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fredumvel

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Tout ce qui a été posté par fredumvel

  1. C'est vrai l'Homme peut s'adapter à tout les mileux et ce qui fait la force de notre espèce. Mais pour les crêtes vosgiennes, il ny'a actuellement pas d'intérêt particulier à y vivre pour y déveloper une quelconque actiivté. Sinon j'ai cité la commune la plus élevé d'Alsace, qu'est AUbure. Mais on m'a fait remarquer que Belmont possède également une altitude convenable avec ses 780m environ. Voilà pour l'Alsace, mais il est vrai que je connais bien moins le versant lorrain. Mais je pense bien qu'il y'ait des communes qui soit implanté à des altitudes assez élevé. Il faudrait que je fasse des recherches en ce sens, et que je répertorie l'ensemble des communes de montagne avec leur altitude. Sinon pour l'origine des chaumes, antropiques ou non, je n'en sais rien, le débat est ouvert, mais je pense qu'une bonne conclusion, c'est que végétation pourrait subsisder sur les crêtes à l'heure actuelle, mais pas apparaître. D'ailleurs la recolinisation de la forêt est logiqement bien plus marquée dans les fonds de vallée et dans les zones abritées. Désolée, mais avec les partiels qui s'annonce (ça commence la semaine prochaine, et je n'ai pas encore bossé grand chose) et les évènements météorologique futurs qui s'annonce passionnant. Je n'ai pas trop le temps de dévellopper ce sujet, et je n'aurais plus trop le temps d'y revenir. Mais il est très intéressant de s'intéresser à ces divers éléments... Fred ;-)
  2. je suis vert, la semaine la plus intéressante depuis le début de l'hiver tombe en plein dans mes partiels ! /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Mais bon je vais quand même essayer de suivre ça de près /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> !
  3. Effectivement il est dommage, qu'il n'y ait pas de données climatiques pour les sommets du Sancy ou du Cantal, et je suis d'accord au niveau des tempêtes par rapport à leur faible distance de la méditeranée. Niveau vent, tu dis que c'est le vent qui empêche la présence d'arbre sur les crêtes. Dans les vosges, il y'a débat autour des chaumes vosgiennes, facteur anthropiques ou pas ? en tout cas l'hypothèse officielle est que ces crêtes sont duês à la pression pastorale. Mais après il est vrai que les conditions qui règne là en haut sont très difficile, et je vois mal une végétation autre que basse ou composé de jeunes hêtres pousser sur ces crêtes. Bien sûr dans ce cas là, la vie est possible partout en Europe en dessus de 3000m. Mais soyons sérieux, il serait ridicule d'envisager une implantation humaine sur les crêtes vosgienne,selon les critères européens et plus particulièrement ceux de l'espace rhénan élargie. La vie y est donc impossible pour un paysan vosgien comme on l'entend par telle. C'est ainsi que la plupart des fermes vosgienne se situe à l'amont des vallées, ou dans les versants abrité jusqu'à une altitude en général de 850m. à 1000m. (voir plus) selon l'altitude de la crête procurant l'abri. Par contre durant la saison chaude, comme partout les crêtes connaissent une activité agricole plus marqué notamment par la présence d'élevage en plein air (comme ces belles vosgienne..) Bon résumé, et pour les Vosges, comme déjà dit, l'origine des chaumes des hautes crêtes est peut être anthropique, et maintenant la présence du vent, rend plus difficile la reconquète de la forêt sur ces zonnes. Mais à noter que dans les fonds de vallées, les espaces en patures se font recolonisés par la forêt, dûe à la baisse de la pression agricole sur ces terres...
  4. je dirais aussi connards, on ne peut pas dire autrement pour des gens qui consomment les ressources de notre planète sans penser à l'avenir de tous ... Quand penser mettre une clim à 23°C ?? c'est presque pas croyable une telle bétise ???? No comment, en tout cas, les changements de temps sont toujours aussi spectaculaire : passer de 23°C à de la neige pour le lendemain !
  5. bonne action en plus à faire suivre, c'est bien que tu l'es mise ici on compte sur vous tous !
