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D'accord avec toi Lunatic. C'est pour cela que j'essaie de faire encore pire en divisant carrément en 5 catégories et de contrôler cela. Il y a de toutes manières pratiquement aucune chance d'un point de vue mathématique d'obtenir une série parfaitement identique sur 12 mois, voir même 6 mois. En trouver une serait donc assez surprenant et permettrait de se pencher un peu plus sur le cas et d'affiner en prenant d'autres données météorologiques connues pour identifier les raisons. Je pense que des morceaux de situation météorologique quasi semblable peuvent se reproduire. Situation de blocage type, centre d'action ayant un déplacement très semblable sur un temps long engendrant des types marqués de temps sur la France ou l'Europe en général. Si ces situations se reproduisent, il serait intéressant de connaître les déclencheurs de ces situations ainsi que les raisons qui les font définitivement diverger. Notre série de 250 ans surlaquelle le travail est fait actuellement ne comporte malheureusement que des températures moyennes. Cela lisse les données. Je pense donc que nous devrions identifier en premier lieur les séries de mois particulièrement froid ou chaud compris dans une année afin de diminuer le nombre de possibilité météorologique d'obtenir la série. Il y a en effet qu'une seule possibilité d'obtenir des températures tropicales en France et 2 d'obtenir des températures glaciales. Par contre il existe beaucoup de possibiltés d'obtenir des temps de saison ou plutôt un mélange d'extrême peu aussi donner une moyenne tout à fait normal. Le temps normal est donc impossible à caractériser et identifier avec la seule moyenne des températures.
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Merci Tomar pour ta comparaison. J'ai voulu faire de même mais je ne sais pas où trouver les données pour 2003 à 2005 de la station du Bourget. J'ai par contre réussi à avoir tout le reste depuis 1758. Quand même c'est un peu drôle... enfin je n'ai pas encore tous les liens connus. Florent, Tomar ou d'autres pourriez vous m'aider à compléter ma série ? Je serais intéressé par voir tes graphs Tomar. Par contre j'ai regarder un peu plus finement toutes les autres années. J'ai carrément divisé chaque mois en 5 catégorie. Glacial, froid, normal, Chaud, très chaud. Pour chaque année j'ai divisé en 4 trimestres et j'ai comparé chaque trimestre de la même période avec les trimestres de toutes les autres années. J'ai environ divisé afin d'avoir une totalité de 5 % de glacial, 25 % de froid, 45 % de normal, 20 % de chaud, 5 % de très chaud. Pour le moment, je n'ai rien trouver de très particulier. Quelques rares années sont vaguement semblables avec jusqu'à 6 ou 8 mois dont la tendance est identique. Sinon c'est vraiment très différent. Je m'intéresse donc à vérifier 2003 avec ma manière de découper pour vérifier. J'ai changer mes hypothèses de départ plusieurs fois en admettant des catégories plus ou mons ressérées mais cela ne change rien. Je vais continuer mes recherches en admettant que la tendance peut se casser pendant 1 ou 2 mois et reprendre ensuite pendant au moins 5 ou 6 mois. Cela permettrait de dire que le trend générale est assez similaire sans l'être exactement mais que l'on a quelque chose d'assez significatif a être étudié.
