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Super Florent 76


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Merci Torrent pour ces derniers éléments. J'espère toujours des nouvelles de Jean-Pierre Desmoulins qui pourrais nous éclairer.

Il a écrit un programme qui calcule les dates des sygyzies planétaires (oppositions ou conjonctions de celles-ci) en définissant le poids de ces événements (fonction de la fréquence des sygyzies et de l'étroitesse de l'angle formé par 3 planètes ou plus avec un poids p). On peut en déduire le calcul de l'influence du poids de l'ensemble des planètes sur le soleil et ses cycles (le poids p suivant une loi R/R^R3 (?)).

Important ! Il ne calcule donc pas à proprement parlé la position du barycentre. Il calcule les dates auxquelles les planètes vont avoir une influence gravitationnelle maximale sur le soleil. Ces dates reviennent périodiquement et dessinent un cycle corrélé aux cycles solaires.

Est-ce que l'explication vient de là ? Il faudrait reprendre précisément la démarche de J.P Desmoulins et reposer la question sur Astrosurf. (tu peux copier mon post pour cela).

Florent.

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Torrent, Williams...

Que pensez-vous de ma dernière reflexion... J'ai bien reçu la maj de ton fichier Williams, mais il me semble que JP Desmoulins ne fait pas exactement le même calcul, même si finalement il aurait surement dû utiliser la même formule pour expliquer le rapport poids-distance des planètes.

Florent.

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Je vais voir cela avec certaines personnes mais c'est pas sur d'avoir des resultats.

Pour mieus comprendre l'equation comme les graphique sont interessant pour le cycle de 11 ans je vais essayer de voir.

La gravitation doit certainement avoir des effets sur le soleil donc l'activite du soleil pourait etre liee au 2 equations peut etre.

Important ! Il ne calcule donc pas à proprement parlé la position du barycentre. Il calcule les dates auxquelles les planètes vont avoir une influence gravitationnelle maximale sur le soleil. Ces dates reviennent périodiquement et dessinent un cycle corrélé aux cycles solaires.

Le barycentre montre aussi quand les planetes on le plus d'effets de gravitation sur le soleil puisque quand les 4 planetes joviennes sont allignees suivit du soleil alors la gravitation est maximum. Plus une planete est massif plus ca gravitation est importante mais plus elle est loins moins celle-ci a des effets. Donc tout est liee.

Williams

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Merci Torrent pour ces derniers éléments. J'espère toujours des nouvelles de Jean-Pierre Desmoulins qui pourrais nous éclairer.

Il a écrit un programme qui calcule les dates des sygyzies planétaires (oppositions ou conjonctions de celles-ci) en définissant le poids de ces événements (fonction de la fréquence des sygyzies et de l'étroitesse de l'angle formé par 3 planètes ou plus avec un poids p). On peut en déduire le calcul de l'influence du poids de l'ensemble des planètes sur le soleil et ses cycles (le poids p suivant une loi R/R^R3 (?)).

Important ! Il ne calcule donc pas à proprement parlé la position du barycentre. Il calcule les dates auxquelles les planètes vont avoir une influence gravitationnelle maximale sur le soleil. Ces dates reviennent périodiquement et dessinent un cycle corrélé aux cycles solaires.

Est-ce que l'explication vient de là ? Il faudrait reprendre précisément la démarche de J.P Desmoulins et reposer la question sur Astrosurf. (tu peux copier mon post pour cela).

Florent.

Salut FlorentSi je peux me permettre ,il me semble que si la Terre tourne bien autour du barycentre lorsque la Terre et Jupiter sont du même côté par rapport au soleil (en conjonction en fait) la Terre est à ce moment là plus loin du soleil et la plus près de Jupiter.

Si c'est la "position hiver" l'hiver devrait être plus froid que la normale.

Lorsque Jupiter et la Terre sont en opposition ,c'est le contraire,la Terre est plus près du soleil.Si on est en "position été " l'été devrait être plus chaud que la moyenne.

Comme la période de Jupiter est de 11 ans on devrait retrouver cette période aussi dans les hivers.Quelques centaines de milliers de km de différence cela peut faire quelques W/m2 en plus ou en moins.

Si en plus il y a une influence sur l'activité solaire telle que décrite par Williams et Torrent.