  6. Aubure est la commune la plus haute d'Alsace avec ses 800m. , suive après Le Howald à un peu plus de 600m, et puis un tas de petites communes de part et d'autre des Vosges, notamment gérardmer, La Bresse...
  7. Bonne chance à Olivier pour ses premiers partiels, mais aussi à chris, qui passe aussi ses premiers partiels en ce moment ... Sinon, ce matin je suis parti de Strasbour, où le brouillard ne semblait pas épais, puis en se dirigeant vers Obernai, le brouillard était présent de manière très irrugulière ainsi la couche de stratus avait une ocuche variable en fonction de la topographie, mais il se redensifier en allant vers Obernai, puis plus vers le sud vers Barr, Epfig. En coupant vers villé, dès les premières hauteurs (300m, voire à peine plus), nous étions hors des stratus, mais en arrivant dans le val de villé, nous avons apperçu une seconde couche de stratus situé plus en altitude en effet (vers 700-800m). Mais celle-ci s'est dissoute peu avant midi, pour laisser briller un soleil bien génèreux en montagne ... voir dans photolive Pour le retour vers mon ried natal, je suis rentré dans le brouillard à hauteur de thanvillé/neubois... En tout cas belle journée pour faire du parapente, lors d'un déco grand vol, j'ai pu faire de magnifiques photos d'inversion que je mettrais en ligne demain... Sinon le restant de la journé, comme dit ciel entièrement dégagé pour l'après midi à Breitenbach avec des températures très douce pas loin des 10°C je pense...
  8. grand soleil sur Strasbourg.. je vais voir ça de plus près ...
  9. J'avais lu dans un bouccain, les stations qui enregistre les reccords pour le vent. Je ne m'en souviens plus très bien, mais la chose qui m'avait marqué, c'est que ces stations sont situé bien dans les Terres, et avec comme particularité des zonnes de rétricessement (ainsi Belfort est dans le top). Sinon je crois que la station du Mont AIgoual est l'une des plus venté de France... bon je vais chercher ces valeurs... Mais je crois malgré tout que les Vosges enregistrent les plus grosses valeurs en terme de vent... Comme la très bien dit Vincent, le problème c'est que dans le massif central, une rafale à 150km/h fera plus de dégats qu'une rafale à 200km/h dans les Vosges... En effet on compare deux zonnes différentes, avec deux pressions démographiques différentes, ainsi la zone sensible au vent dans les Vosges se limite aux crêtes et à ses faibles alentours, alors que pour le massifs central, ce sont de large zone de plateau plus ou moins habité... Et ceci est le meilleur argument pour dire que les vents sont moins fort dans le massif central, car le vent au niveau des crêtes ne permet pas la vie, alors que dans les plateaux du massif central, c'est possible à priori... Ps : Excuse Emma, mais à force d'écrire cette phrase, c'est mes pinceaux qui se sont enmêlé !
  10. Pour mettre un visage et une description sur nos pseudos, il y'a la rubrique passionnée d'IC, mais peu de gens du forum y sont inscrits, notamment pour notre région... Sinon, je suis content de voir que cela vous intéresse, essayez de vous libérer, ne serait qu'un soir un une journée... Et si au pire, la date posait problème, on pourrait toujours être amené à en discuter entre nous, mais je sais que le We d'avant posait problème pour certains, et que je ne suis pas dispo les deux We suivant ... Mais nous sommmes là pour en discuter tous ensemble ... Allez à + Fred /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
  11. C'est un dossier que je conseille à tout le monde de lire, c'est en fait un réumé d'une vrai bible "Mais où sont passé les neiges d'Antan?" écrit par un ancien professeur de ma fac. Il retrace l'historique de deux siècles de neige dans les Vosges, à partir de 4 élement (fréquence de jour d'enneigement et de chute neige, hauteur cumulé par hiver et de l'enneigement au fil de lh'iver).
  12. Il y'a une heure, le ciel était au grand bleu sur Strasbourg. Et mon dernier coup d'oeil vers le ciel, m'a fait voir de gros nuages qui arrive et le ciel vire au gris ...
