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Bonjour, 

J'ouvre ce topic qui pourrait être intéressant. L'idée serait d'étudier la fréquentation de chaque topic prévisions à court terme pu/et observation ainsi que le nombre de messages par rapport au nombre d'habitants (par exemples pour le Nord-Est, les Alpes, le centre de la France, le sud-ouest, la méditerranée et l'IDF). 

 

J'ai l'impression que par rapport au nombre d'habitant les Alpes sont le pmus fréquentés et l'IDF le moins. Le Nord-est semble être un des pmus actifs. Y-a-t-il des explications ; est-ce que la réalité confirme ce que j'avance ? Merci :)

Faire ce profilage permettrait aussi a l'association de mieux faire ces campagnes de sensibilisation à la météo et au climat.

Bon après-midi ! 

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Bonjour,

 

La différence de fréquentation observable en regardant le nombre de messages postés peut être expliquée par plusieurs facteurs :

 

- la survenue ou non d'événements météo exceptionnels dans la zone du topic engendrant un grand nombre de messages en un temps court ;

- la différence de sensibilité sociologique de la population à la météo : tu évoquais justement le cas de l'Ile-de-France, la région étant majoritairement urbanisée, un citadin aura beaucoup moins d'utilité à s'intéresser à la météo qu'un agriculteur dont la profession en est très dépendante. Par contre, dès lors qu'un événement exceptionnel touche la capitale, le topic explose car la portée médiatique est souvent plus importante qu'ailleurs ;

- l'intérêt météo/climatologique de la zone couverte par le topic.

 

En termes de statistiques similaires, il n'y a qu'à étudier la répartition des stations du réseau StatIC avec beaucoup de zones qui sont restées longtemps dépourvues avant que l'association entame une campagne de rééquilibrage afin de mailler un maximum de zones.

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Posté(e)
Goldbach-Altenbach (68) 705 m Versant Sud du Grand Ballon (1424 m)
Il y a 3 heures, aln75 a dit :

Bonjour,

La différence de fréquentation observable en regardant le nombre de messages postés peut être expliquée par plusieurs facteurs :

- la survenue ou non d'événements météo exceptionnels dans la zone du topic engendrant un grand nombre de messages en un temps court ;

- la différence de sensibilité sociologique de la population à la météo : tu évoquais justement le cas de l'Ile-de-France, la région étant majoritairement urbanisée, un citadin aura beaucoup moins d'utilité à s'intéresser à la météo qu'un agriculteur dont la profession en est très dépendante. Par contre, dès lors qu'un événement exceptionnel touche la capitale, le topic explose car la portée médiatique est souvent plus importante qu'ailleurs ;

- l'intérêt météo/climatologique de la zone couverte par le topic.

En termes de statistiques similaires, il n'y a qu'à étudier la répartition des stations du réseau StatIC avec beaucoup de zones qui sont restées longtemps dépourvues avant que l'association entame une campagne de rééquilibrage afin de mailler un maximum de zones.

 

C'est justement les zones les plus agricoles (mais peu peuplées) qui étaient restées longtemps sans stations  StatIC 

Très peu d'agriculteurs utilisent des stations météo car elles ne leur permettent pas de prévoir les évènements climatiques.

Même les personnes qui irriguent ne sont pas si nombreuses à posséder un pluviomètre digne de ce nom (je ne parle pas du petit pluvio manuel distribué par la coop et installé de travers sur un bout de grillage puis fendu par le gel).

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Posté(e)
Saint-Germain-Du-Puch (33)
il y a 54 minutes, alsavosges a dit :

C'est justement les zones les plus agricoles (mais peu peuplées) qui étaient restées longtemps sans stations  StatIC 

Très peu d'agriculteurs utilisent des stations météo car elles ne leur permettent pas de prévoir les évènements climatiques.

Même les personnes qui irriguent ne sont pas si nombreuses à posséder un pluviomètre digne de ce nom (je ne parle pas du petit pluvio manuel distribué par la coop et installé de travers sur un bout de grillage puis fendu par le gel).

 

Ça dépend. D'accord pour le pluvio de jardinerie, situé à des km du domicile vu dans les vignobles de l'intérieur des PO.

 

Mais dans les régions où il y a de forts enjeux financiers (au hasard, le vignoble bordelais où j'habite, et le cognaçais), il y a pléthore de VP2, à comparer effectivement à la diagonale du vide qui part des Landes jusqu'à la Lorraine. Et encore sur la carte Weatherlink ci-dessous n'apparaissent pas les stations type Sencrop qu'on croise ici à chaque coin de vigne ou presque.

D'ailleurs c'est dommage, je suis persuadé que certaines de ces stations seraient éligibles au réseau StatIc.

 

Image4.thumb.jpg.7a28645206c287a2ef6ee879b1cbdac0.jpg

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Il y a 2 heures, alsavosges a dit :

 

C'est justement les zones les plus agricoles (mais peu peuplées) qui étaient restées longtemps sans stations  StatIC 

Très peu d'agriculteurs utilisent des stations météo car elles ne leur permettent pas de prévoir les évènements climatiques.

Même les personnes qui irriguent ne sont pas si nombreuses à posséder un pluviomètre digne de ce nom (je ne parle pas du petit pluvio manuel distribué par la coop et installé de travers sur un bout de grillage puis fendu par le gel).

 

Concernant les StatIC, c'est justement lié à la vulnérabilité de la zone. Plusieurs exemples : comme évoqué dans mon précédent message, il est intéressant d'avoir des stations en plein Paris afin de couvrir bon nombre d'événements nationaux ou internationaux (type JO). Les exploitations agricoles sensibles (vins, maraîchers...) ont également besoin d'être couvertes par des stations leur permettant de prévenir et d'anticiper les événements climatiques sur le long terme (épisode de gelées...)

Par contre, en effet, les régions rurales où l'agriculture est en déprise depuis un certain temps ont plus de difficultés à se pourvoir en stations.

Et c'est un peu aussi du hasard parfois d'avoir des stations à des localisations bien précises, suffit d'avoir un passionné à proximité.

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