à plus

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Dapres ce que tu dis Meteor c'est faux parce que la terre est a une distance maximum de 152 millions km du Soleil en juillet et a une distance minimum de jupiter 588.90 millions de km. La Terre ne peut jamais etre plus proche de jupiter que Soleil sinon la tempetarure deviendrait tres tres basse.

Donc si j'ai bien compris ce que tu as dis c'est totalement impossible.

Williams

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Non non Williams c'est pas ce que je veux dire ,il faudrait un schéma.

Je veux dire que lorsque Jupiter et la Terre sont en conjonction c'est à dire ,si tu regardes le système solaire d'en haut ,tu trouves le Soleil ,puis la Terre,puis Jupiter.

Dans ce cas il me semble que la Terre s'éloigne un peu du Soleil de quelques centaines de milliers de km.On pourrait dire qu'elle est un peu attirée par Jupiter.

Mais avec ton barycentre tu devrais retrouver ce que je dis.

A l'inverse lorsque la Terre et Jupiter sont en opposition , la Terre se rapproche un peu du Soleil puisq'elle tourne autour du barycentre Jupiter-Soleil(si on néglige les autres planètes)Il faudra que je trouve un moyen d'envoyer un petit schéma.

à plus

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Je comprends ce que tu veus dire. Ceci est peut etre plus complique.

Le barycentre s'eloigne du soleil de 818405.52 km maximum environ soit meme pas 1 millions de km. Ce qui trop peut pour cela.

Donc c'est toutes les memes parties des orbites des planetes qui doivent bouger dans le meme donc ce raprocher un peu du barycentre soit du soleil ou l'inverse. Donc entre jupiter et la terre il doit pas y avoir de diffence

Si Jupiter, la terre et le soleil sont aligne alors je pense que c'est comme si on glisser l'orbite des planetes vers jupiter (et ce de saturne, uranus,...dans sens pour que toute aille dans la meme direction). Mais c'est a verifier car j'en suis pas sur.

Pour mieus comprendre il faudrait une animation mais j'ai rien trouve sur cela.

Seul ce site peut mieu te renseigner http://jcboulay.free.fr/astro/sommaire/ast...ne.htm#rotation

L'orbite de la terre varie avec une période 400000 ans et une de 100000 ans a cause de la gravitation des autre planetes Comme c'est au fur et mesure a cause de cela quel varie, mais tres lentement.

Si dans certain domaine je me suis trompe dite le car il possible que ca soit le cas.

Williams

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Merci à tous pour ces infos, je pense avoir compris cette théorie des mouvements planetaires qui modifient parfois brusquement la position du barycentre du système solaire et donc influe sur les mécanismes internes du soleil (notamment cycle quasi undécennal des tâches solaires), se répercutant ainsi sur l'activité et les vents solaires ce qui altérerait l'équilibre des masses d'air de l'atmosphère terrestre et jouerai sur le climat, ouf !

En fait j'étais très sceptique sur la théorie des cycles quant au climat, c'est donc sans y croire que j'ai fait un petit test : j'ai calculé une pseudo-moyenne hivernale centre-ouest européenne en prenant les valeur de T moyenne mensuelle DJF pour 5 villes du centre-ouest Europe : Le Bourget, DeBilt, Berlin, Vienne et Milan assez bien réparties sur la zone qui m'intéressait, et ayant l'avantage d'avoir des séries de mesures depuis le XVIIIème S. Evidemment, le nuage de point est très dispersé mais en faisant des moyennes flottantes sur 2 ou 3 ans (les hivers froids marchant souvent par 2 ou 3), on voit des tendances nettes : les années correspondant à 1 minima solaire sur 2 montrent effectivement des pics de froid depuis 1930, soit autour de 1942, 1963 et 1986 (moins marqué). Le fameux février 56 de nos records est bien plus estompé. J'ai vraiment été surpris par ça, car j'avais bien plus en "mémoire" février 56 que l' hiver 63.

Par contre, avant 1930 la tendance est beaucoup moins marquée. En fait, d'après mon graphe, la synchronicité correspondant à minima solaire sur 2 se retrouve seulement au XVIII, avec des grands froids synchrones en 1740-42 (avec les données uniquement de DeBilt et Berlin), 1766, 1784 et 1800 (si on considèe que le cycle était double : minima séparés de 17 ans). Ensuite 2 pics en 1814 puis 1830 (ce dernier étant l'hiver le plus froid de toute la série) qui ne correspondent à rien dans les cycles solaires, mais il est à noter que c'est une période au cycles extrêmement faibles de 1800 à 1835. Ensuite, des pics très hachés sans tendance périodique nette juqu'à 1942 (enfin je n'en ai pas trouvé en tous cas !)...