  13. Sommes nous en présence du plus fort coup de vent de l'hiver ? Celui de décembre n'a pas été aussi important je crois ... D'ailleurs cela fait combien de temps que l'on avait pas dépassé les 100km/h sur la plaine ? Ps : c'est vrai que 15 mm me paraît un peu beaucoup... MAIS il ne faut pas oublier que la zone pluvieuse de hier soir avait la caractéristique d'être étroite et intense, il est donc possible qu'il y'ai de telle différence enregistré.
  14. Ah nan pas du tout ! /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20"> Cela veut dire que j'en ai fait un résumé pour que le plus grand nombre de personne possible, ait une image de l'immense source d'information de ce livre... L'auteur est Jean-Claude Flageollet, professeur émérite de l'Université Louis Pasteur (à laquelle il n'appartient plus aujourd'hui)... c'est d'ailleurs ce que je précise dans l'intro de mon dossier. Il s'est appuyé d'abord sur d'ancien récit du coin de gérardmer, puis sur un réseau de station fluctuant en fonction de la période. Ce livre est vraiment génial, c'est une sorte de bible. Etant donnée que la plupart des personnes ici présente ne peuvent y avoir accès, j'espère que le résumé que j'ai effectué sera une bonne synthèse... Si des personnes connaissent des difficultées à le lire, contactez moi par mp ou courriel...
  15. Emma, bien sûr que c'était de l'exagération ! ;-) /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20"> En fait, il faisait 30°C vers les 16-17h quand j'étais à AUbenas, puis j'ai pris la nationale direction le nord vers le puy, arrivé à proximité du Puy, il faisait vraiment froid avec un vent glacial avec en plus l'arrivé de la nuit... il ne devait faire pas plus de 10 à 15°C ... Sinon voilà le lien pour le fameux dossier sur les Vosges Mais où sont passé les neige d'antan ?
  16. quel belle conclusion Alain ! Mais en fait, c'est vrai que le plus important, c'est l'instinct ... sentir le bon moment, trouver le bon angle, savoir monter son tableau, s'imaginer sa toile, puis la prendre en flagrant délis de beauté ... et là c'est à coup sûr la bonne photo ... quelque soit l'appareil! Mais le problème avec mon compact bas de gamme (kodack easyshare CX7330), c'est que je ne peux prendre des bonnes photos la journée, par courte distance ... photo1 ... photo2 Sinon je suis limité par mon zoom, comme ici ou par un ciel trop sombre (en soirée), toute comme le fait de faire des photos de nuits est pour moi impossible... Après avoir écouter Edel (FZ50) et Sojac (FZ7), je pense attendre encore (c'est dur, mais je me fixe comme limite mon voyage en amérique du sud en juin comme limite), et espérer que le FZ50 baisse encore et si je le trouve pour 450 €, voir 500€ tout compris en mai, j'y vais , je le prends ...
  17. En fait en lisant vos messages, il y'a toujours ce clivage réflex / bridge... Perso j'ai en tête l'acquisition d'un panasonic FZ7. Et comme par hasard la majorité des bridges présentée sont des FZ : Sojac et Clément ont le FZ7 Edel le FZ50 Cet bridge a l'air pas mâl vu que certains d'entre vous le possède entre autre, et de photo sont régulièrement publié (notamment celle de SOjac que j'admire réguièrement sur photolive)... Mais que ce soit Clément ou Sojac, les critiques concernant son bruit pour un iso égal ou supérieur à 200, et pour son bruit au delà de 1/2 sec... Et cela m'inquiète quand même ... ALors dans ce cas, est ce que cela vaut le coup de passer au nivau au dessus et de prendre le FZ50, qu'en pense tu Edel? d'autant plus que tes photos sont très bien réussie ... une qualité qui me statisfait en tout cas... Mais après l'éternel problème, c'est que je suis limité en budget, vu que j'ai pas mal de projet en tête pour cette année et notamment un voyage en amérique du Sud, donc pour l'étudiant que je suis, le réflex me semble hors de prix, et le FZ50, encore bien cher ... Pour info avec carte mémoire et pochette, je trouve le FZ7 à 350€ ... D'ailleurs, une question pratique, est il nécessaire d'acheter de suite une batterie (lithium) de réserve? Estr que le prix des FZ vont baisser d'ici le printemps ? Encore merci pour la qualité de vos intervention ... /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20"> Fred
