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tony86

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  1. Foudre en Bretagne ? -Ce soir pourquoi pas, cette nuit probablement pas (ou bcp bcp bcp moins). -La faute bien sûr au refroidissement nocturne (Tn entre 7 et 10°C), qui va stopper sec l'instabilité actuelle, même si qqs orages tiendront plus longtemps que d'autres. Le LI va redevenir positif ou égal à zéro cette nuit sur toute la France, et la CAPE atteindre des valeurs plus faibles. L'activité électricité va immanquablement en faire autant. -Mais demain, l'instabilité pourrait repartir de plus belle, avec la façade Atlantique particulièrement exposée (Bretagne, pays de la Loire et Poitou-Charentes ?) ! Poitou-charentes j'espère car aujourd'hui j'ai rien eu /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> ça passe plus au nord et plus au sud!
  2. C'est drôle que sur le bulletin spécial on évoque le sud-ouest car les orages semblent vraiment perdent de leur intensité et quasiment pu rien! Ca va peut-être ce renforcée se soir?
  3. 8mm à Châtellerault dans le nord-est de la Vienne!
  4. Mais je pense pour vous que ça va mourir car le soir arrive
  5. Les précipitations ont l'air intense sous les orages dans l'indre, de chez moi je vois des cumulo-nimbus magnifique, on se croiré presque au USA
  6. L'orage à Tours ou il y a une croix rouge je le vois de chez moi alors que je me situe à 70km au sud de Tours le cumulo-nimbus est magnifique avec des bourgeonnement très beau et le ciel très noir, c'est vraiment magnifique! Ici quelques averses et les cumulus bourgeonnent pas mal, mais pour donner des orages il faut que ce processus continue, à suivre tout de même!
  7. Oui belle photo /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> sur les 2 dernières ça fait du bien de revoir que le temps bouge enfin /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> , ça commence enfin /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  8. Je Pense que la neige c'est fini pour la plaine, il faut attendre l'hiver prochain
  9. Un séisme sème la panique en ébranlant l'île indonésienne d'Alor [ lundi 21 mars 2005, 17h20 - AFP ] Un séisme de magnitude 6 sur l'échelle ouverte de Richter a semé la panique en ébranlant lundi l'île d'Alor, située dans l'est de l'archipel indonésien, sans qu'aucune victime ni dégâts ne soient signalés, ont annoncé des sismologues. Le séisme sous-marin est survenu quelques minutes après minuit, avec un épicentre situé dans la mer de Flores à 49 kilomètres à l'est de Kalabahi, a précisé l'Agence nationale de géophysique. Au moins 27 personnes avaient trouvé la mort dans la région de Kalabahi en novembre 2004 à la suite d'un tremblement de terre de magnitude 6 qui avait frappé l'île située près du Timor oriental. La nouvelle secousse a semé la panique, provoquant la fuite pendant quelques heures des habitants de la zone, encore sous le choc du séisme de novembre dernier et du tsunami du 26 décembre, a précisé la police de la ville de Kalabahi à l'AFP. "Les habitants de la région sont encore traumatisés par le tremblement de terre du mois de novembre. Jusqu'à présent, nous n'avons reçu aucun aucun rapport indiquant des morts ou des dégâts bien que le séisme ait été suivi de deux fortes répliques", a déclaré Marsudi, le chef de la police. Les tremblements de terre et les éruptions volcaniques sont fréquents en Indonésie, un immense archipel d'environ 18.000 îles situé sur la "ceinture de feu" du Pacifique. Le nord de l'île de Sumatra avait été dévasté par un tsunami provoqué le 26 décembre par un séisme sous-marin de magnitude 9 qui a fait plus de 220.000 morts ou disparus en Indonésie.
