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Patoche

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  1. Merci pour le lien, je vais regarder ça ! 🙂 Belle soirée à tous
  2. Merci pour la réponse ! Aïe, c'est un sacré budget ! N'y a-t-il pas des solutions moins onéreuse, quitte à accepter des compromis (nombre de capteurs, précision, etc. ) ? Merci d'avance pour votre aide ! 🙂
  3. Bonsoir à toutes et tous, Je me permets de vous demander de l'aide afin de trouver une station météo dans le cadre d'un projet pilote de suivi énergétique. En effet, dans mon cadre professionnel, nous sommes en train de développer des volets isolants à hautes performances énergétiques. Ceux-ci, en plus d'être isolants, seront étanches à l'air. Nous sommes actuellement en train de réaliser une maison pilote où les performances énergétiques seront mesurées à l'aide de nombreux capteurs (compteur de chaleur, capteurs de température, d'ouverture, etc.) et nous aurons besoin d'installer une station météo avec les paramètres suivants à mesurer : - Température extérieure (bonne fiabilité & précision) - Vent extérieur (bonne fiabilité) - Rayonnement solaire (idéalement en W/m2, autrement en lux) - Eventuellement, l'humidité relative/point de rosée et la pression (ces paramètres ne sont pour nous pas significatifs) Certains de ces paramètres seront utiles pour réaliser des corrections climatiques (T°, vent, rayonnement solaire) mais aussi pour pouvoir déterminer l'étanchéité à l'air des volets (vent). La station météo doit pouvoir être connectée à internet (en Wi-Fi, voire idéalement en Z-Wave (réseau de domotique)) et surtout il doit pouvoir être possible de télécharger les données (fichier texte ou compatible Excel). Dans l'idéal nous aurions aimé pouvoir mesurer le vent ET le rayonnement solaire pour les deux façades principales (Nord-Est et Sud-Est), soit en installant deux anémomètres/pyromètres, soit en installant deux stations météo. La ou les stations(s) seraient placées proche de la/les façade(s) sur un potelet, à une hauteur d'environ 1.5-2m (hauteur normalisée pour la température), y compris pour le/les anémomètre(s). En termes de budget, nous sommes assez restreints et il faudrait pouvoir rester en dessous de la barre des 1'000 €, mais idéalement plutôt 500 € (surtout si il n'est pas possible de mesurer le vent et le rayonnement solaire indépendamment pour les deux façades). N'ayant pas de grandes connaissances dans le domaine des stations météo, est-ce que vous pourriez m'aider à trouver le(s) meilleur(s) produit(s) mais aussi donner des conseils d'implémentation afin de pouvoir mesurer au plus juste les paramètres en fonction des besoins ? D'avance un grand merci pour votre précieuse aide ! 😊
  4. Bonsoir, Je n'ai pas trop l'habitude de commenter sur le forum mais ça ne m'empêche pas de suivre avec attention ce qui se passe ! La subite "relance apparente" du feu ne serait-elle pas liée à l'air froid et humide (80-90% Hr) de la nouvelle masse d'air qui a pour conséquence de faire saturer l'air des fumées (formant ainsi un nuage bien plus conséquent) ?
  5. Merci Montilien! En effet, in fine, l'idée serait de travailler avec l'enthalpie. Pour le moment je ne souhaite pas forcément me préoccuper des variations de volume ou de pression de l'air, car cela impliquerait de longs calculs au-delà de mes capacités (mes cours de thermodynamique me semblent déjà lointains! 😱), je pensais les supposer constantes (plus exactement constantes (en moyenne) d'une année sur l'autre). J'hésite à commander les données climatiques pour ma station de référence auprès de Météosuisse, mais ça risque de faire cher... 😕
  6. Aucune réponse? J'ai dit de monstrueuses bêtises, ou je n'ai pas posté dans le bon sous-forum? 😰 De mon côté je n'ai toujours pas trouvé d'indicateur énergétique pour étudier le climat, sauf peut-être celui-ci : Source : https://www.meteosuisse.admin.ch/home/climat/le-climat-suisse-en-detail/indicateurs-de-climat.html?filters=WetBulbT_1981-today_JJA&station=gve Il s'agit de la température maximale du thermomètre mouillé pour Genève, pendant la saison d'été. Celle-ci correspond à la température donnée en bleu sur le diagramme psychrométrique de mon premier post. Cet indicateur tient compte de l'humidité de l'air, mais n'est pas proportionnel au contenu énergétique de la masse d'air, il ne reflète donc pas parfaitement l'énergie totale de la masse d'air. On y retrouve toutefois cette tendance à l'augmentation significative de la "moiteur" depuis 2010. Cette tendance est observable dans de nombreuses stations du plateau Suisse, mais beaucoup moins (voire pas du tout) sensible en altitude et durant les autres saisons que l'été. Pour la France je ne peux rien dire, je n'ai rien trouvé sur Météofrance. J'aimerais bien creuser la question et "développer" un indicateur énergétique, si par hasard il