Un point commun entre les periode 1740-1800 et 1930-1980 : faible baisse des températures hivernales, le reste du temps les T progressent de 1810 à 1930 et bien sur depuis 1980. Faut-il en déduire que l'on va perdre à nouveau la synchronicité hivers froids/minima solaires, avec le mini de 86 déjà nettement plus faible que ceux de 1963 et 1942 ?

En fait je suis d'un avis partagé sur ces cycles : la coïncidence me parait trop forte pour les 3 derniers cycles (et peut-être ceux du XVIIIème), mais je ne comprend pas bien pourquoi cela semble "coller" à certaines périodes et pas à d'autres. Donc je serai vraiment curieux d'en savoir un peu plus sur les résultats de Florent. Bravo pour cette idée et ces travaux en tous cas !

Ciao

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Merci pour cette contibution Tomar.

En fait j'étais très sceptique sur la théorie des cycles quant au climat, c'est donc sans y croire que j'ai fait un petit test : j'ai calculé une pseudo-moyenne hivernale centre-ouest européenne en prenant les valeur de T moyenne mensuelle DJF pour 5 villes du centre-ouest Europe

J'ai commencé comme cela aussi... à première vue, on trouve effectivement des correspondances très troublantes, mais pas systématiques.

En fait je suis d'un avis partagé sur ces cycles : la coïncidence me parait trop forte pour les 3 derniers cycles (et peut-être ceux du XVIIIème), mais je ne comprend pas bien pourquoi cela semble "coller" à certaines périodes et pas à d'autres.

En fait, les cycles solaires n'influent pas directement sur le climat si on considère les données brutes. Après quelques traitements spécifiques, je peux t'assurer que tous les hivers européens depuis le XVIIIe siècle, voire le Moyen Age sont parfaitement corrélés aux cycles solaires. C'est d'ailleurs ce qui me rends parfaitement affirmatif quand à l'imminence d'un hiver rude en Europe. Je le sais depuis un an et je sais comment le montrer, mais il faut que je bétonne bien tout ça et présente les choses au sein d'un site (gros travail de mise en forme). Je ne tiens pas à exposer cela sans un minimum rigueur et comme je manque de temps, ce n'est pas encore en boîte.

Florent.

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En fait, les cycles solaires n'influent pas directement sur le climat si on considère les données brutes. Après quelques traitements spécifiques, je peux t'assurer que tous les hivers européens depuis le XVIIIe siècle, voire le Moyen Age sont parfaitement corrélés aux cycles solaires. C'est d'ailleurs ce qui me rends parfaitement affirmatif quand à l'imminence d'un hiver rude en Europe. Je le sais depuis un an et je sais comment le montrer, mais il faut que je bétonne bien tout ça et présente les choses au sein d'un site (gros travail de mise en forme). Je ne tiens pas à exposer cela sans un minimum rigueur et comme je manque de temps, ce n'est pas encore en boîte.

Florent.

Si ,en données brutes , il n'y a pas d'influence sur le climat et que tu dis ensuite qu'il y a une corrélation je suppose que tu "travailles" d'une certaine façon les données et qu'ainsi apparaît la dite corrélation.Je comprends bien que tu veuilles être certain de toi avant d'en dire plus mais ,selon toi, puisque la constante solaire ,dont les variations sont négligeables ne peut être à l'origine des variations cycliques constatées quelle pourrait bien en être la raison.Certains pensent à l'influence sur la nébulosité qui serait plus forte en période d'activité magnétique solaire forte et inversement.

As-tu réussi à corréler avec les variations d'albédo qui je pense doivent commencer maintenant à être archivées?

D'autre part sur quelles zones géographiques portent tes études?

L'Europe , le monde?

Si c'est uniquement l'Europe qui serait concernée par des hivers froids et qu'il n'y a pas de variation sensible ailleurs , c'est assez étrange. Il devrait au moins y avoir un "pendant " plus chaud quelque part.

Pour mon info perso ,à partir de quelle température on dit hiver rude?

Tu n'as pas du voir le message que je t'avais adressé concernant les positions des planètes,j'espère que tu verras celui-ci.