  10. La terre tremble dans le sud du Japon: un mort et plus de 400 blessés [ dimanche 20 mars 2005, 11h27 - AFP ] Un violent séisme de magnitude 7 sur l'échelle de Richter a frappé dimanche la région de Fukuoka, sur l'île du Kyushu (sud du Japon), faisant un mort et plus de 400 blessés, pour la plupart légers, endommageant nombre de routes et habitations et paralysant le trafic ferroviaire et aérien. Une femme de 75 ans est décédée à l'hôpital après avoir été écrasée par un mur effondré, a indiqué l'agence de presse Kyodo citant les autorités municipales de Fukuoka. Quelque 400 personnes ont dû recevoir des traitements dans les hôpitaux de Fukuoka, selon un bilan de Kyodo. La police a confirmé un bilan de 64 blessés, dont six gravement. La grande majorité des blessures a été occasionnée par des éclats de verre et la chute de meubles et d'objets ménagers. Le séisme s'est produit à 10H53 (01H53 GMT), son épicentre étant localisé au large de Fukuoka, la capitale du Kyushu, en mer du Japon. Il a aussi été ressenti jusque dans l'est du Japon et dans le sud de la péninsule coréenne, dans la région portuaire de Pusan, sans faire de dégâts majeurs. Il a été suivi de répliques modérées. La secousse a déclenché une alerte au tsunami qui a été levée au bout d'une heure sans que le raz-de-marée ne se produise. Elle prévoyait une montée des eaux pouvant atteindre jusqu'à un demi-mètre dans les préfectures côtières de Fukuoka et Nagasaki. Il s'agit de la plus violente secousse à frapper l'île du Kyushu depuis mai 1997 et de la première alerte au tsunami dans cette région depuis décembre Les chaînes de télévision ont montré des murs fissurés, des fenêtres brisées, des conduites d'eau ou de gaz rompues. Quatre routes et 138 habitations ont été endommagées à Fukuoka. Ailleurs, une cinquantaine de maisons ont été emportées par des glissements de terrain sur la petite île de Genkai, en baie de Fukuoka, et les enfants, les personnes âgées et les femmes ont été évacués sur le continent. "Il y a eu une terrible secousse et ça a tremblé pendant un moment, ce qui a fait tomber des tiroirs et le placard dans ma cuisine", a déclaré à l'AFP Chizumi Nakamura, un îlien de Genkai. Il y a eu des coupures de courant mais aucune des centrales nucléaires de la région n'a été affectée, a précisé Kyodo. Les aéroports de Fukuoka et Nagasaki ont été brièvement fermés pour inspection. La circulation des trains et TGV a également été temporairement suspendue sur la plus grande partie de l'île de Kyushu. L'activité sismique est particulièrement intense depuis plusieurs mois au Japon, y compris à Tokyo. Le 23 octobre dernier, le séisme le plus meurtrier depuis dix ans, suivi de 800 répliques, avait fait 40 morts et quelque 3.000 blessés dans la préfecture de Niigata (centre du Japon). Selon l'agence météorologique japonaise, qui classe les séismes de 1 à 7, le tremblement de terre de Niigata avait atteint la même force que celui de Kobé le 17 janvier 1995 (6.433 morts et plus de 40.000 blessés). Le Japon est à la jonction de quatre plaques tectoniques, subissant des milliers de secousses chaque année, et sa capitale, Tokyo, est susceptible d'être frappée par un méga-séisme - "the Big One" - à n'importe quel moment. Selon un rapport gouvernemental publié en décembre, il est probable qu'un violent séisme frappera la capitale (12,5 millions d'habitants) dans les trente prochaines années et fera jusqu'à 13.000 morts et des millions de sinistrés. Au début de l'automne, près d'un million de Japonais avaient pris part à travers le Japon à des entraînements pour marquer l'anniversaire du "Grand tremblement de terre du Kanto" (région de Tokyo) le 1er septembre 1923, qui avait fait 142.807 morts et disparus, le bilan le plus lourd de l'histoire du Japon. L'Archipel enregistre environ 20% des tremblements de terre les plus violents dans le monde.
  11. Un violent séisme fait un mort et près de 260 blessés dans le sud du Japon [ dimanche 20 mars 2005, 10h21 - AFP ] Un femme de 75 ans a été tuée et 259 personnes ont été blessées à la suite du violent séisme, d'une magnitude de 7 sur l'échelle ouverte de Richter, qui a secoué dimanche matin la région de Fukuoka, sur l'île du Kyushu, dans le sud du Japon, ont rapporté les médias. Selon l'agence de presse Kyodo, quelque 400 personnes ont été hospitalisées à Fukuoka. La plupart des victimes sont légèrement blessées. Le décès n'a pas été confirmé par la police. Le séisme s'est produit à 10H53 (01H53 GMT), son épicentre étant localisé au large de Fukuoka, la capitale du Kyushu, en mer du Japon.