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Ok 30 mois d'affilé avec les températures de Paris identique ou presque à la période 1842-44. C'est vraiment bizarre ce truc là ! Modérons tout de même. Certains mois ne colle pas tout à fait, d'où les erreurs sur tes prévisions... Question qui me semble être la clé de cette analyse. Plutôt que de chercher la corrélation, qu'est ce qui pourrait faire dévier cette suite ? Je pense que personne ne sait mais je pense que c'est la question qui fera avancer le schminblick ... Si on a une configuration en méridien actuellement, il devait y avoir une config assez semblable en 1842-44. Mais ce n'est pas suffisant... D'autres situations méridiens ont eu lieu par le passé mais n'ont pas engendré une suite aussi intéressante. Autre question pertinente. Combien de chance avons-nous pour que nous ayons une suite de 30 mois quasi similaire à ce qui a déjà existé ? Cette question montre la pertinence ou non du suivi des cycles à répétition. Et il nous faudrait l'aide d'un statisticien ou mieux d'un mathématicien pour élaborer cette pertinence. Pour commencer : nous avons grosso modo 3000 données mensuels à disposition. Quelles sont les chances de trouver une série de 30 données identiques si l'on considère qu'une donnée peut-être considérée comme similaire si il y a moins de 1°c de différence sur l'écart de température (corrigé en fonction du réchauffement climatique) ? Il faudrait tenir compte de la fréquence d'apparition des extrêmes pour paufiner le calcul. Pour faire plus simple : en admettant que pour chaque mois nous ayons seulement 3 états de température moyenne mensuel possibles. (plus chaud, plus froid, moyen), il y a 3^30 possibilité d'obtenir une suite identique (ou 2E14, soit environ 1 chance sur 200'000 milliards) si nous avons un lancer au hasard. Mais est-ce un lancer au hasard ou est-ce un peu plus dirigé que cela ? Autrement dit : est ce que vu sous cette angle mathématique, cette série est vraiment exceptionnel et tient du domaine de l'intérêt scientifique ou est-ce que cela est un pur hasard... au delà d'une chance sur 30'000 je pense que cela devient intéressant. Au delà de 3 ou 4 millions, on ne peut plus parler de hasard. Des questions qui doivent permettre de savoir si ce que tu penses être une clé Florent est en fait un leurre... /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Je n'ai pu m'empêcher de vérifier ton affirmation de visu avec les données pour Paris. Et de me rendre compte que les données que tu nous propose avec tes 2 scénarios correspondent effectivement aux années 1844 et 1890. Tu as donc pris ces 2 années en référence, tu y a balancé un facteur correctif tenant compte du réchauffement (pas identique en hiver et en été), une correction supplémentaire (légère) lié au cycle. Il manque peut-être qqch. mais je pense que c'est bien le principe. Donc, a y croire, des morceaux de tendances atmosphériques se répéterait par morceau et corresponderait en plus ou moins marqué à ce qui a déjà existé. Le mois d'août 2003 et le mois d'août 1842 sont effectivement hors norme (par contre celui de 1888 est plutôt minable...) ce qui te laisse penser que le trend 2005 devrait plutôt suivre 1844 et non pas 1890. Si on continue sur la lancée je donne ici en primeur ce que tu va nous prévoir donc pour le début 2006 (pour autant que le cycle continue sur sa lancée, j'imagine...) . si on suit 1845 : Un mois de janvier normal, mais un mois de février et de mars absolument glacial , avril normal et mai vraiment pourri. si on suit 1891 : un mois de janvier dans le prolongement de décembre /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Février, mars, avril et mai plutôt froid. au total, dans le meilleur des cas, janvier et avril seront pas trop mauvais, sinon c'est le froid, la neige, la glace... l'horreur pendant 5 mois, quoi ! /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Correct ? /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Je reste absolument interloqué par cette analyse, Florent. Je suppose que cela a du se reproduire plusieurs fois ce genre de situation à répétition. Combien en as-tu observé sur les 250 années de données que tu as ?
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Ton graphique indique effectivement une bonne corrélation visuelle. En y regardant de plus près, on remarque toutefois qu'il n'est pas facile d'y établir clairement un hiver froid = NAO négatif. Un des hivers me semble même très intéressant à étudier. Celui situé entre 1933 et 1938 (visiblement 36-37). Une NAO clairement négative de -2 et pourtant un hiver clairement doux de +2. Questions ? 1. La période de calcul moyen de la NAO définie dans ce graphique ne colle pas pour cet hiver. Car finalement nous n'avons aucune précision sur la manière dont la NAO est calculée pour la dite période des écarts de températures de l'hiver. 2. Un hiver à extrême ? Avec calcul moyen des températures et de la NAO qui ne colle pas ? 3. Un type de situation très particulier qui s'est produite plusieurs fois cet hiver là et qui entraine ce cas typique ? Si c'est le cas, cela pourrait expliquer la relative (et seulement relative) corrélation entre NAO et ecart de température et donc nous amener à mieux cerner les hivers où la corrélation est mauvaise... je laisse les spécialistes m'éclairer pour cet hiver...