à plus

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Si ,en données brutes , il n'y a pas d'influence sur le climat et que tu dis ensuite qu'il y a une corrélation je suppose que tu "travailles" d'une certaine façon les données et qu'ainsi apparaît la dite corrélation.

Je comprends bien que tu veuilles être certain de toi avant d'en dire plus mais ,selon toi, puisque la constante solaire ,dont les variations sont négligeables ne peut être à l'origine des variations cycliques constatées quelle pourrait bien en être la raison.Certains pensent à l'influence sur la nébulosité qui serait plus forte en période d'activité magnétique solaire forte et inversement.

As-tu réussi à corréler avec les variations d'albédo qui je pense doivent commencer maintenant à être archivées?

Il ne faut tout mélanger : le soleil a probablement une petite influence à court terme du fait de ses variations, mais les cycles climatiques sont bel et bien imprimés par le rythme auquel le soleil soumet l'atmosphère terrestre à l'échelle de plusieurs cycles solaires.Le rayonnement et l'activité magnétique solaire suivent donc un cycle qui au delà de cela a une intensité variable dans le temps. C'est cela que permet de voir la constante solaire. Ainsi actuellement avec une forte constante solaire (+ peut-être un réchauffement anthropique), les hivers sont doux et un peu rude lors d'épisodes cycliques définis. Au XVIIe siècle, avec une constante solaire faible, les hivers était le plus souvent dans les normes, voire froids, les épisodes cycliques entrainaient alors des hivers très rudes, voire exceptionnels.

L'albédo varierait en corrélation avec la constante solaire, mais je ne travaille pas là dessus et je pense que le nombre d'année archivé est encore bien faible.

D'autre part sur quelles zones géographiques portent tes études?

L'Europe , le monde?

Si c'est uniquement l'Europe qui serait concernée par des hivers froids et qu'il n'y a pas de variation sensible ailleurs , c'est assez étrange. Il devrait au moins y avoir un "pendant " plus chaud quelque part.

Pour le moment je travaille sur l'Europe. Je ne pense pas qu'elle soit seule concernée par les hivers froids, seulement ailleurs, le calendrier doit être différent, mais toujours corrélé au soleil. L'Europe si elle semble être un continent ne se prêtant pas aux prévisions saisonnières est au contraire intéressante pour repérer les cycles hivernaux : ils requièrent l'inversion totale du flux d'ouest dominant et c'est le seul continent de la planète en entrée du flux d'ouest où les reliefs ne rendent pas la chose impossible. Un flux d'est et du froid durable est donc clairement une situation météorologique anormale dans l'ouest de l'Europe et est immanquable dans les statistiques. Les choses ne sont pas aussi claire ailleurs.
Pour mon info perso ,à partir de quelle température on dit hiver rude?

Pour ma part, je me sert de centile sur le climat des 250 dernières années pour évaluer la rudesse ou la chaleur d'un mois, d'une saison ou d'une année. Je parle d'hiver, de mois rude ou froid si sa température est mesuré jusqu'au 10e centile, soit dans moins de 10% des cas : derniers cas à Paris : Janvier 1987 pour un mois, les hivers 1984-85, 1940-41, 1939-40 ou 1928-29 pour une saison. C'est moins de 1,8° à Paris sur l'hiver.

Si la température est mesurée jusqu'au 4e centile, la période sera très rude : un cas au XXe siècle, l'hiver 1941-42. C'est moins de 0,6° à Paris sur l'hiver

Au 1er centile, on parlera de conditions froides exceptionnelles ou extraordinaires, on peut citer 4 cas depuis 150 ans : février 1956, décembre 1879 ou les hivers 1962-63 et 1879-1880. C'est moins de -1° à Paris sur l'hiver.

Tu n'as pas du voir le message que je t'avais adressé concernant les positions des planètes,j'espère que tu verras celui-ci.

Je viens de le voir, Williams a parfaitement répondu, et pour cause : il connait mieux le sujet que moi !A bientôt !

Florent.

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Posté(e)
34230 Paulhan - Centre Hérault

Bonjour, je n'ai pas participé à ce debat que j'ai raté ni repondu au message de Williams, je vais my pencher ce week end qui est le dernier avant 3 semaines dans l'autre hemisphère, plus précisement je rends visite à ma soeur et mon beau frère qui sont enseignants en ecole Francaise au Vanuatu, je preparais donc mon voyage et etais peu disponible, je m'envole donc lundi vers Séoul puis Sydney et ensuite Port Vila qui est la capitale du Vanuatu, pour préciser le Vanuatu etait autrefois appelé Nouvelles Hebrides et l'achipel se situe à 500 km à l'est de la Nouvelle Caledonie, ceci dit il est moins cher de passer via Sydney au total.