  12. Changement climatique : des vagues de chaleur mortelles Source : CIRS, le 16/03/2005 à 12h16 Cette actualité fait partie d'un dossier "on en parle", le rendez-vous de Futura-Sciences dédié au décryptage des temps forts de l'actualité. Le réchauffement de la planète Retrouvez toute l'actualité et les dossiers relatifs à ce thème. voir Abonnez-vous à notre service d'alerte pour recevoir les dernières nouvelles sur le Réchauffement de la Terre. Le changement climatique ne signifiera pas uniquement un monde plus chaud, mais aussi de nouveaux risques sanitaires. Il devient nécessaire de réfléchir aux moyens permettant d’anticiper une augmentation du nombre et de l’étendue des crises sanitaires liées au climat, crises allant des vagues de chaleur mortelles et de la famine aux inondations et aux épidémies. C’est le message délivré le 20 février lors la rencontre annuelle de l’Association Américaine pour l’Avancement de la Science, par Jonathan A. Patz, professeur d’études environnementales et de santé des populations à l’Université du Wisconsin-Madison et autorité en matière d’effets sanitaires sur l’homme du changement environnemental global. "A mesure que le monde se réchauffe, et à mesure que l’homme altère son environnement, les populations humaines deviennent de plus en plus vulnérables à la chaleur, aux maladies liées à la pollution de l’air, aux maladies infectieuses et à la malnutrition", indique-t-il. "Ce ne serait pas un monde graduellement plus chaud qui serait la cause directe de futures crises sanitaires", ajoute Patz, "mais une augmentation dramatique du nombre d’événements climatiques sévères : grandes tempêtes, inondations..., déclenchés par le changement global". Ce ne sont pas les moyennes autrement dit mais les extrêmes qui constituent des dangers mortels. "La question est de savoir désormais comment s’adapter" déclare Patz. Il devient indispensable de trouver les moyens d’atténuer le potentiel d’effets du changement climatique sur l’homme. L’augmentation des précipitations par exemple rend la vie plus facile aux insectes et animaux, autant de facteurs de maladies chez l’homme. Une stratégie consisterait à développer et utiliser les prévisions climatiques et des systèmes d’alerte afin d’avertir des risques de maladies et de prendre les mesures à même de limiter les contacts avec les sources pathogènes. L’utilisation accrue d’air conditionné procurerait un moyen de protection efficace durant des vagues de chaleur aiguë. Mais la combustion de carburants fossiles utilisés pour la production d’électricité nécessaire à la climatisation de même que la sur-dépendance par rapport à l’énergie électrique exacerberait le problème. Il serait aussi nécessaire de minimiser le risque de déversement des eaux d’égouts et d’autres phénomènes de contamination des eaux, par le biais d’infrastructures et de réseaux de drainage adaptés. La réelle question est : quand va-t-on comprendre que nous sommes en train de détruire le monde qui nous abrite et enfin agir ?
  13. Le réchauffement climatique inévitable Les températures vont augmenter, de même que le niveau des eaux, dans les cent ans à venir, affirment des scientifiques américains. Les actions mises en ?uvre n'y changeront rien. La faute à "l'inertie thermique". Mis en ligne le 19 mars 2005 Quelles que soient les actions mises en œuvre pour lutter contre le réchauffement climatique, même si les émissions de gaz à effet de serre (CO2) sont stabilisées, les températures s’élèveront d’un demi degré Celsius et le niveau des océans de 11 cm d’ici à la fin du 21e siècle. C’est l’inquiétant constat que dressent dans la revue Science des climatologues du Centre américain de la recherche atmosphérique (NCAR). La cause de ce phénomène : "l’inertie thermique" des océans. "L’eau se réchauffe ou refroidit plus lentement que l’air car elle est plus dense que l’air", explique le NCAR. En conséquence, les océans se réchauffent avec retard par rapport aux températures atmosphériques. La Terre n’a donc pas encore pleinement subi les effets des niveaux de CO2 actuels, indique à New Scientist Gerald Meehl, le responsable de cette étude. Bouton "stop" insuffisant A l’aide de simulations informatiques, les chercheurs américains affirment même que dans le pire des scénarios, d’ici la fin de ce siècle, les températures grimperont de 3,5°C et le niveau des océans de 30 cm. Basses ou hautes, ces hypothèses ne prennent pas en compte l’apport d’eau douce en provenance de la fonte des glaces. "Laquelle pourrait au minimum doubler l’augmentation du niveau des océans provoquée par le réchauffement climatique", pointe le NCAR. "Avec l’augmentation en cours des concentrations de gaz à effet de serre, chaque jour nous nous engageons vers un changement climatique plus important dans le futur", explique Gerald Meehl. Et plus les réponses se font attendre, poursuit-il, plus le réchauffement sera marqué. "On a l’impression que si les choses vont mal, il suffit d’appuyer sur le bouton ‘stop’, déclare le chercheur à New Scientist. Mais même si vous faites cela, le climat continuera à changer."