  18. Sacré coup de vent en effet, dans la foulée de cette intensification de flux d'ouest, mais le résultat c'est hormis cette ligne de grain puissante, mais isolé; très peu de précitations surviennent... un temps majoritairement sec sur le centre alsace ... réponse du pluvio samedi! Sinon sur Strasbourg, le vent fut sensible tout la journée ... avec une une observation de nimbo stratus vers le nord, strasbourg restant plus ou moin éloigné ... Sinon pour qui ne sont pas courant ... Allez jeter un coup sur /index.php?showtopic=18268'>Rencontre des passionnés du NE
  19. Voici un extrait de la conclusion d'un ouvrage nommé où sont passé les neiges d'antan : L'avenir des températures terrestres à long terme semble déterminé par les conséquences des variations des paramètres orbitaux de la terre, et les calculs des astronomes indiquent que le retour des grands froids ne devrait pas se produire avant 25 000 ans, mais qu'il conduira au retour d'une glaciation, qui culminera dans environ 90 000 ans. Pour le siècle qui débute, les modèles de prévisions consacrées au changement climatiques, et qui envisagent la poursuite du réchauffement plus ou moins brutal constaté, peuvent être rangés schématiquement en trois catégories : ceux qui considèrent l'activité solaire comme seule en cause; ceux qui incriminent les émissions d'origine anthropique, et ceux qui associent les deux. Dans l'hypothèse d'une régulation commandée uniquement par les cycles solaires, et en admettant que ces cycles n'aient pas disparu au cours du siècle qui commence, la température moyenne de la Terre continuera à augmenter sous l'effet d'une activité solaire qui culminerait vers 2400. Une majorité de travaux font valoir que l'augmentation des températures constatée est principalement due aux activités anthropiques, surtout depuis le milieu du siècle dernier et que la poursuite de ces activités, notamment les émissions de gaz à effet de serre, va accentuer le réchauffement. Pourtant l'examen de l'évolution des chutes de neige dans les Vosges et de l'Europe montre que la rupture s'est faite à partir de 1989-90 seulement, et non pas à partir de 1980. On remarque d'autre part que cette brusque augmentation des températures ne s'est pas faite de façon exponentielle, et que cela s'applique même à l'échelle de la Terre, la courbe en "crosse de hockey", c'est-à-dire qui remonte en flèche à son extrémité, publiée en 1978 et symbole du réchauffement, ayant été récemment corrigée. Il apparaît également que l'augmentation des températures coïncide avec une phase croissante du cycle de Suess; enfin, cette forte et brusque augmentation a eu des précédents, le plus net se situant au début du XXe siècle. Si elles ne permettent pas d'intervenir véritablement dans la question de l'évolution du climat et du scénario d'un réchauffement accéléré par les activités humaines, qui pourraient condamner les chutes de neige dans les Vosges, ces remarques incitent tout de même à la prudence quant au scénario catastrophe concernant ces dernières. Malgré les perspectives offertes par les modèles qui combinent les phénomènes atmosphériques et océaniques, bien des incertitudes demeurent. Néanmoins, pour le siècle en cours le réchauffement devant donc vraisemblablement se poursuivre, au moins jusqu'en 2040, la baisse des chutes et de l'enneigement paraissent inéluctables. Certes, les variations interannuelles demeureront, il y'aura encore des hivers très neigeux dans nos montagnes françaises, mais les neiges d'antan ont disparu, leur retour est hautement improbable à l'échéance des prochaines décennies. L'importance de cette baisse reste cependant difficile à établir. Pour Gérardmer par exemple, deux scénarios seraient envisageables : si la tendance à la diminution du nombre de chutes de neige enregistrée dans les trente dernières années (de 1972 à 2002) se poursuivrait, celles-ci disparaîtraient à partir des années 2057; si par contre se poursuivait la tendance établie entre 1949 et 2004, c'est seulement à partir de l'an 2183 que leur disparition se produirait. Mais que survienne un hiver prochain pauvre en neige, la courbe de tendance linéaire s'incline davantage et les dates respectives se rapprochent; que survienne un hiver très neigeux, la courbe se redresse et les dates s'éloignent. Ouf, on respire.
