum, mais encore une fois ,si quelqu'un peut donner une adresse utile... à plus Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
GD Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 Peut être parce que ca n'est pas si simple que ca...non tu ne crois pas? Déjà un simple calcul de combustion sans aucune autre chose que CH4 et air fait intervenir 900 réactions chimiques alors une atmosphère qui doit composer avec de multiples recombinaisons, tu penses bien! Je pense que le calcul d'Alain Coustou doit être détaillé dans le livre mais j'aurai aimé (sans le choquer) trouver une caution plus scientifique qu'un livre où l'on peut écrire ce que l'on veut au bon vouloir de l'éditeur! Mais M.Coustou l'a expliqué il débute un peu dans le domaine et donc doit faire ses gammes! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 28 février 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 28 février 2005 Reponse à GD, je ne suis pas convaincu par la citation de ton chercheur vu qu'il est decédé il y a 80 ans déja, à cette époque on savait pas mal de choses mais surement pas autant que maintenant, et aussi on ne se souciait pas de la préservation de la biosphère ni de la deforestation et le problème demographique mondial ne se posait pas non plus. Les interractions, effets de catalyse, retroactions, albedo sont nombreuses et il n'est pas facile de trouver des reponses détaillées, comme Meteor je pense qu'on ne sait pas tout y compris sur ce qui se passe au niveau de l'Azote et de l'Oxygène, ils doivent eux aussi jouer un rôle non nul dans l'effet de serre de l'atmosphère terrestre, j'ai cité le bleu c'est le domaine du visible, l'O3 ozone stratospherique agit en se rechauffant lorsque les UV frappent ses molecules, son pouvoir d'absorption est justement ce qui nous protège, les autres molecules ne reagissant pas autant que lui à ces UV. Pour Alain Coustou il peut revenir quand il le voudra ici, j'espere même qu'il le fera car il a posé un veritable problème avec ces chlarates de methane, même si je suis sceptique sur ses conclusions et perspectives modélisées. Quant à remettre le solaire sur le tapis c'etait disons un peu une reaction, pas plus même si j'ai des reserves il n'est pas question de remettre en cause l'effet de serre dans le rechauffement climatique il y a eu par contre volonté de developper par rapport à une certaine mode qui va même jusqu'à nier cet impact. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
williams Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 Je ne sais pas c'est ce que tu cherches Meteor mais voici les equations que j'ai trouve. Avec une formation d'ingénieur chimiste tu devrais t'y retrouver. Le total de l'irradiation solaire sur la planète est la somme de l'irradiation solaire directe, de l'irradiation solaire diffuse du ciel et de l'irradiation reflètée par la terre Constante solaire de rayonnement (au dessus de l'atmosphère) (rayonnement solaire en dehors de l'atmosphère) =1367*(1,00011 + 0,034221 * COS((2*PI()*(((mois-1)*30)+jours))/ 365)) Radiation directe IDN = A / (Exp (B / sin(µ))) A = Irradiation solaire apparente de la masse d'air à 0 µ = Altitude solaire source : http://www.thermexcel.com/french/program/bilanth1.htm Dans le site http://www.ifremer.fr/cersat/fr/research/sensors/cours4.html et http://www.univ-brest.fr/master-p2mc/cours/PO1_01.pdf il y a des infos et equations qui vous seront peut etre utile. Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 Peut être parce que ca n'est pas si simple que ca...non tu ne crois pas? Déjà un simple calcul de combustion sans aucune autre chose que CH4 et air fait intervenir 900 réactions chimiques alors une atmosphère qui doit composer avec de multiples recombinaisons, tu penses bien! Je pense que le calcul d'Alain Coustou doit être détaillé dans le livre mais j'aurai aimé (sans le choquer) trouver une caution plus scientifique qu'un livre où l'on peut écrire ce que l'on veut au bon vouloir de l'éditeur! Mais M.Coustou l'a expliqué il débute un peu dans le domaine et donc doit faire ses gammes! Je suis d'accord avec toi ce n'est vraiment pas simple.Je trouve que ceux qui savent devraient accepter de divulguer leurs calculs avec le maximum de détails. Il y a une telle polémique à ce sujet que je pense la plus grande transparence ultra-nécessaire. à plus Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 Je ne sais pas c'est ce que tu cherches Meteor mais voici les equations que j'ai