  14. La sécheresse menace déjà la France PARIS, 19 mars (AP) - La sécheresse menace déjà une partie de la France : depuis novembre, certaines régions, notamment le littoral atlantique, accusent un déficit pluviométrique allant jusqu'à 50%. Le gouvernement a appelé les préfets à la vigilance, alors que la Vienne, les Deux-Sèvres et l'Orne ont déjà pris des arrêtés de restriction d'eau. "Si par malheur le déficit pluviométrique se prolongeait dans les prochains mois, la situation deviendrait difficile et pourrait se rapprocher 1989-1992 ou même 1976", explique à l'Associated Press Noël Godard, chargé de la sous-direction des milieux et de la gestion des eaux au ministère. A Paris, un Comité national de suivi des effets de la sécheresse s'est tenu mardi et le ministre de l'Ecologie Serge Lepeltier a adressé une circulaire aux préfets."On relance le dispositif mis en place en 2004" avec le plan d'action sécheresse, a précisé M. Godard. "L'étiage 2005 étant précoce", il faut une mise en oeuvre "dès maintenant". "Sur les quatre derniers mois, on enregistre d'une façon générale un déficit pluviométrique en France".La circulaire appelle les préfets à se préparer à prendre des mesures, à sensibiliser les acteurs locaux, comme les industriels qui peuvent être gros consommateurs d'eau, veiller à la coordination entre préfets de département et surveiller la gestion des réserves en eau. Le Comité national pourrait se réunir de nouveau dans la première quinzaine du mois de mai, selon M. Godard. Sur les quatre derniers mois, on enregistre d'une façon générale un déficit pluviométrique en France, d'après Patrick Galois, ingénieur prévisionniste à Météo-France. Or, "c'est en hiver que les pluies sont efficaces pour recharger les nappes phréatiques", explique-t-il. C'est encore possible jusqu'en avril, mais après les précipitations sont absorbées par les végétations. La situation est très variable selon les régions. C'est le littoral atlantique qui a connu le temps le plus sec, avec un déficit qui atteint entre 40 et 50%, du Morbihan jusqu'au nord de l'Aquitaine. Mais une partie non négligeable du littoral méditerranéen, en Languedoc et Provence est aussi concernée, ainsi que certaines régions du nord de la France comme la Picardie. Et à Marseille, le déficit atteint 50% sur les 12 derniers mois. Tout dépend donc de la situation météorologique jusqu'en avril. Pour l'heure, Météo-France ne prévoit pas de pluies importantes dans les prochains jours. AP
  15. Un incendie détruit 20 ha de forêt en Dordogne BORDEAUX, 19 mars 2005 (AFP) - Un incendie a détruit samedi une vingtaine d'ha de forêt, près de Saint-Barthélemy-de-Bellegarde (Dordogne) et était en passe d'être maîtrisé en fin d'après-midi après l'intervention d'une centaine d'hommes appuyés par deux Canadairs, a-t-on appris auprès des pompiers. Le feu, qui a pris en début d'après-midi, a détruit des jeunes pins et s'est rapidement propagé sur des sols couverts de branches sèches, ont indiqué les pompiers. Une partie du Sud-Ouest avait été placée vendredi en "risques sévères" d'incendie, en raison des fortes chaleurs qui règnent sur la région depuis quelques jours. Deux Canadairs de la base de Marignane avaient été prépositionnés samedi matin sur l'aéroport de Bordeaux-Mérignac afin de couvrir la région Aquitaine. Les préfectures des Pyrénées-Atlantiques et des Landes ont pris vendredi des dispositions afin de prévenir tout incendie. Dans les Landes, les travaux mécanisés en forêt ont été limités, et il est interdit à l'intérieur des bois, forêts et landes et autour, jusqu'à une distance de 200 mètres, d'utiliser du feu, fumer, jeter tout débris incandescent, tirer des feux d'artifices et procéder à des incinérations" sans autorisation des mairies concernées. La préfecture des Pyrénées-Atlantiques a interdit jusqu'à lundi minuit, "l'écobuage et l'incinération de végétaux sur pied". Toutefois, une dizaine d'incendies mineurs ont été enregistrés samedi dans le Pays basque, conséquences vraisemblablement d'écobuages.