  20. En fait dans le dossier que je vais mettre en lien ... La conclusion de l'ouvrage résumé, "mais où sont passé les neiges d'antan ?" : " L'avenir des températures terrestres à long terme semble déterminé par les conséquences des variations des paramètres orbitaux de la terre, et les calculs des astronomes indiquent que le retour des grands froids ne devrait pas se produire avant 25 000 ans, mais qu'il conduira au retour d'une glaciation, qui culminera dans environ 90 000 ans. Pour le siècle qui débute, les modèles de prévisions consacrées au changement climatiques, et qui envisagent la poursuite du réchauffement plus ou moins brutal constaté, peuvent être rangés schématiquement en trois catégories : ceux qui considèrent l'activité solaire comme seule en cause; ceux qui incriminent les émissions d'origine anthropique, et ceux qui associent les deux. Dans l'hypothèse d'une régulation commandée uniquement par les cycles solaires, et en admettant que ces cycles n'aient pas disparu au cours du siècle qui commence, la température moyenne de la Terre continuera à augmenter sous l'effet d'une activité solaire qui culminerait vers 2400. Une majorité de travaux font valoir que l'augmentation des températures constatée est principalement due aux activités anthropiques, surtout depuis le milieu du siècle dernier et que la poursuite de ces activités, notamment les émissions de gaz à effet de serre, va accentuer le réchauffement. Pourtant l'examen de l'évolution des chutes de neige dans les Vosges et de l'Europe montre que la rupture s'est faite à partir de 1989-90 seulement, et non pas à partir de 1980. On remarque d'autre part que cette brusque augmentation des températures ne s'est pas faite de façon exponentielle, et que cela s'applique même à l'échelle de la Terre, la courbe en "crosse de hockey", c'est-à-dire qui remonte en flèche à son extrémité, publiée en 1978 et symbole du réchauffement, ayant été récemment corrigée. Il apparaît également que l'augmentation des températures coïncide avec une phase croissante du cycle de Suess; enfin, cette forte et brusque augmentation a eu des précédents, le plus net se situant au début du XXe siècle. Si elles ne permettent pas d'intervenir véritablement dans la question de l'évolution du climat et du scénario d'un réchauffement accéléré par les activités humaines, qui pourraient condamner les chutes de neige dans les Vosges, ces remarques incitent tout de même à la prudence quant au scénario catastrophe concernant ces dernières. Malgré les perspectives offertes par les modèles qui combinent les phénomènes atmosphériques et océaniques, bien des incertitudes demeurent. Néanmoins, pour le siècle en cours le réchauffement devant donc vraisemblablement se poursuivre, au moins jusqu'en 2040, la baisse des chutes et de l'enneigement paraissent inéluctables. Certes, les variations interannuelles demeureront, il y'aura encore des hivers très neigeux dans nos montagnes françaises, mais les neiges d'antan ont disparu, leur retour est hautement improbable à l'échéance des prochaines décennies. L'importance de cette baisse reste cependant difficile à établir. Pour Gérardmer par exemple, deux scénarios seraient envisageables : si la tendance à la diminution du nombre de chutes de neige enregistrée dans les trente dernières années (de 1972 à 2002) se poursuivrait, celles-ci disparaîtraient à partir des années 2057; si par contre se poursuivait la tendance établie entre 1949 et 2004, c'est seulement à partir de l'an 2183 que leur disparition se produirait. Mais que survienne un hiver prochain pauvre en neige, la courbe de tendance linéaire s'incline davantage et les dates respectives se rapprochent; que survienne un hiver très neigeux, la courbe se redresse et les dates s'éloignent. Ouf, on respire. "