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Pourquoi donc ? Si il y a effectivement un véritable intérêt scientifique dans tes travaux, plusieurs de ce forum serait prêt à y jeter un coup d'oeil ou/et à t'aider dans les calculs... ou à reprendre avec toi une partie de tes hypothèses pour améliorer la pertinence de tes résultats...
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Ta phrase ma laisse perplexe Florent. Je pensais que ton "modèle" était justement un modèle et non pas un "système de calcul" unique valable que pour un cas particulier. Qu'entends-tu exactement par relation corrélative ? Effectues-tu des moyennes statistiques de permettant de trouver une corrélation entre des événements passés ressemblant aux événements actuels tout en vérifiant l'adéquation avec les cycles ? /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Personnellement, cette démarche est effectivement celle qui a permis (en déplaise à certains de ce forum) de découvrir de nombreuses lois de la physique et de la chimie. Presque toutes les lois de la physique ont été élaborée à partir d'observation répétée puis testée mainte et mainte fois. Pour le moment, Florent et nous autres sommes au stade de la découverte et surtout de l'observation. Grâce aux outils informatiques il nous est aujourd'hui possible de "brasser" des millions de données et de faire un travail gigantesque que nos anciens n'auraient pu élaborer. Un travail d'observation du climat passé. Cependant, et quoique semble vouloir tendre mes propos, je ne pense pas qu'il n'existe un loi physique capable de décrire des phénomènes de prédictions météorologiques sur le long terme. La démarche de Florent est me semble-t-il correct lorsqu'il décrit, observe ce qu'il voit et trace quelques lignes directrice. Le problème se situe au pas suivant. Vouloir élaborer des calculs en partant d'hypothèses pas vérifiées est assez osé. ET c'est là que le bas blesse. Il faut reconnaître toutefois que c'est en ayant un peu d'intuition, d'audace, de chance et beaucoup de raisonnement, que les plus grands ont découverts les plus belles lois qui gouvernent aujourd'hui la physique. Et j'espère que Florent aura l'audace de s'ouvrir également aux propositions des autres. En ce sens meteor, tu as raison.... c'est justement parce que son raisonnement défie certaines lois qu'il fera bien d'y mettre un peu d'ordre... et je crois que ce serait tout bénéfice autant pour lui que pour tous... qu'il accepte la critique et intègre certaines propositions sans la contrer systématiquement froidement... et comme tu le dis si bien Florent, les lois de la physique que tu ne connais pas démontre qu'il te faut l'aide de physiciens pour mettre de l'ordre !
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Salutations à Virgile, Lunatic, Tomar et à tous ceux qui ne sont pas convaincus par les propos de Florent. Plus j'avance dans la lecture de ce que nous donne Florent comme explication et plus l'impression qui s'en dégage me paraît bien peu issu d'une analyse scientifique. Le problème n'est pas tellement l'essai de Florent sur la prévision à long terme mais plutôt sur les hypothèses et les données sur lesquelles il s'appuie. A chaque fois apparaît "une couche" supplémentaire d'incertitude qui vient expliquer ce que nous n'arrivons pas à comprendre dans l'explication de ses hypothèses précédentes. Des facteurs de corrélation, des moyennes mobiles, des facteurs 0.8,... j'en passe et des meilleures. /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20"> Pourtant, au delà de toutes ces explications qui semblent un peu fumeuse et peu scientifique, il y a peut-être chez Florent une démarche qui tient plus de l'inspiration pour le moment mais qui au fil des essais, des brouillons et des rebrouillons permettra dans quelques années ou décennies de jeter les bases d'une théorie intéressante sur les tendances (je n'ose pas encore parler de prévisions) saisonnières. /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Alors, de grâce, au lieu de tirer à boulet rouge sur ce qu'il dit , essayons plutôt de l'aider à mettre de l'ordre dans ses propos et à lui proposer de structurer ses idées plutôt que de démonter tout ce qu'il fait systématiquement. Je ne crois pas que sur