  16. Risque sévère d'incendies de forêts en Aquitaine [ samedi 19 mars 2005, 13h10 - Reuters ] RISQUE SÉVÈRE D'INCENDIES DE FORÊTS EN AQUITAINE BORDEAUX (Reuters) - Les départements de Gironde, des Landes, du Lot-et-Garonne et des Pyrénées-Atlantiques ont été classés à partir de samedi en "risque sévère" d'incendies de forêts en raison de la sécheresse, a-t-on appris auprès des préfectures et des pompiers. Des moyens renforcés ont été déployés. Deux avions bombardiers d'eau Canadair venus de Marignane (Bouches-du-Rhône) ont être pré-positionnés sur l'aéroport de Bordeaux-Mérignac, a indiqué la préfecture d'Aquitaine dans un communiqué. Dans chaque département, les préfets ont pris des mesures de prévention. En Gironde, premier département de France en nombre de départs de feu ces dernières années, la préfecture rappelle que "l'imprudence des particuliers qui pratiquent la destruction par le feu de branchages sont le plus souvent à l'origine de ces sinistres". Selon la réglementation départementale, toute incinération de végétaux est interdite du 1er avril au 14 octobre chaque année pour les particuliers et à proximité des zones boisées. Il est également interdit de déclencher une incinération de 11h00 à 15h00 au mois de mars. Dans les Landes, les travaux mécanisés en forêt ne sont autorisés qu'entre 00h00 et 14h00 et, à moins de 200 mètres des forêts, il est interdit d'utiliser du feu, de fumer, de jeter des débris incandescents et de procéder à des incinérations. La préfecture de la Charente a également pris vendredi des mesures de prévention
  17. Risques "sévères" d'incendies dans le Sud-Ouest La Gironde, les Landes et le Lot-et-Garonne ont été classés samedi en niveau "risques sévères" pour les incendies en raison de la sécheresse. Dans le Gard les rivières sont devenues ruisseaux. Dans l'Orne, la population est invitée à réduire sa consommation d'eau. Après le département de la Charente vendredi, ce sont la Gironde, les Landes, le Lot-et-Garonne et les Pyrénées-Atlantiques qui viennent d’être classés, ce samedi, en "risques sévères" d’incendie. Une décision prise étonnament tôt dans la saison mais rendue inévitable en raison de la sécheresse qui frappe cette région. Deux Canadairs de la base de Marignane vont être dès ce week-end prépositionnés à l’aéroport de Bordeaux-Mérignac afin de couvrir la région Aquitaine. La préfecture des Pyrénées-Atlantiques a de son côté interdit à partir de samedi O heure jusqu'à lundi minuit, "l'écobuage et l'incinération de végétaux sur pied", en raison d'une prévision météo faisant état de températures élevées accompagnées de vents sud-est. Dans les Landes, "les travaux mécanisés en forêt ne sont autorisés qu'entre 0 heure et 14 heures jusqu'à un retour au niveau 1", indique un communiqué de la préfecture. Il est également "interdit à l'intérieur des bois, forêts et landes et autour, jusqu'à une distance de 200 mètres, d'utiliser du feu, fumer, jeter tout débris incandescent, tirer des feux d'artifices et procéder à des incinérations" sans autorisation des mairies concernées, rappelle la préfecture. Economiser La préfecture de l'Orne a invité vendredi la population "à adopter une attitude citoyenne en modérant sa consommation d'eau". "La faiblesse des précipitation hivernales a engendré un déficit en eau sur l'ensemble du département. En conséquence la réalimentation des nappes phréatiques, qui se produit pour l'essentiel pendant cette période, n'a pas été suffisante", explique la préfecture. "Si les conditions de temps sec persistaient, le département pourrait se voir confronté dans les prochaines semaines à des difficultés d'approvisionnement en eau", conclut le communiqué. La préfecture de Charente Maritime a lancé un appel similaire. Une réunion de l'Observatoire de l'eau a été avancée de quinze jours pour parer à l'urgence : depuis l'été dernier, les nappes phréatiques ne se sont pas reconstituées et leur niveau est inférieur de 50% à la normale. "Il faudrait 100 mm de pluie d'ici trois semaines pour rétablir la situation, dit le préfet, ce qui est hautement improbable". Pour autant, aucune mesure d'interdiction n'a encore été prise, mais toutes les mairies du département vont être fortement incitées à économiser l'eau potable en supprimant l'arrosage des massifs et des terrains de sports entre 8 heures et 20 heures. Le Gard perd ses eaux Dans le Gard, la sécheresse a transformé bon nombre de rivières réputées pour leurs terribles inondations en petits ruisseaux. Si le Vidourle, le Vistre ou encore la Cèze sont touchés, c'est surtout le Gardon et ses nombreux affluents, au coeur des Cévennes, qui incarnent cette situation exceptionnelle. Près d'Alès, le débit du Gardon avoisine les 0,5 m3/s - dix fois moins que sa valeur normale à pareille époque. C'est son débit historiquement le plus bas. Entre Nîmes et Uzès, le pont Saint-Nicolas tout juste restauré, dont le tablier avait été arraché lors des crues dramatiques de septembre 2002, domine désormais un lit de cailloux aride, jonché de quelques flaques où gisent des poissons morts…