trouve. Avec une formation d'ingénieur chimiste tu devrais t'y retrouver. Le total de l'irradiation solaire sur la planète est la somme de l'irradiation solaire directe, de l'irradiation solaire diffuse du ciel et de l'irradiation reflètée par la terre Constante solaire de rayonnement (au dessus de l'atmosphère) (rayonnement solaire en dehors de l'atmosphère) =1367*(1,00011 + 0,034221 * COS((2*PI()*(((mois-1)*30)+jours))/ 365)) Radiation directe IDN = A / (Exp (B / sin(µ))) A = Irradiation solaire apparente de la masse d'air à 0 µ = Altitude solaire source : http://www.thermexcel.com/french/program/bilanth1.htm Dans le site http://www.ifremer.fr/cersat/fr/research/sensors/cours4.html et http://www.univ-brest.fr/master-p2mc/cours/PO1_01.pdf il y a des infos et equations qui vous seront peut etre utile. Williams euh merci Williams c'est pas tellement ce que je cherche.Mais tes formules m'intéressent tout de même.Je cherche à connaître le forçage radiatif des GES en fonction de leur teneur,de leur spectre d"absorption IR, ,du spectre IR émis par une surface (terrestre ou autre si possible),du flux reçu,etc. C'est pas évident ce que je demande. à plus Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alain Coustou Posté(e) 28 février 2005 Auteur Partager Posté(e) 28 février 2005 C'est d'autant moins simple que même les spècialistes ne sont pas d'accord entre eux sur la part et même - pour certains - sur la réalité de l'effet de serre dû au CO2. C'est pour ça, qu'après avoir trouvé des formules différentes et des résultats divergents, je préfére m'en tenir à une fourchette d'estimations. En ce qui concerne la vapeur d'eau, le phénomène est encore plus compliqué par le fait que sa pression partielle varie considérablement en fonction du lieu et de la température. Sans compter l'altitude. Pour les autres GES, le calcul de leur PRG se fait par rapport à une masse initiale identique de CO2. Les estimations de ce PRG (pouvoir ou potentiel de réchauffement global) varient légérement selon les sources, mais dans de faibles proportions et je retient les estimations les plus souvent citées, comme le GIEC (par exemple 23 dans le cas du méthane pour un horizon d'une centaine d'années). L'azote et l'oxygène sont toujours considérés comme n'exerçant pas d'effet de serre notable. Cet effet dépend par ailleur extrémement peu de la transparence des gaz, pratiquement identique pour la plupart d'entre eux. l'absence éventuelle de transparence aurait d'ailleurs une conséquence allant peut-être dans dans le sens du refroididssement en augmentant l'albédo, comme c'est le cas pour la plupart des aérosols (et comme ça semble aussi être le cas dans la stratosphère pour le CO2 lui-même). Alain Coustou Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 C'est d'autant moins simple que même les spècialistes ne sont pas d'accord entre eux sur la part et même - pour certains - sur la réalité de l'effet de serre dû au CO2. C'est pour ça, qu'après avoir trouvé des formules différentes et des résultats divergents, je préfére m'en tenir à une fourchette d'estimations. Merci pour ta réponse franche mais qui m'inquiète un peu à vrai dire.Vas-tu exposer tes calculs avec les formules employées et si possible quelques explications sur ton site? On est pas obligé de connaître toutes les démonstrations dans tous les domaines scientifiques , mais ce cas soulève de telles polémiques et concerne tellement notre avenir (plus en tous cas pour le moment que le problème de l'expansion accélérée de l'Univers) qu'il serait peut-être judicieux de jouer au maximum cartes sur table. à plus Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
GD Posté(e) 28 février 2005 Partager Posté(e) 28 février 2005 Reponse à GD, je ne suis pas convaincu par la citation de ton chercheur vu qu'il est decédé il y a 80 ans déja, à cette époque on savait pas mal de choses mais surement pas autant que maintenant, et aussi on ne se souciait pas de la préservation de la biosphère ni de la deforestation et le problème demographique mondial ne se posait pas non plus. Les interractions, effets de catalyse, retroactions, albedo sont nombreuses et il n'est pas facile de trouver des reponses détaillées, comme Meteor je pense qu'on ne sait pas tout y compris sur ce qui se passe au niveau de l'Azote et de l'Oxygène, ils doivent eux aussi jouer un rôle non nul dans l'effet de serre de l'atmosphère terrestre, j'ai cité le bleu c'est le domaine du visible, l'O3 ozone