Donc je reviens le 28 Decembre seulement et vais passer mon anniversaire le 17 et Noël sous les tropiques, aucune chance de voir un anniversaire ou un Noël blanc sous cette latitude, j'espère donc que la neige aura le bon gout d'être présente en Janvier.

Ceci dit je vais voir des choses interessantes dont le volcan de l'Ile de Tanna qui est un des 4 volcans en activité permanente dans le monde et qui fait partie de la ceinture de feu du Pacifique.

Plus evidemment d'autres choses, je vous promets des photos que je mettrai en ligne au retour ou par mail, je pourrai surement passer sur Infoclimat mettre un petit mot sur mon séjour.

Voila pour mon absence de cette semaine et à venir...

Dans la journée je vais jeter un oeil de plus prés au graphe de Williams, à première vue il m'a un peu troublé, il est en effet un peu different du precedent, ceci dit une constante reste le cycle long de 180 ans que nous avions deja remarqué est encore plus visible.

Quant aux actions sur le climat je pense que l'impact des UV ou des rayons X ou des particules qui n'est pas pris en compte dans la constante solaire est sous estimé, et par ailleurs la theorie de Svensmark sur la nebulosité engendrée par les rayons cosmiques en cas de faible activité solaire doit aussi avoir une influence.

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Quant aux actions sur le climat je pense que l'impact des UV ou des rayons X ou des particules qui n'est pas pris en compte dans la constante solaire est sous estimé, et par ailleurs la theorie de Svensmark sur la nebulosité engendrée par les rayons cosmiques en cas de faible activité solaire doit aussi avoir une influence.

Je suis d'accord Torrent. En plus, il est vrai que pour mesurer l'activité solaire sur plus de 20 ans, plusieurs siècles en particulier, nous ne disposons que du nombre de tâches solaires et de reconstitutions diverses. Si ce sont de bons indicateurs généraux, il permettent sans doute de ne percevoir qu'une partie de la réalité quant à l'action du soleil sur le climat.

Florent.

P.S. : Bon anniversaire et très bon Noël sous les tropiques ! Cela me rappelle l'heureuse période où je passais l'hiver au chaud en Afrique... on décorait un "pin" de noël !

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Posté(e)
34230 Paulhan - Centre Hérault

En réalité ca m'emm***** d'aller aussi loin et de bouffer la moitié de mes congés annuels pour ce voyage, sans compter le prix, et puis tout ce qui va rester en retard ensuite coté travail à la maison et aux vignes ou verger.

Ca m'emm**** de laisser mes 2 chattes seules, ainsi que mes canaris, bon heureusement ma tante s'en occupera mais quand même dire que je pars de gaité de coeur est un grand mot, j'y vais surtout en accompagnateur, ma mère et mon père ne sauraient pas se debrouiller dans les aeroports, sans compter que 26h d'avion plus les escales ca ne va pas être une partie de plaisir, bref j'aurais du refuser dès le depart pour ce voyage.

Et puis je n'aime pas la chaleur, etrange je suis du midi et ne l'aime pas, justement peut être parce que j'en suis d'ailleurs.

Noël sous des cocotiers ca me semble totalement incongru, j'aime bien nos saisons, sous les tropiques il n'y a pas de saisons du même ordre, de beaux paysages oui, mais bon les inconvenients aussi avec.

Autrement dit je n'ai qu'une hate c'est d'être revenu.

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merci Florent d'avoir répondu à mon dernier post.

Il est clair que tu réalises une étude assez complexe et il est clair aussi que l'influence des cycles du Soleil sur les cycles climatiques n'est pas évidente.

Cela dépasse peut-être la simple mesure de l'activité magnétique du Soleil et de la constante solaire.

J'ai encore quelques questions pour voir si j'ai bien compris ou pas du tout.

Si tu veux bien.

Il ne faut tout mélanger : le soleil a probablement une petite influence à court terme du fait de ses variations, mais les cycles climatiques sont bel et bien imprimés par le rythme auquel le soleil soumet l'atmosphère terrestre à l'échelle de plusieurs cycles solaires.

Il y aurait un effet cumulatif avec une influence à moyen ou long terme?