  18. Sécheresse: "risque sévère" d'incendies dans le Sud-Ouest [ vendredi 18 mars 2005, 20h06 - AFP ] Les départements de Gironde, des Landes, du Lot-et-Garonne ont été classés pour les incendies en niveau "risques sévères" à partir de samedi en raison de la sécheresse, a-t-on appris vendredi auprès des préfectures et des pompiers. La Charente était déjà classée vendredi en "risques sévères" tandis que les Pyrénées-Atlantiques devraient également passer à ce niveau samedi, selon les pompiers de ces départements. Deux Canadairs de la base de Marignane devraient par ailleurs être prépositionnés dès samedi matin pour 48H00 à l'aéroport de Bordeaux-Mérignac afin de couvrir la région Aquitaine, a-t-on appris auprès des pompiers de Gironde. La préfecture des Pyrénées-Atlantiques a de son côté interdit à partir de samedi O heure jusqu'à lundi minuit, "l'écobuage et l'incinération de végétaux sur pied", en raison d'une prévision météo faisant état de températures élevées accompagnées de vents sud-est. Dans les Landes, en raison du niveau "risques élevés", "les travaux mécanisés en forêt ne sont autorisés qu'entre 0 heure et 14 heures jusqu'à un retour au niveau 1", indique un communiqué de la préfecture. Il est également "interdit à l'intérieur des bois, forêts et landes et autour, jusqu'à une distance de 200 mètres, d'utiliser du feu, fumer, jeter tout débris incandescent, tirer des feux d'artifices et procéder à des incinérations" sans autorisation des mairies concernées, rappelle la préfecture.
  19. Aujourd'hui encore très beau temps dans la Vienne 23° on peux faire bronzette /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> demain on n'annonce 24° c'est vraiment fais exprés pour accentuer la sécheresse /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> enfin attendons /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
  20. Un nouveau séisme menace l'Indonésie Des sismologues britanniques estiment qu'un nouveau séisme est probable au large de l'Indonésie. Il s'agit d'une conséquence du tremblement de terre du 26 décembre dernier. La menace d'un nouveau séisme en Indonésie est redoutée par des sismologues cités dans la revue britannique Nature à paraître jeudi. L'effondrement au large des côtes de l'île de Sumatra a sensiblement augmenté la pression sur la fosse contiguë de Sunda, rendant un autre séisme plus probable, selon une équipe de chercheurs de l'université d'Ulster (Royaume Uni) menée par John McCloskey. La fosse de Sunda, qui sépare l'Indonésie de la plaque tectonique australienne, court sur un axe sud-est par rapport à la ligne de fracture du 26 décembre, qui a remué la zone de subduction sur une superficie de 250.0000 km2. Cette rupture a renforcé les risques de mouvements à venir, lesquels pourraient se solder par un séisme d'une magnitude estimée à 7,5 sur l'échelle de Richter, selon ces chercheurs. Même s'il est difficile de prédire quand un tel tremblement de terre pourrait survenir, l'expérience de séismes couplés a été vécue au Japon, avec un intervalle d'un an entre les deux événements, rappelle John McCloskey. Il fait par ailleurs remarquer que des séismes sur la faille de Sunda ont déclenché des tsunami meurtriers dans le passé, notamment en 1833 et 1861. Capteurs sismiques Une telle menace ne rend que plus évident le besoin d'un dispositif d'alerte dans l'océan indien, selon ces sismologues. L'Organisation du Traité d'interdiction des essais nucléaires (CTBTO, lire l'encadré ci-dessous) a indiqué mercredi avoir été approchée "par différentes organisations, dont l'Unesco", pour intervenir dans le cadre du système international d'alerte précoce contre les tsunamis. La CTBTO entretient à travers le monde un réseau de capteurs sismiques et hydroacoustiques très perfectionnés destinés à détecter d'éventuels essais nucléaires violant le CTBT, conclu en 1996. "Les données que recueille la CTBTO peuvent être d'une grande importance pour prévenir les désastres occasionnés par les tsunamis", a souligné Lassina Zerbo, le directeur du centre international de données de la CTBTO. Les résultats d'une étude de faisabilité devraient être présentés en septembre.