n'en existait pas un, tenant compte au minimum de la chaleur sensible et latente contenue dans la masse d'air. L'équation pourrait ressembler à ça : Source: Roger Röthlisberger Cette équation est tirée des mes cours de climatisation et donne l'énergie contenue dans 1 kg d'air sec, en fonction de la chaleur sensible de l'air (Cpa) et de la vapeur d'eau (Cpv), ainsi que la chaleur latente de cette dernière (qvo). X*v correspond à la teneur en eau (en kg/kg air sec). Je n'ai toutefois aucune base climatique d'une station à disposition pour essayer quoi que ce soit, je ne peux donc pas aller plus loin... Si ce sujet intéresse quelqu'un et qu'il dispose d'une base de donnée climatique (la plus longue possible) avec au minimum la température, la pression atmosphérique, l'humidité relative/le point de rosée/la pression partielle de vapeur, ce serait avec plaisir! 😀
  7. Bonjour à toutes et tous! Cela fait bien longtemps que je n’avais plus posté sur Infoclimat, mais je le parcours régulièrement depuis plus d’une décennie avec plaisir 😊. Je me permets d'ouvrir ce sujet car je n'ai pas trouvé de réponse à mes interogations sur ce site ni ailleurs. En effet, depuis maintenant quelques années je me demande si il existe, en climatologie, un ou des indicateurs énergétique(s), qui convertissent les valeurs mesurées des stations météorologiques (température, teneur en eau, et éventuellement pression) en énergie (par exemple en J/g air sec) , à l'image de ce qu'on peut voir sur un diagramme psychrométrique. J'ai bien connaissance par exemple de la température potentielle (Theta E) utilisée en météo, mais je n'ai rien vu de la sorte en climatologie. Dans le contexte de réchauffement climatique que nous vivons, il pourrait effectivement être interessant d'analyser l'évolution de l'énergie contenue dans les masses d'air au sol, non seulement par sa composante sensible (la température), mais aussi par sa composante latente (la vapeur d'eau contenue dans l'air). En effet j'ai le sentiment que les deux composantes n'évoluent pas de manière identique et je vais essayer d'en donner un exemple, non pas en qualité expert, mais en qualité "amateur". 😄 N'ayant pas accès à des bases de données sous forme de fichier texte je vais essayer d'étayer mes propos avec les moyens du bord, soit la base climatologique de Meteociel, ceci pour ma station de référence (Genève, 420m). J'y ai séléctionné les 5 étés les plus chaud de ces deux dernières décennies, à savoir, du plus chaud au moins chaud : 2003, 2015, 2018, 2017, 2009. J'y ai aussi rajouté 2019 (incomplet forcement, comptabilisé jusqu'au 30 juillet), à titre informatif. Le diagramme ci-bas résume la moyenne des températures maximales pour chaque mois d'été ainsi que de la saison entière : On peut constater que 2003 se démarque largement des autres années, avec un écart sur la saison de 2.3 °C par rapport au deuxième été le plus chaud (2015). Le record semble donc encore loin d'être détrôné. Hors, sur ces années sélectionnées, la teneur en eau semble n'avoir cessée d'augmenter. Le seul indice disponible sur Meteociel permettant d'apprécier la combinaison de la température et de la teneur en eau est l'Humidex. Cet indice est biensûr imparfait, mais il a le mérite d'exister et de permettre de montrer une évolution. Le graphique ci-bas reprend les mêmes années que plus haut, mais cette fois-ci avec la valeur moyenne de l'indice Humidex maximal de chaque journée : Cette fois-ci l'écart entre 2003 et la deuxième année la plus "moite" diminue avec 1.9 point, non plus par rapport à 2015 mais 2018. Celui-ci est même plus bas (1.5 point) avec 2019 . Mais le plus intéressant est le graphique suivant, où seule la différence entre la Tx et l'Humidex est affichée (oui oui j'ai conscience que ce n'est pas scientifiquement acceptable de déduire une température (°C) par un indice sans unité!😅) : On remarque, pour ces années sélectionnées, une augmentation constante et importante de l'écart entre la température mesurée et son indice Humidex relié, avec 1.53 point en 2003 contre 2.78 en 2019, soit presque le double! Cela démontre clairement que la masse d'air a tendance à contenir toujours plus de vapeur d'eau, et que donc une partie de l'énergie supplémentaire n'est pas mesurable en prenant compte que l'évolution des températures. Plus flagrant encore, j'ai vulgairement mesuré l'énergie de la masse d'air du jour le plus "énergétique" des années citées plus haut sur le diagramme psychrométrique disponible sur Wikipedia : Si je ne dis pas de bêtises, le diagramme psychrométrique permet de d'éterminer l'énergie spécfique contenue dans une masse d'air. On y trouve en bas la température du bulbe sec (celle mesurée par les thermomètres), en rouge les courbes d'humidité relative, et en noir l'enthalpie. Pour calculer grossièrement l'énergie spécifique (l'enthalpie), il suffit de connaître