ce forum, il y ait vriament d'autres personnes qui ont investi dans l'élaboration d'une théorie ou au moins dans une recherche aussi poussée que son travail. Je crois qu'il serait de meilleur ton que de l'épauler... Bien entendu, si vous ne croyiez pas qu'il soit possible, un jour, de trouver des moyens pour définir des tendances sur le long terme, je vous propose d'aller voir ailleurs et de cesser de détruire systématiquement. /emoticons/ph34r@2x.png 2x" width="20" height="20"> Quant à toi Florent, tu résistes bien au baffe et tant mieux ! Tu devras en avoir encore besoin. On ne te râteras pas. On veut tous savoir si tu a trouvé quelque chose de vraiment révolutionnaire. Il faut nous comprendre, alors on te pousses dans tes retranchements... Ce que je souhaiterais réellement, c'est un ou même plusieurs tests qui me semblerait vraiment déterminant pour valider une quelconque théorie. Le seul test qui me paraisse vraiment valable serait de simuler les données des années 70 ou 80 ou 90 (à choix) avec "ta théorie" mais en entrant les données avec honnêteté dans ton ordinateur (sans tricher) et de vérifier à posteriori si ta théorie colle (plus ou moins) avec la réalité passée de ces années. Et pour ce faire, je propose à ceux qui sont sceptique mais intéressé comme moi et plein d'autres de se mettre éventuellement à ta disposition pour effectuer des calculs ou autre. Car si je me souviens bien, à ma dernière proposition du genre tu m'avais dit que cela te prendrait un temps énorme. Alors, à plusieurs on accomplit plus que seul... que penses-tu de cela ? Olivier
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Analyse prévisionnelle de MAI 2005
ort a répondu à un sujet de florent76 dans Tendances saisonnières
Les personnes qui prétendent être dépassées par des scénarios multiples ou qui prétendent que cela permet à Florent de tout couvrir n'ont visiblement pas compris le risque que tel ou tel scénario puisse se déclencher. A l'état actuel des modèles proposés par Florent, il ne peut pas donner qu'une seule solution. Trop de paramètres inconnus ne lui permettant pas avec certitude rejeter un nombre de scénarios mineures. Il utilise donc une grille lui permettant d'affirmer le risque que tel scénario se concrètise. Pour vérifier si Florent à juste, il ne faut pas comparer seulement un mois pour lui-même mais au minimum 4 ou 5 ans mois par mois. Si une fois sur deux où il annonce une probabilité de 4/5 qu'un scénario se produise il fait faux cela voudra dire qu'il est encore loin d'une prévision saisonnière fiable. Mais si 4 fois sur 5 il met dans le mil ou presque, ce serait déjà fabuleux ! Donc en résumé je suis pour que tu publies un maximum d'informations. Cela permettra à tous de faire des critiques qui tiennent compte de l'avancée de tes travaux. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> -
Excuse moi d'avoir présumé ainsi de l'avancée de tes travaux. Je pensais que la position barycentrique du soleil, connue par le mouvement des planètes était l'une des composantes essentielles de tes données. Finalement, les éléments du climat des dernières années influençant partiellement mais pas de manière très significative la prévision future. Soit on regarde en arrière dans le passé pour voir le climat et par approximation et comparaison statistique on en établit une loi. Soit on regarde les éléments extérieurs tel que l'influence solaire, notre position dans le mouvement des planètes, les influences entropiques tel que les volcans, les CFCs, gaz ES, courants ocaniques et climatique proche (quelques mois ou années) pour établir une tendance sur les prochains mois. On peut en faire un savant mélange des deux mais je me demande si c'est compatible ? J'étais persuadé que les 250 ans de climat t'avait permis connaissant des données externes de valider tes calculs. Dans ce cas, et pour commencer je te proposerais d'analyser la période 1960 - 1965 qui se caractérise par le fameux hiver 62, en entrant déjà 200 ans de donnée, ce qui me semble déjà intéressant. Qu'en penses-tu ? On devrait aussi effectuer une vérification de 5 ans sur une période sans mois très significatif afin de vérifier que ton modèle ne nous prédit pas systématiquement un hiver rude tous les 3 ans... si tu vois ce