  21. Sécheresse en Limousin: les agriculteurs scrutent le ciel BRIVE (AFP) - Après des records de froid et de neige en Limousin, ce sont des records de sécheresse qui sont en train d'être battus, en Haute-Vienne et en Corrèze notamment, une situation inquiétante pour les agriculteurs qui scrutent le ciel dans l'attente de chutes de pluies. Selon Météo France, la Haute-Vienne n'a pas connu d'automne et d'hiver aussi secs depuis 30 ans, avec une pluviométrie d'à peine 360 mm depuis septembre (soit un déficit de 200 mm).Et cette période a été l'une des plus sèches depuis 50 ans en Corrèze, où les déficits pluviométriques de janvier et février ont atteint 40% et 55%. Après la tenue mardi d'un comité de suivi de la sécheresse à Paris, le gouvernement a d'ailleurs appelé dans une circulaire les préfets à la vigilance, les invitant à prendre des mesures de restriction (arrosage, remplissage des piscines etc.) en fonction de l'état des ressources en eau. "Concernant les cours d'eau et les nappes phréatiques (en Limousin), comme dans la grande majorité des régions, nous sommes en dessous des valeurs moyennes" mais "pour l'instant on ne peut pas qualifier cette situation d'exceptionnelle", souligne Patrick Fayard, responsable de la cellule hydrométrie et hydrologie à la Direction régionale de l'environnement (Diren). "Le secteur le plus touché est la Corrèze où on a des débits équivalent à un mois de juin", précise-t-il, ajoutant que partout ces débits "vont continuer à baisser". La situation, qui n'est pas pour l'heure alarmante, commence toutefois à inquiéter les agriculteurs. "Il n'y a pas péril en la demeure mais le péril peut arriver rapidement si on a un mois complet sans pluie", affirme Henri Soulier, le directeur de la Chambre régionale d'agriculture du Limousin. "Les ressources en eau ne sont pas très hautes et il va falloir être vigilants", poursuit-il. "Nous ne connaissons pas de sécheresse agricole pour le moment mais s'il ne pleuvait pas dans les 15 prochains jours, ça pourrait devenir critique", confirme Françoise Marguerat, climatologue au centre de météorologie de Limoges. A l'approche du printemps, les craintes des agriculteurs se portent en particulier sur les cultures de maïs, de fruits et de légumes ou encore de tabac qui débuteront bientôt. "On est très inquiet pour l'approvisionnement en eau des cultures. Les prélèvements dans les rivières seront impossibles si les débits des cours d'eau restent bas", redoute Tony Cornellisen le président de la FDSEA Corrèze. Philippe Leymat, le président des Jeunes Agriculteurs de la Corrèze, met de son côté l'accent sur une bonne gestion de l'irrigation: "On connaît nos besoins, notamment en terme de durée d'irrigation, et si on limite les apports d'eau, on pourra tenir plus longtemps avec le même volume". Mais, insiste-t-il, "il faut qu'il pleuve dans le mois".
  22. La France sous la menace d'une nouvelle sécheresse il faudrait que les précipitations des prochains mois soient très supérieures aux moyennes saisonnières.PARIS, 16 mars (AFP) - La sécheresse menace sur une grande majorité des régions françaises, après un automne et un hiver particulièrement secs, selon les experts interrogés mardi par l'AFP. Le risque de pénurie d'eau pour l'été est pris très au sérieux par le gouvernement, qui a appelé les préfets à la vigilance dans une circulaire mardi soir, après la tenue d'un Comité national de suivi des effets de la sécheresse. En fonction de l'état des nappes, les préfets devront prendre des mesures de restriction (arrosage, remplissage des piscines etc.), comme cela avait été le cas massivement pendant l'été caniculaire de 2003, a indiqué le ministère de l'Ecologie. "La situation début 2003 était beaucoup plus favorable que début 2005", a observé Noël Godard, sous-directeur de la protection des eaux au ministère, dans un entretien avec l'AFP à la sortie du Comité. "La sécheresse de 2003 avait débuté en février, alors que cette fois, le déficit de pluviométrie remonte à novembre", rappelle Michel Schneider, climatologue à Météo France. Entre octobre et fin février, les précipitations ont été "deux fois plus faibles que la normale" sur plusieurs régions. Les pluies ont été particulièrement rares en Picardie, ouest des Pays-de-la-Loire, Poitou-Charentes, Aquitaine, nord de Midi-Pyrénées, Languedoc et Provence-Alpes-Côte-d'Azur (PACA). Il faut remonter 50 ans en arrière pour trouver un automne et un hiver aussi secs en Limousin et Aquitaine, 