Heyoka Posté(e) 6 octobre 2004 Partager Posté(e) 6 octobre 2004 Bonjour à tous, J'aurais 2 questions à vous poser à propos de la mesure des précipitations: J'ai pu lire sur internet que plus on se rapproche du sol et plus la quantité d'eau recueillie est importante, de ce fait quel peut être la différence de mesure d'un pluviometre placé à environ 2 metres du sol par rapport à un autre situé à 1 metre du sol comme le veut la norme française? Doit on comptabiliser l'eau recueillie dans le pluviometre du fait de la condensation extérieur le matin, car au bout d'1 mois d'été celle ci représente souvent un cumul d'au moins de 4 ou 5mm. Merci. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
mm91 Posté(e) 6 octobre 2004 Gif sur Yvette (plateau, alt. 163 m). NO Essonne. 30 Km SO de Paris. Partager Posté(e) 6 octobre 2004 1/ Je ne vois pas quel phénomène peut jouer. A part les éclaboussures des gouttes qui tombent à côté si on est très près du sol. A mesure que les gouttes tombent, elle peuvent peut-être se ré-évaporer ou se re-condenser mais cela doit être absolument infime sur quelques mètres. 2/ A mon avis non car cela serait très dépendant des différences de température entre l'air et le réceptacle. C'est bien pour ça qu'on emploie le terme de "précipitations": on doit mesurer ce qui tombe et non l'humidité de l'air (qui est mesurée par ailleurs avec l'hygromètre). On rejoint ici la discussion sur ce même forum sur l’amélioration d’un pluviomètre : Si on augmente trop la surface et qu’on améliore le glissement (avec le polish auto de Chris.teatcher. ou de la bombe téflon comme j’avais essayé!) on va recueillir de la condensation en plus des précipitations, ce qui n’est pas le but recherché. Il vaut mieux laisser les gouttes de condensation s’évaporer plutôt que de chercher à les faire tomber dans le pluvio. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
M. Gagnard Posté(e) 7 octobre 2004 Violay, Loire, 830 m alt. Partager Posté(e) 7 octobre 2004 Bonjour, Depuis le 1er juillet 1996, la rosée est comptabilisée dans les précipitations. MG http://meteo.chez.tiscali.fr.chez.tiscali....r/indexclim.htm Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
mm91 Posté(e) 7 octobre 2004 Gif sur Yvette (plateau, alt. 163 m). NO Essonne. 30 Km SO de Paris. Partager Posté(e) 7 octobre 2004 Depuis le 1er juillet 1996, la rosée est comptabilisée dans les précipitations. OK, dont acte !Mais au fait, sait-on mesurer séparément la rosée et la pluie ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 7 octobre 2004 Partager Posté(e) 7 octobre 2004 J'ai pu lire sur internet que plus on se rapproche du sol et plus la quantité d'eau recueillie est importante, de ce fait quel peut être la différence de mesure d'un pluviometre placé à environ 2 metres du sol par rapport à un autre situé à 1 metre du sol comme le veut la norme française? Doit on comptabiliser l'eau recueillie dans le pluviometre du fait de la condensation extérieur le matin, car au bout d'1 mois d'été celle ci représente souvent un cumul d'au moins de 4 ou 5mm. Merci. Si dans certains cas, c'est vrai, je ne pense pas que ça ait été quantifié.Reste que le pluvio étalon MF à Trappes est au raz du sol; qu'une norme n'est pas une obligation, que si la hauteur de la bague de réception est à 1 m c'est pour homogénéïser les mesures. La rosée : definition dans le glossaire de MF sur son site : De par les aléas de son bilan radiatif , la surface d'un objet peut s'être suffisamment refroidie pour provoquer la condensation directe de la vapeur d'eau contenue dans l' air ambiant : il s'y forme alors un dépôt de gouttelettes d'eau, la rosée, dont on sait comme elle orne les plantes. La rosée se dépose habituellement en fin de nuit, par ciel clair et vent calme , sur des objets proches du sol et refroidis par le rayonnement nocturne ; elle peut apparaître aussi sous forme de buée lorsqu'un air chaud et humide rencontre un objet froid. Tu y trouveras aussi la definition de la pluie. La différence de mesure avec la rosée se fait par la mesure de la couverture nuageuse.... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Heyoka Posté(e) 8 octobre 2004 Auteur Partager Posté(e) 8 octobre 2004 Merci pour vos réponses qui ont parfaitement répondu à mes questions. A vrai dire cela m'arrange que la rosée doit être comptée dans les relevés pluviometriques car autrement j'aurais du revoir tout les totaux que j'avais effectué jusqu'à là. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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