que je veux dire Je n'arrive certes pas à m'imaginer la durée d'un tel travail. L'avantage étant une validation directe de ta méthode plutôt que de devoir attendre !... : /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Je suis avec attention toutes vos études. De manière à déterminer le plus scientifiquement possible la qualité des prévisions saisonnières et lever le doute sur la chance ou non d'obtenir par la loi des grands nombre une série excellente entre prévision et réalité, je vous propose le principe suivant. Pour Paris, les relevés commençant vers 1750, nous avons une série ininterrompue de mesure de plus de 250 ans. Je propose d'effectuer les comparaisons suivantes sur Excel. 1) Aléatoirement à l'aide d'Excel, établir une série de 250 chiffres correspondant aux températures moyenne relevée mensuellement. Le relevé aléatoire doit cependant correspondre sur 250 ans à la moyenne réelle, à un écart type à peu prés identique et se situer dans une fourchette maxi - mini des relevés réelles. Ce qui m'intéresse étant la distribution dans le temps et non pas la moyenne. 2) A l'aide des calculs de Florent ou de tout autre personne ayant une formule à proposer, établir une même liste pour les années en question. 3) Comparer si les prévisions saisonnière basée sur des cycles ou des statistiques sont plus probantes que les résultats aléatoires. Ci-dessous, je vous livre une première expérience avec les moyennes de janvier de 1757 à 1987. J'ai établi selon une gaussienne, la probabilité accrue d'avoir des valeurs moyenne par rapport aux extrêmes. Les résultats obtenus pour une série au hasard sont les suivants : réel aléatoire Tmoy : 2.56 2.54 Ecart moyen : 2.15 2.52 Ecart type : 2.61 3.02 min. : -6.3 -5 max : 7.8 9.1 répartitions T <-5 : 1 1 -5< T <-3 : 2 4 -3 -1 1 < T < 3 : 49 58 3 < T < 5 : 72 40 5 < T < 7 : 37 43 7 < T : 7 15 Les chiffres dans leur ensemble se tiennent assez bien. C'était le but de la manoeuvre. Regardons ce qui se passe dans le détail : Comparatif entre les prévisions aléatoires et le réelle. Différence de température moyenne sur le mois. Répartition : < 0.5 : 6 % < 0.8 : 9 % < 1 : 13 % < 1.5 : 22 % < 2 : 30 % < 3 : 49 % < 5 : 75 % < 10 : 96 % Nous voyons que les erreurs sont très importantes avec ce modèle aléatoire. Peut-être peut-on affiner quelque peu le modèle aléatoire pour améliorer les résultats. Je doute cependant que l'on puisse dépasser 1/3 de bonne prévision pour une différence de temprature moyenne inférieur à 1.5°C. Il faut dire que le mois de janvier peut voir des écarts de 14°C d'une année à l'autre, ce qui explique des résultats peu concluants. D'autres mois comme juin/juillet ont des écarts moindre 8 à 9°C au maximum possible. C'est ce qui rend janvier intéressant dans la prévision. Si les prévisions saisonnières sont possibles alors janvier étant plus disparate, les résultats en seront que plus probant. Je souhaiterais voir avec intérêt les résultats pour la même période de 230 ans avec les modèles de prévision saisonnière établit par Florent. La comparaison va se révéler intéressante. Dans la mesure où une prévision aléatoire démontre que de toute manière on a 50 % de réussite d'être à +- 3°C de moyenne, il faudrait vérifier si Florent parviendrait à une réussite de plus de 50 % mais pour une différence de +- 1,5°C. Dans ce cas, on démontrerait qu'il a mis en évidence par ses calculs une reproductibilité calculable. Je ne doute pas que ce soit le cas. D'une manière générale, je trouve le débat entamé virulent mais intéressant. Si d'un côté nous avons les extrémistes qui prône l'impossibilité d'effectuer des prévisions saisonnières et de l'autre ceux qui pense que l'on maitrise super bien, je remercie ceux qui font preuve de pragmatisme et qui essaie de comprendre plutôt que de critiquer sans fondement. Avant de jeter les résultats présentés par Florent parce qu'avril 2005 est un échec, essayons de prendre un peu de recul et d'inscrire dans le temps et la durée son modèle. Je trouve plus intéressant de comprendre les raisons pour lesquelles avril 2005 est une belle plantée. On en tirera un enseignement. /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> p.s je suis désolé mais je manipule pas très bien les tableaux dans ce forum...