stratospherique agit en se rechauffant lorsque les UV frappent ses molecules, son pouvoir d'absorption est justement ce qui nous protège, les autres molecules ne reagissant pas autant que lui à ces UV. Pour Alain Coustou il peut revenir quand il le voudra ici, j'espere même qu'il le fera car il a posé un veritable problème avec ces chlarates de methane, même si je suis sceptique sur ses conclusions et perspectives modélisées. Quant à remettre le solaire sur le tapis c'etait disons un peu une reaction, pas plus même si j'ai des reserves il n'est pas question de remettre en cause l'effet de serre dans le rechauffement climatique il y a eu par contre volonté de developper par rapport à une certaine mode qui va même jusqu'à nier cet impact. Torrent, tu ne sais pas qui est le bonhomme...?Renseigne toi tu connaitras les lois d'arhenius et leur importance en cinétique chimique et sur les lois exponentiels... Là je suis désolé mais c'est de la pure base théorique vérifiée expérimentalement! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alain Coustou Posté(e) 28 février 2005 Auteur Partager Posté(e) 28 février 2005 Ce qui est étonnant avec Arhenius, outre le fait qu'il est le premier à avoir compris l'effet de serre, est que ses calculs, bien que souvent effectués "à la louche", ont pratiquement été validés par la suite par les chercheurs disposant de moyens bien plus performants. Pour ma part, je connais mes limites et c'est pourquoi je pose à peu près autant de questions que j'émets de propositions ou que je propose des explications. Et, honnêtement, non, je n'ai pas toujours les moyens de me prononcer avec certitude entre diverses affirmations de spécialistes. Ainsi, quand j'indique pour le CH4 un prg de 23 pour un siècle, c'est parceque c'est la valeur qui semble faire autorité (reprise dans les rapports de GIEC et par une majorité de spécialistes). Mais on trouve quelques textes faisant état de 20 ou de 25 (valeurs que j'écarte comme minoritaires et me semblant correspondre à des approximations). Par contre les quelques valeurs très différentes (plus faibles) que l'on trouve ici ou là correspondent à une différence méthodologique identifiable, les auteurs qui y font référence raisonnant "à volume égal" et non "à masse égale". Le fait que le CH4 soit sensiblement moins dense que le CO2 explique alors ces écarts. Personnellement, je raisonne toujours "à masse égale", comme celà est fait entre autres dans les travaux du GIEC. Alain Coustou Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alain Coustou Posté(e) 1 mars 2005 Auteur Partager Posté(e) 1 mars 2005 Ceci peut interesser ceux qui s'interrogent sur les explications astronomiques du réchauffement climatique. Le numéro de mars 2005 de la revue Ciel & espace consacre un interessant dossier à ce sujet, intitulé "le Soleil complice du réchauffement". j'aimerais que ceux qui ont réfléchi à la question, nombreux ici, donnent leur avis sur ce dossier. On y trouve également un article sur la circulation thermohaline. Alain Coustou Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alain Coustou Posté(e) 12 avril 2005 Auteur Partager Posté(e) 12 avril 2005 Juste un message pour informer les participants aux forums "climatologie" que l'ouvrage que j'avais annoncé est paru en EBook à la librairie en ligne Eons dans la collection "Dossiers". Titre: "TERRE, FIN DE PARTIE ? La dérive climatique, un risque majeur" Le livre est disponible en téléchargement (aux formats Adobe PDF et Mobipocket, mais je recommande d'utiliser le format PDF) sur http://www.eons.fr (Une fois sur le site, cliquer sur "nouveautés". "Terre, fin de partie ?" est signalé dans les publications d'avril 2005. Cliquer ensuite sur "fiche détaillées" pour accéder à la présentation et aux extraits du texte). Je pense que sa lecture donnera à réfléchir et montrera à ceux qui en douteraient encore que, si rien n'est vraiment simple en matière d'explication et de prévision de l'évolution climatique, il serait désastreux de rester les bras croisés. Aux autres, la masse de données, de raisonnements et de calculs apportera sans doute des éléments de réflexion et des pistes pour les actions à promouvoir. En fait, avec cet ouvrage, j'espére à la fois participer à la prise de conscience et réveiller ceux qui se berceraient de la mortelle illusion d'une absence de risque. Alain Coustou Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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