Le rayonnement et l'activité magnétique solaire suivent donc un cycle qui au delà de cela a une intensité variable dans le temps. C'est cela que permet de voir la constante solaire.

C'est donc bien la constante solaire qui sert d'indicateur de l'activité solaire?

Ainsi actuellement avec une forte constante solaire (+ peut-être un réchauffement anthropique), les hivers sont doux et un peu rude lors d'épisodes cycliques définis. Au XVIIe siècle, avec une constante solaire faible, les hivers était le plus souvent dans les normes, voire froids, les épisodes cycliques entrainaient alors des hivers très rudes, voire exceptionnels.

Oui mais là la constante solaire ne suffit apparemment plus.Il y a autre chose?

L'Europe si elle semble être un continent ne se prêtant pas aux prévisions saisonnières est au contraire intéressante pour repérer les cycles hivernaux : ils requièrent l'inversion totale du flux d'ouest dominant et c'est le seul continent de la planète en entrée du flux d'ouest où les reliefs ne rendent pas la chose impossible. Un flux d'est et du froid durable est donc clairement une situation météorologique anormale dans l'ouest de l'Europe et est immanquable dans les statistiques. Les choses ne sont pas aussi claire ailleurs.

Tes études ne concernent que les hivers?

Qu'en est-il ,à ton avis, des autres saisons?

Est-ce toute l'année qui même en dehors de l'hiver est plus froide ou est-elle plus froide en tenant compte de l'hiver ou autre?

Je parle d'hiver, de mois rude ou froid si sa température est mesuré jusqu'au 10e centile, soit dans moins de 10% des cas

Donc si j'ai bien compris tu considères sur 250 ans les 10 % d'hivers les plus froids pour dire qu'ils sont plus froids ,donc rude ou froids.

Je viens de le voir, Williams a parfaitement répondu, et pour cause : il connait mieux le sujet que moi !

oui Williams a bien répondu.

J'en profite pour rajouter que , toujours en position hiver ,la différence entre position Terre-Jupiter en conjonction et Terre -Jupiter en opposition serait ,concernant la constante solaire de 25 W/m2 ce qui correspondrait à une différence de 1.3°C au sol.Mais cette différence serait inverse en été et donc les saisons ayant des influences les unes sur les autres,le phénomène serait atténué.

à bientôt et bonnes vacances et bon anniversaire à Torrent et qu'il n'oublie pas d'allumer ses phares ! default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

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C'est donc bien la constante solaire qui sert d'indicateur de l'activité solaire?

De 1611 a maintenant ce sont les taches solaire et la constante solaire qui sert d'indicateur de l'activité solaire. Puis les annees percedentes a 1611 c'est la constante solaire d'apres le taux de C14 dans les carottes de glaces......

J'en profite pour rajouter que , toujours en position hiver ,la différence entre position Terre-Jupiter en conjonction et Terre -Jupiter en opposition serait ,concernant la constante solaire de 25 W/m2 ce qui correspondrait à une différence de 1.3°C au sol.Mais cette différence serait inverse en été et donc les saisons ayant des influences les unes sur les autres,le phénomène serait atténué.

Concernant ceci je serait surpris car l'effet de total de gravite de Saturne + Uranus + Neptune on le meme effet que celui de Jupiter. Donc il faut tenir compte des 3 aur planete.

Donc Si on a Saturne + Uranus + Neptune d'un cote soleil et Jupiter de l'autre alors la gravitation est nul entre eux donc le barycentre est au plus proche du centre du Soleil.

Williams

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effectivement Williams pour des raisons de simplification évidentes car c'est plus facile pour déterminer le barycentre ,j'ai "négligé" les autres planètes , ce qui n'est pas très réaliste et ne doit pas correspondre à une situation astronomique classique.

à plus

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Il y aurait un effet cumulatif avec une influence à moyen ou long terme?

Oui, un effet cumulatif des cycles solaires, c'est bien ce que je pense avoir découvert, aussi étonnant que cela paraisse.
C'est donc bien la constante solaire qui sert d'indicateur de l'activité solaire?

Oui, étant donné ce qui est dit précédemment, quand elle est longtemps forte, le climat se réchauffe. Les cycles restent, mais sur une base plus ou moins chaude à l'échelle séculaire.
Oui mais là la constante solaire ne suffit apparemment plus.Il y a autre chose?