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Analyse prévisionnelle de l'ANNEE 2005
ort a répondu à un sujet de florent76 dans Tendances saisonnières
Et si décembre 2005 ne serait pas froid ? En effet, l'impression que me laisse ce début d'année est celui d'un blocage net des dépressions atlantiques (flux d'ouest). Ne serions nous pas dans les conditions prévues d'un hiver rigoureux mais qui auraient débuté début 2005. Les conditions de blocage n'auront ils pas changé / évolué d'ici décembre ? -
Je constate que vous cherchez des solutions palliatives aux sources d'énergies actuelles productrice de GES. C'est bien, mais à mon sens ce sera long et difficile d'arriver à changer tout cela dans un délai raisonnable. Au fait, est-il préférable de planquer nos déchets radioactifs dans les failles au fond des mers avec tous les risques que cela comporte ou de continuer à consommer du CO2 ? Pas facile de choisir. Prôner le nucléaire pour remplacer le charbon... bof ! Par contre, il me semblerait beaucoup plus judicieux d'orienter la recherche vers des appareils très peu gourmand en énergie. En Suisse, par exemple, une étude très sérieuse menée par les professionnels de l'énergie ont démontré que le sur dimensionnement des pompes de circulation de chauffage et autres appareils de ce type entraîne une consommation inutile équivalent à pratiquement 1 centrale nucléaire. Incroyable ! Si on incitait tout le monde à remplacer frigo, aspirateur, congélateur et autres appareils ménagers ultra voraces en énergie par des appareils plus économe, on baisserait significativement notre consommation, ce qui diminuerait d'autant notre rejet de CO2 et nous permettrait aussi de gagner financièrement... petit calcul. Si chaque ménage français économisait disons 100 W en moyenne en remplaçant les appareils les plus gourmand, on éconmiserait 100 * 25 millions de ménage soit 2.5 milliards de Watts ou 2500 MWatt, l'équivalent de 2 centrales nucléaires... or trouver 100 Watts c'est très facile... Comme quoi, quand on veut, on peut. Bien entendu, il faudrait également tenir compte de l'énergie grise dans le calcul et éviter de changer absolument un appareil qui vient d'être acheté. Mais on peut aussi commencer plus petit en interdisant définitivement la vente d'ampoule à incandescence. Les transports étant les plus gros pollueurs de CO2, il ne faut pas hésiter. Taxer très fortement l'achat de véhicule dont la consommation est excessive et redistribuer cette taxe sur les voitures à consommation faible ou alternatives et les transports en communs. L'aération intelligente, l'utilisation de la géothermie, les pompes à chaleur ainsi que toutes les énergies dites alternatives permettent de construire aujourd'hui à un prix à peine supérieur des maisons consommant entre 5 et 10 fois moins (voir plus rien). L'isolation de vieux bâtiment et la rénovation permettrait lä aussi un gain considérable d'énergie.... Et enfin, mon coup de g****e... français... le jour où vous avez optez pour le chauffage à l'électricité via vos centrales nucléaires, vous avez réellement fait 2 énormes erreur : la première est d'ordre énergétique. L'électricité, énergie noble, de haute qualité à faible entropie est utiliser comme source de chauffage, énergie de piètre qualité... Il vous a fallu transformer la chaleur en électricité pour ensuite la retransformaer en chaleur. Belles économies ! La seconde, concerne le mode de fonctionnement : en cas de manque d'eau (sécheresse ou gel des rivières...) y a plus rien qui marche... et vive la République ! Ort