la température maximale et son humidité relative du jour sélectionné, en faisant un point au croisement de ces deux paramètres . Les droites obliques (isenthalpes) permettent de faire varier la température et l'humidité relative tout en conservant la même quantité d'énergie de la masse d'air. A titre d'exemple simpliste, pour le 30 juin 2019 et ses 35°C et 45% Hr, si la masse d'air avait été plus sèche (par exemple avec une végétation et des sols très secs) il aurait pu faire 40°C avec 30% Hr, voire 45°C avec 20% Hr, soit sensiblement ce qui a été mesuré durant la même canicule au Sud de la France... Le constat global est, dans le cas de Genève, sans appel : l'énergie contenue dans la masse d'air semble, pour les jours les plus "moites" des années étudiées, monter inexorablement, passant de 61 J/g en 2003 à 65 J/g en 2015 et 2018, puis 70 J/g en 2017, avant le terrible 77 J/g (!!) de juin de cette année. Par ailleurs, l'année 2019 compte déjà environ une dizaine de journées dont l'enthalpie maximale est supérieure au maximum de 2003 (soit située entre 61 et 77 J/g). Cette augmentation d'énergie n'est pourtant pas ou peu visible si on ne considère que la température, à l'image de 2019 avec son petit 35°C... D'où ma question concernant l'existence d'un indicateur énergétique (et/ou enthalpique) dans le domaine de la climatologie.
  8. Par rapport à ça, quelqu'un pourrait m'expliquer à quoi sert la vigilance jaune émise par Météofrance? Parce que émettre une vigilance jaune sans préciser de quoi il s'agit c'est pas franchement utile...
  9. J'en ai marre de ce temps pourri et de ces températures dignes d'un mois d'avril! Mais j'en ai encore plus marre de cette canicule qui arrive avec son air sec associé, et j'en ai déjà marre de ces foutus orages qui s'annoncent ou pas juste après! C'est bon? Tout le monde il est content?
  10. Il doit confondre avec les toitures végétalisées. Blâmer les agriculteurs ne sert pas à grand chose, c'est la société qui pousse toujours à la globalisation et à la consommation. Par ailleurs, je rappelle que si les agriculteurs doivent cultiver aussi massivement pour subvenir aux besoins des honnêtes citoyens, ces derniers en sont responsable à 99% (et je suis gentil! ). Je vous suggère de potasser ce petit lien pour prendre conscience que la viande (surtout la rouge) est une calamité environnementale, sa production demande des quantités de céréales/fourrages monstrueuses, d'où une demande indirecte en eau inimaginable : "Avec la quantité d`eau nécessaire pour produire 1kg de viande [rouge] on pourrait se doucher quotidienne-ment pendant un an" C'est curieux de voir que le gouvernement n'en parle pas, il préfère nous demander de prendre une douche plutôt qu'un bain, c'est tellement plus efficace! /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Par ailleurs sachez que l'élevage à lui seul est responsable de 18% des émissions de gaz à effet de serre sur la planète, c'est bien plus que les transports (13%) ! Pour l'été prochain, plutôt que d'économiser un voyage Paris-Sydney, économisez quelques côtelettes de porc, ça aura un meilleur effet. Je précise que je ne suis pas végétarien, mais je voulais juste remettre l'église au centre du village, car si les agriculteurs consomment autant d'eau c'est surtout à cause des habitudes alimentaires des clients (plus de viande = plus de céréales pour le bétail = augmentation de la production des céréales riches comme le maïs ou le soja, des céréales très gourmandes en eau = irrigation quasi-forcée des champs alors qu'avec d'autres céréales moins riches/productives (blé, avoine, lin, etc.) on pourrait s'en passer...). Encore désolé du HS
  11. Mouai, la perspective de ces deux prochaines semaines s'éclaircit, mais pas dans le bon sens... Après le gros coup de bourre de la végétation du mois d'avril on assiste désormais plutôt à un coup de mou, comme le suspecte MétéoSuisse . Les plantes vont avoir du mal à végéter, je me demande si ça n'aura pas un impact négatif sur la formation des hypothétiques orages diurnes ( végétation moins dense = évapotranspiration réduite = humidité de l'air réduite = intensité des orages réduits). Du côté des rivières et des lacs la situation continue d'être préoccupante, le lac de Bienne (et donc par effet de vase communiquant le lac de Neuchâtel et de Morat aussi) s'enfonce dans les records : Après avoir remonté de quelques 20 centimètres à la mi-avril le niveau recommence à descendre lentement mais sûrement, à tel point que maintenant le niveau est d'environ 15 centimètres plus bas que le précédent record. /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Les autres lacs suisses ne sont pas en reste, le lac Léman par exemple a franchit son niveau d'hiver à la mi-avril (371.7msm) et depuis n'a regagné que 2 pauvres centimètres (371.72msm) alors qu'il devrait déjà en être à 371.85msm...