On ne tient là qu'une partie des paramètres agissant sur le climat, mais ils viennent à mon avis avant d'autres pour expliquer à notre échelle les variations climatiques.
Tes études ne concernent que les hivers?

Qu'en est-il ,à ton avis, des autres saisons?

Est-ce toute l'année qui même en dehors de l'hiver est plus froide ou est-elle plus froide en tenant compte de l'hiver ou autre?

Les autres saisons ne sont pas forcément plus froides, mais cela arrive effectivement souvent si on a un hiver rude : il faut que je me penche sur cette question d'ailleurs. J'ai identifié un cycle sur les hivers, et un plus global à l'année d'ordre de 27 ans (qui explique le chaud été 2003). Ils semblent être indépendant l'un de l'autre.
Donc si j'ai bien compris tu considères sur 250 ans les 10 % d'hivers les plus froids pour dire qu'ils sont plus froids ,donc rude ou froids.

Oui, c'est bien ça, mais c'est une méthode comme une autre. Je l'ai reprise de climatologues suisses qui étudient le climat européen depuis le Moyen Age (Pfister & all cité dans les travaux d'E Leroy Ladurie) et je l'ai appliqué sur mes données françaises. Florent.
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Avec ces etudes concernant l'évolution de la constante solaire, sait-on comment elle va evoluer dans les années qui viennent? Et peut-on extrapoler sur une future tendance au niveau de la température globale? européenne? et celle de la France? Celles-ci peut elle accentuer l'effet de serre ou la minimiser?

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Avec ces etudes concernant l'évolution de la constante solaire, sait-on comment elle va evoluer dans les années qui viennent?  Celles-ci peut elle accentuer l'effet de serre ou la minimiser?

Ceci est peut etre possible. C'est ce que jessaye de faire avec les graphiques sur le barycentre... que je fais sur Excel sur les 2000 dernieres annees et en regardant les liens. Comme cela apres il sera possible de le calculer comme on peut calculer barycentre.

Et peut-on extrapoler sur une future tendance au niveau de la température globale? européenne? et celle de la France?

Pour les lien avec la temperature on pour avoir des idees avec les graphiques que je fais mais il faudrait pas oublier l'effet de serre qui a bp d'effet voir plus ce qui ne sera pas dans les graphiques.

Celles-ci peut elle accentuer l'effet de serre ou la minimiser?

oui car l'evolution du CO2 a toujour evolue dans le meme sens que la temperature donc si l'activite solaire cela va augmenter le taux CO2 et si l'activite solaire diminue cela aura pour effet inverse mais il faut oublier l'effet de l'homme aussi.

Williams

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à Williams

concernant le barycentre , en considérant uniquement ,pour faire plus simple,Jupiter , le Soleil et la Terre ,je pense avoir fait une erreur.

Le soleil décrirait bien une "petite" orbite de 780 000 km environ autour du barycentre , mais la Terre le suivrait , en quelque sorte et donc sa distance au Soleil ne varierait pas (ou extrèmement peu ) suite à l'influence de Jupiter.

à plus

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Florent, d'apres ce que dit le site americain COLA/IGES

cette hiver pourait rescemble a celui des années 1960, 1966, 1974, 1980, 1992, 1997, 2003 au niveau atmosphérique pour décembre et janvier.

Est ce la meme chose d'apres tes recherches ??

Williams

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Je ne fais pas spécifiquement de recherches au niveau atmosphérique, comme tu pourras le lire ici : http://www.meteobelgium.be/forums/index.php?showtopic=2247, message du 07/12/2004.

Mais pour te répondre, par rapport à mes recherches en tendances, découlant de tendances atmosphériques probablement voisines, même si je ne les visualise pas.

1960 : OUI, bien que trop humide, les températures sont réparties de façon assez similaire à ce que j'analyse.

1966 : NON, trop humide et trop froid.

1974 : NON, beaucoup trop doux

1980 : NON, trop humide, puis trop froid.

1992 : OUI, mais peut-être trop sec, à voir

1997 : NON, trop froid

2003 : OUI, assez ressemblant à tout point de vue

Par rapport aux données que j'analyse, il ne reste donc que 1960, 1992 et 2003 : enfin, ça fait tout de même 3 hivers comme quoi, je suis bien en partie sur les même pistes que le site américain COLA/IGES. Il faut voir maintenant les archives GFS pour voir si on trouve des similitudes.

Florent.

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