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Tout à fait d'accord avec toi Ulysse. On est des fourmis à l'échelle météorologique. Je dirais même tellement fourmi que le réchauffement climatique mesuré à la fin du XX ème siècle est significative à l'échelle humaine mais assez rididule à l'échelle climatologique. On constate que les périodes chaudes et froides qui se sont succédées durant le dernier milénaires était souvent de plusieurs dizaines d'années voir centaines d'années. Et même si quelques années étaient plus froide durant des périodes chaudes ou vice verca, la tendance durait pendant une période d'une ou plusieurs générations. :!: Le réchauffement semble lié au taux de CO2, toutefois difficile de dire avec une certitude absolue si c'est le réchauffement qui augmente le taux ou l'inverse. Attention, je ne dis pas que les gaz à effet de serre rejetés par nos usines et nos voitures ne contribue pas au renforcement de l'effet de serre. Je reste prudent sur la proportion. Car si notre terre a connu des périodes chaudes (aussi chaude qu'aujourd'hui) et des périodes froides alors qu'il n'y avait pas d'usine, on peut imaginer que le réchauffement actuel n'est peut-être pas seulement dû à l'effet de l'homme. :!: Je reste très sceptique vis à vis des simulations effectuées sur les dix, vingt ou 100 prochaines années /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> . On ne connaît même pas corrctement toutes les interactions physico chimique océan-atmosphère et on essaie de nous prédire /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> le temps qu'il fera dans 50 ans ! Les variations de climat engendre des phénomènes que nous ne connaissons pas ou très mal. Tout ceci pour dire que des spéculations sur un, ou même 5, 10 ou 20 hivers plus rigoureux ne permet pas de dire à coup sûr si l'homme est 100% responsable du phénomène de réchauffement climatique. La seule chose que l'on pourrait dire en 2014 ou en 2020... si nous entrons effectivement dans une période de refroidissement par rapport à la décennie précédente : on a pas encore tout compris de l'impact réelle de la pollution, des mouvement astronomiques et des échanges physico chimiques qui ont lieu dans le couple atmosphère-océan qui régisse le climat. En aucun cas on pourra rejeter totalement le fait que l'homme contribue au réchauffement même après 20 ans de refroidissement. La question serait plutôt de dire à quelle proportion contribue-t-il ? Si le climat peut présenter des périodes plus froide dans un trend de réchauffement, c'est que d'autres facteurs d'importance entre en concurrence avec le réchauffement induit par l'homme. /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">
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L'été 1816 serait le plus froid connu en Europe depuis 250 ans à cause de l'erruption volcanique du Tombora. Mais personne n'aurait vu de neige en plaine à priori... Est-ce possible ? Il me paraît difficile d'en avoir si même une erruption telle que celui du Tombora n'a pas permis d'en avoir... ou bien !
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Est-ce qu'il a déjà neigé en France en plein été (juin - juillet - août) en plaine ? Si c'est le cas, quand et comment et de quelle intensité ? Sinon, ce cas pourrait-il se produire. Quelle configuration des centres d'action pourrait conduire à une situation pareil ? Autrement dit, est ce que si cela arrivait cela serait du domaine du "miraculeux" /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> ou pourrait-on imaginer une situation météo particulière permettant de voir la neige tomber en juillet ? Faudrait-il une catastrophe particulière (irruption volcanique; astéroïde, boulversement astronomique...) ou une simple situation météo particulière suffirait-elle ?
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En tous les cas, si l'hiver 2005-6 ou le suivant est tellement certain d'être glacial, je pense qu'il faudrait carrément écrire un livre avant que cela ne se produise ! De cette manière et avec un bon coup de pub, personne ne pourra dire que ceux qui l'annonçait l'on annoncé après coup et peut-être que plusieurs scientifiques se pencheront avec intérêt sur la question... Un livre, sans dévoiler toute la méthode permettrait de faire la part entre la magie, la voyance, ceux qui piquent les idées des autres et ceux qui travaille sur des données et des relevés pluricentenaires avec sérieux...