  21. Je reviens de nouveau sur ce forum après avoir bossé sur un livre qui traite des neiges vosgiennes, le dossier sera mis en ligne en soirée ou demain... Il y'a ainsi eu plusieurs hivers très neigeux, notamment le fameux hiver 52-53, mais aussi et surtout les trois hivers de la fin de la décennie 60... surtout 69-70. Sinon pour la défénition de névé, c'est une neige qui résiste plus d'un an. Pour les congères, je me souviens de discussion et d'image de photo live, avec des congères bien plus importante sur le Massif Central... Mais en fait il convient de bien séparer les congères des Vosges et celle du Massif central... _ Les congères vosgiennes se trouvent essentiellement présentes de manière importantes au niveau des crêtes stricto sensu. Ainsi avec la dyssémétrie Est-Ouest, c'est à dire avec un versant Est abrupte et un versant Ouest en pente plus douce, on une formation importante de corniches qui pendent vers l'est au dessus des cirques... voir cette photo photo 2 corniche corniche 2 dernières traces de congères De même on observe, une formation de congères sur les crêtes qui ont une topographie somnital assez plane, du type gazon du faing, alors dans ces zonnes exposé au vent, il y'a d'importantes congères qui se forment... voir cette photo exemple 2 aussi déjà cité par yannou => la zone propice au congère est assez restreinte sur les Vosges, on peut conclure que les congères sont ici moins généralisé; mais peuvent être très importante lorsqu'elle se forme ! _ Le Massif Central se caractérise par une topographie différente, je crois (je connais moins bien le massif), mais il me semble, qu'il y'a bon nombre de zones planes sans végétations, très bien exposé au vent, soit toute les conditions nécessaires pour la formation de NOMBREUSE congères, après l'importance de celle ci dépend de la hauteur de neige cumulé sur l'hiver, et des conditions au moment de la chute. Yannou, tu parlais de la région du Puy en valais, en fait il est vrai que se trouve là bas un plateau situé à 1000m d'altitude où des conditions atmosphérique assez délicate sont rencontré, la température est y assez froide, et le vent peut soufler à sa guise... Je me souviens avoir perdu plusieurs degré en passant d'Aubenas au Puy ... Je suis passé de 30°C à "-10°C" ;-))) C'est vrai que la massif centrale possède une morphologie totalement différente des vosges (1 massifs plus compactes, une importante lige de crête) avec ses différents massifs, tel que le Monts du Forez et du Livradois à l'est, les monts du Cantal à l'ouest ou encore le plateau du puy au sud ... Voilà en espérant avoir fait avancer le débat ....
  22. On aura un hiver doux et voilà .. il faut bien s'y résoudre ! on ne peut pas avoir tous les hivers de la neige comme ces deux, trois derniers hivers...
  23. La zone Est me chipotte aussi un peu ... _ De part son nom, sa situation lui confère plutôt un nom "Nord Est". _Sinon, il y'a une différence certaines entre la Moselle et le département du Jura par exemple, lorque des langues pluvieuses d'une centaine de km traverse notre pays en zonal d'ouest, il y'a souvent une limite qui se situe au niveau du centre Alsace... Proposition I => Alors faut il avoir une région nord est (Alsace, Lorraine, Haute Marne) ET centre est (franche comté, ain, côte d'or, Saône). Sinon la remarque de Chris sur le climat de la Haute Saone est tout à pertinente, étant donné que ce département compte en son sein, la façade SO des Vosges... Proposition II => On garde la région Est sous le nom Nord Est, mais on rajoute l'Ardennes, la Marne à la région Nord, et l'Aube à la région centre .. Sinon à part ça tes découpages furents vraiment bon, notamment en créant l'inévitable zonne ALpes, le climat des Hautes ALpes étant en aucun cas méditéranien... Pour la régio ouest c'est pas mal non plus ... Sinon je vous conseille la lecture d'un vieux classique, "climat et cours d'eau de France" du groupe Chadule, diponible dans toutes les bonnes bibliothèques de géographie... Allez bon choix ! le votre sera le mien ;-) Fred
  24. Ouvrez les yeux sur ces valeurs, je veux bien que il y'ait des anomalies positives sur une région. L'an dernier c'était l'AMérique du Nord, alors que l'Europe avait connue des anomalies négatives. Mais cette année, c'est à l'échelle globale, qu'une anomalie positive est relevé... signe d'une évolution climatique! Observez les valeurs, vous n'avez pas d'excuses... Voilà le résultat, de ces changements à l'échelle global, on retrouve des élément climatiques, encore jamais ou rarement observé sur nos contrées ... Après on peut toujours avoir affaire à toutes les conditions synoptiques, c'est le jeu de la météorologie...
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