  12. MétéoSuisse a publié hier le bilan du mois d'avril : Comme pressenti il se retrouve juste derrière avril 2007, ce qui n'est tout de même pas très rassurant. Au niveau des précipitations la situation s'est temporairement améliorée au Nord des Alpes (~10mm en une semaine) et au Sud, mais le Valais est resté en marge (comme souvent),/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> On en est donc à 20 à 35% de la norme au Nord 10% pour le Valais, le Tessin et une partie des Grisons. Au niveau des rivières peu de changement : Le Jura reste à 10 à 20 % du débit normal, le plateau alémanique se situe plutôt entre 20 et 50% tandis que les rivières nourries à la neige et aux glaciers se situent plus ou moins dans la norme. Nous allons désormais rentrer dans un mois décisif qui est mai, et nous pourrons voir si la tendance s'inverse ou pas, mais pour l'instant le zonal n'est pas encore d'actualité...
  13. Voir ici pour de plus amples infos + des vidéos. Près de 300 pompiers et neuf hélicoptères tentent de contrôler le brasier qui fait 100 hectares selon 20 minutes, celui-ci s'est déclaré dans une carrosserie avant de s'étendre à la forêt voisine.
  14. Vous pourriez m'expliquer cette certitude? On est d'accord pour dire que la majorité du temps les cumuls durant ces mois se font par des orages, mais dans le cas d'étés "pourris" il s'agit souvent d'un flux d'Ouest voire Nord-Ouest récurrent, ou je me trompe? Dans ce cas rien ne dit que l'on vive de bons flux d'Ouest (zonal) d'ici à la fin de l'été, ce qui pourrait être salutaire. Petite anecdote concernant la température des cours d'eau qui est évidemment bien trop chaude pour la saison : le Rhône à la Porte Du Scex a atteint aujourd'hui 13.5°C, ce qui est 0.8°C plus chaud que... Le maximum relevé durant la canicule de 2003! Ca parait impossible mais je pense que c'est parce que les glaciers ne sont pas encore très sollicité actuellement, ce qui est une bonne nouvelle! /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  15. Je suis trop jeune pour avoir de la jurisprudence dans l'évolution du climat Suisse, mais en analysant les graphiques saisonniers fournis par MétéoSuisse le constat est sans appel : En dehors du fait que l'évolution est sensiblement la même pour toutes les saisons on constate que pour chaque saison le record d'excédent est postérieur à 2000 et souvent de plus de 1°C que le précédent, le pire étant pour l'été et l'automne où les valeurs des premiers sont le double des seconds! En attendant je me suis "amusé" à calculer combien de temps il faudrait au lac Léman pour passer de son niveau d'hiver (371.7m) qui est atteint à la mi-avril pour ensuite passer au niveau d'été (372.3m dès début juin) si on coupait entièrement les vannes du barrage du Seujet (qui régule le niveau d'eau du lac), ce qui aurait pour conséquence d'assécher presque totalement le Rhône en sortie du canton... Le résultat n'est pas rassurant puisque si le débit des eaux qui se jettent dans le lac ces derniers jours se maintient il faudra 58 jours pour l'atteindre, ce qui nous projette à la mi-juin! (le débit moyen de ces derniers jours est de 70m3/s pour le Rhône avant que l'Are ne se jette dedans, et il faut 349 millions de m3 d'eau pour augmenter le niveau du lac de 60cm) Il faut espérer que les orages prévus pour les jours avenirs amènent beaucoup d'eau sinon j'en connais certains qui ne pourront pas mettre leur bateaux à l'eau avant le début de l'été!
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