30 ans en Poitou-Charentes et Champagne, et une vingtaine d'années pour l'Est de la Bretagne et l'ouest des Pays-de-la-Loire, selon Météo France. Le déficit d'humidité dans les sols est de 50 à 75% en Picardie, Pays-de-la-Loire, Poitou Charentes, au nord de l'Aquitaine et en PACA. Il faudra être particulièrement vigilant sur les risque d'incendie cet été. Non seulement les sols sont secs en surface, mais beaucoup de nappes souterraines sont à un niveau bas, faute de recharge suffisante pendant l'automne et l'hiver. C'est le cas en Rhône-Alpes, dans le bassin de Paris (Marne, Ardennes, Aube), en Picardie, Poitou-Charentes et Aquitaine notamment. Météo France et le BRGM (bureau des recherches géologiques et minières) espèrent une ultime recharge grâce à des pluies abondantes d'ici avril. Au delà, les pluies même abondantes ne sont plus "efficaces", car elles sont entièrement absorbées par la végétation ou s'évaporent, rappelle le BRGM. Or, "la première décade de mars a été très peu arrosée", constate Michel Schneider. "Il a plu partout moins que la normale, par exemple 30% de moins dans le Sud, début mars", remarque-t-il. Le Comité sécheresse vise à coordonner tous les acteurs de l'eau: ministères (Agriculture, Ecologie, Intérieur), agriculteurs, compagnies d'eau, EDF, industriels etc. "L'objectif est de maintenir les usages prioritaires de l'eau c'est à dire l'approvisionnement en eau potable", rappelle Grégory Boinel, en charge de la sécheresse au ministère de l'Ecologie. L'enjeu principal réside selon lui dans les prélèvements agricoles, arrosage et irrigation, qui "pompent" 80% de la consommation d'eau l'été dans la plupart des régions. Les ministères de l'Agriculture et de l'Ecologie ont déjà appelé début mars les agriculteurs à économiser l'eau et à planter si possible des cultures peu gourmandes en eau au printemps. Premier signe d'optimisme: selon M. Boinel, les agriculteurs prévoient de planter cette année 6% de surfaces en moins en maïs-grain, particulièrement vorace en eau.
  23. tony86

    TX du 16 MARS

    A Châtellerault dans la Vienne température maximale 24,1° et restriction d'eau , à suivre avec attention, vivement la grosse pluie et orages!
  24. Bonjour à tous A Châtellerault dans la Vienne hier la température a atteint 21° en max et aujourd'hui actuellement à 15h40 elle est de 23,5° ça risque de monter jusqu'à 25° et en plus le taux d'humidité est de 22°, vraiment pas beaucoup /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> cela accentue encore plus la sécheresse assez grave ici car le département est en restriction /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> , à suivre tout ça /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
  25. Fort séisme dans l'est de la Turquie: 18 blessés, des dégâts matériels [ lundi 14 mars 2005, 15h19 - AFP ] Dix-huit personnes ont été légèrement blessées dans un séisme de magnitude 5,9 sur l'échelle ouverte de Richter qui a secoué tôt lundi l'est de la Turquie, provoquant des dégâts matériels, selon les autorités locales, citées par l'agence de presse semi-officielle Anatolie. La secousse s'est produite à 03H55 (01H55 GMT) à Karliova, dans la province de Bingol, touché déjà samedi par un tremblement de terre d'une magnitude de 5,7 qui avait fait 16 blessés. Plus de 400 habitations ont subi des dégâts dans une quarantaine de villages ainsi que dans certaines fermes de la région où des animaux ont péri, selon l'agence. L'armée a héliporté de l'aide alimentaire, des tentes et des couvertures dans des localités isolées auxquelles l'accès est coupée en raison d'une épaisse couche de neige. Deux femmes piégées sous les décombres de leur maison dans le petit village de Sucati ont été sauvées par une équipe médicale, précise Anatolie. Des habitants de Karliova se sont précipités dans la rues après la secousse et ont passé la nuit autour des braseros qu'ils ont allumés. Les hivers sont particulièrement froids dans cette région défavorisée de la Turquie, où les habitations sont généralement construites en pierre. Les écoles ont été fermées pour trois jours dans la zone sinistrée. Un séisme de magnitude 6,4 avait fait 176 morts en mai 2003 dans la même province de Bingol. En 1999, près de 20.000 personnes avaient péri et des milliers d'autres avaient été blessées dans deux violents tremblements de terre dans le nord-ouest industriel et densément peuplé du pays. © 2005 AFP
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