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/emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Surprise ! Ici à Yverdon-les-Bains (450 m) en Suisse, un réveil sous la neige environ 10 cm. Il neige toujours de manière soutenu et température proche de 0°C. Il faut dire que le ciel est resté dégagé jusque tard dans la nuit permettant au température de descendre jusqu'à -4°C. L'arrivée du front qui a réchauffé l'atmosphère n'a pas réussi à faire remonter suffisamment la température. Youpii ! La neige devrait continuer à tomber d'après les prévisions de météoblue durant toute la matinée puis éclaircie. Elle réapparaitrait lundi matin mais plus sporadiquement. http://pages.unibas.ch/geo/mcr/3d/meteo/ Olivier
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Petite neige demain matin dans l'est
ort a répondu à un sujet dans Prévisions à court et moyen terme
En regardant finement ce que prévoit météoblue, il semble que la neige ne ferait pas son apparition jusqu'en plaine mais blanchirait probablement très bas. Les précipitations resteront vraiment très faible /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Température et vent à 500 m samedi matin Précipitation samedi matin (en hachuré blanc = neige) -
Je ne savais pas qu'il existait des vieilles formules et des nouvelles. Je te remercie pour le lien. Ces différences nous montrent que les références évoluent. Toutefois une sensation de -10°C c'est déjà pas mal du tout ! /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Si on a des vents soufflant à 40 ou 50 km/h de manière soutenue et une température de l'ordre de 0°c à -3°C, le wind chill ou température ressentie est de -20°C. Or si on en croit les prévisions pour l'est de la France ainsi que pour la Suisse, la journée de dimanche risque d'être terriblement frisquette. Restez sous la couette !
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Salut Jean, A mon avis si le flux montant est chaud (différence de température marquée), l'utilisation d'un colorant ne va pas créer de mélange. Personnellement j'ai utilisé plusieurs fois un colorant pour mettre en évidence la stratification à l'intérieur d'une cuve. Le liquide chaud ou froid qui entre en contact avec un liquide où la différence de température est notable (quelques degrés suffisent) ne se mélange pas tout de suite. Il ne se mélange que dans 2 cas : brassage (naturel ou mécanique) et lorsque les températures des 2 liquides ont atteint une température quasi identique. On le voit très bien en utilisant justement un colorant. Lorsque l'eau froide entre dans une eau tiède, il plonge dans le fond de la cuve en se réchauffant petit à petit. Extraordinaire de remarquer cette coulée froide tomber au fond de la cuve. Pratiquement pas de désorganisation, le colorant ne se mélange pas. Nous avons utilisé ce constat avec des pipes de stratification. Le but étant de vérifier que les buses de ces pipes était bien proportionnées en fonction de la vitesse d'écoulement dans la buse. On notait que, sauf débit trop important, le liquide coloré ne sortait par les trous des buses qu'à l'endroit exacte où la température du liquide qu'on injectait correspondait à celui de la température de la cuve. Le but est maintenant de savoir ce que tu veux vraiment mettre en évidence. Si il y a un effet tourbillonaire qui se crée lors de ton expérience et qu'il faut montrer ce tourbillon et l'effet ascendant, tu ne pourras pas maintenir longtemps visible le tourbillon en utilisant qu'une seule couleur. Le brassage créé par le tourbillon ascensionnel va se colorer rapidement. Pour ma part, j'utiliserait une succession de colorant différent en injectant à intervalle régulier (à définir) une succession de colorant jaune, vert, bleu, rouge. Ce qui permet d'éviter un effet visuel immédiat d'homogénéisation dans le temps. Mais il ne faut pas se leurrer, en l'espace de quelques dizaines de secondes tout finira par devenir brun/noir lorsque l'on utilise plusieurs colorants. Cela permet juste de gagner quelques secondes de plus pour voir ou filmer quelque chose.